J'étais chaud depuis plusieurs jours. Comme je ne m'étais pas connecté sur le net depuis deux semaines, les pseudos s'étaient un peu renouvelés. Après quelques échanges avec un mec de mon âge, passif comme moi, nous nous étions embarqués pour un plan autour du godage réciproque. Pas de longues descriptions sur le net, et j'ai pas eu la pic de son visage.
Arrivé sur place le profil correspondait bien, mais sans le feeling donc je ne suis pas resté après le verre de bienvenue et suis reparti. Comme j'avais la soirée devant moi, j'ai été faire un tour au parc. Avec un temps frais, 9 degrés tout au plus, et assez tôt dans la soirée, il n'y avait personne.
Direction le sauna. Au moins si il n'y a pas grand monde, je pourrai me faire du bien au hammam et prendre de la chaleur. Avec la clé numéro 13, c'est soit qu'il y a vraiment peu de monde, soit ma soirée de chance.
Je vous dis ici que j'ai 53 ans, 1m75 mince et bien conservé. Si je ne fais pas mon âge, je peux en paraître 45, mais pas 35. Il doit bien y avoir une vingtaine de personnes, dans la catégorie 25 - 35 justement. Pas de soucis, je déambule en sachant que la soirée sera calme : je suis invisible des 25 -35, et les personnes dans ma tranche d'âge en sont pas à mon goût.
Pas assez de monde pour voir des groupes se former, je me prépare à une soirée détente jusqu'à ce qu'un petit gars, 1m70 68kg et juste moins de 30ans me suit dans le dark room. Je l'avais vu avant déambuler rapidement, à la recherche de mecs à mater m'étais-je dit. Ben non, direct au paquet, on se pelote et il me fait descendre sur sa queue. Je le chauffe à travers le linge, titilles ses boules et sors une belle petite bite 15 x 3. J'aime car je peux m'en régaler et faire des gorges profondes sans douleur les jours suivants. Le mec gémit, apprécie, me glisse la main vers les fesses et me dit : " t'es une bonne salope toi ", je grogne un oui de plaisir, la bouche occupée.
Pas de plus longs préliminaires, il me propose d'aller dans une cabine pour le tirer le cul. Je le suis, avec un doute : si il ne m'a pas remis il se désistera à la lumière. Mais non, direction la première cabine éclairée et confortable, il s'assied sur le socle de la ventilation jambes écartées, m'invitant à me placer entre ses cuisses. Il est bien raide, et je recommence à le pomper en alternant langue sur le gland, gobage profond et léchage des boules. Lui prend du gel au distributeur et me titille la rondelle. Des petites tapes impatientes plutôt qu'une préparation. Je suis tellement chaud que je suis déjà prêt à recevoir le mâle. Cela ne dure pas long car il se retire de ma bouche et me dit qu'il ne peut pas attendre, et qu'il veut mon cul.
Je me retourne et me cambre pendant qu'il cherche une capote et déchire l'emballage. Je profite du moment de libre pour me frotter la raie sur son pied et je fais mine de m'empaler sur son orteil. Il me traite de salope et matte quinze secondes avant de me pousser à quatre pattes. Il se positionne à genoux derrière moi et se plante d'un coup, direct en grognant. Je suis aux anges : c'est ma position et ma place : à genoux, croupe tendue, pour le plaisir de la queue d'un mec. Et surtout de sentir que lui apprécie, que c'est ce qu'il veut et qu'il cherche : tirer un bon trou ouvert.
Le pistonnage est rigoureux, avec des bonne plantées au fond, puis le mec remonte sur ses pieds, accroupi, sans sortir de mon cul il continue de se taper le gland dans mon trou. ... Putain on apprécie tous les deux un bon moment. Il est en sueur et je sens les gouttes me tomber dessus.
Sans avertir, il ressort et me tourne sur le dos, chevilles sur ses épaules. Ca devient plus intime car on se regarde dans les yeux : une sorte de bras de fer érotique au fond des pupilles. Je l'encourage à se laisser aller au plaisir qui monte, je fais oui de la tête. Il ne met pas longtemps dans cette position pour avoir un râle sourd et se planter , couilles sur mon cul. Aussi brusquement il se retire et se rassied sur son socle pour souffler, s'essuyer, pendant que je viens lui lécher les cuisses et le pubis en signe de reconnaissante soumission. Il accepte l'hommage. Je suis au maximum de ce que je donne à un homme : un plaisir sans retenue, apparemment sans qu'il se soucie de mon plaisir. Il se lève, donnant le signal du départ pour la douche.
Titus
Autres histoires de l'auteur : Pâques au sauna