Victoire aux héros.
Etudiant en Master 1 de STAPS, je sortais tout juste de mon dernier cours ce mercredi soir. Il était environ 20h15, et je rejoignais mon domicile à pied. Plutôt baraqué, avec mon mètre 90 et mes 85kg de muscles, il était bien rare qu'on ose me faire chier le soir lorsque j'étais seul dans la rue. D'ailleurs, ça ne m'était jamais arrivé ! J'avais peut-être trop confiance en mon physique imposant ce soir-là, lorsque je décidais de passer par une petite ruelle, qui, bien qu'étroite, sombre et lugubre, représentait un gain de temps énorme pour rentrer chez moi plus vite. 20 minutes de marche sans la ruelle, 5min avec ... autant dire que le calcul avait été vite fait. Je l'avais déjà emprunté quelques fois avant, mais je dois bien avouer que, loin d'avoir peur de m'y engouffrer, c'était plutôt l'odeur qui y régnait, à la fois de pisse et de déchets accumulés, qui me faisaient à chaque fois rebrousser chemin.
Mais ce soir-là, éreinté et ayant envie de rentrer au plus vite, je décidais de m'y engouffrer. Marchant plusieurs mètres, j'entendis tout à coup un bruit sourd derrière moi. Surpris, je me retournais, mais ne voyait rien. Peut-être une de ces poubelles qui s'entassait dans les bennes disposées de chaque côté, qui s'était cassé la gueule ? Qu'importe, je me reconcentrai sur mon chemin, jusqu'à ce qu'un nouveau bruit, similaire à celui déjà entendu, me fasse me retourner à nouveau. Mais toujours rien ... est-ce que je rêvais ? Non, certainement pas. J'étais crevé, éreinté, après trois jours intensifs et deux matchs de rugby dans le week-end, mais pas au point d'avoir encore des hallucinations ! Oui d'ailleurs, j'étais rugbyman, mais je jouais aussi au football et au football américain dès que l'occasion se présentait. Alors autant dire que les placages, ça me connaissait, inutile donc de tenter de m'embrouiller dans la rue. Pourtant, avec ces bruits, je le sentais mal ... allez savoir pourquoi. Sans doute une intuition. Une intuition qui allait vite se révéler exact.
En effet, alors qu'il ne me restait qu'une ou deux minutes pour atteindre le bout de la ruelle, un nouveau bruit, plus sourd et fort, se fit entendre. Je me retournais alors complètement, et rapidement, pour percevoir enfin ce qui avait pu causer un tel bouquant. Et j'eu assez vite la réponse. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant ce jet de lumière bleue qui illumina une fraction de seconde toute la ruelle, avant de s'éteindre pour laisser apparaître en son centre deux véritables colosses. L'un vêtu de noir et bleu, l'autre de rouge et bleu. Je fronçais les sourcils, et reculait d'un pas. Ces mecs n'avaient pas la même taille. Mais commençons par le plus " petit ". Petit entre guillemets, oui, parce que malgré mon mètre 90, je me sentais minuscule face à lui. Il devait avoisiner sans problème les deux mètres et faisait environ deux fois ma carrure. Putain quelle mastodonte de muscles ! Et oui, c'était le plus petit. L'autre, celui vêtu de noir et bleu, était plus grand d'environ dix ou quinze centimètres et doublait à son tour la carrure du " plus petit ". Ils se tenaient face à face, se jaugeant du regard, muscles bandés, poings serrés. D'où sortaient-ils ? Qui étaient-ils ? J'avais l'impression d'avoir face à moi deux super héros, avec leurs costumes moulants et leurs muscles impressionnants.
Je me reculais encore, un peu apeuré je devais bien l'avouer, mais je donna, sans le vouloir, un coup dans une sorte de boite métallique derrière moi. Surpris, je reculais un peu plus, alors que le bruit attirait l'attention des deux titans. Ces derniers me lancèrent un de ces regards qui vous glace le sang, et tout à coup, ils se jetèrent l'un sur l'autre. Un coup de poing chacun, et ils foncèrent tous les deux vers les abdos de l'autre. L'impact fut terrible et je fus propulsé plusieurs mètres en arrière sous l'onde de choc qui se dégagea des deux coups. Putain, comment ça pouvait être possible ?!
Je retombais lourdement, brutalement et avec un peu de mal, sur le sol. Le front sanguinolent et sans doute une blessure aux côtés, je me relevais malgré tout, et voyant le plus grand, vêtu de noir et bleu, poser sa main sur le corps allongé par terre de l'autre. Une violente lumière rougeâtre s'en dégagea, et l'autre rouvrit aussitôt les yeux. Sauf que ses yeux me parurent plus terrifiant encore désormais, puisqu'ils étaient rouges sang. Surpris, haletant, je reculais encore, sans les quitter du regard. Mais ils disparurent, un instant, jusqu'à ce que je me heurte à un mur d'acier. Surpris, je me retournais. Non, ça n'était pas un mur, mais leurs corps. Comment s'étaient-ils déplacés si vite ?
Le plus petit me saisit violemment par le cou, me souleva d'une trentaine de centimètres du sol. J'étouffais, j'haletais et essayait de saisir sa main pour la desserrer. Moi qui ne m'étais jamais fait emmerder et qui avait toujours eut le dessus sur les terrains, voilà que je me retrouvais étranglé par un type qui faisait deux fois ma carrure.
Qui es-tu ?!
La question fut posée par mon agresseur. J'essayais de répondre, mais je manquais d'air. Son poing serré le long de son corps me fit trouver l'air qui me manquait, et j'arrivais à articuler, non sans mal.
Ry... Ryan ... lâchez moi ... .
Certainement pas. Tu n'avais pas à nous voir ici.
Qui ... qui êtes...vous ?
Nous sommes ce que sur ta planète vous appelez des super-héros, des légendes ... . Mon nom est Superman, et je viens de Krypton, une planète éloignée de plusieurs milliers d'années lumières de la tienne. Lui, c'est Zashel, mon pire ennemi, fils du Général Zod. Vos ... livres ne sont pas tout à fait exact, ma planète n'a jamais été détruite, et j'en suis désormais le Roi. Zashel et moi avons combattu dans tout l'univers, pendant des milliers d'années, avant de pénétrer une faille spatiale, qui nous a transportés ici.
Et je viens tout juste de remporter le combat, en soumettant grâce à mon pouvoir votre héros, Superman, à ma volonté. Il est mien, m'obéit, et je veux qu'il te tue.
Superman ? Sérieusement ? Qu'est ce que ces types me crachaient ? Putain, je devais halluciner avec le manque d'air ! Je commençais sérieusement à tourner de l'oeil. Ils se fermaient peu à peu, alors que je sentais la pression colossale s'accentuer sur ma gorge ... jusqu'à ce qu'on me lâche et que je tombe lourdement aux pieds de ces deux titans. J'étais sonné, mais j'entendis distinctement le mot " bander " sortir de leur bouche. Putain oui, j'avais une énorme érection et elle déformait bien le short que je portais ! Il faut dire que j'étais franchement gâté par la nature à ce niveau là, et que pour cacher mes érections, ça n'était pas pratique ... . Le manque d'air avait du provoquer cela, mais ils l'interprétaient autrement apparemment, puisqu'un pied vint rapidement se poser sur mon entre cuisse pour l'écraser légèrement. Je rouvrais aussitôt les yeux, en râlant bruyamment.
Haa ... Aarrêtez ... .
Tu as l'air d'apprécier ? Sur notre planète, soumettre un homme nous apporte encore plus de puissance ... nous lui volons sa vie et sa force ... et toi, tu as l'air d'être un être humain avec de la force ... alors nous allons te la voler, surtout si tu aimes cela !
Ils se mirent à rire, de leur voix terriblement rauque. Le plus " petit ", le Roi, Superman, se pencha alors, me saisit par le col et me souleva, en grognant. Et la seconde d'après, sans que je comprenne comment, je me retrouvais nu, la verge très dure, les muscles bandés. Je n'étais franchement pas mal foutu, il fallait l'avouer. Pour le côté descriptif, j'avais des pectoraux plutôt carrés, couverts de poils, qui descendaient jusqu'à mes abdominaux, bien taillés, tout comme mes obliques. J'avais des biceps franchement épais, des cuisses massives et une très longue verge, qui avoisinait sans problème les 23 centimètres. Oui, j'étais un beau mâle, comment l'avaient soulignés ces mecs. D'ailleurs, Superman m'empoigna la queue et se mit à me la branler. Sauf qu'il allait vraiment fort, et je me mis à hurler de douleur. Mon frein allait lâcher bordel ! Il ralentit donc un peu la cadence, en souriant, et me relâcha violemment. J'atterrissais à leurs pieds.
Occupe toi de lui ... je lui volerai sa puissance ... en volant la tienne.
Apparemment, ce mec, Superman, s'était fait dominer par ce Zashel lorsque ce dernier avait touché sa poitrine, tout à l'heure. Et désormais, il avait tout le pouvoir sur lui. Si ce qu'il disait était vrai, alors Superman allait me tuer et me voler ma puissance. Mais apparemment, ce Zashel la voulait aussi, et la volerait par le biais de Superman, en le soumettant, en le tuant et en volant donc nos deux puissances ... . Il était déjà bien assez puissant comme ça, combien de mecs avait-il soumis pour l'être à ce point ?!
En attendant, Superman saisit mon crâne et vint appuyer violemment mon visage sur son pied droit, couvert d'une botte en acier, bleue. Je râlais, et un ordre de sa part me fit sortir la langue. Il voulait que je lèche tout son uniforme. Soit, je n'avais vraiment pas envie de me faire tuer ... . Je me mis donc à lécher sa botte d'acier, remontant à ses cuisses ultra musclées. Putain comment était-il possible d'être si musclé et puissant ? Je caressais ses cuisses, et remontait sur ses abdominaux. Jamais je n'avais léché le corps d'un homme ... j'étais hétéro et j'avais même une nana ! Mais là bordel, je n'avais pas le choix. Je léchais donc ses abdominaux, plus nombreux que la moyenne humaine et énormes. Je passais entre les sillons dessinés par son uniforme, qui plaquait bien sa peau, puis je léchais ses pectoraux massifs, tandis que Zashel, derrière lui, frottait son entre cuisse à son cul sans doute vierge.
Bien, maintenant, déshabilles moi et lèche mes muscles.
C'est bien ... fous le poil à ... .
Superman avait une voix tellement virile ... mais Zashel en avait une plus grave encore. Je faisais donc glisser son costume, tandis que Zashel faisait de même avec le sien. Et les corps qui étaient dévoilés dépassaient toute mon imagination. Des muscles aussi durs que l'acier, couverts de poils, incroyablement bandés, forts, puissants et massifs. C'était impensable, et je me sentais comme une petite merde face à eux, malgré mon propre corps très épais. Les costumes descendaient peu à peu, dévoilant leurs corps de Dieu, leur toison pubienne, et enfin, les verges les plus larges, longues et veinées, sans aucun doute, du Cosmos, malgré qu'elles soient toutes deux au repos ... . Si jamais voler ma puissance voulait dire m'enculer ou une connerie dans le genre, alors c'était certain oui, j'allais crever ... .
La suite " fantastique " arrivera bientôt ;).
Si vous avez aimé cette histoire fantastique, ou même si vous ne l'avez pas aimé, n'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires à : resleztx2@hotmail.fr ! Merci, et en espérant que vous ayez bien bandé ;).
Resleztx2
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