Je suis un jeune étudiant de 21 ans sur Rennes.
Cette histoire commence un jour d'hiver où je revenais d'un voyage. En arrivant à la gare, quelqu'un devait m'attendre mais était en retard. Du coup, j'en ai profité pour me balader.
Après avoir gambadé quelques minutes dans la gare, et écouté un de ces pianistes de génies qu'on y trouve de plus en plus souvent, j'ai décidé de sortir.
Dehors, je me suis fait accoster par un de ces jeunes que l'on trouve toujours à l'entrée des gares, et qui font la manche. D'habitude, je pars très vite, mais celui-ci était réellement magnifique. Il était grand, environ 1m80, musclé et son regard était si perçant. Il m'a demandé si j'avais de l'argent et je n'ai rien pu répondre.
Il a cru que je me moquais de lui et a commencé à s'énerver. Je me suis excusé.
Il a alors compris et m'a dit avec un large sourire : "petite pédale, tu me trouves mignon, c'est ça?"
Prenant un air offusqué, je lui ai répondu non, et me suis retourné pour partir ; mais soudain, il me prit la main et la serra si fort que je ne pu m'en aller. Il prit un papier, griffonna son numéro dessus et me le donna en disant : "si tu n'as pas peur, je peux t'éduquer."
Je l'ai regardé longuement et suis parti en vérifiant qu'il ne me suivait pas.
Une fois chez moi, j'avais totalement oublié l'incident. Je me suis fait à manger et j'ai remarqué le numéro de téléphone tombé de mon manteau à côté de l'entrée. Je l'ai ramassé, et j'ai commencé à imaginer les plus folles histoires sur ce numéro.
Je me suis déshabillé et ait commencé à me doigter en pensant à lui. Au bout d'une minute, j'ai arrêté et sans réfléchir, j'ai appelé le mystérieux inconnu qui m'excitait tant.
La sonnerie fut interminable...
D'un coup, il décrocha :
-Allo?
Je restais muet. Toute mon excitation étant retombée.
Je pris mon courage à deux mains et lui dit "c'est moi. Je suis d'accord pour que tu m'éduques."
"Ah c'est toi pétasse!!! Je savais bien que tu me répondrais. Tu es une salope, ça se voit dans tes yeux."
Il m'insultait et je ne répondais rien tant j'étais excité.
"Du coup, viens chez moi. On va bien s'amuser!"
Il me donna son adresse et me lança un petit "prépare ton cul ma salope" avant de raccrocher.
J'ai eu un instant de panique. Je me suis dit que je n'irai pas.
Je me suis mis devant mon pc et ait regardé des vidéos pour penser à autre chose.
Vite fait je tombais sur du porno. Je commençais à me doigter sérieusement quand j'ai reçu un coup de fil.
"Woh tu fous quoi, salope? Je t'attends! Bouge ton cul, merde!"
"Je veux plus venir, désolé. Je suis pas prêt pour ça."
"Tu as plutôt intérêt à venir si tu veux récupérer ton portefeuille."
Et là dessus il raccrocha.
Pris de panique, je me rendis compte que cet enfoiré m'avait piqué mon porte feuille, avec ma carte d'identité, et tous mes papiers.
Je me suis donc décidé à aller à l'adresse qu'il m'avait envoyé.
C'était un bâtiment tout tagué et un peu minable. Je me demandais ce que je faisais là.
Prenant mon courage à deux mains, je suis allé devant son appart et ai sonné.
Il m'ouvrit, vêtu seulement d'un jogging. Ses pectoraux luisaient devant moi et il avait du mal à cacher son érection.
Il se mit alors à gueuler : "salut pétasse!"
Je ne répondis pas.
Il me mit alors un coup de pied dans les parties.
"On répond Bonjour maître!"
"Bonjour ... maître."
"C'est mieux, maintenant déshabille toi."
Je le regardais effaré. Tout le monde pouvait nous voir.
Il attendit un sourire au lèvres. Je commençai donc à me déshabiller et lui passais mes habits.
Une fois que je fus en slip, il me dit "c'est le point de non retour. Tu es prète ma cochonne?"
"Rendez moi mes papiers s'il vous plaît ... maître"
"Oh non, il faut choisir dans la vie!"
J'enlevais alors mon caleçon et lui donnait.
Il se moqua de mon sexe tout ratatiné par la peur. Je rougis.
Soudain du bruit retenti dans l'escalier, paniqué je me retournais et voyait trois mecs super musclés descendre les escaliers en parlant fort. En me voyant ils s'arrétèrent et dire "Ah Thomas, tu as trouvé une nouvelle salope pour nous?"
"On peut en profiter?"
"Attendez les gars, il faut l'éduquer un peu d'abord. Je la prends en main et ensuite on verra."
Ils rigolèrent et le plus grand des trois, un grand noir, me donna une grande claque sur les fesses.
Mon maître m'attira à l'intérieur de son appart et me fit mettre à genoux après avoir fermé la porte.
"Alors petite, comme ça on veut goûter à ma queue?"
"Laissez moi partir, rendez-moi mes vêtements! Je vous donnerai de l'argent si vous voulez!"
Il me donna un grand coup de pied dans le ventre et me prit par les cheveux. Il avait son visage souriant devant moi. Il brillait d'une cruauté malsaine.
"Oh mais tu vas m'en donner de l'argent, tu vas TOUT me donner. Ton éducation a un prix"
Je commençais alors à me débattre. Il me mit à terre une nouvelle fois et me frappa. Je ne pouvais plus bouger après tous ses coups. Il rigolait.
Il ferma la porte à clef, puis prit mes habits et les balança par la fenêtre.
"Allez en piste, ton éducation commence maintenant! Va devant le canapé!"
J'y allais à quatre pattes. Il me suivait et me donnait des fessées sur le chemin.
"Tu vas être ma salope?"
Je voyais qu'il fallait que je réponde oui.
"Alors?" me dit-il en me donnant une fessée qui m'arracha un cri.
"Oui maître!"
"Pourquoi es-tu là?"
"Pour votre bite maître!"
"Mmmm bonne réponse" dit-il en me fessant une nouvelle fois.
Il continua alors à me fesser de plus en plus fort en me posant d'autres questions.
"Comment aimes-tu ma bite?"
"Je l'adore maître"
"Mieux que ça!" cria-t-il
"Je la vénère! Je veux passer ma vie à vous sucer. Votre bite est toute ma vie à partir de maintenant!"
Je ne savais pas ce que je disais, cela venait tout seul.
"Mmmm c'est bien tu apprends vite petite."
Il s'assit sur le canapé et je me mis entre ses genoux.
"Aujourd'hui tu n'auras pas l'honneur de toucher ma bite salope, à moins que tu ne fasses de l'excellent travail. Mais tu vas apprendre à obéir!"
Il me prit la tête et l'approcha de son jogging. Je pouvais sentir sa bite. Il enleva son jogging et découvrit un long pénis d'au moins 20 cm.
"aha tu bandes déjà, tu vois que tu aimes ça salope.
Maintenant retournes toi!"
Il me toucha l'anus puis me caressa le dos. Je commençai à me calmer devant cette gentillesse. Puis il me prit les mains, et les ramena dans mon dos. J'entendis un clic.
Il m'avait menotté!
J'essayais de me relever mais n'y arrivais pas.
Il me prit par les jambes et me tira sur une petite table de salon. Il me posa dessus et m'attacha les pieds aux bouts de la table. Il attacha finalement mes menottes sur l'autre côté de la table.
Il se posa alors juste devant mon visage. La table était basse et mon visage arrivait au niveau de son entrejambe.
Il prit sa bite et l'approcha de mon visage sans me toucher. Mes yeux la suivait du regard, j'étais comme hypnotisé par la volonté de sucer cette queue.
"Demande la!"
"Puis-je sucer votre bite maître?"
"Et non salope!" et il me gifla.
Il se posta à l'entrée de mon cul et me rentra deux doigts directement.
Je ne dis rien par peur de me faire battre.
Puis il commença à poser sa bite à l'entrée de mon trou mais sans rentrer. Cela m'excita très vite.
"Tu la veux, n'est-ce pas?"
"Oui maître"
"Mais tu as été méchante jusque là, il va falloir te faire pardonner, tu sais"
"Comment maître?"
"Et bien, j'aimerais bien ton numéro de carte de crédit et l'accès à tous tes comptes en banque salope."
Je ne dis rien. Il commença à me fesser. "Tu es sur de ne pas vouloir tout dire à papa?"
"Oui!"
Il continua à me fesser tout en me doigtant le cul, puis la bouche. Puis il vint devant moi et posa sa bite sur mon front.
"Alors salope?"
Trop excité, je lui dis tout. Il sourit, puis partit comme si de rien était.
Il revint une demi heure plus tard tout joyeux et me dit "je t'ai emprunté ton argent salope. Tu ne m'en veux pas si je le dépense à ta place tout de même?"
Il vint face à moi et me montra des billets qu'il venait de voler sur mon compte.
Je me mis à pleurer. Il commença alors à me caresser gentiment le dos.
"tschhhh calme toi. Tout va bien se passer."
Il commença à me doigter. je ressentis bientôt le plaisir revenir.
"Tu veux ma bite dans ton cul?"
"Oui maître"
"Tu pense la mériter?"
"Non maître, mais je la veux!"
"Alors je vais tout de même te donner une récompense."
Il partit ouvrir un placard et en ressortit une caméra et un gode. Il positionna la caméra sur le côté et commença à me toucher le cul avec le gode.
"Tu le veux, hein?"
"Mouiiii"
"ON DIT OUI MAÎTRE! BORDEL!" répondit-il et il m'enfonça d'un coup tout le gode dans le cul.
Je poussais un cri et me remis à pleurer.
Il s'approcha de moi et me dit "ouvre la bouche!"
Il posa sa bite sur ma langue puis la laissa grandir. Je sentais son membre me bloquer la respiration ; en plus il la poussait de plus en plus loin.
Quand sa bite fut à sa taille maximale, il dit "prends tout connasse! C'est ton baptême de salope!" et il se mit à pisser. Je ne pouvais qu'avaler. J'avais envie de vomir. Il rigolait.
Une fois que cela fut fini, il partit se coucher et me laissa comme ça, attaché à une table avec un gode qui me déchirait le cul.
Adilope
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