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Dans le train pour les vacances

Enfin les vacances ! Cette année, nous partons pour deux semaines à Montpellier. C'est un voyage de plusieurs heures en train qui nous attend. Nous prenons place en seconde place, il y a un monde fou en ce mois de juillet. Mes parents et moi sommes installés dans un "carré" ; juste à côté une autre famille s'installe, la mère et les deux filles parlent déjà très fort mais le père, entre 35 et 40 ans, grand, brun avec une barbe de quelques jours, est canon. Le train démarre, je sors mon IPod et me plonge dans ma playlist. Mon père me lance un regard qui veut dire : "Encore avec ta musique ? Tu voudrais pas communiquer un peu avec nous, plutôt ?"
Je m'en fous, il devrait savoir qu'à mon âge on n'a pas envie de discuter avec ses darons. Même pas envie de partir en vacances avec eux d'ailleurs, mais bon, pas la choix : les vacances en indépendant, ce sera dans quelques années ! Je somnole en écoutant ma musique et en pensant à ce que je vais faire pendant ces vacances. Si seulement je pouvais rencontrer un mec pour me dépuceler ! Ça fait longtemps que j'y pense et que je mate mes potes pendant les cours, mais j'ose pas passer à l'action - encore moins avec eux qu'avec un inconnu ! Je suis pas sûr d'être prêt.

Après une bonne heure, j'ai envie de me dégourdir les jambes et de pisser. Je me lève et signale à mon père (ma mère s'est déjà endormie) que je vais aux toilettes. Lui est en train de bouquiner, il fait à peine attention à ce que je lui dis. Tu parles d'une communication familiale !
Je me dirige vers les toilettes. Les premières sont occupées et 3 personnes attendent devant. Je marche encore un peu dans les wagons jusqu'à repérer des toilettes, occupées certes, mais personne n'attend devant. Je m'appuis au mur contre la cloison pour attendre. Quelques secondes plus tard, un mec arrive, manifestement lui aussi cherche les toilettes. C'est un grand black, 25 ans environ à vue d'oeil, crâne rasé, baraqué. Il se pose contre le mur juste en face. Nous attendons une bonne minute, il me jette un coup d'oeil, j'y prête à peine attention.

On entend le bruit du sèche-main dans les toilettes, la porte s'ouvre, un gars en sort. C'est mon tour, j'entre et commence à refermer derrière moi quand je vois la main du black qui retient la porte. J'ai à peine le temps de comprendre ce qui se passe qu'il est entré, a refermé à clef et m'a plaqué contre le mur. Je suis tellement surpris que je n'arrive pas à sortir un seul son. Je n'en ai de toutes façons pas le temps : il appuie sur mes épaules, me fait mettre à genoux sur le sol moite et sors sa queue molle de son jogging. Elle me semble énorme, encore au repose mais déjà bien 15 centimètres et super épaisse ! Sans rien dire, il m'ouvre la bouche d'une main et y fourre sa bite avant de commencer à donner des coups de reins. J'ai encore du mal à réaliser ce qui m'arrive, je lève les yeux vers lui, presque interrogateur ; lui me regarde à peine et se contente de me tenir la tête, une main posée derrière, agrippée à mes cheveux, l'autre sous mon menton. Avec ses jambes il maintient fermement mon corps contre la paroi. J'attrape ses jambes avec mes mains pour voir si je peux le repousser mais rien à faire : c'est le combat de la crevette contre le taureau.

En quelques secondes, sa queue a pris un volume incroyable. Elle est à présent bien raide dans ma bouche et me la remplit complètement. Je vois bien que seule la moitié peut d'ailleurs vraiment entrer. Il continue ses va et vient puissants qui me cognent l'arrière de la tête contre le mur. Son gland vient jusque dans le fond de ma gorge ; de temps en temps il ressort sa queue presque entièrement puis l'enfonce à nouveau au plus profond, la bloque quelques secondes ; j'ai les larmes aux yeux, je crois que je suis toujours sous le choc de ce qui m'arrive et en même temps, petit à petit, je commence à comprendre que mon rêve se réalise : je suis en train de me faire dépuceler la bouche !

Je me mets alors à y mettre un peu du mien, jouant comme je peux avec ma langue sur sa queue, tentant d'aller et venir de moi-même sur cet énorme gland, mais lui semble s'en foutre complètement et continue à me limer la gueule comme si ce n'était qu'un trou. À ce moment-là je suis à peine quelqu'un. Je ne suis plus qu'une bouche dans laquelle il se branle.

Le black grogne doucement, pas trop fort, sûrement pour éviter qu'on nous entende. Il me tient fermement la tête, sa queue entre et sort complètement de ma bouche, il la remet brutalement jusque dans le fond de ma gorge puis en attrape la base d'une main pour me donner des coups sur le visage, sur mes lèvres ; une sorte de réflexe me fait tirer la langue, ça lui plait, il y met des coups de bite aussi. Je peux vraiment admirer son énorme engin, même sur Internet je ne crois pas en avoir déjà vu d'aussi large, épais et long. Sa queue doit faire près de 25 centimètres et quand je la prends entre mes doigts je ne peux pas en faire le tour. Il me l'enfonce à nouveau en fond de gorge, je me sens totalement soumis à son poids de mâle dominant ; je sens que je bande dans mon jean mais je ne ressens même pas l'envie de me branler. Seul compte le plaisir qu'il prend à me baiser la bouche. J'avais depuis longtemps très envie de sucer des bites mais je n'avais jamais réalisé que j'aurais été soumis ; à ce moment-là, dans les toilettes de ce train pour Montpellier, dans les odeurs de pisse qui s'en dégagent et au milieu des passagers que j'entends aller et venir de l'autre côté de la fine cloison, mon envie, mon besoin d'être soumis sont une évidence. Je veux obéir à ce grand black que je ne connais pas, que je n'avais jamais vu il y a encore quelques minutes, qui ne m'a même jamais parlé et n'a pas attendu que je lui fasse un quelconque signe avant de décider d'utiliser ma bouche pour se vider les couilles ; je ne sais rien de lui si ce n'est qu'il a une bite énorme et qu'il veut profiter de moi, de mon corps, de ma soumission ; je ne sais rien de lui mais c'est comme si je lui appartenais.

Alors que depuis quelques secondes il avait accéléré ses mouvement de queue dans ma gueule, soudain de sa main gauche il me fait pencher en avant. Son énorme bite entre encore un peu plus profondément dans ma gorge, j'ai le visage sur ses poils et le menton qui touche ses couilles. De la bave coule. Je sens sa main droite qui descend sur mon dos, s'insinue sous mon jean et mon boxer ; il attrape mes fesses et commence à les malaxer. Très vite un doigt vient caresser mon trou ; en réalité ça n'a rien d'une caresse, il a à peine touché mon cul qu'il cherche déjà y faire entrer son index. Je suis non seulement puceau mais aussi très serré : je le sais parce que j'ai déjà essayé de me mettre des doigts mais avec beaucoup de difficultés. Il force pourtant le passage sans se soucier de moi qui, sa grosse queue toute entière dans ma bouche, ne peux rien dire, ni crier, ni même émettre un son à part un léger gémissement étouffé qui pourrait être de protestation comme de plaisir - moi-même je ne sais pas si j'ai mal ou si je veux qu'il continue. Je crois bien que j'ai mal, très mal, mais que j'ai terriblement envie qu'il continue quand même.

Il continue d'ailleurs mais semble rapidement se rendre compte que je suis trop serré. Il me redresse alors, me retourne et me plaque le visage et tout le corps face contre la cloison. Il met une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier ; de l'autre il défait ma braguette, baisse mon jean et mon boxer sur mes genoux et me fait écarter les cuisses. J'ai le réflexe de me cambrer, ce qui me confirme que même sans aucune expérience ma nature est indéniable : je suis déjà un vide-couilles. Il crache sur mes fesses écartées, je t'entends mettre de la salive sur ses doigts qui reviennent rapidement sur mon cul. La pénétration est déjà plus facile même si j'ai toujours aussi mal. Pourtant je ne proteste pas, je ne dis rien, je ne fais que gémir à nouveau, des gémissements à peine audibles sous la main de mon black sur ma bouche.

Il me doigte ainsi quelques secondes mais rapidement retire ses doigts. Je sens alors quelque chose de beaucoup plus gros, dur, posé sur mon cul : il a déjà son gland contre mon trou et se met à pousser pour le faire entrer. Mes gémissements augmentent en intensité, la douleur est très forte, la pression de sa main sur ma bouche s'accentue en même temps que la pression de sa queue raide entre mes fesses. Il me semble impossible qu'il puisse faire entrer ne serait-ce qu'un centimètre de cette bite monstrueuse dans mon cul vierge et serré. Mais lui n'est pas de cet avis, il force le passage et, soudain, une douleur encore plus forte me transperce le corps. L'énorme gland du black vient de me pénétrer. J'ai l'impression que mon cul est déchiré en deux, qu'une lame brûlante vient d'entrer dans ma chair, j'ai le souffle coupé ; je serre les fesses aussi fort que je peux mais sans parvenir à le faire ressortir. Il marque un arrêt, peut-être conscient que s'il continue je vais m'évanouir, je crois qu'il me laisse le temps de m'habituer à sa queue avant d'en faire entrer une plus grande partie en moi ; puis, au bout de peut-être une minute, il se met à aller et venir en moi. Doucement d'abord : seule la base de sa queue sort de mon corps avant d'y revenir lentement, ses couilles venant, presque tendrement, se caler contre mes fesses à intervalles réguliers ; puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, il me lime brutalement, ressortant presque entièrement sa bite de mon cul, ne laissant que son gland à l'intérieur de moi avant de me pénétrer d'un coup sec de toute la longueur de son sexe immense et énorme.

Sa main contre ma douche, toujours fermement appuyée, m'empêche d'émettre le moindre son mis à part ce gémissement qui n'a pas arrêté de sortir de ma gorge. Je sens son énorme queue aller et venir sans ménagement à l'intérieur de moi, me bourrer le cul avec violence, me remplir complètement, me défoncer mon trou encore vierge quelques minutes auparavant. Soumis à cette bite gigantesque, je me laisse aller et me détend. J'écarte un peu les fesses, me cambre encore plus et commence à accompagner ses mouvements en faisant moi-même quelques va-et-vient maladroits. Il apprécie, grogne un peu plus et je sens son autre main qui me malaxe plus fermement le cul. Soudain, cette main s'abat sur ma peau, brutalement, violemment ; les coups pleuvent, la douleur arrive mais je ne dis rien, je continue à gémir gentiment. J'ai mal mais je ne voudrais surtout pas qu'il s'arrête. D'ailleurs il n'a pas du tout l'intention de s'arrêter : il accélère plutôt la cadence et me bourre encore plus fort, sortant entièrement sa queue avant de la replanter toute entière en moi, ses couilles claquant contre mon cul nu, toute la longueur de sa bite me déchirant à chaque passage, ses grognements s'accentuant encore jusqu'à ce que je les entende de plus en plus rapprochés, tout contre mon cou. Il est alors comme une bête et me défonce sans ménagement. Mon cul me brûle mais j'en redemande. Je me sens bien, rempli par une énorme queue dans les toilettes glauques d'un train public. Je réalise soudain qu'il n'a pas mis de capote mais je m'en fous. Je veux qu'il me baise encore, qu'il fasse ce qu'il veut de mon corps, qu'il me viole aussi longtemps qu'il voudra, où il voudra, sans se préoccuper de ce que moi, je veux.

Alors, sans que je m'y attende, je sens sa queue gonfler encore en moi et je l'entends râler nettement plus fort. Je sais qu'il va jouir. Je le comprends. Il jouis en moi, longuement, sa grosse bite dure plantée au fond de mon cul, ses couilles contre mes fesses. Il se retire aussi soudainement, me retourne et me fait mettre à genoux pour lécher son sexe encore dur. Je m'applique à bien le nettoyer et suis récompensé de quelques giclées de sperme complémentaire que j'avale aussitôt. Je sens son jus couler à la base de mon cul. Il me laisse faire pendant presque une minute puis reprend sa queue, la fourre dans son jogging et, sans rien dire, sans même me regarder, ouvre la porte et sort.

Je n'ai même pas le temps de me relever, encore moins de remonter mon boxer et mon jean, que quelqu'un entre dans les toilettes, les pensant sans doute vides après le départ du grand black. Je lève la tête. C'est mon voisin de train, le père de famille brun, qui me dévisage, interloqué.

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