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Sébastien

J'ai passé mes fêtes de Noël chez ma mère. Je suis parti de chez moi le treize décembre et je savais très bien que j'allais passer d'excellents moments en sa compagnie. Aux alentours d'une date précise, le vingt décembre, un évènement venait sans cesse dans sa bouche : elle devait se rendre chez sa meilleure amie pour fêter l'anniversaire d'un des fils de cette dernière. Comme je le connaissais un peu et que c'est le garçon que j'apprécie le plus par rapport à ses frères, je voulais moi aussi venir pour lui offrir un cadeau. Ignorant si je pouvais vivre ce moment, ma mère se donna la peine de contacter son amie pour savoir si j'avais l'autorisation de venir. Quelques minutes plus tard, je marchais dans la rue aux côtés de celle qui m'a mis au monde afin de nous rendre à cette fameuse fête.

Dès que nous franchissons le seuil d'entrée de la maison, je vis le garçon dont c'était l'anniversaire nous accueillir et comme d'habitude, je le trouvais particulièrement mignon. Sébastien était sur le point de fêter ses vingt ans et contrairement à ses deux grands frères, il était fortement poli et bien élevé. Pour donner une description du garçon en question, commençons par son mètre soixante-quinze. Il est svelte, sa peau est blanche tandis que ses cheveux sont châtains et ses yeux, marrons. Un percing en forme de pointe métallisée se présente à son arcade gauche et Sébastien est très réputé pour être un parfait petit fêtard.

D'habitude, ce genre de garçon me laisse totalement indifférent mais lui, je ne sais pas. Sa façon d'être et sa gentillesse ne me laissent guère insensible et c'est peut-être pour cette raison que mon intérêt s'est vite porté sur lui. Néanmoins, je ne lui ai jamais démontré qu'il avait toutes ses chances avec moi et puis bon, pourquoi s'accrocher à un hétérosexuel sachant que rien ne se fera de toute manière. De plus, si ma mère devait apprendre que je me suis amusé à m'envoyer en l'air avec l'un des fils de sa meilleure amie, je pense que j'aurais eu droit à toutes les remontrances inimaginables venant de sa part. Dans un sens, je n'aurais pu lui en vouloir.

Une fois que nous entrons dans la salle à manger, pièce dans laquelle allait se dérouler la fête, je saluais la mère de Sébastien ainsi que sa petite soeur et me garda bien de saluer ses deux crétins de frangins dont l'hypocrisie me donnait envie de gerber. N'aimant pas les gays, ils se moquaient de moi dès qu'ils le pouvaient tout en tentant de se montrer discret. Ayant l'oreille fine, j'ai perçu bon nombre de leur moquerie jusqu'au jour où j'ai décidé de l'offrir et forcement, les deux faux culs m'ont offert un spectacle de leur art qui ne m'avait guère étonné. Ce jour là, Sébastien était présent et leur avait tout de même demandé de cesser leur comportement puéril, ce qui prouvait que mon imagination ne me jouait pas de tours. Une fois que les politesses furent échangées, on pouvait passer à la fête.

Aussitôt, on me proposa un verre tandis que les personnes posèrent leur cadeau sur une table prévue à cet effet. Ensuite, lorsque la musique fut lancée, la mère de Sébastien se rendit très vite dans la cuisine pour aller chercher le gâteau de cuisine tandis qu'on était plusieurs à piocher dans les gâteaux apéritifs qui étaient mis à notre disposition. Dès que la femme fut de retour, j'en étais déjà à mon deuxième verre et son fils que je matais discrètement par moment n'en était pas en reste. Si je continuai avec ce rythme, j'étais sûr que je serais bourré en moins de deux, surtout que j'adore faire des mélanges, idéal pour se retrouver dans un état second, ce que j'apprécie énormément. Une fois le gâteau sur la table, Sébastien reçu l'autorisation des cadeaux et il ne tarda pas à déchirer le premier paquet.

Des remerciements fusèrent au fur et à mesure que les présents étaient déballés et lorsqu'il arriva au mien, un coffret de produit playboy, il me remercia tout en me souriant, ce qui me fit grandement plaisir. Dès que le garçon prit connaissance de l'ensemble de ses cadeaux, nous dégustons le gâteau, un fraisier, et nous continuons à boire tout en dansant pour les plus courageux. Etant pudique, je me mis dans un coin pour regarder les gens s'amuser tout en veillant à vider mon verre que je remplissais très vite. Quelques secondes plus tard, je me rendis compte que l'environnement dans lequel je me trouvais tournait un peu trop à mon goût. Aussitôt, je traversai le salon pour sortir dans la cour arrière histoire de me griller une clope.
Dès que la porte se referma derrière moi, je me pose sur la première marche de l'escalier, sort mon paquet, en tire une cigarette que je porte rapidement à ma bouche et peu après, voilà que je tire ma première latte. Tandis que la fumée se dispersa avec le vent frais qui soufflait cette nuit, j'entendis la porte s'ouvrir dans mon dos mais je ne jugeais pas utile de me retourner pour savoir qui c'était.
- Tu es malade de sortir avec ce froid !

Une personne s'installe à mes côtés et au son de savoir, je l'a reconnu de suite : mon petit Sébastien.
- J'aime bien le froid.
- Vraiment ?

Je ne voyais pas l'utilité de répondre à cette question mais c'est gentiment que je lui tendis mon paquet de cigarettes. Il accepta volontiers mon invitation et dès qu'une tige de tabac se trouvait entre ses doigts, je lui passe mon briquet pour qu'il puisse l'allumer. Aussitôt la première latte lâchée, le garçon se lança dans une conversation.
- Merci pour ton cadeau d'anniversaire.
- De rien. Tu t'amuses bien au moins ?
- Ouais mais cela me fait chier de passer ce moment en célibataire.
- Ne t'inquiète pas Sébastien. Gentil et mignon comme tu es, je ne pense pas que tu le resteras bien longtemps.
- Tu crois ?
- J'en suis persuadé.

Comme à son habitude, Sébastien me fit un joli sourire qui me fit fondre. S'il était mon petit ami, je ne me serais pas privé pour l'embrasser à ce moment précis mais bon, il sait déjà que je le trouve mignon. D'ailleurs, je suis bien content qu'il n'est pas relevé ce détail car j'ignore si j'aurais eu le courage de lui dire que je le trouvais à mon goût. Alors que les inspirations sur nos clopes allaient bon train, Sébastien se lança dans une nouvelle conversation.
- Tu es gay ?
- Vu les discrétions de tes frangins, je pensais que tu l'aurais compris avec le temps.
- Et tu me trouves comment ?
- Sympa.
- Je ne te parlais pas de mon caractère, me dit-il en rigolant.
- Si tu parles de ton physique, tu es très mignon.
- Cool. Si un jour, j'ai envie d'essayer avec un garçon, tu crois que je pourrais le faire avec toi ?

Je ne m'attendais pas du tout à cette question mais comme nous sommes bourrés tous les deux, je pense que l'alcool doit nous aider à nous décoincer un peu. Encore heureux que ses frangins ne sont pas là car je ne pense pas qu'il aurait pu se permettre ce genre de conversation. Puisque nous sommes isolés des personnes qui poursuivent la fête à l'intérieur, je me dois de lui répondre.
- Si tu veux et je serais content de t'avoir comme partenaire. De plus, si tu veux que ta discrétion soit respectée, sache que j'y veillerais.
- C'est gentil et lorsque je me sentirais prêt, je te le ferais savoir.

Et c'est toujours avec un sourire qu'il me répondit. Cependant, malgré la réponse qu'il venait de me fournir, je n'étais pas dupe sur le fait que cela ne se produira jamais et cette éventualité me faisait un peu chier. Sébastien me plaît beaucoup et j'aurais bien aimé qu'on se planque dans un endroit de la ville pour que je puisse m'amuser un peu avec lui. Alors que nos cigarettes touchent à leur fin, nous tirons notre dernière latte et balançons nos mégots dans un petit pot de terre prévu à cet effet. Ensuite, nous nous levons de notre marche et retournons à l'intérieur.

Dès que j'entre dans la salle à manger, je constate l'absence de ma mère et je me dis qu'elle est sûrement partie se soulager au petit coin. Cette femme est comme moi, dès qu'il suffit de lever un peu le coude, elle n'est jamais la dernière et c'est pour cette raison que nous passons d'excellentes soirées à deux car nous n'avons pas besoin de grand-chose pour être dans l'ambiance. Alors que les minutes s'écoulent à bon rythme, ma mère ne fait pas son retour et je m'inquiète un peu. Comme elle est diabétique, je redoute qu'il lui soit arrivé quelque chose et que personne ne s'en soit rendu compte à cause de la fête. Ni une ni deux, je m'approche de son amie pour savoir où est passée ma mère.

Là, elle me répond tranquillement qu'elle est rentrée à la maison, sans moi. Sympa la mère, elle aurait pu m'attendre au lieu de me laisser tout seul au milieu de ces gens dont je ne connais même pas la moitié. Du coup, je m'excuse auprès de mon hôtesse en lui disant que je vais rentrer à mon tour. Elle ne se montre pas froissée du tout et lorsque j'arrive devant la porte d'entrée, une ombre se glisse dans mon dos.
- Attends, je vais te raccompagner.

Je me retourne et vois que la personne qui est venu derrière moi n'est autre que Sébastien. Suite à ce qu'il vient de me dire, je lui retourne les mots suivants :
- Je connais la route.
- Je n'en doute pas mais on pourra continuer à parler de ce que tu sais, si tu es d'accord.

Me dit-il à voix basse tout en me faisant un clin d'oeil. N'y voyant aucun inconvénient à ce moment, j'accepte volontiers sa proposition et c'est en sa compagnie que je fais le chemin du retour. Alors que je me rends compte que les rues sont désertes puisqu'aucune voiture ne vient à notre rencontre, Sébastien ne tarde pas à relancer le sujet.
- Tu me ferais quoi le jour où je serais partant ?
- Ce que tu veux. Généralement, je suis un amant très attentif aux besoins de mon partenaire donc, si tu sais déjà ce que tu voudrais que je te fasse, n'hésite pas.
- Entendu. J'aurais le droit de t'embrasser ?
- Bien sûr.
- Cool. Rien que d'en parler, je me sens déjà prêt à le faire.
- Vraiment ?
- Ouais. Tu connais un endroit tranquille ?
- Je te signale que je n'habite pas ici.
- C'est vrai.

Soudain, je me souviens que sur le chemin qui mène à la résidence de ma mère se trouve un petit arrêt de bus plutôt imposant. C'est une large construction en pierre qui fait plus penser à un petit bureau plutôt qu'à un arrêt. Néanmoins, la structure ne compte aucune fenêtre mais deux bancs en bois. Le premier se trouve devant tandis que le deuxième se trouve derrière alors qu'aucune route ne passe devant. En guise d'environnement, de nombreux jardins privés le bordent et je ne pense pas que des gens y trainent encore, vu l'heure qu'il se fait. Là, la question qui demeure dans mon esprit est de savoir si Sébastien est un garçon courageux.
- Veux-tu qu'on le fasse dehors ?
- Pourquoi pas et puis je n'aurais aucune raison de craindre le froid puisque je sais que tu me réchaufferas très vite.
- Dans ce cas, suis-moi !

Sans accélérer notre cadence, nous approchons du fameux arrêt de bus. Cela m'embête de le faire dehors même si je sais que personne ne nous dérangera à cette heure mais bon, pour avoir un garçon qui me fait envie, je ne suis pas du genre à reculer devant la moindre difficulté. Lorsqu'on se glisse derrière la structure en bêton, je m'installe sur le banc en bois lorsque Sébastien se poste en face de moi et se penche légèrement en avant pour me rouler une pelle. Je ne m'attendais pas à ce qu'il se montre aussi audacieux mais comme nous sommes encore sous l'effet de l'alcool, je pense que celui-ci l'a beaucoup aidé à se comporter de cette façon. Même si sa bouche sent un mélange qui aurait pu passer pour désagréable, sentir sa langue jouer avec la mienne m'émoustille énormément.

Même s'il est novice dans les expériences entre garçons, je dois avouer qu'il s'en tire pas mal pour ce premier contact et je sais déjà que je risque d'être demandeur. Lorsque Sébastien se retire, il me regarde droit dans les yeux même si la pénombre ne m'aide pas à distinguer jusqu'à la couleur de ces derniers et c'est lors de notre contemplation réciproque qu'il me fait part de son premier avis.
- J'adore.
- Dans ce cas, continue.

Et le garçon ne se fait pas prier. Mieux encore, il se pose sur moi en prenant soin de placer ses jambes sur chaque côté des miennes. Ainsi, je peux lui caresser l'entrejambe si cela me chante et comme il porte un survêtement, la tentative sera plutôt aisée. Pour la seconde fois de la soirée, Sébastien m'embrasse langoureusement. Je ferme les yeux pour apprécier ce délicieux instant mais voilà que ma mauvaise manie de caresser les fesses me démange. J'ignore si mon compagnon serait partant pour une telle manoeuvre mais pour l'heure, je vais me garder de lui demander.
Peu après, Seb éloigne ses lèvres des miennes et me pose une question.
- Donc, tu es d'accord pour me faire tout ce que je veux ?
- Ouais.
- Dans ce cas, j'aimerai que tu me suces.
- Pas de soucis.

Aussitôt, Sébastien se relève complètement afin que son bassin se retrouve à la hauteur de mon visage et là, je pose mes mains sur son entrejambe afin de connaître son état. Lorsque mes doigts entrent en contact avec une très belle bosse, je sais désormais que mon partenaire a hâte de passer à la suite. Sans trop tarder, j'attrape l'élastique de son survêtement et tire légèrement dessous pour le faire passer sous son sous-vêtement, histoire qu'il ne soit pas gêné. Ensuite, je renouvelle l'action avec son caleçon et dès que sa verge est à l'air libre, je m'en empare pour la masturber doucement. En tout cas, Sébastien est très bien membré et je regrette de ne pas l'avoir comme petit ami.
Toutefois, il serait idiot de ma part de nourrir un quelconque regret puisque je peux profiter de lui en tant que partenaire sexuelle. A de nombreuses fois, je m'amuse à lui décalotter son gland lors de ma masturbation mais comme ma faim se fait de plus en plus grande, j'approche mon visage pour glisser son sexe dans ma bouche. Pour commencer, je la glisse jusqu'à la moitié tandis que ma langue passe doucement sur son gland. Celui-ci est délicieux et je suis bien motivé à le sucer jusqu'à l'éjaculation s'il le faut. Je veux sentir sa semence en moi et si je dois me la procurer de cette façon, je ne reculerai pas.
Au fut et à mesure que mes lèvres avancent et reculent sur sa queue que j'apprécie, je me montre à mon tour audacieux en lui faisant une gorge profonde. Je n'y rencontre aucune difficulté particulière et dès que sa verge est entièrement avalée, Sébastien se montre particulièrement bruyant en poussant de nombreux gémissements.
- Putain, vas-y comment que c'est bon.

J'ignore si l'une de ses conquêtes féminines s'est déjà amusée à lui faire mais si ce n'est pas le cas, je suis bien content d'être le premier. Alors que la fellation va bon train, Sébastien passe l'une de ses mains derrière ma tête tout en la tirant vers lui. Sous cette pression, je me dois de lui refaire ma tentative et pour la seconde fois de la nuit, mon amant me fait comprendre son grand plaisir. Entre deux râles, il a la force de m'exprimer un désir.
- Tu peux me caresser le cul pour savoir ce que ça fait ?

Et comme je n'ai pas envie de relâcher sa verge pour lui répondre, je me contente de lui indiquer en posant mes mains sur chacune de ses fesses. Ces dernières sont bien rondes et voilà que je promène l'extrémité de mes doigts sur sa peau nue afin de lui offrir de délicieux frissons. Ces derniers ne tardent pas à s'emparer de son corps et bizarrement, j'ai comme l'impression que l'érection de Sébastien se fait plus dure. Voulant pousser l'expérience un peu plus loin, je promène l'un de mes doigts le long de sa raie lorsque j'estime mes caresses suffisantes et là, mon amant recule légèrement son postérieur tout en gémissant. Au troisième passage de mon index, je n'hésite plus à lui glisser à l'intérieur de son anus et là, Sébastien lâche un très long râle qui veut tout dire.
Voulant être sûr que je capte bien ses impressions, il y va de sa petite réflexion que me fait sourire.
- Vas-y comment que c'est trop bon ce doigt dans mon cul.

Pour vérifier la véracité de ses dires, je poursuis dans mes initiatives et je commence à remuer mon doigt pour voir dans quel état cela va le mettre. Sébastien reçoit mes caresses très positivement tout en se montrer indiscret et comme pour le préparer à recevoir ma verge, je glisse mon majeur en plus de mon index. Cette fois, je veille à le flatter l'anus tout doucement car pour une première expérience, j'estime que deux doigts peuvent parfois être tout sauf agréable. Lentement, je pénètre ses chairs en sortant la moitié de mes membres pour lui replonger aussitôt. Là encore, mon amant est aux anges et je suis étonné de le voir aussi content.
Dans un sens, qui ne serait pas heureux de se faire sucer tout en se faisant flatter l'arrière-train ? N'y pouvant plus, Sébastien me fait part d'une autre de ses envies.
- Y a moyen de me mettre ta queue à la place de tes doigts ?

Cette fois, je n'ai pas d'autres choix que de retirer sa queue de ma bouche pour lui répondre. Tout en lui masturbant cette dernière avec ma seconde main libre, je lui réponds :
- Je veux bien mais je n'ai pas de capotes sur moi.
- Pas grave, je me retirerais lorsque tu seras sur le point de gicler.
- D'accord.

Décidément, plus nos jeux durent dans le temps et plus Sébastien me surprend. Sa motivation me séduit énormément et tandis que je libère son cul et sa queue pour baisser mon pantalon et mon caleçon, mon partenaire s'accroupit légèrement. Dès que mon sexe pointe fièrement, je veille à être sûr qu'il fasse honneur à mes talents en le masturbant un peu. Dès que je suis prêt, je le fais savoir à mon petit jeune qui approche l'entrée de son arrière-temps jusqu'à mon gland. Dès que nous sommes bien positionnés, Sébastien glisse ma verge en lui et veille à l'avoir intégralement en lui.
Une fois que nous sommes prêts, le jeunot ne tarde pas à se mettre en mouvement et le fait de lui labourer les chairs me fait un bien fou. Cette fois, c'est moi qui me montre indiscret et mes gémissements se mêlent rapidement à ceux de mon partenaire. Pour être sûr qu'il sente bien ma tige en lui, je m'amuse à lui écarter les fesses à son maximum, ce qui a le don d'augmenter l'appétit anal et naissant de Sébastien. En voulant davantage, le garçon accélère la cadence tandis que ses lèvres se collent sur les tiennes pour un nouveau baiser langoureux. Mon entrejambe est plutôt satisfait de cette nouvelle expérience qu'il est en train de vivre et tout semble se passer pour le mieux pour mon camarade.
Au bout de plusieurs minutes, je sens mon sperme monter le long de mon sexe et je saisis alors que mon éjaculation devrait être imminente. Je le fais savoir à Sébastien qui se retire aussitôt et pour être de ne pas me mettre de semence sur le pantalon, je me relève et secoue ma verge pour l'aider à tout cracher. Tandis que je me vide les testicules, Sébastien prend la sienne de son côté et s'administre des caresses libératrices de son côté. Une fois que nous sommes chacun soulagé de nos pulsions sexuelles, on se rhabille et moi, je n'ose plus trop rien dire. Par contre, Sébastien n'hésite pas à me faire part de ses impressions.
- C'était vraiment trop bon. Tu crois qu'on pourra poursuivre ces expressions la prochaine fois que tu viendras chez ta mère ?
- Si tu veux.
- Cool.

Peu après, Sébastien se lève du banc et vient se poster en face de moi pour me voler un nouveau baiser.
- A bientôt gentil garçon.
- A bientôt Seb.

Et c'est après ce dernier contact que mon amant prend congé. Dès que je suis de retour chez ma mère, je lui passe un savon sur le fait qu'elle aurait pu me prévenir de son départ de chez son amie. Elle me répond qu'elle avait oublié que j'étais avec elle mais si je me suis amusé à me comporter de cette façon, c'est uniquement pour le principe. Au contraire, grâce à cet oubli, j'ai pu passer une seconde partie de soirée nettement plus intéressante et c'est l'esprit encore rempli de ce délicieux moment que je pars me coucher. Le lendemain matin, alors que je buvais mon café en étant installé sur l'une des chaises de la table de salon, la porte d'entrée s'ouvrit sur ma mère qui était revenu de sa petite balade chez son amie.
Très vite, elle me dit bonjour avant d'entamer une conversation.
- J'ai vu Sébastien ce matin.
- Oui et ?

Pensant qu'il avait tout oublié de ce que nous avons fait cette nuit, je faisais de mon mieux pour ne pas porter d'intérêt à cette discussion qui venait tout juste d'être lancée.
- Je me suis permis de lui donner ton numéro de téléphone.
- Pourquoi ?
- Parce qu'il me l'avait demandé mais si cela te pose souci, je peux le joindre pour lui dire de l'effacer ?
- Non, ce n'est pas la peine.

Alors que ma mère se rendit dans sa cuisine pour faire ce qu'elle avait à faire, j'entendis mon portable sonner. Lorsque je le sortis de ma poche de pantalon, je vis sur son écran que j'avais reçu un sms de Sébastien. Curieux, j'enfonce le bouton pour permettre la lecture du message :
- Dépêches-toi de me revenir gentil garçon.

Un sourire sur les lèvres, j'affronte le reste de la journée avec beaucoup de facilité et je fus très content de constater que Sébastien n'avait rien oublié de ce que l'on avait fait.

Rolyat R.

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