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Après la discorde
Je suis très amoureux de mon homme. A la folie. Quelques histoires de la vie sont écrites ici. Quatre années de couple, sur douze de dépression enfouie. Mon homme m'a trouvé en 2009, torturé, mutilé, le coeur en morceaux. La dernière personne aimée avait été ma mère, qui m'a abandonné, donc je vous laisse imager l'état dans lequel mon homme m'a récupéré. Il m'a appris l'amour, la vie. J'ai mis 4 ans à saisir cet apprentissage.
Octobre 2013. Après 4 ans, durs à vivre pour mon homme, il m'a mis la claque de ma vie, il est parti ... Deux semaines plus tard. Jeudi après-midi, il passe à la maison récupérer quelques affaires. Cédrick, 25 ans 1m85 80 kg d'un corps magnifique. Des cheveux chatains clair, fins et doux, des yeux foncés, bref je l'aime quoi ! Nous sommes tous les deux assis autour de la table, émus devant ce moment. Une larme pointe sur ma joue, je ne m'attendais à aucune réaction, aucun réconfort de la part de mon homme. Il ne désirait pas me pardonner et c'était net.
Je garde la tête dans mes mains, pour éviter de trop craquer face à lui quand il pose délicatement sa main gauche sur mon coude. Je suis stupéfait mais ne réagis pas, de peur de me faire des idées. Et là, il se lève, me dit viens là, et me tend les bras. Je me blottis doucement dans ses bras et l'enlace, profite de cet instant hors du temps. Plus de deux semaines, sans le toucher, sans le sentir près de moi. J'étais là, au paradis ! Je glisse ma tête sur son épaule, dans le creu de son cou et je respire à fond. Le vide dans ma tête, je ne réfléchis pas, je tends mes lèvres et colle un doux et léger baiser dans le cou de mon homme, mes bras autour de sa taille.
- Tu en profites un peu, me glisse-t-il dans un petit sourire.
Je le connais par coeur. Nos corps sont collés de haut en bas et je sens au niveau de ma queue bien raide evidemment, une bosse qui commence à se former. J'y crois pas, il se met à bander ! Alors je lui réponds :
- Toi aussi, apparemment.
Il fait mine de ne pas comprendre, je lui sussurre à l'oreille "tu bandes" en posant mon index sur son paquet coincé sous son jean. Il me repousse et s'éloigne un peu. Je tente de lui parler un peu, pour l'adoucir, il bouge et pose ses fesses magnifiques sur l'accoudoir du canapé en écartant largement les jambes exhibant sa bosse bien formée. Je m'approche de lui, pose ma main sur sa queue en ayant peur, peur du rejet. Je vais pour l'embrasser mais il me fout un vent magistral en décalant son visage. Il se lève à nouveau, s'agite encore un peu et se dirige vers notre chambre. J'hésite à le suivre, j'hésite ...
Je me décide à le rejoindre et le retrouve dans la même position posé sur son bureau. Pour la troisième fois, je pose ma main sur lui, j'hésite à aller plus loin, j'y vais à pas de loup et commence à le caresser doucement. Ma main touche sa ceinture en cuir, et je la déboucle. Je défais les boutons de son jean et glisse ma main devant son boxer Calvin Klein noir que je ne connaissais pas ! Merveilleux !
- Qu'est-ce que tu fais me dit-il.
- Ce que tu as envie que je fasse, lui répondis-je la peur au ventre.
Il ne bouge pas, les bras le long du corps, et me laisse baisser son si beau boxer. Je pointe le bout de ma langue et commence à lui lécher la queue. Je me sens revivre, l'odeur de sa queue, son gout, que ça m'avait manqué ! Je prends en bouche sa queue, je le suce avec avidité, avec envie. Je lèche sa verge de tout son long, insiste sur son gland, je le branle en même temps. Il ne réagit pas, un léger gémissement à peine. Je fais glisser son pantalon et son boxer à ses chevilles et le pousse tendrement sur notre lit. Il s'étale de tout son long, laissant apparaitre sa queue raide. Je le chevauche, tente de l'embrasser, mais me reprends un zef. Alors je me contente de lui caresser le torse sous son gilet, et je reprends ma suce. Je fais glisser sa queue jusqu'au fond de ma gorge, que je sente son gland bien au fond.
Il ne bouge pas, verse une larme me demandant pourquoi je fais ça. Je ne lui réponds pas, et continue à le sucer. Je prends le gel et lui en dépose quelques gouttes sur le gland. Je tiens sa queue à sa base, très dure, dépose ma rondelle non préparée dessus. Je le regarde, il fuit. Je m'empale doucement sur sa queue énorme. Je ne l'ai jamais mesurée, mais elle doit faire au moins 20 cm. Je descends mes fesses jusqu'à ses hanches. Son gland touche mon profond. Je ne veux pas le brusquer, je fais des va et viens doux, tendre, en le caressant. Je m'arrête. Il me regarde d'un air étonné. Je lui glisse à l'oreille "défonce moi, comme tu sais bien le faire, défonce moi putain !"
Il se lève violemment et commence à vouloir enlever son jean, mais n'y parviens pas. Je me mets à ses pieds et lui enlève ses chaussures, elles sont très serrées. Le temps que je passe à la seconde, il a perdu patience, une cheville dans le jean, l'autre nue, il me prend par les hanches et me rentre sa queue d'un coup. Je suis à 4 pattes sur le bout du lit, lui débout derrière moi. Il me défonce, il lâche des râles puissants. Il fais glisser sa queue à coup de hanches pendant un long moment, avant de me lever et de me mettre face au mur. Debout derrière moi, il me met de grands coups de reins. Il est en sueur, il est trempé. Je le guide vers le lit, me met sur le dos et lui rentre à nouveau sa queue. Il est en larmes devant moi. Il se déchaine, me défonce. Ma bite est tendue à son paroxysme, je ne la touche même pas. Dans un râle extrême, il jouit, il déverse tout son sperme en moi. Je sens les spasmes de son corps, de sa queue dans mon cul et la chaleur de sa semence au fond de mon ventre. Je suis en extase.
Il s'en ira comme ça ...
KiLove
Autres histoires de l'auteur : Colocation | L'amour d'une vie