Premier épisode | Épisode précédent
Bonjour, je me présente, jeune homme de 19 ans du Nord, vivant chez mes parents (ma mère et mon beau père).
J'avais écrit deux histoires l'année dernière, je reprend la suite aujourd'hui :)
Rappel: mon beau père m'aidait beaucoup en mathématique et en physique au lycée, et en retour, il me baisait autant de fois qu'il voulait, quand il le voulait. Ma mère faisant un métier avec des horaires spéciaux, la voie était libre pour lui.
Je mesure 1m76 et pèse 57 kilos environ, complètement imberbe et 100% passif.
Mon beau père mesure 1m95 pour 100 kilos environ, il a 45 ans, il est assez musclé et très poilu. Il se nomme Marc
Un soir, en rentrant des cours, comme à mon habitude, je pose mon sac a dos dans l'entrée, puis je me dirige dans la cuisine pour goûter. C'est mon rituel avant de me mettre à bosser mes cours.
Il est 17h et mon beau-père est déjà rentré. Il regarde la télé dans le canapé
Je goûte et me dirige vers ma chambre, à l'étage, pour travailler tranquillement. Ma mère travail de nuit ce jour là.
Vers 18h30, ça sonne, et j'entends des collègues de mon beau-père entrés à la maison. Il a dû les inviter pour l'apéritif.
Je descend vers 19h dire bonjour et m'installer avec eux autour d'un verre.
Ils sont 3: Hervé, assez grand, très viril; Christian, de taille moyenne et très poilu et Vincent, de taille moyenne également. Ils sont tous en jeans, chemise et veste de costume
Une fois installer, il me demande la question récurrente à mon âge: "Alors, tu as une copine ?"
Mon beau père ne me laisse pas le temps de répondre et rétorque:
- Non, il est PD
Je suis gêné, je rougis et je ne sais plus où me mettre. Tout le monde rigole. Une fois le sérieux revenu, mon beau père continu:
- Il me paye en nature quand je l'aide pour les cours, c'est ma chienne.
Christian demanda alors:
-C'est sérieux ?
Mon beau père me lança un regard insistant et je fis "oui" de la tête; mon beau père me mis à la disposition de ces 3 collègues sans me demander mon avis, après tout, j'était sa pute.
Christian me colla le nez au niveau de sa braguette, pendant que Vincent commençais à me caresser le cul. Marc et Hervé mataient la scène
Ils se mirent tous à l'aise, et sortirent leurs engins; ils étaient tous très bien monté ! Hervé 20/5; Vincent 19/4; Marc, mon beau père 20/5 et Christian 21/4,5 environ.
Christian m'appuya sur la nuque pour que je prenne sa bite en bouche. Elle sentais le mâle, c'était excitant. Pendant que je suçais Christian, Vincent me déchira le boxer et me fourra un doigt dans le trou, à sec. Un petit cris de douleur se fis entendre. Il mis très vite 2 puis 3 doigts avant de me doigter le cul assez sauvagement.
Pendant ce temps, Marc et Hervé se branlaient en matant
Après quelques minutes, Christian se mis en position assise sur le canapé et m'invita à m'asseoir sur sa bite; ce que je fis sans rechigner. J'était complètement empalé sur Christian, j'était complètement soumis à ces trois mâles en rûtes. Vincent m'enfourna sa bite dans la bouche et me bourrina la bouche pendant 15 minutes, avant de me lâcher sa crème; il me força à tout avaler et a nettoyer son engin. Christian me pilonnait toujours le fion comme un bourrin, j'était très excité. Marc, mon beau père arriva après Vincent et me mis sa bite dans ma bouche. Il me forçais à faire des gorges profondes répétitives avant de tout lâcher. J'avala également.
Christian libérait mon trou, et Hervé pris sa place
Très vite, on changea de position: j'était allongé sur Hervé avec sa bite dans mon trou, et Vincent me pris en double pénétration. Marc, mon beau père, se rajoutait en me prenant la bouche violemment
Hervé et Vincent me fécondaient la chatte avant que mon beau père ne prenne leur place. Mon trou était béant et tout le jus dégoulinait.
Marc me démonta littéralement la chatte et lâcha rapidement une bonne giclée de foutre
Je dû nettoyer les 4 teubs avant de pouvoir respirer un peu. Tout le reste de la soirée, je devait être sous la table, et dès que l'un d'entre eux avait envie d'être soulagé, je devais les satisfaire sans rien dire, et avaler
Le temps d'une soirée, mon beau père m'avait prêté à ces collègues. J'était une vraie pute à jus.
Une fois ces collègue partit, mon beau père me pissa dessus, me cracha un mollard, et me dit:
- Tu es ma salope pour toujours maintenant, sois-en sûr !
Je le suçais une dernière fois et nous montons nous coucher
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Th75
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