Je n'avais jamais dépucelé personne avant lui. Mais j'avoue, j'y ai pris un plaisir énorme. J'avoue aussi que bien qu'il m'ait dit qu'il ne voulait pas aller jusque là, j'espérais bien réussir à lui en donner l'envie rapidement.
On s'est rencontré sur Grindr, lui avait 20 ans, moi 28. Je fais 1m80 pour 75kg châtain, poilu, musclé (je fais du hockey et je vais aussi souvent à la piscine). Lui ressemble un peu plus à une crevette : 1m70, 58kg châtain, un début de barbe sur les joues, quelques poils sur le torse, et je l'ai découvert par la suite, imberbe des fesses. La conversation sur Grindr tournait plus autour de l'idée de prendre un verre. J'ai réussi à le faire m'inviter plutôt qu'aller dans un bar. On s'est donc retrouvé sur son clic-clac dans son studio d'étudiant. Il y avait des affiches de groupes de rock et de film sur les murs, quelques cartes postales accrochées au dessus de son bureau, assez pour me donner des idées de conversations. Les bières que j'avais apportées ont rapidement été entamées, le courant passait très bien et ce petit con était diablement excitant avec son air timide malgré la discussion animée. Au moment de décapsuler la bière suivante, il s'est penché en avant vers la table basse, son t-shirt laissait entrevoir le bas de son dos, et son jean taille basse découvrait le haut de ses fesses. Je n'ai pas pu résister, quand il s'est redressé, j'ai collé mes lèvres contre les siennes, aussitôt, je l'ai senti fondre, j'en ai profité pour l'attirer plus vers moi et coller son corps contre le mien. Je le sentais à ma merci, ma main s'est glissée sous son t-shirt, , je caressais désormais la peau de son dos, de haut en bas. Il frémissait quand ma main arrivait sur le haut de ses fesses. Nos langues s'enroulaient l'une contre l'autre, je sentais tout son corps tendu, je sentais aussi son érection contre ma cuisse.
Bingo, mon p'tit mec était bien chaud ! J'ai fait sauté son t-shirt et son jean assez facilement et rapidement. Il était désormais en boxer devant moi, il portait d'ailleurs un boxer superman. Sur le coup, je me suis dit que j'allais baiser mon premier super héros ! Il était diablement sexy avec ces quelques poils sur le torse, il avait toujours l'air timide, il rougissait d'ailleurs à chaque fois que mes mains se baladaient un peu trop près de son sexe. Je l'ai couché sur son clic-clac, je me suis allongé sur lui, il a naturellement placé ses jambes autour de ma taille et ses bras ont entouré mon corps, ses mains se sont mis à caresser mon dos à travers le t-shirt.
Je gobais le lobe de son oreille, le faisant gémir un peu plus. J'attaquais ensuite son torse, descendant sur ces tétons, les mordillant légèrement et les titillant du bout de ma langue. Il était désormais à point ! Je me redressais, caressais son sexe, puis je pris sa main et la plaçais sur le mien. Très vite, il descendit ma braguette, et sortit mon sexe tendu. Il siffla d'admiration et commença à le branler de ces 2 mains. Pendant ce temps, je lui caressais la joue, me penchait en avant et lui roulait une grosse pelle. Mon sexe était toujours à la merci de ces 2 mains. Je décidais de brusquer un peu les choses. Je me redressais sur mes genoux, passait une main sur sa nuque et l'attirait vers ma queue. Il se retrouva plié en 2, mon gland devant ses lèvres. Je lui caressais à nouveau la joue et avançais mon bassin. Il leva ses yeux vers moi, ouvrit la bouche et mon sexe y entra tranquillement écartant un peu ses lèvres. Je le laissais faire et il commença à me sucer divinement. La position n'était quand même pas pratique, je me mis donc debout devant lui assis sur son clic-clac. Il repris sa fellation de plus belle, mais ça n'était pas assez pour moi. J'avais toujours eu des rapports très classique, très équilibré, sans la moindre trace de dépravation ou de jeux quelconque. Mais là, j'en voulais plus, ce petit con m'excitait énormément, me donnait des envies jusqu'ici inconnues. Je n'avais jamais fantasmé avant lui sur le fait de dépuceler quelqu'un, je n'avais jamais non plus été attiré par la soumission, mais lui me donnait envie de tout ça. A aucun moment dans notre conversation ou son attitude il n'avait donné l'impression de vouloir ça, mais moi, soudainement, j'en avais très envie.
Je l'imaginais à poil, à genoux devant moi tout habillé, en train de me pomper comme une petite pute. Entendons nous bien, il n'en était nullement une, mais il me donnais envie de le dépraver !
Je me penchais sur lui et entrepris de lui faire retirer son boxer, n'y arrivant pas aisément, je l'ai juste descendu sous ses fesses. Je me suis ensuite reculé petit à petit, l'obligeant à s'avancer puis se mettre à genoux devant moi. On y était, j'avais mon petit puceau à genoux devant moi, mon sexe dans la bouche et ses fesses magnifiques sous mes yeux. Je caressais à nouveau sa joue, il leva ses yeux vers moi, il avait l'air comblé. Je mis ma main derrière sa tête et poussait mon sexe plus loin dans sa bouche, il déglutit et mon gland se retrouva dans sa gorge. Son nez était collé dans mes abdo. Je le maintins quelques secondes puis je le laissais se retirer avant de s'étouffer. Je pensais y être aller un peu trop fort, mais mon p'tit con recommença de lui même après avoir repris son souffle. Après plusieurs gorges profondes, il y avait des filets de salive entre son visage et ma queue, l'image était obscène et tellement excitante.
Il fallait passer à l'étape suivante, je le redressais, le collais contre moi et lui roulais à nouveau une pelle, mes mains étaient sur ses fesses. Les siennes passèrent sous mon t-shirt, caressèrent mes abdos. Je finis de lui retirer son boxer, son sexe rebondit sur son ventre puis se retrouva coincé contre la base du mien. Comme il ne se décidait toujours pas à me déshabiller, je me reculais et le fis moi même, en essayant d'être le plus sensuel possible. Je ne gardais que mon boxer, me rapprochait de lui, pris ces mains, les mis sur l'élastique de mon boxer. Il comprit le message et le retira de lui même en se mettant à genoux à nouveau. La sensation de puissance que j'éprouvais était énorme, jamais mon sexe ne m'avait paru aussi tendu, il me faisait même mal. Je posais mon sexe sur sa joue, me frottant un peu en caressant son autre joue. Curieusement, ça avait l'air de vraiment lui plaire. Finalement, ouvrir ces petites fesses ne devrait pas être si difficile.
Il se redressa, ouvrit son clic clac en position lit et se coucha dessus. Il était allongé sur le dos, son sexe fin tendu vers le haut, son corps gracile m'appelait ! Je me couchais sur lui à nouveau, l'embrassait à pleine bouche. Ses jambes se retrouvèrent à nouveau autour de ma taille, sa queue contre mon ventre, et la mienne se logea naturellement entre ses fesses, mon gland luisant de salive et de précum enduisait sa raie. Ma bite glissa très rapidement entre ses fesses, butant régulièrement sur son oeillet. Il y avait effectivement peu de doute sur le fait qu'il soit puceau, et malgré son excitation, la contraction de ses fesses à chaque fois que je touchais son anus montrait sa peur de se faire prendre. Je le retournais sur le ventre, me mis à genoux sur ses cuisses et lui écartait les jambes avec les miennes. Je salivais abondamment entre ses fesses, puis ma langue remonta le long de sa colonne vertébrale, jusqu'au lobe de son oreille. Il gémissait sous mon corps. Je recommençais l'opération plusieurs fois, ma langue commençait son chemin toujours plus bas. Il y avait maintenant beaucoup de salive dans sa raie imberbe. Ma queue glissait facilement quand je m'allongeais sur lui. Régulièrement, mon gland se trouvait devant son oeillet et petit à petit commençait à entrouvrir le passage. A un moment, je dirigeais exprès mon sexe pour qu'il se fiche à l'entrée de son cul, je sentais que la résistance de ces muscles annaux avait quasiment disparue. Je lui tournais la tête, me penchais à nouveau sur lui et lui roulait une nouvelle pelle, ce qui le fit gémir et le détendit encore un peu plus. Je poussais alors ma queue doucement dans son anus. Il gémit doucement, sa main droite agrippa ma cuisse, la serrant sous la peur de la pénétration. Je lui demandais en murmurant : "je te fais mal ?
-non, répondt-il, c'est bon, mais vas y doucement stp".
Je fis une petite pause, ne voulant ni lui faire mal, ni lui faire peur. Je recommençais à l'embrasser et je caressais ses hanches en même temps. Mon corps pesait sur le sien, ce qui l'excitait encore plus. Il finit par soulever lui même ses fesses pour faire pénétrer un peu plus mon sexe. Je compris le message et repris ma pénétration, lentement, jusqu'à ce que mon pubis soit contre ses fesses. Je fis à nouveau une pause le temps que son cul se fasse à mes 20 centimètres de queue. J'étais extrêmement serré, j'étais aussi au bord de la jouissance. Il fallait que je me calme pour pouvoir profiter de son corps encore quelques temps. Je me rendis compte que je n'avais pas mis de capote, c'était la première fois que ça m'arrivait, dans l'excitation, ni lui ni moi n'y avions pensé. J'étais par contre assez content de me sentir serré mais si bien dans son petit cul et tout ça sans capote. Mon p'tit con était tellement excité que lui non plus n'avait pensé ni au gel ni au préservatif. Je lui dis qu'il valait sans doute mieux en mettre une. Il y eut un petit blanc et il me répondit qu'il me faisait confiance et qu'il était trop bien. Il ne voulait pas que je me retire de lui. Il y avait effectivement peu de risque, lui était puceau et moi j'avais toujours utilisé une capote et mes dépistages étaient tout le temps négatif, le dernier datant d'il y a quelques semaines et je n'avais pas eu de rapport depuis lors. Je me dis qu'après tout, pouvoir dépuceler et jouir dans son p'tit cul allait être encore plus excitant que prévu.
Je me redressais légèrement pour pouvoir commencer mes va et vient en lui. Il gémit à nouveau. J'allais lentement ne voulant pas jouir trop vite et ne voulant pas non plus le brusquer, ça avait vraiment l'air de lui plaire. Petit à petit, j'amplifiais mes mouvements, mais sans accélérer ni même sortir de son cul. Je décidais de varier un peu la position. Je me renfonçais complètement en lui puis le tournait sur le côté pour le mettre en chien de fusil. Je pu alors me pencher sur lui facilement pour l'embrasser et jouer avec ses tétons pendant que je reprenais mes va et vient. Il gémissait à nouveau, se lâchant complètement, ses yeux étaient révulsés sa queue était toujours tendue comme un arc, mais il n'y touchait pas et moi je ne m'y risquais pas de peur de le faire jouir avant d'avoir pu prendre mon pied. Ses mains se mirent à parcourir mon torse et le haut de mon dos. De temps en temps, il les posaient sur mes fesses et me tirait vers lui pour que je m'enfonce encore plus.
Une nouvelle fois, je me renfonçais complètement en lui pour préparer un nouveau changement de position. Je pris sa jambe droite et la repliais sur son torse, je le fis ensuite pivoter de manière à l'avoir enfin face à moi, sa jambe sur mon épaule me dégageant bien l'accès à ses fesses. J'accélérais alors mes mouvements et devant son excitation grandissante, je décidais de jouer un peu plus. Je retirai mon sexe de son fondement, tout de suite, il ouvrit les yeux et me dit "reviens ! S'il te plaît reviens en moi !". Je posais alors mon gland sur son anus après avoir saliver dessus et le fit entre lentement. Son trou offrait encore un peu de résistance à mon intromission. Une fois bien au fond, je reculais et à nouveau sorti entièrement ma verge, ses yeux me suppliait de revenir, il avait bien compris mon petit jeu et ne demanda donc rien, attendant simplement que je le reprenne. Je recommençais plusieurs fois, jusqu'à ne plus sentir de résistance. Je me trouvais à nouveau en lui, je sentais mon plaisir monté de plus en plus. Je me redressais alors sur mes genoux, plaçait ses jambes autour de ma taille et tirant sur ses bras, je le redressais à son tour jusqu'à ce qu'il soit contre moi. Son sexe était serré entre nos 2 corps, toujours tendu, son gland mouillait abondamment. Il m'enlaça pour ne pas retomber en arrière, ma queue était profondément en lui. Je plaçais mes mains sous ses fesses et commençait à le soulever, entamant ainsi de nouveau va et vient en lui. S'appuyant sur ses pieds, il finit par prendre lui même le contrôle de la pénétration. Il accélérait. Son sexe était branlé entre nos abdos. Il posa sa tête contre mon épaule.
Égoïstement, je voulais reprendre le contrôle de la situation, être le seul à diriger les choses. Le serrant contre moi, je me mis debout à côté du lit, et pour être sûr que je n'allais pas le lacher, je le collais au mur, ses jambes toujours autour de ma taille. Il était entièrement à ma merci. Je me mis à bourrer son cul comme un fou, tout mes muscles étaient tendus. Lui ne gémissait plus, il poussait de petits cris en soupirant bruyamment. Je sentis son cul se contracter autour de ma queue, la sienne allait cracher. Je pris ses lèvres à pleine bouche et lui roulait à nouveau une pelle pendant qu'il se déversait sur mon torse. Ces contractions eurent raison de moi et je jouis dans son cul, les jets de sperme se succédaient. Je le remplissais copieusement pendant que lui se répandait sur ma peau. Nous finîmes par enfin nous calmer. Ma queue ne débandait pas, la sienne par contre commençait à dégonfler. Je le soulevais pour pouvoir me retirer avant que ça lui fasse mal. Mon sexe était maculée de sperme, tout comme mon torse et son ventre. Sans dire un mot, il m'attira dans sa douche, et ouvrit l'eau. Rapidement, elle fut tiède et nos corps furent débarrasser des traces de notre plaisir. Malgré cela, ma bite était toujours tendue. C'est la première fois que ça m'arrivait. Je rebandais souvent assez rapidement après la jouissance, mais là, c'était différent. Ma queue donnait l'impression de ne pas avoir joui du tout. Mon p'tit con en profita et s'agenouillant devant moi, goba ma bite, entreprenant une nouvelle fellation. Ses deux mains remontèrent le long de mon corps et vinrent jouer sur mon torse, avec mes tétons. Il avait trouvé comment me faire jouir rapidement, à force de me les caresser et me les pincer, je fus à nouveau au bord de la jouissance. De ces deux mains, il entrepris alors de me branler pendant qu'il suçotait mon gland. Une seconde jouissance me prit alors et le sperme jaillit à nouveau, s'écrasant directement sur ces lèvres et sa langue. Il lécha tout avant que l'eau n'emporte tout et ava!
la mon sperme en me regardant dans les yeux.
Une fois séché et nos boxers enfilés, nous nous rassîmes, lui lover entre mes bras. Il me dit que j'avais été très excitant et que j'avais su lui faire plaisir malgré sa peur initiale. Il ne pensait pas que quelqu'un le prendrait aujourd'hui, et il m'avoua que la première chose qu'il avait pensé en voyant ma queue en érection était que ça ne serait sûrement pas moi qu'il autoriserait à le prendre pour la première fois. Je lui demandais si c'était vraiment la première fois qu'il couchait avec un mec. En fait, il avait déjà eu quelques attouchement, on l'avait même déjà sucé, mais ça n'avait guère été plus loin, car il avait toujours eu peur d'être déçu ou d'avoir mal.
En moi même, je pensais qu'il avait tout le potentiel pour devenir une petit bête de sexe et je me dis que j'allais essayer de lui faire découvrir un max de chose sur le sexe et le libérer autant que possible. En fait, j'avais vraiment envie de le dépraver, sa timidité qui ne l'avait quasiment pas quitté, m'excitait terriblement.
Comme dès le début de la conversation il avait été clair que je ne recherchais pas de relation amoureuse, il me demanda si on pourrait quand même se revoir comme pote de sexe. Ce à quoi bien évidemment je répondis oui.
La suite, bientôt.
Max
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