Olivier mon voisin, 44 ans, fan de foot me propose de venir regarder le match des Bleus chez lui. Soirée pizza et boissons pour l'ambiance. Nos femmes ont préféré sortir en ville dans un karaoké. En célibataire machos et hétéros ont fait chauffer l'ambiance des grands soirs. Olivier est en short et tee shirt car il est chez lui, moi en jogging et sweat décontracté.
Sur le grand canapé, Olivier s'allonge, ce que je trouve un peu saugrenu mais comme il est chez lui il fait ce qu'il veut. Moi je me contente des restes et me retrouve avec ses pieds sur mes cuisses. Je ressens une impression bizarre car ses pieds ne cessent de remonter à coups d'action des footballeurs sur mes parties. A la première grande occasion, il me laboure les bourses en enfonçant son pied droit dans mes bourses. Je lui dis que cela me comprime un peu et lui demande de bien vouloir rester calme car si à chaque action je me prends un coup, je ne vais pas finir le match.
Concentré sur le match, à l'affut de la moindre action, Olivier y va de ses commentaires et on n'entend plus la télé. Voilà qu'il recommence à me masser clairement mes parties. Il ne peut pas le faire au hasard d'autant qu'il en profite pour glisser sa main dans son short. Je commence à comprendre que mon voisin hétéro est bien plus libre d'esprit que je ne le pense. A un moment juste avant la mi temps, il insiste vraiment ce qui a pour effet de me faire grossir mon sexe sous mon boxer. Il remonte même son pied à hauteur de mon nombril sur mes poils me massant délicatement. Mon sexe comprimé me gêne alors je repousse ses pieds. Il se soulève, me sert un verre et sans le vouloir mon regard porte sur son bas de dos. Je vois clairement la fente de ses fesses poilues et tout en glissant sur le bord du canapé, il me découvre une grande partie de son anatomie. Je commence à me dire que l'alcool fait effet sur moi. Il se lève à nouveau pour mieux se positionner sur le canapé. Moi qui croyais récupérer quelques centimètres, j'en fais les frais.
La mi temps arrive, je pense avoir un peu de répit, je me lève pour aller aux toilettes. Il me grille la politesse donc j'attends comme un âne devant la porte des toilettes. En sortant nos deux corps s'effleurent dans l'entre porte. Il me fait un sourire tout en me disant : ça fait du bien de se soulager.
Je vais moi aussi faire mes besoins, je ressors. Il trône devant la télé, droit, cigarette au bec et une main dans son boxer. Alors que le match reprend, je m'assois en premier pour gagner du terrain et lui s'allonge de nouveau de tout son long. Sauf que mon regard tombe sur son short et je vois ses bourses et son sexe pendant dépasser du short. Il n'a plus son boxer. Alors que je me m'y attends pas, il baisse la lumière du salon, prends ma main et la porte à hauteur de ses cuisses et commence sans même me demander à le caresser. Je fais un geste de retrait lui signifiant que je n'envisageais pas de lui faire un plaisir. Il me dit alors
- Tu sais ça fait un bon moment que j'ai envie de faire des trucs avec toi
J'avale ma salive, tente de me concentrer sur le match et ne réponds pas. Il me dit alors
- T'aimais pas tout à l'heure quand je te caressais avec mon pied
- Si, si, juste que nous sommes voisins et que je n'ai jamais fait cela avec un mec (mensonge)
- Ben, on a tout ; foot, boissons il manque que la baise
- Oui c'est vrai, mais nos femmes peuvent arriver n'importe quand
- Pas de soucis elles ne sont pas prêtes de rentrer, je connais la mienne une fois partie dans son délire, il y en a pour la nuit. Moi aussi je n'ai jamais fait ça, mais tu m'excites depuis un moment. Tu te souviens quand on a bossé ensemble pour faire ta cuisine !
- Oui
- Ben j'adorais te mater, voir ton corps ; alors je me suis dit que l'on pourrait faire un truc ensemble pour voir
Je mentirai en ne disant pas que je pratique parfois avec des hommes. Mais lui, je ne me voyais pas. Certes il est plutôt bel homme mais rien ne m'attirait vraiment. Les verres s'enchainaient, les buts aussi la France était en train de nous surprendre. Pris dans l'ambiance, je laissais ma main aller sur ses parties. Il avait des bourses pleines, lourdes, deux gros testicules que je malaxais avec douceur. Je sentais mon sexe grossir sous mon boxer et mon jogging. Je laissais mon sexe droit sortir de mon boxer, libérant celui ci de l'élastique qui le comprimait. Son sexe était de petite taille au repos, il ne fallut pas longtemps pour qu'il prenne une belle taille. Je tirais délicatement sur son prépuce qui laissait apparaître un gland de petite taille mais bombé de sang. Son sexe prenait une taille impressionnante, je ne pensais pas qu'il avait un pénis aussi long et fin, au moins 21 à 22 cm.
Désinhibé par l'alcool, il se laissait faire. Je lui demandais de se mettre nu ce qu'il fit en un éclair. Il alla chercher un plaid pour l'installer sur le canapé. Il me demanda s'il pouvait me déshabiller. Comme une bête il faisait tomber mon jogging et mon boxer dans le même geste. Mon sexe était tendu droit pointant vers lui. Il me défit mon sweat et commença à me masser le torse. Il me dit
- Putain t'es super poilu, c'est doux
Il me titillait les tétons et laissait descendre sa main sur ma verge qu'il caressait maladroitement. Il mit un doigt sur mon gland qui laissait couler quelques gouttes. Je prenais son sexe en main et le caressait doucement, il grandissait encore plus, long, fin et humide. Il me pelotait les fesses et s'attardait près de mon orifice. J'étais face à lui et comme il me faisait le grand show et qu'il était novice soit disant, je commençais à toucher ses fesses velues, chercher son anus pour le chatouiller. Perdu dans des poils durs et compacts, j'avais du mal. Nos deux sexes du fait de la proximité se touchaient par des petites saccades.
Il me saisit alors la nuque et m'indiquait clairement de m'attarder vers son pénis. Il me dit alors
- Suces moi, j'ai envie d'essayer
Je descendais à sa hauteur. Pour plus de confort, je m'asseyais sur le canapé, j'avais la tête face à son pénis protubérant. Je posais mes lèvres sur son gland puis avec ma langue je jouais avec son sexe pour le faire pénétrer dans ma bouche. Il se cambrait, je saisissais en même temps ses fesses que je serrais avec mes doigt. Je profitais qu'il était concentré sur son sexe pour poser un doigt sur son anus. Je jouais avec et étonnement, il écartait ses fesses avec ses mains pour m'aider à faire entrer ce doigt. Il avait vraiment envie de me donner son anus. Je m'arrêtais et lui disais
- Juste que si ça vient tu me préviens car je ne vais pas avaler
- Ben tu me finiras à la main
- Si tu veux
Je reprenais mes exercices et il ne fallut pas longtemps après avoir totalement avalé son pénis pour qu'il me repousse et dans un râle me dise
- Vas-y termines moi
Je pris alors on pénis que je masturbais avec violence, il fit jaillir des jets puissants dans ma main. Du sperme tomba sur le sol. J'avais la paume de la main pleine de sa semence. Il me demanda alors
- Tu peux l'étaler sur mes fesses
Il joignait le geste à la parole et j'étalais non sans satisfaction, son sperme sur sa raie et son orifice. De lui même il se pencha comme pour m'indiquer sans me le dire que je pouvais le prendre, je lui dis alors
- Attends on va loin, tu as des capotes
- Oui mais tu peux faire sans
- Non non on ne décorne pas avec ça
Il alla chercher des capotes et positionna l'une d'elle sur mon sexe qui n'attendait que cela. Il reprit position, ce qui m'étonna pour un novice. L'effet de la capote et de sa semence me permettait d'entrer assez vite dans son anus, je sentais que j'avais bien poussé à hauteur du rectum. Je m'arrêtais pour ne pas lui faire mal. J'avais une vue sur son dos et ses fesses écartées et sur la télé qui me déconcentrait. Il poussait des gémissements de plaisir comme j'en ai rarement entendu. De lui même il s'offrait en poussant sur mon sexe pour qu'il entre en entier. Bien calé, je commençais à le pilonner, il aimait cela. De la sueur commençait à perler sur nos corps. L'odeur mélangée de sperme, de sueur était agréablement mêlée à nos parfums. J'étais en lui, par des mouvements de bassin, il menait la cadence ce qui me fit comprendre qu'il n'était pas du tout novice, mais je le saurai plus tard.
Sentant mon plaisir intense monté en moi, j'eus un spasme puis deux et tout en faisant des va et vient de plus en plus intenses, je lâchais ma semence dans le réservoir de la capote. Il poussa un cri de jouissance tel que je pensais que tout le quartier serait au courant. Nous restions quelques instantes, haletant, reprenant notre souffle. Mon sexe commençait à débander et j'accompagnais avec mes mains ma sortie de son orifice. La capote était pleine, quelques gouttes tombaient. Il prit son tee shirt et s'essuya rapidement. Son sexe était à nouveau droit, long et fin.
L'arbitre sifflait la fin de la partie, on n'a pas vu grand chose du match mais on en a bien profité. Il m'a proposé de prendre une douche vite fait, il me suivait dans sa salle de bain. Dans la douche je lui dis
- Ce n'était pas une première fois Olivier
- Non, j'ai eu une expérience au boulot et depuis rien, mais là j'avais trop envie de toi
- Je l'ai vu
- Et toi, première ou pas
- Non je te cache pas que je l'ai déjà fait mais cela faisait longtemps que je ne l'avais pas fait avec un homme
- On recommencera
- Quand tu veux
- Demain après midi on se fait une sortie en foret, j'aimerai bien te prendre comme tu l'as fait pour moi
- Si tu veux
Nos douches nous permettaient de détruire toutes traces de nos ébats.
Je rentrais alors chez moi, ma femme n'était pas encore rentrée. Je me mettais au lit et vers 3h, elle rentrait. Elle commençait des préliminaires dignes de ce nom et je la prenais pour une séance intense de sexe.
Suite de l'histoire dans la forêt bientôt
Julien
j.legrand464@laposte.net
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