Je me présente : Bruno, 31 ans, physique ordinaire, 1,80 m pour 70 kg, un peu musclé, pas très poilu. Je suis prof en Lycée et j'ai été affecté dans mon établissement il y a 5 ans maintenant. C'est un collège moyen avec une quarantaine d'enseignants. Pas toujours facile de se faire une place parmi les collègues quand on arrive et qu'on est un peu timide comme moi. J'ai beaucoup observé et mon regard s'est porté sur quelques profs assez jeunes et plutôt dans mon style, notamment François, le collègue d'histoire-géo. Il nous a fallu quelques temps pour sympathiser, nous rendre compte que nous avions le même âge et que nous avions obtenu le concours la même année. Il est devenu un bon collègue et même un ami puisqu'il nous est arrivé de nous voir à l'extérieur. Ce garçon était vraiment beau : un peu plus petit que moi, beaucoup plus musclé que moi et un visage à faire tomber, et en plus il est particulièrement gentil. Très vite en discutant j'ai appris qu'il partageait sa vie avec une fille... Fallait pas trop rêver non plus.
Souvent, seul chez moi, il m'est arrivé de penser à François, d'imaginer des choses avec lui. J'aurais simplement voulu voir son corps et pas seulement le deviner, savoir quel genre de sous-vêtement il porte, et puis savoir s'il a une belle queue, parce que de ce côté-là, je ne peux pas dire qu'il avait particulièrement une grosse bosse sous son pantalon mais on sait que ça ne présage de rien.
Mon histoire (vraie !) commence lorsque des collègues ont prévu d'organiser une sortie pédagogique avec les élèves de quatrième à Paris, une sortie sur deux jours qui implique une nuit à l'hôtel. François et moi sommes tous les deux professeurs principaux de classes de quatrièmes justement et c'est logiquement qu'on nous demande de bien vouloir accompagner nos classes lors de ce séjour.
Le jour du départ arrive, les élèves sont assez énervés mais le voyage en bus puis les visites des musées se déroulent normalement et nous n'avons pas vraiment à intervenir. 18h, le bus nous dépose devant l'hôtel que nous avions réservé. Ce sont des chambres de deux ou trois, la répartition avait été préparée à l'avance et tout s'organise assez rapidement. Il ne reste plus que les adultes ; parmi les accompagnateurs, nous étions trois hommes et cinq femmes, pas question de se mélanger. J'espérais partager ma chambre avec François mais rien n'était gagné. Par chance, le collègue, un peu plus âgé que nous, nous demande si ça ne nous dérange pas de nous installer ensemble François et moi, car lui aimerait bien être seul. Pas de problème, bien au contraire, s'il savait à quel point sa proposition m'arrange, même pas besoin d'imaginer une excuse bidon pour provoquer ça.
Juste le temps de déposer nos sacs dans la chambre et nous devons déjà redescendre pour le dîner qui se termine vers 20h30. Nous accompagnons les élèves vers leurs chambres, discutons un peu avec eux, leurs donnons les consignes de calme pour ne pas perturber les autres clients de l'hôtel. Hasard ou pas, ils sont disséminés sur différents étages et rarement dans des chambres proches les unes des autres, ce qui nous fait courir nous les adultes mais qui évite le bazar organisé. Il est alors 21h30, nous nous autorisons à descendre boire un café tous les accompagnateurs ensemble au bar de l'hôtel. 22h30. Levé tôt ce matin, le bus, les gamins, je suis fatigué et annonce que je monte me coucher et tous m'imitent. Nous faisons une dernière ronde dans les couloirs, tout semble calme.
Nous voila (enfin !) tous les deux, François et moi.
- Je prendrai bien une douche rapidement avant de me mettre au lit.
- Oui, vas-y, j'irai juste après, me répond-il.
Je n'hésite pas, je me déshabille devant lui et ne garde que mon boxer (un Calvin Klein que j'avais choisi pour l'occasion). Je savais qu'il ne se passerait rien, mais en faisant ça, j'espérais juste qu'il en ferait de même tout à l'heure et que je pourrais alors en profiter pour m'en mettre plein les yeux. Je me douche rapidement. Je suis complètement excité par la situation, comme avant un premier rendez-vous. Je sors de la salle de bain avec ma serviette autour de la taille, puis m'allonge sur mon lit. J'ai oublié de dire que nous avions deux lits séparés, et même si ça me semblait normal, j'en étais presque à regretter que nous n'ayons pas un lit commun, mais bon, il ne faut peut-être pas en demander trop, l'occasion est déjà extraordinaire pour moi.
Et là, grand bonheur, la scène dont j'ai rêvé tant de fois est en train de se dérouler devant moi. En effet, François commence à se déshabiller, là, devant moi, à moins de deux mètres : il retire ton t-shirt, ses chaussettes et son jean, il est en boxer devant moi. Il est presque comme je l'imaginais, musclé juste ce qu'il faut pour dessiner superbement son corps, mais quand même assez poilu, surtout sur le torse. Il prend sa trousse de toilette et se dirige à son tour vers la salle de bain. Ça a duré peu de temps mais je suis ravi et tout émoustillé. Je garderai cette vision pour longtemps dans ma mémoire.
J'entends l'eau couler puis s'arrêter. Aussitôt François ouvre la porte :
- C'est le sauna là-dedans, il doit faire au moins 50° et il y a de la buée partout.
Il est encore tout mouillé et a juste pris soin de mettre la serviette devant son sexe. J'en bave de le voir ainsi... Je peux alors l'observer se sécher et le mater sous toutes les coutures. Il est vraiment comme j'aime les hommes, pourquoi est-il hétéro ??? Il se brosse les dents et me rejoint, juste entouré de sa serviette. Moi, pendant ce temps, j'avais enfilé ma tenue de nuit, à savoir, un caleçon et un t-shirt.
- Ah, tu as pris un caleçon pour la nuit, me dit-il.
- Oui, d'habitude je dors plutôt en boxer, mais là, je ne savais pas avec qui j'allais partager ma chambre, et puis je me suis dit que si un élève devait venir frapper à la porte, je serais plus présentable.
- Oui, tu as eu raison, mais moi j'ai rien prévu de spécial, je n'ai qu'un boxer.
- Pas grave, t'inquiète, moi, ça ne me gêne pas et je me lèverai s'il le faut.
- Cool.
Je sais que François pratique le basket en club et j'imagine qu'il n'est pas gêné de se déshabiller dans les vestiaires ni de se laver dans des douches collectives. Du coup, ni une ni deux, il fait tomber la serviette et se baisse pour chercher un boxer propre dans son sac. Je n'en peux plus, c'est plus que tout ce que j'avais pu espérer avec lui ! Il a deux petites fesses parfaites avec quelques poils cependant et je n'ai aucun mal à voir sa queue. Elle est de taille tout à fait respectable au repos, non circoncise, et juste en dessous, ses couilles bien pendantes après la douche chaude et qui semblent peu poilues par rapport au reste de son corps. Se raserait-il ? Moi, je dois me glisser discrètement sous les draps pour cacher mon érection naissante et que mon caleçon ne pourrait guère dissimuler sinon. Il enfile son boxer Dim blanc ultra sexy pour moi qui adore les sous-vêtements masculins, surtout blancs. Il prend son temps et installe le matériel convenablement en mettant même sa main à l'intérieur. Je ne rate pas une miette du spectacle qui m'est offert. Il s'allonge sur son lit.
On regarde plus ou moins la télé et j'ose parfois tourner la tête pour voir l'objet de tous mes fantasmes allongé torse nu, juste en boxer blanc sur le lit juste à côté du miens. Je n'en reviens pas et j'en suis presque troublé, balbutiant mes mots lorsque je dois lui répondre. Lui ne semble pas du tout gêné, décontracté même, se caressant rapidement le paquet de temps en temps.
- Tu n'as pas chaud sous ta couette, me lance-t-il soudain, moi j'en peux plus, je suis presque à poil, et j'ai encore chaud.
- Euh... si un peu... c'est vrai... il fait chaud... oui.
J'ai vraiment l'air d'un idiot.
- Passe par-dessus la couverture alors !
- Oui oui.
Et je m'exécute, essayant de croiser les jambes pour ne pas trop laisser apparaître mon érection. Il me semble apercevoir ses regards en coin dirigés vers moi. Il pose carrément ses deux mains sur sa bosse qui est superbement dessinée dans son boxer Dim blanc. Enfin il ose :
- Dis-moi, tu bandes depuis tout à l'heure, c'est ça ?
- Euh... non. Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que je le vois bien que tu cherches à te planquer, que tu me regardes, que tu me mattes même.
Je ne sais vraiment plus quoi dire.
- En plus, je peux te l'avouer maintenant. Marie, la collègue d'Espagnol m'a dit que tu étais gay. Franchement ça ne me gêne pas du tout. C'est ton choix et je trouve plutôt cool que tu l'assumes comme ça.
J'étais un peu soulagé de ses paroles mais je ne voyais pas vraiment où il voulait en venir.
- Et puis, pour être honnête, c'est pas dégueulasse de se faire sucer par un mec, me dit-il en baissant les yeux vers sa queue qui de toute évidence avait pris de l'ampleur.
Je ne savais plus du tout comment réagir. Fallait-il lui sauter dessus ou tout arrêter maintenant avant que ça ne devienne ingérable.
- Je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée.
- Non, je disais ça pour déconner, mais tu sais, quand on se douche au basket, parfois il arrive qu'il y en ait un qui bande et ça ne gêne personne. Et puis c'est plutôt flatteur pour moi que je te fasse bander.
- Oui j'avoue, tu es carrément beau gosse et puis c'est le contexte qui m'a un peu mis dans cette situation. Mais je peux voir que toute cette conversation ne t'a pas laissé de marbre.
- Oui c'est vrai, ça m'a amusé de t'aguicher un peu et puis je te l'ai dit, une bonne pipe par un homo, y'a rien de tel.
- T'as déjà essayé ?
- Ben si je te dis ça, c'est que j'ai essayé oui quelques fois en étant plus jeune et même un peu plus âgé aussi, et j'ai presque toujours adoré.
Il me disait ça à moi, tout en se caressant. Putain de morale à la con. Si c'était un inconnu, paradoxalement, je me poserais moins de questions.
- Si tu veux ma bite, elle est à toi, mais je ne t'oblige pas.
- Pour être franc, j'en meurs d'envie, mais je ne suis pas certain que ce soit une bonne idée. On est collègues et potes, on s'entend bien jusque là et je ne voudrais pas gâcher tout ça.
- Oui je pense que tu as raison, mais là, tu vois, j'étais prêt. Avec toi, je sais que tu seras tendre et câlin.
- Merci pour le compliment, mais restons-en là.
- Ok, pas de problème. Je m'en doutais un peu.
- M'en veux pas.
- Non, pas du tout, rassure-toi.
Du coup, on éteint la lumière et il fallait dormir, autant dire que c'était juste impossible, vu l'état dans lequel j'étais.
La nuit fut courte.
- Tu as bien dormi ? me lance-t-il d'une petite voix.
- Oui, ça va, et toi ?
- Comme un bébé, me répond-il.
Il a bien de la chance, car moi, je n'ai fait que repenser à notre conversation, à lui, à son corps, à sa queue que j'avais pu voir au repos et apercevoir bandée sous son boxer.
- Il est 6h00, il faut se lever et être prêt avec les gamins. Je file à la douche.
Il se lève et se glisse sous le jet, avec une particularité : il laisse la porte ouverte... Il sait que ça me plait beaucoup. Sa bite est demi molle, elle est magnifique, tout comme lui. C'est à mon tour d'aller à la salle de bain. Dois-je fermer la porte ? Il risque de ne pas comprendre et de se vexer, mais si je la laisse ouverte, il verra que je bande comme un malade. Qu'importe, il a dit hier soir qu'il s'en foutait et que ça arrivait souvent au sport. Je me lave sans me cacher mais sans m'exhiber non plus. Je vois qu'il me matte lui aussi. On s'habille tranquillement, sans pudeur aucune, l'un en fasse de l'autre, mais sans rien dire. Une certaine forme de gêne et d'excitation à la fois.
On est descendu rejoindre les autres. Personne n'a jamais rien su de notre petite aventure qui n'en était pas vraiment une. On est resté super amis et très complices mais il n'y a plus jamais rien eu entre nous depuis. Et je reste persuadé que c'est beaucoup mieux ainsi, même si je suis passé à côté d'une superbe occasion avec un mec super cool et super canon.
J'espère que cette nouvelle histoire vous a plu et j'aimerais vraiment avoir votre avis au travers d'un petit mail qui me fera très plaisir. Dites-moi ce que vous auriez fait. Dites-moi s'il est déjà arrivé une histoire similaire. Écrivez-moi !
Brun_eau
bruneau.ferey@gmail.com
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