Comme promis lors de mon précédent récit de ma rencontre avec un motard je me décide enfin, grâce a vos messages sympa, de vous raconter mon autre bon plan cul de cette été.
Toujours via une annonce début juillet je reçois le message suivant:
" Salut mec! Tu m'as l'air bien chaud! Moi kiffe plan nature en tenue style pêcheur, mili. Si cela te branche?"
Il se décrit comme pas mal la trentaine en couple qui veut du discret. Bref classique! Le tout avec une pic ce qui est rare d'un mec en pantalon kaki botte et grosse teub longue et pendante sortie de la braguette.
Bien cadrer on ne voie que cela!
Me fait pas prier pour répondre avec quelques pics de mon cru bien chaude évidemment. La réponse est aussi chaude le gars est branché vêtement moulant bottes bref un fétichiste bien prononcé et je kiffe!
Moi adore tenue moulante lycra, jeans près du corps, cuir, speedo, boxer bref tout ce qui met le meilleur du mâle en valeur!
On s'échange des pics il n'y a pas de doute on est en phase, le mec m'envoie des pics ou j'ignore plus rien de ses goûts pour les tenues cuissardes et autres du genre moulant.
Reste a concrétiser un rencart, il veut un plan en nature, un scénario bien ficelé du genre gars qui se chauffe à distance s'allume a petit feu pour commencer.
Il veut de la bonne pelle profonde, un plan long, et me coller sa teub dans le fion!
Cela se refuse pas!
D'après les pics il a du lourd!
On se fixe un RDV à 5 bornes de chez moi le long d'un canal déserté ou il me dit qu'il n'y voie jamais grand monde. J'y vais en repérage cela s'annonce vraie pour le lieu.
A 15h00 le scénario démarre moi en sportif moulant lycra noir tee-shirt et short du même genre qu'on matte bien. Petit sac avec un peu de matos, capote, gel etc.
Lui me fera la surprise, je déambule genre coureur qui découvre ce coin ou il n'y a rien, à l'abandon, et espère voire mon gars venir.
Au loin dans le chemin un mili kaki botté sac sur le dos arrive pas de doute c'est lui!
On se connais pas, pas question de se sauter dessus, matage des tenues à distance moi assis, lui appuyer contre l'écluse.
On bouge pour mieux se mater, le gars un peu mince mais tronche et sourire bien vicelard. Mon lycra se gonfle et le pantalon kaki laisse deviner un barreau épais.
On s'enfonce dans le bois et a distance on se zyeute un max. Et contre un arbre sa teub sort de son étroit logement.
Il y a du lourd, il se branle, on s'observent sous nos lunettes noires sans perdre une miette des gestes de l'autre.
Moi je bande et le lycra et tendu sous ma pogne caressante!
J'ai le cul en feu et je veux goûter cette bite!
On se tourne autour le gars m'avait prévenu c'est toi qui attaque, un actif qui me laisse les commandes c'est rare je vais en profiter!
Je lui tourne autour le gourdin est lourd, je lui fait signe d'approcher, il le fait.
On se fait face, je lui attrape ce mandrin chaud que je touche délicatement sans plus. Il gémit et respire fort, moi je me touche sous le lycra.
Je passe derrière lui et lui fait sentir mon souffle sur sa nuque et me colle doucement à lui. Petit coup de langue sur la nuque je l'attrape par la taille et le colle à moi.
Mes pognes l'entoure, l'une le tient contre moi, l'autre lui serre la bite.
Je lui lèche l'oreille, la joue et le branle doucement, il ronronne de plaisir!
Sa bouche appelle la mienne, je fais durer le plaisir!
Je lui fais face et lui tient la tronche pour diriger sa bouche contre la mienne.
Je suis un peu plus grand que lui, nos langues se mélangent et c'est partie pour une bonne pelle ventouse qui dure!
La première d'une longue série! C'est trop bon et cela dure!
Je lui remballe la bite et on bouge pour un arbre qui va nous servir d'appuye pour se ventouser la bouche.
Nos bites sont tendu au max sous nos costumes!
Elles se touchent et mouille en conséquence. Il kiffe les pelles profondes! Moi aussi! Nos gémissements sont perturber par une moissonneuse toute proche.
Cela nous arrête pas on se bouffe le visage, les oreilles c'est chaud.
Enfin je me désape en virant le short lycra obstacle pour la suite du programme.
Il sort sa bite profitant de ma position basse. Il est temps que je goûte ce beau sucre d'orge!
Putain le morceau! Je n'en avale qu'une petite longueur, le diamètre est affolant!
C'est un vrai gourdin du style 6/7 par 21 cm, il s'en était pas vanté ce qui est rare!
Je le lèche en remontant la colonne bien épaisse et ne résiste pas à lui bouffer les burnes. Qui sont de belles dimensions mais elles ont l'air petite sous ce gros manche!
A sont tour de me bouffer la bite, il pipe bien le salaud!
Et la moissonneuse revient dans le champ en bas du bois. On est comme en transe deux vicelards bien allumés qui se pelle un max en gémissant.
Mon gars tourne la tête et stoppe ma langue profonde et attire mon regard.
Le mec de la moissonneuse s'est arrêté, descendu de sa machine à la lisière du bois il zyeute notre spectacle!
Nos deux bites sont au garde à vous, et sublime sa douce paluche nous branle les deux teubs bouillantes collés l'une à l'autre.
On s'est pas échangé un mot depuis le début et c'est moi le premier qui fait entendre ma voix: "Putain je la veux ta bite dans le cul! T'as envie?"
Question con!
Sa voix se fait entendre: "J'ai trop envie de te baiser!"
La seconde phrase sera de demandé une capote et le moissonneur remonte dans son engin. Je sais pas si il avait le gourdin ni même la tête qu'il avait!
Mais sur le moment on en avait rien à foutre et pas besoin de lui pour s'éclater.
J'écarte les cuisses et en bonne femelle offre mon trou qu'il s'empresse de me bouffer copieusement et de me lécher un max il est trop fort ce type!
Je couine, je suis ouvert un max mais ce sera pas de trop, je réclame sa bite!
Il va faire fort!
A peine sa capote enfilé il me pointe son gros gland sur mon trou hyper lubrifié, et d'un coup de rein sans faillir m'enfourne sa tige d'une traite!
M'arrachant un crie au passage!
Lui aussi couine de plaisir mais moi je crois défaillir j'ai le jus au bord de la sortie, le coeur qui bat la chamade!
Et sa bite de taureau m'éclate dans un mélange de douleur et des sensations indescriptibles!
Il me lime sur toute la longueur de sa queue. J'essaie de la calmer en lui caressant les couilles, de lui ralentir le mouvement, rien à faire!
J'ai la queue qui gonfle et s'écoule la mouille comme un collégien le jour de son dépucelage.
Bien caler au fond de mon trou je l'entend répéter c'est bon, je dérouille!
Il a les deux mains qui me serre la taille et rythme la cadence.
Quant il lui prend l'idée d'en libérer une pour m'attraper la queue et de commencer à me branler, je lui dit d'arrêter illico!
J'ai la barre en feu! Mon cul se contracte sur sa teub, la machine s'arrête on est au bord du tire jus!
La sarabande repart j'ai les deux mains appuyées (ou accrochées!) contre un arbre.
Cela démonte grave derrière, et là se produit un truc que je croyais plus possible!
Sous les coups de rein sans que je me touche sous l'effet du marteau pilon j'ai la queue qui devient raide à mort! Elle se redresse sous les soubresauts, j'ai tout le corps qui se tétanise et Je me fous à jouir comme un jeune puceau sans même me toucher la bite!
Trois grosses giclée de foutre m'arrache un crie qui font tressauter mon mili botté!
J'ai cru tomber tellement c'est bon! Je suis out!
Il est lui aussi au bord de cracher mais il veut retarder encore l'inéluctable en se retirant de mon trou bouillant!
Je tremble de plaisir.
Une bonne grosse pelle s'impose avec bouffage de nib qu'il a de peu sensible d'ailleurs. Sa bite et au max et elle tressaute en cadence.
On se comprend tout les deux que je dois m'en occuper par un bon pompage dans les règles.
A peine commencer le gourdin gonfle encore il me dit: "Je vais cracher! Ça vient!"
A peine le gland sortie de ma bouche qu'une grosse giclée foutre jaillit comme un geyser et s'écrase lourdement dans le lierre!
Dans un long gémissement entrecoupé de "putain c'est bon" sont pantalon kaki reçoit des éclaboussures de foutre.
Trois autres salves suivront, moins intense, elles me crépissent la gueule au passage! Faut se l'avouer je kiffe le spectacle et sûrement aussi le foutre!
J'ai une belle vue sur ses jambes fines a ses pieds qui tremblent de plaisir.
Il souffle comme un diable et surpris lui aussi de cette jouissance intense.
A croire qu'il avait pas giclée depuis six mois! A peine relevé il m'attrape le visage pour me rouler une bonne pelle sans se soucier de son jus que j'ai au coin de la gueule!
Dans le genre déprave chaud on s'est bien trouvé, on se ressape un peu, mon gars s'allume un joint, il est au nirvana. Moi aussi!
48 heures auparavant je connaissais même pas ce coin, ni le canal, ni un mec aussi bouillant dans ce trou perdu. On a bien échangé assis au pied de notre arbre.
Si d'habitude j'évite les longues conversations après baise, car c'est toujours navrant d'entendre le récit des problèmes conjugaux! La béatement j'étais open!
Une bonne baise cela réussit bien, on s'est envoyé des mails bien hot dans les semaines qui suivirent, et il y a moins d'un mois il est passé à la maison.
On a pas résisté à la tentation de se rouler une petite pelle quand même, mais c'était bien fade après ce qu'on avait connu.
Et la tenue n'avait rien de sexe, mon gars me dit je kiffe pas un plan baise dans un lit! Cela fait trop devoir conjugal!
Je lui ai envoyé mon récit il m'a répondu laconiquement: "j'ai la gaule!"
La vérité je crois, on s'est un peu trop kiffer...
Avec le motard cela reste un de mes meilleurs plan de 2014 pour l'instant.
N'hésitez pas à me faire parvenir vos commentaires.
David
davidtroyes@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur : Le long du canal | Le motard