Je n'avais pas eu le choix, ma soeur m'avait demandé d'aller chercher mon beau frère à la gare.
Super, cela ne m'enchantait pas du tout. Il ne m'aimait pas beaucoup et alors moi ... il m'était totalement indifférent. J'ai eu beau négocier avec ma grande soeur, elle ne voulu même pas me prêter son vélo ou ses rollers. Rien!!! Je due prendre le train jusque la gare.
Je n'étais pas très en avance dans le hall. Je me dirigeai vers un quai quand j'entendis: Camille!!!!! C'était lui. Eric, 31 ans, de retour.
Salut !
Ca va ?
Ouais je suis crevé ! Dit il en me faisant la bise. Elle est pas là ta soeur?
Non, elle m'a pas dit pourquoi mais elle m'a dit de venir te chercher !
Ah ? Génial ! Du coup tu es à pieds ?
Ben oui!
Putain ! Elle le fait exprés, c'est pas possible, elle me saoule déjà !
Bon normalement on a un train dans 1h20 pour rentrer !
Cool, on va faire quoi en attendant?
On peut faire des magasins !
Pfff, ouais allez, de toute façon je suis ennervé là, alors on fait ce que tu veux.
On sort de la gare et on se dirige vers une rue commerçante. C'est là que je reçois un sms de ma soeur. Il est là ?
Je réponds : oui et déjà super ennervé. Franchement merci.
Dit lui de repartir, je ne veux pas le voir, je le quitte !
Eric a vu mon visage se décomposer.
Quoi, ça va pas ?
Ben en fait, c'est Marie, elle dit que tu repartes et qu'elle te quitte.
Arrête ton délire.
Ben regarde.
Il pose son sac de sport, regarde le sms.
Oh putain la salope, j'y crois pas, elle me fait galérer dans un train pendant 6 heures et elle me largue par texto !
Il jeta mon portable par terre et donna un violent coup de pied dans son sac.
Putain t'es con Eric, c'est mon portable.
Franchement j'en ai rien à foutre. Fait chier !!! Il retapa dans son sac.
On était pas loin d'un lampadaire, il me pris par le tshirt et me colla contre.
Tu étais au courant je suis sûr.
Ben non, sinon je ne serai pas venu te chercher.
Ses yeux étaient brillants de colère.
Tu me fais mal Eric. Et attention à mon Tshirt.
J'en ai rien à secouer de tes fringues de pd!
Bon c'est bon tu me laches maintenant, puisque je te dis que j'en savais rien. Une larme coula sur ma joue.
Merde fais chier ! Dit il en me poussant vers le lampadaire.
Passes moi ton portable. Je lui tendis quelque peu choqué.
Il téléphona à ma soeur. Pensant que c'était moi je pense, elle répondit.
Il s'éloigna un peu mais je l'entendis : tu es vraiment une conne de me faire ça, j'ai pas eu de perm depuis au moins 6 mois, tu me fais venir jusque chez toi et tu me largues comme une merde par ton petit frére ... Quoi tu as un mec ? C'est qui ce mec ? Tu me trompes en plus ? ... Allez va te faire foutre !
Il envoya mon portable dans le décor. Je le vis s'éclater en plusieurs morceaux.
Eric non !! Trop tard.
Je ramasse les morceaux de mon portable.
Je vois qu'il est super agacé. Il enrage. Il commence à respirer très fort, il retire son bombers. Se retrouve en jean délavé et Tshirt noir moulant sa musculature de légionnaire.
Camille vient voir !!
J'avais trop peur de m'avancer vers lui.
Putain vient !
Je m'approche de lui tout doucement.
C'est pas vrai !!! Il prend son sac, sa veste et s'approche. Oh je vais pas te bouffer !
Tu n'aurais pas de la tune pour que je reparte ?
Non je n'ai que 45 euros pour retourner chez moi.
Putain tu n'as pas une carte ?
Ben non ! Mais toi tu n'as pas de carte bleue ?
Nan je suis en galére !
Il pris son sac ! Il l'ouvrit, pris un truc en secret dans sa main.
Restes ici !
Mais tu vas où ?
Il se retourne : restes là et fais gaffe à mon sac !
Il retourna dans la gare, je vis sa démarche dans son jean un peu large mais qui faisait apparaître un très beau cul musclé. Son dos en V malgré des petites hanches discrétes.
Au bout de 45 minutes, il revint.
J'étais assis par terre, adossé à un mur avec son sac à ma droite.
C'est son ombre qui me fit sortir de mes pensées.
J'ai pas de train avant demain matin, tu sais où je peux crécher cette nuit.
Non ! Sans argent c'est difficile !
J'en ai !
Avec ce que tu as pris dans ton ... je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'il me prit par le cou, me souleva, me colla au mur et dit : Pose pas de question Camille ! Si tu ouvres encore ta gueule, je te la défonce, comprendo ?
Je fis signe de la tête !
Et arrêtes de chialer ! Vient on va me chercher un hotel !
Je tremblotai de partout.
Putain Camille raméne ton cul !
Tout en reniflant : tu n'as pas besoin de moi !
Je me dirigea vers la gare !
Fais chier Camille !!! Vient !
J'accélerai le pas !
Je l'entendis courir derrière moi. Il m'attrapa par une hanche, me fit tourner d'un quart de tour, me colla à lui, me cramponna par son bras musclé dans le dos, me regarda : M'laisse pas comme un con !
Je veux rentrer chez moi Eric ! Je détournai le regard.
Il me prit par la nuque, attrapa mes cheveux et me regarda violamment !
Il me colla au mur, posa son sac tout en me gardant tenu par la nuque. Son autre main se posa sur mon cul.
T'es dingue toi.
Putain me force pas à être violent avec toi.
Il se colle encore plus à moi. Je sens qu'il bande dans son jean.
Vient avec moi à l'hotel !
Quoi, pourquoi faire ?
J'ai envie !
Envie ?
Tu sens ma queue?
T'es gay ?
Il se marre, me regarde et me dit à l'oreille : je vais montrer à ta petite chatte que je suis pas gay !
Il me prit par la hanche et me fit avancer.
C'est comme ci j'avais froid, ou des frissons, mon corps était tremblant. Mais j'avançai.
Au bout de 5 minutes, il y avait un hotel devant nous. Il me regarde, me sourit.
Vient !
Il me pousse vers l'avant.
On rentre.
Bonjour il vous reste une chambre ?
Oui, c'est 39 euros !
Il sortit un billet de 50 de sa poche arrière.
Vous faites des sandwichs, j'ai trop la dalle ?
Oui jambon beurre !
Parfait !
Deux ?
Non non un seul ! Lui il va manger plus tard!
On monte dans la chambre. On entre. C'est un peu vieillot. Les persiennes sont fermées, ça sent un peu le renfermer.
Il pose son sac, il ferme derrière lui. Pose sa veste sur le lit. Me regarde en coin.
Fous toi à poil !
Hein ?
Desape toi !
Il retire son T shirt, ouvre sa ceinture, dégraffe son premier bouton.
Il s'approche. Me retire mon Tshirt, ouvre mon froc, le baisse en même temps que mon slip.
Il m'assoie sur le lit en apuyant sur mes épaules.
Vas y suce moi !!!
Quoi ?
Il ouvre tout ses boutons, sort sa queue, attrape ma nuque : Suce moi la teub !
Il appuie mon visage, j'ouvre ma bouche et commence à le sucer.
Il gémit : hummm ! Ouais vas y !
Je commence à serrer un peu plus mes lévres, il a toujours sa main sur ma nuque, son jean ouvert.
Ouais c'est bon !!! Il bande plus encore, elle est plus dur.
Il léve ses bras pour s'étendre un peu.
Il me regarde. Ouais suce bien !!
Il passe ses mains sur ses fesses pour baisser son jean et son caleçon. Je m'arrête , je le regarde.
Il retire son jean, ses pompes et ses chaussettes. Il s'allonge sur le lit et me reprend par la nuque.
Vas y ! Il me guide vers sa queue.
Elle est pas mal grande, je m'étonne à y trouver goût. Il a un bras sous son cou et l'autre main sur ma tete, il caresse mes cheveux et gémit, humm oui !
Je le suce pendant environ 5-6 minutes. Je le regarde. Mon regard recherche l'approbation.
Tu suce très bien, continues !
Je souris.
Je m'approche de son visage.
Tu fais quoi là ?
Ben je voulai t'embrasser !
Dans tes rêves, suces moi la queue !
Je me remet à le sucer.
Fais voir ta chatte !
Quoi ?
Il se léve légérement et approche mon cul de lui.
Suce !
Je suis à 4 pattes le cul en l'air, il pelotte mon cul, il donne une petite claque.
Humm ouais suce bien !
Il passe son doigt le long de ma raie. Redonne une petite claque.
Il me pousse la tete et se léve d'un coup, saute du lit, m'attrape par les hanches et me met devant lui.
Cambre toi !
Hein ?
Putain, cambre ! Il pousse de ses mains sur mes hanches.
Hummm, oh putain tu vas manger toi !
Il crache sur ma rosette.
Humm tu n'as pas un poil, une belle chatte !
Il passe sa langue !
Humm ! Je gémit !
Ouais tu vas prendre toi !!
Il se met derriere moi, tape sa queue sur mes fesses, sur ma raie, sur ma chatte.
Oh putain, je vais te limer grave !
Il leve ses jambes, englobe les miennes, met de la salive dans sa main et l'applique sur ma chatte.
Il pousse légérement sur mon trou.
Detend toi !! Il me met une claque.
Sans que je m'en apperçoive vraiment il entre sa queue.
Hummm ouais !!
Mon souffle se coupe. Je suis entre sensation bizarre, presque douloureuse mais sans l'être.
Je crie : Hannn !
Il se retire légérement, et réentre.
Hann !
Hummm ouais. Il me caresse le dos jusqu'aux épaules et revient mes mes hanches.
Il commence un va et vient plus rythmé.
Il s'arréte un peu, me prend par le cou, me remonte.
Ca va ?
Oui !!
Tu va aimer, tu vas voir.
Il me cambre à nouveau et entre d'un coup.
Hannnn !
Il reste un peu en mois !
Ca va, tu kiffes ?
Hannn !
Il se marre et commence à se retirer pour revenir de plus belle.
Il donne des petits coups de reins plus régulier en tenant mes hanches.
Je me surprends à bouger légérement !
Ouais, bouges bien ton petit cul !
Hannn !
Il tape un peu plus fort. Tu as une bonne chatte! Tu les sens mes 20cm au garrot ? Hein ?
Oui, han, oui !
Oh putain je vais te pilonner la chatte toi !
Il me chope par les hanche, et commence à taper taper taper.
Humm Humm Humm
Ouais ! Ouais ! Oh putain !! Han, ta chatte !!!
Han han han
Ouais t'aime ça en plus ! Quelle cul de pute !! Han putain, je vais te forger ta chatte à ma queue !!
Son va et vient à durer une dizaine de minutes.
Il sortit sa queue, se branla au dessus de moi et éjacula dans mon dos 5 gros jets de foutre chaud.
Il me claqua la fesse droite en s'avançant de mon oreille.
Ta chatte est mienne à partir d'aujourd'hui.
Je reprennai ma respiration.
Il tombe à coté de moi, la queue toujours bandée.
Oh putain, comment t'es bonne ! Il souffle fort !
Dawson
Autres histoires de l'auteur : Lionel | Malik | Cul Béni | Voisin Serbe | Mon Beauf | Homme de ménage | Paul à la ferme | Tire fesse