Après avoir passé des mois à lire et relire les histoires bouillantes des meilleurs auteurs de ce site, je me lance à mon tour. J'espère que cette histoire vous plaira.
Pour commencer une petite description. Je m'appelle Maxime, 21 ans, 1m70 pour 63 kilos. Je pratique la musculation en salle depuis deux ans plusieurs fois par semaine et joue au tennis depuis plusieurs années (histoire de me défouler). Quelques années de rugby lors de mon adolescence m'ont permis d'avoir une carrure sympathique et des cuisses volumineuses.
Nous en arrivons donc à hier soir où, après deux jours de discussion ponctuelle sur un chat des plus connus puis par textos, un rebeu m'invite à passer chez lui le soir même. Le rendez-vous est fixé à 23h30 dans son appartement non loin du centre-ville, à une vingtaine de minutes à pied de chez moi.
C'est habillé d'un t-shirt blanc basique, d'un jean moulant noir et de la première paire de chaussures qui me tombe sous la main que je me rends chez mon partenaire du soir. La tête envahie par la musique, content d'avoir pris une veste avec le vent qui souffle, je fini par arriver à destination.
Je passe la porte d'entrée et c'est un beau rebeu de taille moyenne, la trentaine peut-être, les yeux clairs (je ne parviens pas à distinguer leur couleur avec la lumière tamisée qui éclaire l'appartement), les cheveux courts coupés à la mode actuelle, qui m'ouvre la porte. Il est souriant, décontracté, vêtu d'un short d'été, d'un t-shirt. Il m'offre un verre après m'avoir invité à m'asseoir. Nous discutons de tout et rien : ma vie d'étudiant, mes études, son boulot, la ville... Jusqu'au moment où, non content de faire connaissance avec un mec qui a de la discussion et me semble agréable, je lance :
- Et si on passait aux choses sérieuses ?
- Bah comme tu veux...
- Je suis venu là pour ça non ?
Sur ces mots, je m'agenouille devant lui qui écarte ses jambes. Je passe ma main par une des jambes de son short pour trouver sa bite molle. Je commence à branler sa queue tranquillement pendant qu'il saisit sa télécommande, lance un porno à la télé et choisi un moment qui lui plait. Je jette un coup d'oeil vite fait et vois deux mecs au bord d'une piscine, l'un pompant avidement l'autre sous un soleil magnifique. Il n'en faut pas moins pour me galvaniser : Je pars pour donner quelques coups de langue sur le gland de mon partenaire. Un short enlevé plus tard, c'est un sexe de taille moyenne au gland des plus appétissants qui se présente à moi. Sa queue engouffrée dans ma bouche, ses poils contre mon nez, j'entends ses premiers gémissements. (Ne lui ayant donné aucune information sur mes compétences, il avait dû se contenter d'un " Tu verras " lorsqu'il m'a demandé par texto si je suçais bien)
Je me concentre sur ma tâche et prends plaisir à aller chercher les gémissements de mon rebeu du soir. Je laisse ma langue tourner autour de son gland pendant que mes lèvres massent la hampe, je tète son gland, prends sa bite entière dans la bouche durant plusieurs dizaines de minutes. Je l'entends expirer à la manière d'un sportif sous l'effort et comprends qu'il retient son jus. Je fais alors une pause et choppe ses boules glabres dans ma bouche. L'une après l'autre, les deux soeurs glissent facilement dans ma bouche avant de se partager ma cavité buccale qui se trouve remplie des deux couilles du rebeu. Le plaisir est toujours là, omniprésent dans la queue qui se dresse à quelques centimètres de mes yeux. Sa main droite se glisse derrière ma tête pour me ramener à son pieu que je suce avidement. J'aime être dans cette situation : je réponds aux envies de mon partenaire, le laisse prendre le contrôle de ma bouche et prends mon pied à voir dans son regard la satisfaction du jeu en cours. Il fait claquer sa queue sur ma langue tendue, la replonge dans ma bouche chaude et humide. Il recommence à volonté, au rythme qu'il souhaite, va taper le fond de ma gorge ou au contraire laisse bien à ma langue le temps de caresser son morceau.
Ma tête retrouve sa liberté de mouvement et je décide de jouer un peu : je tiens sa queue à la base entre mon index et mon majeur et prends sa queue en bouche sans toucher son pieu chaud avec mes lèvres ou ma langue. Ce n'est qu'une fois son gland effleurant ma glotte que la gueule du loup se referme. N'ayant rien pu observer de mon petit jeu, c'est avec un " Enculé comme c'est bon ! " empreint d'un accent du sud que mon rebeu s'exclame de plaisir. Je suis satisfait de ma manoeuvre. Je recommence une nouvelle fois et déclenche la même exclamation !
Je décide de faire une pause. J'entends les deux acteurs gémir de plaisir et laisse la tension retomber un peu. Je ne veux pas qu'il jouisse de suite. C'est donc une dizaine de minutes plus tard que je retrouve le chemin de sa queue, à genoux cette fois-ci. Il me lime la gueule, lâche quelques compliments sur ma façon de sucer et se rassoie sur le canapé. Je reprends sa queue en bouche et sens ses doigts glisser sous mon boxer, le faire descendre pour tâter mon trou (qu'il doit trouver sympathique vu le " hmmmmm "qui sort de sa gorge). Quelques allers-retours de ses doigts entre sa bouche et mon cul pour y apporter de la salive et mon cul se retrouve pénétré d'un de ses doigts assez large. Il rentre et sort non sans une légère douleur pour moi.
Il me fait me mettre sur le dos, la tête contre l'accoudoir, relève mes jambes et commence un véritable léchage de cul de professionnel ! Submergé par le plaisir de sa langue travailleur et de son regard enfoui dans le mien (je découvre alors que ses yeux sont bleus !), je me laisse aller à quelques gémissements lorsque l'humidité de sa langue se fait sentir dans mon trou qui se dilate petit à petit. Les minutes s'écoulent, les gémissements de nos voisins pixélisés se font entendre, mais je ne parviens pas à dire combien de temps je me suis fait bouffer le cul... Je saisi mes jambes avec mes bras et tire encore dessus afin de lui présenter davantage mon cul chaud et envieux. Le message est passé ! Il saisit une capote sur la table basse, l'enfile. Du lubrifiant est glissé dans mon trou et un son gland vient se présenter à mon anus. Son regard se plonge à nouveau dans le mien et c'est centimètre par centimètre qu'il me pénètre. Je gémis de douleur, la capote ne glisse pas énormément et le gel de mauvaise qualité des saunas n'est pas le top non plus. Il coulisse doucement en moi et prends le temps de faire les choses bien. Un technicien ce rebeu ! Les minutes s'écoulent et le passage est de plus en plus facile. C'est ensuite mes deux jambes du même côté et à la perpendiculaire de son corps qu'il m'enfile. C'est trop bon ! Son gland joue avec mon anus. Cela me fait gémir et je sens qu'il se plaît à me faire geindre comme ça.
Viens la levrette au bord du canapé, c'est la tête dans les coussins que je me fais mettre. Du lourd ! Il varie les rythmes, du plus lent au plus rapide, en sortant complètement de mon cul pour y revenir à fond d'un seul coup de reins ! Un technicien je vous disais. Je n'ai plus de notions du temps, je sens juste mon anus s'ouvrir pour le laisser passer. Il continue de jouer et moi je mouille de plaisir, à tel point que je lui demande s'il a rajouté du lubrifiant. Son " Non non " amusé me confirme que j'étais en train de prendre littéralement mon pied.
- T'as une putain de chatte ! C'est trop bon putain !
-Alors, c'est bon un cul de blanc ?
- Enculé ouais que c'est bon !
Il prend son pied et moi le mien. Il continue de me limer et là je commets l'erreur d'attraper ma queue pour commencer à me branler. Toujours ancré dans mon cul, me tenant par les hanches, il me déglingue. Je me branle et quelques secondes plus tard, dans un tsunami qui me ravage le corps, je finis par jouir avec un flot incessant de sperme. Je perds littéralement pied. Serré brutalement dans mon cul, la capote de mon rebeu se remplie elle aussi. Une jouissance presque simultanée qui met un point final à ce putain de bon moment de sexe.
La soirée se finit sur le canapé où, après avoir bu un verre et s'être nettoyé, on finit par sombrer dans un sommeil bien mérité. Sur les coups de 3h, je le sens qui me secoue pour me réveiller. Mon rebeu me propose de dormir chez lui et de rentrer le matin. Il m'en faut pas plus, je me dirige vers la chambre, m'allonge dans le lit et 45 secondes plus tard plus personne. Le lendemain, 10h, on se réveille. On discute un peu, apparemment on a bien dormi tous les deux. Ayant chacun des choses à faire, je bois un dernier verre de jus de fruits et quitte son appartement dans la bonne humeur.
C'est sur les coups de 14h que j'ai reçu un texto de sa part (je cite) : " Srx g tro kiffe t'as une bouche et un Q d'enfer ".
J'espère que cette première histoire vous aura plu. Si jamais des auteurs et/ou lecteurs ont des conseils à me donner n'hésitez pas.
Gaymeboy93
Gaymeboy93@gmail.com
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