*Le grand brun tatoué embrasse, avale littéralement, la bouche de son partenaire avant de lui remettre sa grosse queue dans la bouche. Ses vas et viens sont de plus en plus brusques et confus. Le petit blond gémit, apparemment ravi de se faire baiser la bouche. Les deux grognent de plaisir.*
-Hmm, oui, putain, mais quelle petite salope celle-là !
Ma respiration s'accélère. Je jouis rapidement dans ma main, puis tâte le sol pour trouver quelque chose pour m'essuyer. Je me rhabille rapidement, comme d'habitude je me suis mis en retard pour une dernière petite branlette. Mais le porno est devenu, pour moi, aussi naturel et indispensable que boire ou manger. J'adore ces corps, bien qu'ils ne soient pas mes idéaux. J'aime ces queues, magistrales, qui donnent faim, tout simplement. La mise en scène, quand il y a une, fait la différence, enfin moi, j'aime. J'aime tout. J'aime tout particulièrement les entendre crier, grogner, gémir, insulter, un bon porno, c'est celui où il y a du son. Un porno ou le perchiste se contorsionne pour capter tous les moindres sons avant qu'on lui foute sa perche dans le cul à la fin du tournage. Evidemment, qu'on lui la met à ce petit vicieux. Le réalisateur lui demande de se baisser pour vérifier tous les branchements techniques qui, selon lui, ont un problème. Quand le pauvre perchiste se fait attraper par les deux acteurs pornos toujours en rut qui l'immobilisent. Le réalisateur bien chaud par la jolie performance de son casting se baisse en baissant par la même occasion le short de son technicien et commence à lui bouffer le cul copieusement, rassasié et débordé par son désir, il commence à frotter le micro sur le joli petit cul du perchman qui commence à gémir. La chaleur monte. Le réalisateur s'impatiente, et sort sa queue, enfile une capote qui traine au sol, comme tout le temps, et le pénètre d'un coup. Les deux crient. Le réalisateur, enfin libre dans cette prison de chair, commence un bon petit limage, lorsqu'à ce moment... Lorsqu'à ce moment, je me rends compte que je suis complètement en retard.
Je me présente : Jésùs, d'origine hispanique, oui. Je vis en banlieue depuis aussi longtemps que je me souvienne. Mère brésilienne, père guadeloupéen et absent. J'ai grandis entre ces bâtiments et je connais toutes les personnes qui y vivent. J'ai toujours fais ma vie ici sans problème, mon homosexualité n'est pas un tabou pour moi mais ma sexualité reste la mienne. Dès que je peux, j'invite mes amants chez moi, prenant soin de fermer les volets pour ne choquer personne, tout de même. Mes pornos, réguliers, sont toujours au volume maximum. Et je n'ai jamais eu aucun problème. Enfin, je le pensais, et de mon côté rien n'avait changé. Hormis le fait que j'entends bien mes voisins, depuis peu. C'est quelque chose que je n'avais jamais remarqué auparavant. Pourtant du haut de mes 20 ans, et mes 15 années d'existences ici, je n'ai, il me semble, jamais eu de problèmes avec les bruits du voisinage.
La raison pour laquelle je me pressais était un entretien à l'autre bout de la ville. Relativement important, donc. En sortant je croisais deux de mes voisins. Le premier était black, nouveau venu, pas très bavard, mais bien foutu. L'autre, je l'aimais bien, beaucoup plus âgé, j'ai grandi avec lui... Jeune parent à mon arrivée, il doit avoir maintenant 50 ans. Toujours en très bonne forme, souriant, le beau gosse avec les cheveux gris, le charme à la française. A la Jean Dujardin maintenant. On attend tous les trois l'ascenseur ensemble habitant au même étage. Avec la main droite je serre la main, de mon voisin black, je me tourne et avec la gauche serre celle de mon autre voisin, je le vois réagir légèrement. Je comprends vite que je me suis pas correctement essuyé la main et qu'un peu de mon sperme s'est déposé sur sa main. Je souris intérieurement, il doit penser que c'est un quelconque liquide. En sortant on se fait tous un dernier signe de la main, et je le vois s'approcher de sa main. Je ne suis pas sûr mais je crois qu'il vient de... non. La partie où le sperme a dû se poser. Il a... non ? Non. Je ne m'attarde pas là dessus, j'ai dû halluciner. Et je me précipite à mon rendez-vous.
Quelques heures plus tard, je rentre chez moi. Par une quelconque coïncidence, je retombe sur mon voisin quinquagénaire. On se sourit respectueusement et prenons l'ascenseur ensemble, quand il entame la conversation.
-Alors comment ça va mon grand ?! T'as bien grandi !
-Ha je vous remercie mais je le vois pas vraiment si j'ai grandi, moi. - dis-je en riant
-Oh, moi, je l'entends surtout à vrai dire.
-Ha bon ? Comment ça ?!
-Tes pornos, tout le temps, à pas d'heures, mais vraiment, tout le temps...
Je tente de bredouiller quelques excuses mais pas grand chose ne sort.
-Des pornos gays, j'entends pas de femme, il me semble bien qu'il n'y a que des hommes, non ?
-Heu, non, si, je veux pas, je suis...
Il appuie sur le bouton "écarter les portes de l'ascenseur", celui-ci s'arrête brusquement. Surpris, je me retourne vers mon voisin en essayant de comprendre ce qu'il se passe. Il déboutonne son jean, et sort une très belle pièce. Hypnotisé, je me baisse, doucement sans même comprendre ce que je fais tout en fixant sa belle queue. Il me rappelle à la réalité en appuyant sur mes épaules, me mettant ainsi au niveau de sa queue. Je la prends en bouche, sans plus réfléchir. Douce, chaude, déjà en mimolle. Je m'éclate, je suis chienne, je lèche, la prend entièrement en bouche pendant qu'elle est encore assez molle. Jusqu'à ce qu'elle m'étouffe tant elle devient dure. Je la recrache, de la salive coule sur sa queue. Je l'entendre gémir tout doucement.
-Qu'est-ce que tu préfères tes pornos ou ma queue mon beau ?
Je sors ma queue de ma bouche, le regarde dans les yeux et la lèche dans toute sa longueur.
-Oh oui petite chienne ça ne m'étonne même pas de toi. Les cris de putes en rut qui traversent les murs de ta chambre pour arriver jusqu'à la mienne ne laisse pas de doute hein... T'aimes ça la queue ... Un putain d'accroc au sexe. Une putain de pute.
Je ne suis pas vraiment une pute, plutôt actif/passif je me laisse pas facilement posséder. Inutile de dire que, là, tout de suite, j'aurais fait n'importe quoi pour le bonheur de cet homme, tant sa superbe me submergeait. Tant sa queue me remplissait. Le fixant toujours dans les yeux, je tête son gland comme si c'était le dessert de ma vie, la glace que je n'ai jamais eu l'été dernier, et je me régale.
-Tu le veux mon jus ... Hmmm ... Ooooh ouais ! Je vais te le donner, putain... Suce la bien. Elle est à toi. Avale bien ma queue mon salaud !
C'est à ce moment que l'ascenseur reprend son ascension, en même temps que nous je dois dire, à un point qu'on ne remarque même pas ce mouvement. Plus rien n'existe autour de nous. On arrive finalement au 5ème étage, il me fait reculer jusqu'à la porte de l'ascenseur en arrière avec toujours son double décimètre en bouche, et ses cuisses musclées qui bloquent les portes de la machine. Etant légèrement conscient de ce qui m'entoure, je redouble d'effort sur sa bonne grosse queue en espérant le faire gémir assez fort pour que tout l'immeuble l'entende. Puisque, apparemment, mes pornos gênent les voisins autant aller jusqu'au bout. Ce qui a pour effet de le rendre complètement fou. Il me repousse encore jusqu'au mur, derrière, l'ascenseur. Quelqu'un devait l'attendre. En attendant, moi, je me fais littéralement baiser la bouche par mon si gentil voisin qui m'a vu grandir. Je suis assis, il a posé une de ses jambes sur mon épaule pour me baiser la bouche plus en profondeur comme on pourrait défoncer un cul. Un connaisseur. Il commence à me tirer des larmes, j'adore ça. Il ressort sa queue trempée et dégoulinante, mon visage étant bien trempé aussi. Il me crache dessus nos deux salives se rencontre... Et il me remet sa queue bien en bouche.
-Tiens, tout ce dont tu as besoin. Et même plus.
Il se met à grogner de plus en plus fort.
-Oh putain, oh oui... putain ! Ces pd auront ma peau... oooooooh ouiii, bouffe saloooope, ouaiiiiis !
Il m'envoie deux jets dans la gorge puis prend sa queue en main, se retire, pour m'envoyer le reste de son foutre sur le visage. Il s'appuie contre le mur, pour reprendre son souffle. D'en bas, je peux contempler sa magnifique queue, et lui en fin d'orgasme, dans toute sa virilité. Je reprends son sexe en bouche. Il gémit doucement en me caressant la tête. Puis recule en me regardant, comme pour me contempler.
Le jus partout sur mon visage, je sors mon 20X5 pour me branler.
-C'est ça, fais toi du bien.... Branle toi devant ma queue, -il range sa queue-, branle toi devant moi, il est encore bien chaud mon jus sur ton visage hein. Qui bouffe le jus de qui maintenant... Jamais un putain de porno ne te fera jouir autant que moi.
Je me branle de plus en plus fort en le fixant dans les yeux, il avait bien lécher mon jus tout à l'heure, sur sa main, je n'avais pas rêver, ça m'excite encore plus. Je le sens complètement absorbé par ce que je fais. On aurait pu être surpris à tout moment, par n'importe qui, juste devant l'ascenseur, au 5ètage, à la croisée de tous les voisins.
Je me sens partir, je récupère un peu de son sperme avec mes doigts et les lèche. Le goût de son sperme est comme une explosion de saveur sur mon palet, et ce n'est pas la seule explosion qui me secoue, je viens de lâcher 6 jets de foutre sur mon manteau noir franchement pas donné. Effectivement, il m'a fait jouir plus qu'un porno le salaud.
-Je vais t'apprendre à m'exciter comme ça, petite salope !
Bon, évidemment, ça ne se finit pas comme ça. À vrai dire, c'est à peine le début. Et je m'en doutais bien, c'est juste que je m'attendais pas à que son fils s'emmêle.
A suivre...
Bon seulement si mon style vous plait.
Des bisous sur votre queue.
Slove
slove91@outlook.fr
Autres histoires de l'auteur :
Le Mur du Son -1