J'avais 20 ans quand l'aventure qui suit m'est arrivée. J'ai maintenant près de soixante ans.
Mon père et ses amis avaient décidé d'aider une école au Maroc et donc de récolter des fonds et du matériel pédagogique pour cette école située dans l'Atlas.
Il allait ensuite transporter le matériel et pour cela un voisin prêtait une camionnette qui fut rapidement remplie de tableaux, tables, chaises, panneaux muraux, caisses de livres, etc.
Un convoi fut organisé. Deux voitures et la camionnette prirent la route vers le Maroc. Les deux voitures plus rapides foncèrent à travers la France, l'Espagne et enfin le Maroc. La camionnette roulait moins vite et les voitures allèrent plus vite sans attendre la camionnette dans laquelle j'étais avec Bruno, un homme grand et lourd d'une bonne cinquantaine d'années. Nous faisions étapes dans des campings. Une petite tente avec deux matelas en mousse pour dormir. Il y a quarante ans c'était une expédition !
On ne se connaissait pas et dès le départ ce fut le silence. On regardait la route, on commentait le paysage. Puis Bruno me demanda mon âge, ce que j'aimais dans la vie, le sport, le cinéma, etc. puis les filles. Il demanda si j'avais une fiancée, non pas de fiancée. Il rigola en disant que ça l'étonna. Plus il me dit que lui à quinze ans les filles ça lui faisait très envie. Il raconta ensuite ses premiers baisers et ses premiers plaisirs. Les filles aussi ça aiment les câlins. Et il ajouta qu'il se branlait parfois plus de trois fois par jour. Ça devenait intime et j'ai rougi.
" Ça te gène, me dit-il. Tu ne te branles jamais ? Oh !! Tous les garçons de ton âge se branlent ! "
J'ai eu du mal à répondre que ça ne m'intéressait pas trop et Bruno a éclaté de rire et m'a tapé sur la cuisse, en disant : " je ne te crois pas ! ".
Puis nous sommes arrivés au premier camping dans le sud de la France, pas loin de Perpignan. La petite tente montée, nous avons disposé les deux matelas et nous sommes allés à la douche. Il faisait très chaud, la canicule. On s'est déshabillés chacun dans une cabine. Après un repas court, nous sommes allés nous coucher car on devait repartir très tôt. Passant devant la boutique, Bruno est entré acheter des revues.
Dans la tente, on s'est déshabillés et on est restés en slip et on s'est allongés. Bruno m'a tendu une revue achetée. Des femmes nues, de plus en plus provocantes en photos, jambes écartées, sexe ouvert, parfois largement offert au lecteur voyeur. J'étais surpris et cependant excité par ces images très suggestives. J'ai tout regardé en silence. Je bandais fort. Je me suis tourné pour que cela ne se voie pas. La nuit est tombée et je me suis endormi. J'ai été réveillé par le contact d'une main de Bruno sur ma cuisse droite. J'ai aussi senti la pression du corps de Bruno contre mon corps, mes fesses. J'ai senti la dureté de son sexe gonflé. Sa main a caressé ma cuisse puis mon ventre. J'étais couché sur le côté gauche et Bruno a passé son bras sous mon épaule et m'a serré contre lui. Je ne pouvais plus bouger. Et son autre main est passée sous mon slip et a saisi ma queue qui était toujours dure. Sans un seul mot il s'est mis à me branler. Bruno me serrait fortement contre lui. Je sentais son souffle dans mon cou. Et j'ai senti monter en moi cette pression de l'envie de jouir. Et j'ai juté fort, puissamment et longuement. J'ai poussé des grognements de plaisir comme un animal en rut. Je tremblais de partout et Bruno me maintenait contre lui. Je ne pouvais rien faire d'autre que de jouir. Je me suis vidé dans mon slip. Bruno m'a lâché et s'est retourné, sans un mot. Je me suis levé pour me laver. Je me suis couché nu. Au matin suivant, Bruno m'a réveillé. Et à nouveau sans rien me dire, m'a caressé la cuisse puis le ventre et il m'a branlé une nouvelle fois et j'ai encore juté ! Là j'étais crevé, fatigué et me suis presque endormi après ce gros plaisir. Bruno a pris sa douche, s'est habillé et est parti déjeuner. Je l'ai suivi et nous avons passé la journée côte à côte à faire des tas de commentaires comme rien ne s'était passé. Et le soir suivant puis le matin suivant, toujours sans me dire un mot, il m'a branlé, branlé et encore branlé. J'attendais maintenant ces moments où il me faisait jouir. Et il s'endormait après où partait prendre le petit déjeuner.
Cela a duré le temps du voyage. Ce fut génial. Il ne parlait pas de ces moments. Un soir il est venu lécher mon sperme. Il y en avait toujours un paquet. Il a aimé !
Pierre1
SDF | Se faire branler par un ami âgé