C'est vendredi après-midi. Je reçois un SMS d'un ami qui m'invite chez lui à passer la soirée. Bien sûr, j'accepte l'offre. Cet ami, appelons-le Marc, a une ferme laitière. Je vais avec lui faire la traite de 21 h. Nous préparons l'équipement et nous le mettons sur les pies. Le lait y va et pour une raison que j'ignore, je commence à bander. Étant gonflé, j'essaie de penser rapidement quelle serait la meilleure façon de me soulager. Mon ami est à l'écurie pour quelques instants: je dois faire vite avant son retour. L'idée du siècle me vient et je passe à l'action. Je prends la machine qui pompe les pies pour me pomper la queue. Il n'en a pris que 5 secondes avant que ma teub soit complètement vidée. C'est la joie, le plaisir; c'est parfait comme sensation. Mon ami arrive et me voit rapidement remettre mon pantalon. Avant même qu'il prononce un mot, je vois sa queue gonfler à block à travers son survêt: il ne peut plus rien cacher. Je comprends donc qu'il me trouve de son gout. Nous nous avouons donc l'attirance que nous avons. Il bande de plus belle, alors il me prend farouchement l'une de mes mains et la pose sur sa bosse. Bien que je sois vide, il n'en prend que quelques instants avant que je bande fort aussi. On ne sait plus quoi faire. Cette attirance nous trouble. On a envie de faire l'amour, mais on trouve cela étrange puisqu'on a toujours juste été amis. Quoi qu'il en soit, l'excitation nous mène jusqu'à la réserve de foin où nous nous couchons l'un sur l'autre, face à face, survêt contre survêt. Nous nous roulons dans le foin tout en se serrant les fesses de plus en plus fort. Le tissu si doux de son survêt fait en sorte que je suis incapable de lâcher son cul. On se met à baiser, des becs chauds, des langues entremêlées. Nous finissons finalement par se déshabiller complètement. Je me mets à quatre pattes. Mon ami vient derrière moi, écarte mes fesses tout en lubrifiant ma rondelle de sa bave puis il entre tranquilement sa queue dans mon petit trou serré. Il y va premièrement avec de léger va-et-vient en me massant les tétons. Plus le temps passe, plus il accélère le rythme et serre plus fort mes tétons. "Fais la vache meuh, meuh...", ne cesse-t-il pas de me crier. Je beugle de joie et cela ne fait que l'exciter davantage. Son jus coule dans mon cul, il ressort sa queue et prend une bonne respiration. "Salope, à quatre pattes mon petit mouton. Je t'y ferai goûter.", lançais-je. Je l'appelle mon petit mouton, car il a une chevelure blonde bouclée plus douce que de la laine. Une fois prêt, je lui lèche l'anus et ensuite je le sodomise farouchement. Lorsque nous nous retrouvons tous les deux vides et épuisés, nous remontons nos survêts et retournons au boulot. Quand on a fini, mon ami m'invite à coucher chez lui puisqu'il ne veut pas que je reprenne la route à cette heure (23 h). Je vous laisse imaginer la suite...
Adamhorny
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