"JE VEUX UNE BONNE SALOPE". C'est le titre de l'annonce. 35 ans, 1m85, 70kg, musclé sec, actif. Il cherche une pute obéissante et soumise, qui suce bien et qui avale. Moi j'ai 41 ans, 1m82, 72 kgs, je sais que j'ai une gueule qui plait (surtout aux femmes et aux passifs...) le physique ça va, je suis plutôt mince mais pas musclé, je m'entretiens. Je suis bi d'aussi loin que je peux me rappeler, et avec les mecs, je peux être total actif et dominateur avec les petits minets imberbes, ou une vrai salope soumise et accro à la bite avec un vrai mâle viril. Je me dis souvent que quand je passe au pieu, mon cerveau se déconnecte, et ma sexualité m'envahit complètement, au point de chercher à être exactement ce que cherche ma/mon partenaire sexuel du moment. Mon plaisir, c'est son plaisir, et je suis capable d'aller vraiment très très loin, surtout si la complicité et le plaisir sont au rv.
Donc je réponds à l'annonce. Je dis exactement ce que je cherche : un vrai mâle viril, directif et dominateur, qui sait ce qu'il veut, qui prenne possession de ma bouche et de mon cul sans me demander mon avis. A ce moment là, je veux me sentir la femelle soumise d'un beau mâle ultra viril, bien gaulé sans être trop musclé, avec une belle gueule de brute, une bonne tige raide (je me fous complètement de la taille), et un mental de bourrin dominateur. Le truc introuvable quoi, surtout à 40 piges....
Mais on finit par correspondre par texto, et on se fixe un rencard à mon garage pour une 1ère. J'attends, fébrile et impatient, plein d'espoir et avec un peu d'appréhension quand même. Surtout qu'en général, ce genre de plan finit par un lapin... vive les nases !
Mais il arrive. Je le vois à l'angle de la rue. Putain qu'il est beau ! Sourire aux lèvres, sûr de lui, on se serre la main. Mon mâle est là. On descend au garage, il s'asseoit sur une chaise (j'ai un peu aménagé le garage pour ce genre de plans...), je me mets direct à genoux, il sort sa queue... mi-molle, mais déjà superbe. Et là, il me dit "tu vas bien me sucer hein ? mais tu y vas tout doucement hein ? et je veux pas sentir tes dents, tu as compris ?" Le son et le ton de sa voix me transpercent : directif, impératif, ultra-viril, et en même temps avec quelque chose de très doux, de calme, de rassurant. Je m'attèle à l'ouvrage. Je le suce avec passion, j'y mets le meilleur de moi-même, toutes mes tripes. ça y est, je me suis mis en mode chienne, je n'ai plus qu'un seul objectif : le satisfaire pleinement, au-delà même de tout ce qu'il aurait pu imaginer. Ce mec vaut vraiment la peine que je me défonce. Et avec lui c'est tellement facile ! Je me laisse complètement guidé : il me dit d'aller jusqu'au bout mais doucement, il a vraiment une bonne queue, pas loin des 20cm à mon avis, alors évidemment, ça a du mal à aller au fond. Il me dit "il va falloir t'entraîner hein." Je dis oui, et je pense "tout ce que tu veux mon mâle". Je m'accroche à ses mollets puissants et je redouble d'attention pour le sucer encore mieux. Il me dit "tu l'aimes ma queue hein ? Elle te plait ?" et je réponds oui. Il prend son temps, il sort du poppers, snif, il savoure. Et moi je déguste. 20 minutes, 1/2h, je ne sais plus, avant qu'il me dise "maintenant tu la lâche plus" et je ralentis le mouvement de ma bouche pour le faire monter tout doucement. C'est le moment que je préfère : mon mâle est au bord de la jouissance, il maîtrise plus vraiment grand chose, il s'abandonne. A mon tour de le dominer en lui imposant mon rythme, ma loi. Je l'emmène le plus loin possible, jusqu'au point de non-retour et là, il jouit et me balance ses jets de bon jus de mâle dans la bouche. Et moi, je me régale, de son nectar, de son concentré de vir!
ilité, mais aussi de sa jouissance, de son plaisir, du plaisir que JE lui ai donné. Là, il est à moi, et uniquement à moi. J'ai du mal à lâcher sa queue, je la lèche, je la suce, je la caresse avec mes lèvres. Je la veux encore, je LE veux encore. Et il me la laisse un bon moment. Ce pied !
Il finit par se rhabiller, je le regarde, je l'admire. ça y est, je le kiff déjà celui-là. J'ai déjà conscience que je le mérite pas : il a tout pour se taper qui il veut quand il veut, des mecs plus jeunes que moi, mieux foutus, plus mignons... l'angoisse m'envahit : ça m'étonnerait que je le revois...
On se sépare devant le garage. Aucune gêne, pas de chichis, pas de blablas inutiles, comme 2 mecs simples qui viennent de prendre du bon temps. Peut être 5-10mns plus tard, je reçois un texto : "tu as bien bossé ma pute". Quel pied d'enfer ce texto ! Il a tout compris à mon mode de fonctionnement... et en plus, il a écrit MA pute ! Je lui réponds "merci boss, j'ai vraiment kiffé", et dans la foulée, je lui demande si je dois le tutoyer ou le vouvoyer. La réponse est exactement celle que j'espérais : je le vouvoie. ça y est, il est mon boss et moi, je suis sa pute.
Les jours qui suivent, on échange une bonne quinzaine de textos par jour. On précise les attentes de chacun. Moi c'est assez simple : je suis prêt à n'importe quoi pour Lui (sauf crade, sang et marques). De son côté, il attend de moi que j'obéisse, que je devienne son tire-jus, qu'il m'apprenne à le sucer comme il veut... et il veut que je suce qui il veut quand il veut. Une vrai pute quoi ! tarification en moins...
Quelques jours plus tard, un texto arrive : "tu vas recevoir un appel d'un mec. Je veux que tu le suces. Je le connais, c'est ok". Je réponds "d'accord boss". Mélange d'appréhension, qui c'est ce mec, quel âge, quel genre... en plus j'ai vu mon boss qu'une seule fois, j'espère qu'il se fout pas de ma gueule, qu'il me fait pas un plan foireux... mais en même temps, il est tellement tout ce que j'attends d'un boss que je suis prêt à accepter à peu près n'importe quoi. Rendez-vous est donc pris avec le mec, au garage.
Il arrive à l'heure prévu... un mec genre bien 45 ans, vraiment pas terrible, physique banal, bedonnant. On descend au garage et il me dit "Stephane m'a dit que tu étais une bonne suceuse, on va voir ça". Mon boss a dit ça ! J'étais aux anges ! Arrivés au garage, je ferme la porte du box, il descend sa braguette. Il sort une queue taille normale et bandée du slip, je me mets à genoux et je me mets au boulot. Il sent la sueur, il est moche, il m'excite pas du tout, mais je bande à mort : je n'arrête pas de penser à mon boss. Je fais ça pour Lui, je l'imagine en train de penser à sa pute qui est en train d'obéir au doigt et à l'oeil à ses moindres désirs, même les plus vicieux, les plus pervers... peut-être qu'il bande en pensant à ça... du coup, j'y mets toutes mes tripes, la chienne va à la rencontre du plaisir du mâle. Je cherche comment fonctionne ce mec, ce qui lui plait le plus, comment je dois gober sa queue, à quel rythme, pour l'emmener au bord du plaisir et le maintenir là le plus longtemps possible, à ma merci. Il me dit "qu'est ce que tu suces bien ! t'aimes ça hein ? t'es une bonne salope toi". Et moi je pense juste que je suis en train de le satisfaire, et que du coup, mon boss sera content de moi, peut-être même fier...
D'un coup, il se tourne et me dit de lui lécher le trou... je fais pas ça ! Je ne fais ça qu'avec les mecs que j'aime vraiment, j'ai toujours trouvé ça vraiment intime, il faut une bonne dose d'affection pour lécher le cul d'un mec. Et en plus, ce mec me plait vraiment pas, du coup ça me rebute et me dégoûte. Mais j'ai pas eu d'instructions de mon boss à ce sujet. Alors j'obéis. Je lèche, je lape, je glisse ma langue. Je donne du plaisir. ça doit vraiment lui faire de l'effet, car il n'en profite pas longtemps : il se retourne, m'enfourne sa bite dans la bouche, me prend la tête dans ses mains et me lime ma gueule de salope. J'essaie de le ralentir pour lui donner plus de sensations, mais le bourrin n'a pas l'habitude, il ne sait pas savourer une bonne pipe... alors il finit par me cracher en fond de gorge son jus de porc vicelard. Il se rhabille, on sort du garage et il me dit "je ferai un rapport à Stephane". Et il se casse. J'appréhende : pourvu que mon boss soit pleinement satisfait !
Quelques minutes plus tard, texto de mon boss "il a dit que tu étais vraiment une super suceuse. Je suis fier de toi." De retour chez moi, je vais dans la salle de bains et je me branle : je prends un putain de pied, d'avoir satisfait mon boss, de lui avoir donné tout ce qu'il attendait. Je me sens totalement salope, une vrai chienne, la pute que j'avais toujours rêvé d'être, avec le boss dont j'avais toujours rêvé.
Je prends mon pied en pensant à Lui, en l'imaginant en train de me baiser, tout en me disant de sa voix ultra excitante combien il était fier de moi, combien il avait aimé ce que j'avais fait pour lui... je crache ma sauce en pensant à Lui, à mon boss, tellement je le kiff...
(histoire vraie, à suivre...)
Putedesteph69
Autres histoires de l'auteur : Tellement je kiff mon boss...