Rappel des protagonistes : Moi, 1m80 et maintenant 65kg de muscles, 18,5*6. Un brun un speedo blanc, musclé et au paquet généreux 22cm. Un blondinet en speedo rouge, visiblement très passif.
Le tout se joue à la piscine, sous la douche. Les deux m'ont rejoint et le brun doigte le blondinet en se malaxant le paquet.
N'y tenant plus, je me jette à genoux et agrippe de mes doigts l'élastique du speedo blanc que je tire vers le bas. Un énorme gourdin, comme j'en ai rarement vu, en jaillit. Il rebondit sur le ventre du mec et me fouette le visage. Je ne cherche pas à faire dans la douceur et l'enfourne immédiatement goulûment dans ma bouche. C'est tellement gros que je sais à peine quoi en faire. Je commence à le sucer, un goût de chlore rempli ma bouche. Mes mains serrent les fesses de mon beau brun. Des fesses dures, bombées. Il gémit doucement pendant que je travaille son sexe. J'arrive péniblement à l'enfoncer à fond dans ma bouche, mon visage atteint son pubis tondu très court. J'ai un haut le coeur. " Doucement mec, me dit-il ".
Je relève les yeux vers lui, le blondinet au speedo rouge se fait toujours doigter à côté. Il a le visage plaqué contre le mur de la douche, les yeux fermés, respirant par halètement de plaisir. Il parcoure de sa main le torse musclé du brun. Son cul et cambré à fond pour mieux s'offrir au doigt insidieux. Je le voit bander dans son slip rouge : sa verge est bien moins impressionnante que celle que j'ai en bouche, il doit faire 15-16 centimètres mais bien large. Ses couilles sont bien grosses.
Je continue à sucer, ma verge est sur le point d'exploser. Elle s'est dressée et est sortie d'elle-même, verticale, de mon slip de bain.
Le brun se retire brusquement et remet son slip blanc (comme il peu, il a bien du mal à un faire rentrer ses 22cm). Je me relève, range ma propre teub.
" Viens avec nous ! "
Le blondinet part devant, sans un mot, suivit du brun. Je vois ces deux superbes culs s'éloigner. Lequel vais-je fourrer ? Le petit cul rond de mon blondinet virginal ou le fessier musclé de mon molosse brun ?
Je les suis. Par chance on ne croise personne dans le couloir menant aux vestiaires (heureusement, on a tous les trois une gaule monstrueuse qui déforme nos slips et les rend béants).
Nous arrivons dans les salles de change (les cabines étant trop petites pour nous contenir tous les trois). Le risque de se faire découvrir m'excite encore plus et me rend sauvage.
J'entre derrière eux. Le blondinet se met à genoux et s'attable à la queue massive du brun. Je ferme la porte, la verrouille (tiens pratique !). Je vais vers le beau brun, me place derrière lui et plaque mon sexe contre son boule. Je l'enlace, caresse ses pectoraux de rêve et titille ses tétons durcis. Il tourne la tête et commence à me rouler une pelle d'enfer : sa langue est chaude, grosse elle aussi... Mais qu'est-ce qui n'est pas titanesque chez lui ?! J'ai l'impression qu'il plaque de plus en plus fort son cul sur ma teub... Il maintient la tête du blondinet et commence à lui démonter la bouche avec son sexe magistral. Le blondinet exulte, gémit, étouffe tour à tour.
Puis le brun se retire, passe dans mon dos, je sens toute la longeur de sa verge sur mes fesses et sur le bas de mon dos. Il m'attrape la taille, baisse mon speedo, saisit ma teub d'une main, la tête du blondinet de l'autre. Il lui enfonce ma teub de 18,5cm au plus profond de la gorge. Je pousse des soupirs de plaisir, cette gorge est chaude, humide. Il me suce sans serrer, sans les dents, je sens sa langue s'agiter sur mon frein, puis tout autour de mon gland. Le brun continu à m'emballer.
Je m'agenouille sur le sol humide du vestiaire. Le blondinet se baisse pour me sucer encore, je me penche en avant et saisit de mes mains son petit cul et commence à malaxer ses petites fesses.
Le brun passe derrière lui, s'agenouille, lui baisse son speedo rouge et jette son visage entre les deux fesses. Dès son premier coup de langue, le blondinet retire ma teub de sa bouche et gémit fortement. Il se cambre à fond pour recevoir la grosse langue chaude et humide dans son intimité. Puis il recommence à me sucer. J'adore cette vision.
Cette scène se poursuit quelques minutes. Puis le brun commence à doigter le blondinet qui gémit plus fort encore avec ma teub en bouche. Il semble que les doigts rentrent sans soucis, j'en vois un, deux... non trois rentrer ensemble. Le blondinet est mûr. Le brun me regarde en le doigtant.
" A toi l'honneur, t'es un bon suceur mais je suis sûr que tu vas pas dire non à son petit cul. "
Ni une ni deux, je retire ma teub de sa bouche, passe derrière. La rondelle rose est déjà ouverte, humide de la salive du brun. Je saisis les petites fesses, les écarte encore un peu et m'enfourne directement, sans résistance, sans aucune difficulté dans le cul du blondinet à qui j'arrache un de ses cris mi douleur mi plaisir qui nous excitent tous. Comme l'intérieur de sa bouche, l'intérieur de son cul est doux, chaud et humide. Je commence à le limer doucement pendant que le brun passe de l'autre côté. Le blondinet recommence son oeuvre de suceur, lentement. Mais le brun ne l'entend pas ainsi. Il lui saisit la tête, le biffle royalement, engouffre sa teub et commence à lui baiser la bouche sauvagement. Je suis alors le même rythme que lui, accélère ma sodo et défonce proprement le cul du blondinet qui gémit encore et encore.
Nous poussons tous les trois des râles de plaisirs, on entend le bruit de succion et le claquement de mon corps contre le fessier.
Je sens que je vais... merde c'est trop tôt.
" Relaie moi !, ordonnai-je.
Je voulais voir ça, je voulais voir le blondinet se faire violer par l'énorme queue de mon compère.
Il devait en vouloir, il passe directement derrière le blondinet, je suis à peine retiré qu'il présente déjà sa queue sur la rondelle. Une main sur le dos du mec, une autre pour saisir ses cheveux et il lui rentre dedans d'un coup sec. Le blondinet pousse un cri aigu, suivi d'un " oui ! " d'abandon. Quel gourmand !
Le pilonnage commence alors, violent, sauvage, mâle... je ne sais pas où me mette, la scène est trop belle à regarder.
Le brun m'attire alors à lui et me plaque contre son flanc. Je commence alors à le caresser, une main sur ses fesses et une autre sur son torse : un délice. Il continue son pilonnage quelques minutes.
Le blondinet se soumet toujours, gémissant d'un plaisir sans fin.
Enfin, le brun se retire, la queue toujours aussi dure, le gland gonflé de sang, prêt à exploser. Il commence à se branler au dessus du dos du blondinet qui agonise après le plaisir que nous lui avons offert. Son corps se soulève au rythme d'une respiration lourde. Il se retourne, se met sur le dos et se branle en nous matant. Moi aussi je me branle mais très vite, la main du brun s'empare de ma queue et la branle au rythme de la sienne. Il fait ça bien, sans trop serrer. Le blondinet jouit en premier, deux jets de foutre sur son bas ventre. Il met ensuite les mains sous sa tête et nous regarde avec un sourire pervers nous finir sur lui. En deux minutes, je me lâche, six jets puissants viennent zébrer le corps du blondinet. Il recueille un peu de mon foutre avec ses doigts et les met dans sa bouche. Trente secondes plus tard, c'est au tour du brun de venir. Ma main posée sur ses fesses les sent se serrer, sa teub se tend et 5 jets de foutre, épais et bien blancs se répandent sur le corps du blondinet, qui semble maintenant recouvert de foutre. Mon sublime brun a explosé dans un râle bestial, il tourne la tête vers moi et m'emballe une dernière fois. Il prends mon cul avec un des ses mains et me plaque contre lui pendant ce baiser fougueux (comme il est doux, sensuel après avoir été sauvage...). Le blondinet nous écarte légèrement l'un de l'autre pour venir nettoyer, l'une après l'autre, nos verges avec sa bouche.
Exténué, épuisé et hors d'haleine, nous nous rhabillons (vite fais, nous n'avons que nos maillots de bain). Mon brun remet son speedo blanc sur sa teub toujours aussi parfaite au repos. Une grosse verge qui retombe sur des bourses elles aussi généreuses. J'ose même tendre ma main pour caresser son paquet (mon pêcher mignon). " je suis trop vidé là mec, me fait-il avec un clin d''oeil ".
Le blondinet toussote... Il a remis son speedo rouge.... mais est toujours recouvert de foutre.
Nous n'avons pas de serviette. " Je reviens ". Je vais récupérer mon sac à la consigne et lui rapporte une serviette. Quand je reviens dans le vestiaire, mon beau brun à disparu.
" Merci pour la serviette et pour le moment, c'est la plus belle baise de ma vie.
-Merci à toi, ton pote est déjà parti.
-Ce n'est pas mon pote, juste un mec comme toi et moi au regard convainquant.
(rire)
-oki. Bye mec, merci pour ta bouche et ton cul, à une prochaine peut être. "
Je repars donc fourbu par le sport et avec la légère déception de ne pas avoir pu en apprendre plus sur mon dieu en speedo blanc. Je ne l'ai jamais revu à la piscine... Pas à la piscine, mais ailleurs oui... Car ce n'est que le début de notre rencontre.
Si vous souhaitez lire la suite de cette histoire, qui n'est toujours pas finie, contactez moi surformandstyl@hotmail.fr.
Formand
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