Ce matin-là, j'avais décidé d'aller courir malgré l'orage qui s'annonçait. Je couru un long moment sur le chemin boisé qui traverse la vallée. Dans la chaleur étouffante, je m'arrêtai pour reprendre mon souffle.Dégoulinant de sueur, je me mis torse nu et m'allongeai dans l'herbe. J'allais m'assoupir mais une voix me fit sursauter:
-"Pfff! quelle chaleur!"
Un jeune mec s'était arrêté à mon niveau, un randonneur, belle gueule et très bien bâti. Il vit mon regard étonné et un peu gêné et me dit :
-"je connais une fontaine plus loin, l'eau est potable, si ça t'intéresse"
-"ah oui, bonne idée, on va pouvoir se rafraîchir"
J'attachais mon sweat à la taille et on emprunta un petit chemin de terre. Il me précédai, j'avais les yeux rivés sur son beau cul et ses jambes puissantes... putain! son cul! j'en salive encore. Il me parlait de randonnées et je mattais les effets sur son corps musculeux et sec.Je commençais à bander.
On arriva à la fontaine et je sentis quelques gouttes de pluie sur mes épaules. Il laissa tomber son sac-à-dos, il bu et s'aspergea d'eau. j'admirais le spectacle en buvant à mon tour. ses vêtements étaient collés à sa peau. Quand il se redressa, son débardeur mouillé révéla tout le relief de sa musculature. Quel morceau!
-"hè! Mec, tu bandes!" dit-il avec un grand sourire.
-"évidemment! c'est de ta faute".
Je le plaquai contre un arbre, et lui ôtai son débardeur. Des gouttes de pluies tombaient de ses cheveux et inondaient ses lèvres entrouvertes. Mes doigts glissaient sur son torse. Son corps était tellement dur. j'empoignai sa queue toute raide et le branlais fermement. l'eau ruisselait sur ses muscles brûlants. il était prêt à jouïr mais il me repoussa et se mit à me bouffer le torse, mec têtons, mes abdos durcis par l'excitation.
Il baissa mon short et saisi ma bite, la lécha sur toute sa longueur, et la prit dans sa bouche. Je bande encore en repensant au plaisir de sa langue sur mon gland. Son bras musclé s'activait sur sa queue pendant qu'il suçait la mienne.
-"aah, je viens" dis-je avant d'éjaculer sur sa belle gueule.
Je m'accroupis pour finir de le branler et recevoir des longues giclées de sperme sur ma gorge et mon torse. on se redressa pour s'embrasser, et serrer nos corps trempé, tachés de boue et de sperme.
Il pleuvait et il fallait nous abriter.
A suivre.
Noa
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