18 ans, 1 m80, plutôt sportif, une gueule d'ange très masculine avec une barbe naissante et des lèvres charnues et sensuelles... ( une bouche à bites...) Je suis en terminale littéraire.
Je m'appelle Quentin. Dans ma classe, il y a cinq garçons et 25 filles. Le rêve pour des hétéros mais pas pour moi.
Je sais depuis longtemps que je suis gay.
Je suis encore puceau et les hormones me démangent grave.
Je reluque mes collègues de classe et a vrai dire deux d'entre eux sont plutôt canons. Ils ont déjà leur meuf et se donnent souvent en spectacle histoire de bien faire comprendre aux autres qu'ils sont des hommes, eux.
Je me suis déjà fait griller en les matant en cours et il m'ont chopé à la sortie du lycée: " tafiole tu nous mattes encore une seule fois et on te démolit, sale dépé. " Depuis, je fais gaffe: ils sont super baraques et je n'ai pas envie de morfler: je me fais tout petit et je suis d'une discrétion absolue. Surtout pas de vague: je veux terminer mon année et avoir mon bac. La routine s'installe. Alors que je suis en philo en train de rêvasser en reluquant le prof qui est très à mon goût, je sens mon portable qui vibre dans ma poche. Discrètement je regarde: SMS: " Je vais te la mettre jusqu'à la garde." Je suis très perturbé et demande à sortir.
Je me précipite aux chiottes et m'enferme dans une cabine, m'assois sur la cuvette et relis le message. Impossible de savoir qui l'a envoyé. En même temps, je suis tellement en manque que je me mets à bander.
Je décide de m'astiquer le dard, histoire de faire baisser la pression.
Je commence à masser mon beau chibre: je suis plutôt bien monte: 19x5. En regardant la porte, je m'aperçois qu'il y a une colonne de nombre qui coure depuis le haut : 16, 15, 18, 15, 14, 19, 24, 16 ... etc ...
Je devine que les visiteurs de cette cabine consignent la taille de leur queue sur la porte. Ça m'excite et je m'astique le manche jusqu'a que je crache la purée: une vrai délivrance...Calmé, je me dis que je vais inscrire sur la porte la taille ce mon barreau. C'est chose faite et je ne peux m'empêcher d'ajouter à côté du nombre 24 une remarque: " vantard ! Pauvre mytho !".
Je rejoins le cours et la fin de la journée se passe sans encombre. Le lendemain, rien de particulier. Le surlendemain, à nouveau en cours de philo, mon portable vibre dans ma poche. Cette fois ci je demande à sortir avant de regarder le message.
Je rejoins la même cabine que l'avant veille dans les chiottes.
Je m'y enferme et lit le nouveau message: " je ne suis pas un mytho et tu les auras dans le fion bien profond mes 24 cm" nouvelle bouffée de chaleur, excitation immédiate et bonne barre dans le boxer. Toujours pas moyen de connaitre l'expéditeur. Même si j'ai une trique d'enfer, je rejoins le cours sans me soulager. En rentrant je vois Max, un des deux beaux gosses qui ont failli me casser la gueule, reluquer mon barreau qui se voit à travers mon jean: regard noir et méchant. Et merde, je vais avoir des ennuis... En fait rien. Le cours de philo suivant, nouveau message que je lis discrètement en classe sans sortir cette fois-ci: " je vais bien te ramoner la gorge". Cours de philo suivant avec à chaque fois un nouveau message: " je vais te défoncer la chatte" " tu vas devenir un garage à bite" " tu seras mon vide couilles" etc... Toujours pas moyen de savoir. Ça me perturbe grave et je me branle plusieurs fois par jour en relisant tous les messages. Et puis j'en viens à ajouter sur la porte des chiottes à côté de mon précédent message: " que de la gueule! Tu portes pas tes couilles !" Je me surprends moi même à écrire ce genre de truc mais au fond de moi, j'espère bien faire réagir le propriétaire de la queue de 24 cm : j'arrête pas de fantasmer et j'en peux plus: si je pouvais, je me ferai tringler par n'importe quel bouffon de passage ! Pourtant les jours suivant pas de réaction et plus de messages: et merde, c'était vraiment un mytho, quel con ! A l'excitation, succède la colère.
Je rentre chez moi à pied du lycée en bougonnant et suis d'une humeur de chien.
Je croise Max et son pote Julien.
J'essaie de me faire tout petit mais Max a la tête des mauvais jours: il me toise et me lance: suis nous tafiole, on a à te parler.
Je crains le pire, refuse mais Julien me saute dessus, me fais une clef dans le dos: il me fait mal le con. Tu obéis petit vicelard ou tu vas morfler.
Je cède et je les suis.
Je ne sais pas ou ils m'emmènent mais j'adore les regarder. Ils sont puissants: cuisses musclées, petits culs d'enfer, pecs dessinés, épaules carrées, gueules viriles et sourires de braise entre eux. Et côté paquets, on a envie de voir ce qui se laisse deviner à travers leurs jeans.
Je me dis aussi que je n'ai pas affaire à mon expéditeur de textos qui semble être un mec seul. Max et Julien en plus sont des hétéros chasseurs de meufs à niquer. On marche pendant une vingtaine de minutes en silence. On arrive chez Julien: une belle maison dans un vaste jardin: pas mal. Une fois entrés, direction le sous sol.
Je m'étais détendu pendant le trajet, très occupé à mater mes deux beaux mâles mais là d'un coup, la température monte à nouveau.
Je commence à me dire que j'ai eu tort de les suivre. On entre dans une vaste pièce qui est en fait une salle de sport privée: tatami au centre, canapés et fauteuil dans un coin détente, machines et bancs de musculation. Au fond une porte qui mène à une salle de douche à l'Italienne et à un espace pour se changer. Il me donne l'ordre de les attendre en me faisant assoir dans le canapé du coin détente: moelleux et accueillant, parfait. Ils disparaissent et reviennent quelques instants plus tard vêtus de kimonos. Ils m'ignorent et foncent vers le centre du tatami. Ils engagent le combat et y vont bravement: l'affrontement est très viril.
Je me dis qu'il faut vraiment pas les faire chier ces deux là.
Je me demande toujours ce qu'ils me veulent. Les prises se succèdent mais aucun n'arrive à emporter le combat. Ils sont magnifiques: je reluque la moindre partie de leurs corps qui se découvre quand les kimonos le permettent. Soudain Max surprend Julien par une cisaille, le retourne comme une crêpe et lui plaque les épaules au sol en pesant de tout son poids. Julien vient de perdre. Max se relève et avec un demi-sourire narquois et vicelard s'adresse à moi: viens là tafiole.
Je m'exécute et les rejoins sur le tatami. Et là Max déclare: je viens de te gagner tafiole, c'est moi qui vais te sauter en premier. Mets toi à poil.
Je reçois dans la foulée une bonne tarte: ça c'est pour m'avoir traité de mytho. Quant à mes couilles, tu vas voir que je les porte et tu vas bien me les vider. J'hallucine; Max Pd. Lui le mâle qui a la réputation de sauter toutes les filles.
Je me dessappe non sans sentir mon entrejambe prendre de l'ampleur. Soudain Julien qui s'est relevé passe derrière moi et m'appuie sur les épaules : je me retrouve à genoux devant Max qui enlève son Kimono. Et là je crois que je n'ai jamais été aussi impressionné : un sexe hors norme qui me paraît immense à côté du mien. Droit, dur, un gland conquérant et à la mesure de la bite qu'il coiffe. Une paire de couilles qui doit faire le double des miennes. Et ce n'est pas tout : cuisses poilues, musclées, épaisses, superbement dessinées. Des abdos dessinés, un trait de poils rejoignant le pubis en s'épaississant. Tout chez Max sent le mâle.
Je me sens terriblement femelle à genoux devant lui.
Je rêvasse devant un tel canon mais Max me ramène à la réalité : " Suce ! " Il me présente son énorme chibre et j'ouvre la bouche. Il pousse lentement mais implacablement : haut le coeur garanti, retrait du manche et réintroduction, même effet mais j'ai l'impression qu'il m'en a mis plus.
Je m'habitue petit à petit. Max fait maintenant de bons mouvements de va et vient tout en profondeur. Il me démonte la tronche d'une manière terriblement virile : puissance, tranquillité, plaisir.
Je bande comme un fou et j'ai l'impression d'avoir la bouche distendue. J'adore... Il parle avec Julien en m'ignorant : " On va en faire une méga bonne suceuse... Il aime et pour une première fois, il encaisse bien ! " Julien me tiens désormais la tête pour s'en servir pour branler la bite de son pote. J'en bave au propre et au figuré mais je m'accroche et je prends un pied terrible. De temps en temps, Max se retire de ma bouche et me biffle : c'est là que je me suis rendu compte de la dureté d'une bite tendue... et avec le braquemard de Max, j'ai été bien bifflé - ☺ . Max m'ordonne de sucer Julien en me mettant à quatre pattes, la tête entre ses cuisses. Tous les deux ont le regard halluciné par le désir. Putain, ils ont faim les keums. Pendant que je suce Julien, Max se met à me lécher le cul : nouvelle découverte très sympa. De temps en temps une bonne claque et une main qui empoigne mon petit cul. La bite de Julien coulisse tranquillement dans ma bouche.
Je masse son manche avec ma langue. En fait par rapport à Max, je me repose... Julien est monté " normal ".
Je sens un liquide froid qui coule dans ma raie.
Je comprends que Max me graisse le fion. Il me met un doigt. Par réflexe je me tends. Julien en profite pour me faire une gorge profonde. Du coup, je n'ai plus mal au cul parce que je suis occupé à ne pas déglutir pour donner satisfaction à Julien qui gémit de plaisir en m'enfournant sa queue complètement, couilles sur le menton. Max me détend la rosette en faisant tourner son doigt. Il en met un deuxième. Pendant ce temps, Julien s'excite bien en me limant la bouche profondément et de plus en plus énergiquement. Max se relève et se place derrière moi, les jambes à demi pliées de chaque côté de mon cul. J'ai déjà mater cette position dans les films de boule : je kiffe et je sais que çà va être profond... Il présente son gland, pousse et me la met jusqu'à la garde d'une traite avec une puissance qui laisse augurer des coups de boutoir qui vont suivre.
Je ne peux pas gueuler parce que j'ai la bouche pleine avec la queue de Julien qui continue de bien me ramoner la tronche. Max se penche, me mordille l'oreille, me souffle d'une voix très masculine : " tu vois quand je te disais que j'allais te la mettre profond... " Il en profite pour rouler une pelle à Julien. Il se redresse et commence à me bourrer lentement avec des mouvements amples pour que je profite de toute la longueur de son énorme braquemard. A chaque mouvement je sens ses énormes couilles contre mon fion. Il y va de plus en plus fort si bien que Julien ne bouge plus : les coups de reins puissants de Max suffisent à ce que je lime moi même sa queue. " Alors, tafiole, je porte bien mes couilles hein ? ".
Je veux éjecter la queue de Julien de ma bouche pour répondre : je suis pas encore une lope ! Julien me passe la main derrière la nuque pour m'en empêcher et en gorge profonde, je sens son chibre se tendre et ses jets de sperme m'inonder le fond de gorge : je suis obligé d'avaler. Max se lâche dans mon cul et éjacule dans un râle de mâle comblé.
Je jouis en même temps sans me toucher : çà aussi je ne savais pas que ça pouvait arriver. Julien et Max me relève et me font plein de bisous. Tout à coup calins et doux ils me sourient avec une tendresse évidente. " Quentin, on t'adore, tu es canon et on a kiffé grave ... comme toi visiblement ... ". En réponse je leur ai roulé une bonne pelle à tous les deux avec tripatouillage de langues. " Tu sais, on a encore des tas de choses à te montrer et si tu veux bien devenir notre Keum à nous deux, on va bien s'occuper de toi ! On te dosera plusieurs fois par jour... Et petite cerise sur le gâteau, le prof de philo que tu mates, c'est l'oncle de Julien et tu es ici chez lui... "
A suivre, merci pour vos commentaires positifs ou négatifs et aussi pour vos idées pour que j'invente la suite de cette histoire qui n'est que fiction, quoique... il y a une part de vérité... Bises à tous et j'espère que je vous ai bien fait kiffé.
Stéphtitof
stephtitof@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Les jumeaux en coloc
Enculé à fond | Les deux frangins | La meuf de Karim | Dépucelage d'un lycéen