Épisode précédent
Après la séance voyeurisme de notre arrivée, épuisés, nous allumons la climatisation. A fond. Nous blottissons l'un contre l'autre et nous endormons ainsi. "L'important c'est de dormir avec quelqu'un. L'important c'est la cuillère.". C'est vrai, on est tellement bien ainsi. Je l'enlace et le serre contre moi. J'adore sentir son dos musclé contre mon torse, ses fesses et jambes contre les miennes. Mon sexe contre lui.
Petite description ; Baptiste est châtain, cheveux courts, rapidement coiffés sur le dessus. Il est un peu plus vieux que moi du haut de ses 29 ans. Un peu plus grand et sportif que moi également. 1m76 pour 65 kilos. Il pratique beaucoup l'escalade ce qui lui confère une force réelle et une musculature apparente. Je m'accroche à ses pecs et nous nous endormons ainsi.
Au petit matin, alors que les premiers rayons de soleil cherchent à entrer dans la chambre, je suis réveillé par une douche sensation en bas du dos. Allongé sur le ventre, je sens la bouche chaude de mon copain m'embrasser le long de la colonne vertébrale. Et descendre. Descendre. Jusqu'à trouver mes fesses. Il me lèche du bout de la langue entre celles-ci. Je frémis, fais mine de me réveiller, me laisse faire.
Sa langue vient s'appuyer contre mon anus. C'est chaud et tellement agréable. Alors qu'il me saisi les fesses avec les deux mains pour me les écartées, j'en profite pour remettre ma bite en place. Je bande. Sa langue virevolte autour de mon trou, puis s'y enfonce de quelques millimètres pendant quelques minutes. Entre mon ventre et le drap, ma bite est au meilleur de sa forme.
J'accompagne et donne le rythme à mon mec en entamant de presque imperceptibles mouvements de bassin. Mon mec me lèche pendant quelques minutes, mon sexe se frotte discrètement contre le drap ; mon dieu que c'est bon.
Lorsque ce traitement s'arrête, je sens Baptiste qui remonte, plaquant son corps contre mon dos. Je sens son chibre tendu au maximum prendre place entre mes fesses, il appuis légèrement dessus. "Bonjour, mon coeur." me susurre-t-il à l'oreille de sa voix grave. Je ne réponds rien d'autre qu'un petit gémissement, qui aurait pu être interprété comme un "Lâche-moi", mais qui voulait bien dire "Je suis à toi, prends moi".
Heureusement, Baptiste interprète bien. Il se redresse légèrement, salive suffisamment sa bite et force l'entrée de mon cul. Après l'anulingus qu'il vient de me donner, son long sexe entre facilement en moi. Une petite douleur me saisi tout de même lors de la première pénétration ; lorsque son gland vient tout au fond de moi et que je sens ses couilles buter contre mon cul. Il faut dire que sa bite est longue ! La douleur s'estompe quasi immédiatement, je me détend et il commence ses vas et viens. Je sens ses 21cm s'enfoncer en moi et en sortir tout d'abord doucement, puis peu à peu accélérer.
Je gémis, et j'entends qu'il émet également quelques grognements de plaisir, sa respiration accélère.
Soudain, il sort complètement sa bite, laissant une seconde mon cul cambré, et vide, puis s'y enfonce d'un coup sec jusqu'à faire buter ses boules sur moi. J'étouffe un cri dans l'oreiller. Il change de rythme, semble en forme et j'adore ça.
"Putain, j'adore ton cul bébé" me dit-il. "Hum, baise le, j'adore aussi". Il s'accroche à mon épaule droite, m'appuie sur le dos avec l'autre main et commence à me pilonner avec virilité. A chaque coup de queue, ma bite frotte un peu plus et je me sens mouiller contre le drap.
Au bout de quelques minutes, il me redresse, je prends appuie sur le mur. Il me tourne la tête et me roule une méga pelle. Putain c'est trop bon. Je me branle un instant et sens que je vais bientôt venir. Je ressers un peu les fesses et sens immédiatement la bite de Baptiste durcir en moi. Je me branle et accompagne ses mouvements avec mon bassin. Il durcit encore. Jusqu'à me dire "Je vais te remplir comme jamais. T'aime ça."
Oui, j'aime ça. Il le sait bien. Je sens sa bite durcir encore puis tout lâcher en moi. Il s'enfonce au maximum pour décupler le plaisir. Au même moment je lâche sur le drap quatre jets de sperme bien blanc et épais. Le lit est complètement souillé.
Lui toujours en moi, nous nous allongeons de nouveau et nous endormons ainsi l'un dans l'autre quelques minutes. Avant de partir à la plage, juste en dessous de notre chambre. Nous mettons tous les draps tachés au sol afin qu'ils soient changés par la femme de chambre.
Livre. Check. Lunettes de soleil. Check. Crème solaire. Check. Serviette de plage. Check. Nous partons nous trouver un transat, lui dans son petit short de bain turquoise, moi dans mon short rouge alerte à Malibu. On est bien, on est beaux, les touristes sur la plage n'ont qu'à bien se tenir. On arrive.
SomethingDeTaille
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