Il ressemble à Florian Manaudou, le nageur olympique : grand, 2 mètres, bien bâti, 100 kilos, sans gras. Régime natation et muscu. Je l'accompagne parfois à la natation. Florian (il s'appelle aussi Florian) a vraiment un corps d'Apollon avec une grande carcasse faite d'épaules larges, de bons pecs, d'abdos saillants. J'ai cependant remarqué aux vestiaires qu'il était peu outillé : petite bite au repos, qui tranche au milieu de ce quintal de viande ; si bien que sous le boxer ou le slip de bain, on ne voit rien ou presque.
Du coup, à côté de lui, j'évite de m'exhiber pour ne pas le gêner : je suis nettement plus petit, 1,75 m, mais assez bien monté (19) surtout au repos (15) : je suis un shower et non un grower, comme on dit, c'est à dire qu'au repos ma bite est presqu'aussi grosse qu'en érection. De grosses couilles aussi, si bien que j'ai toujours une belle bosse dans le slibard. Ca donne de la confiance en soi, dans les vestiaires ou avec les filles, on sait au moins que sur ce plan-là on assure et qu'on fait des envieux. Mais quand je sors de la piscine avec Florian, je ne la ramène pas : j'enfile assez vite mon futal, en évitant de me promener la bite à l'air ou en slip, pour ne pas le complexer, même si on n'en a jamais parlé. Maintenant, bien sûr, quand on est près des plongeoirs, je suis bien obligé de me montrer en slip de bain, puisque c'est obligatoire : il ne peut pas alors ne pas voir que je suis plutôt bien monté ; et il sait aussi que je vois que ce n'est pas son cas.
C'est un pur hétéro pour autant qu'on puisse en juger. Je l'ai vu sortir avec deux ou trois copines différentes. Mais jamais on n'a parlé de taille de sexe.
Jusqu'à ce qu'on couche ensemble, enfin, pour être plus précis, qu'on partage le même lit. C'était un soir, après avoir révisé ensemble, il était trop tard pour que je rentre et Florian m'a proposé l'hospitalité.
Je rentre dans le lit et il me dit en regardant mon gros paquet qui déforme mon slip noir :
- t'es bien monté quand même.
- oui, pas trop mal, c'est vrai
- elle mesure combien ?
- 19 et la tienne ?
- 13 et c'est encore pire au repos : 5. En plus elle est fine. Bref, c'est pas çà...
- ça ne te gêne pas avec les filles ?
- un peu, toujours : elles s'imaginent qu'avec mon double mètre, j'en ai une grosse, alors forcément, quand je me désape, elles sont étonnées, déçues. Une fois, y en a même une qui a ri !
- ça t'empêche pas pourtant de les baiser !
- non bien sûr, je compense, on invente des positions et je sais les malmener un peu pour qu'elles jouissent mais tout de même, parfois j'aimerais bien en avoir une comme la tienne. Ca serait plus proportionné avec mon gabarit. Même dans les vestiaires, ou sous les douches, je m'habitue à la longue au fait d'en avoir une petite mais quand même : même si on n'a jamais osé rien me dire vu que je suis balèze, je devine que par derrière... A la piscine, aucune bosse sous mon slip alors que j'ai des partenaires d'entrainement sacrément zobés : c'est gênant parfois. En seconde, je me disais : les autres trichent, c'est pas possible, ils mettent des mouchoirs dans leur slibard...
- en fait, faut pas croire que les autres en ont une bien longue : on voit surtout celle de ceux qui sont bien membrés, qui s'exhibent et qui friment devant les autres en mettant une plombe à se désaper pour qu'on les voie bien : mais tu peux me croire, les autres, la majorité en fait, sont pas très bien outillés, certains se paluchent même un peu avant de se désaper pour la faire grossir et faire illusion... sans çà...
- ouais, enfin bon, moi si je me paluche, ça ne donne pas grand-chose. J'ai une p'tite bite, j'ai une p'tite bite, c'est comme çà.
- c'est comme tes pieds, en fait : t'as de petits pieds pour ta taille. Du 46 pour 2 mètres... tu devrais faire au moins du 50 !
- ouais, du 46 fillette. La même pointure que toi, tiens, alors que tu fais une bonne tête de moins ! Ca doit être çà : t'as des péniches à la place des pieds, et un gourdin à la place de la bite : c'est automatique, çà va ensemble. Et moi, je suis sous-dimensionné des pieds, donc sous-dimensionné de la bite !
Et il se mit à rire en laissant ses pieds dépasser du lit.
- ils sont pas beaux mes panards ?
- cela dit, t'es musclé, çà compense.
- oui, d'ailleurs, c'est sans doute pour compenser que je pousse un peu de fonte.
Et en rigolant il contracte d'une façon qu'il veut ridicule ses biceps et ses pecs : il a beau poser pour rire, ça fait son petit effet. Il est assez balèze quand même.
- Ca plaît toujours aux filles, un peu de muscles, ça les rassure d'avoir près d'elle de gros bras protecteurs...
- en même temps, niveau teub, faut vraiment que tu te dises que t'es dans la moyenne, ou juste un peu en dessous. Y a des sites qui disent que la moyenne est plus proche de 13 cm, çà relativise.
- j'en doute. C'est plutôt 15 la moyenne, non, pas 13 ? Et puis, même, 13 ou 15, çà fait petit par rapport à mon torse très long. Maintenant, je me suis fait une raison : faut faire avec. On va dire que j'en ai une petite qui frétille...
- en fait, la bonne taille, çà dépend des nanas, certaines sont plus étroites que d'autres, elles ne cherchent pas toutes des bazookas, même le mien, çà ferait peur à certaines...
- et pourquoi tu crois que je ne sors qu'avec des naines ? J'ai compris le truc.
Effectivement, sa dernière conquête ne dépassait pas le mètre 60 : çà faisait drôle de les voir marcher côte à côte, et encore plus de les imaginer dans le même lit... Je le vois la couvrant totalement de son corps démesuré, ses petites fesses puissantes et musclées montant et descendant pour défoncer à un rythme régulier sa petite chatte serrée. Elle n'a sûrement pas à se plaindre...
Ca me donnait des idées :
- t'as pas un bon film de boules qu'on pourrait regarder avant de se pieuter ?
- tiens, j'en ai un avec Mandigo, me répond Florian en lançant la video.
- putain, il est trop bien monté celui-là, c'est limite handicapant, une bite pareille. On a du mal à croire que çà puisse exister en vrai.
Et voilà qu'on commence la main dans le slip à se palucher sous les draps, et que nos bites se mettent à gonfler, pendant que Mandigo s'active.
- lui : çà te gêne si je me branle devant toi ?
- non (j'étais surpris de sa demande, le pensant plus pudique, mais je n'étais nullement gêné, au contraire)
Il retire les draps et je vois sa petite queue sous sa large main. C'est vrai qu'elle est pas très grande. Je sors la mienne : bien longue, bien grasse, je m'astique d'abord main droite, puis main gauche (çà change les sensations, j'aime bien) puis des deux mains. A l'écran, la fille tente de sucer le bout de bois interminable de Mandigo : elle peine à gober juste l'énorme gland tandis que son autre main couvre à peine la moitié de ce qui reste. On est vraiment dans la 5ème dimension, au-delà du réel, au pays du braquemart monumental. Voir çà, ça me donne un peu plus de vigueur, je bande de plus en plus dur. Florian, lui, me regarde me branler : il ne peut s'empêcher de siffler d'admiration :
- belle bite, quand même ! Je peux toucher pour voir l'effet que çà fait ?
Il commence à me branler, doucement, puis plus énergiquement. Sa grande main ne suffit pas à couvrir mon gros chibre.
- en plus, elle est grosse ! La mienne, deux doigts suffisent, sinon je ne la vois plus. La tienne, c'est facile deux fois la mienne, trois fois peut-être ! Putain, elle est vraiment belle. Avec ce gros gland, ces veines...
Il continue son exploration, soupèse mes grosses couilles et revient caresser ma grosse bite
- ça doit être une bonne sensation d'avoir çà entre les jambes : avec un truc comme çà, je passerais mon temps à me branler. Ou à remplir des chattes. Elle est vraiment trop bonne, ta bite...
- t'inquiète pas pour elle, je la sors de temps en temps !
Il continue à m'astiquer, en accélérant le rythme, tout en se paluchant de l'autre main. Je regarde sa large poitrine se gonfler et se dégonfler : quel torse puissant ! Il a des tétons larges et bruns, au milieu d'une belle peau blanche complètement imberbe. Ca me fait durcir un peu plus : mon gland prend une belle couleur rouge grenat, mes veines gonflent, ma bite atteint des proportions que je lui avais rarement connues. Et la fille continue à sucer l'hallucinant mandrin de Mandigo...
On décharge presqu'en même temps : lui des jets puissants, clairs, qui lui noient le torse et le menton. Une vraie fontaine à sperme. Je n'avais vu çà que dans certaines compils d'éjac sur internet. Il en a sur la gueule, dans les yeux. Ca n'en finit pas de gicler. Moi, seulement quelques jets de sperme, mais du bien épais, bien blanc, qui coulent le long de ma hampe et viennent se noyer dans mes poils pubiens.
- t'éjacules toujours autant ? Putain, il y en a partout. T'as pas dû dégorger depuis plusieurs jours, toi, pour envoyer la purée comme çà ?
- j'en ai plein le visage, je sais...
- et même derrière toi, sur le mur, y en partout je te dis...
- ah ouais, quand même (après avoir regardé le mur). En fait, çà ne m'étonne pas, c'est toujours comme çà, quand je me branle. Faut d'ailleurs tout le temps que je fasse gaffe : les premières fois que je me branlais dans ma chambre, y en avait également partout, sur les draps, la moquette, le mur. Ma mère n'a jamais rien dit, mais je pense qu'elle se doutait. Depuis j'ai appris à contrôler l'engin et à diriger les jets sur moi : çà fait moins de dégâts ! Enfin, j'en ai plein le visage, là, faut que j'm'essuie, c'est pas très agréable.
- tu vois, j'aimerais bien gicler comme çà, c'est trop la classe, trop viril...
- enfin, en même temps, les filles n'aiment pas tellement çà, hein... Ca sert à rien d'éjaculer tant de litres... Bon, je vais m'essuyer.
Il soulève sa grande carcasse imberbe : le voir ainsi dans la demi-pénombre, avec ses larges épaules, et son petit cul, me fout la gaule. Il a un vrai petit cul de black en fait, bien qu'il soit blanc : des hanches étroites qui contrastent avec ses larges épaules, et des fesses charnues et musclées, rebondies, avec une forte cambrure des reins. Debout ou allongé sur le ventre, il est vraiment excitant. Je m'étonne moi-même de ces réflexions qui me viennent à l'esprit, et de ma gaule qui vient gonfler mon chibre, alors que je suis pourtant hétéro. Et en plus, on vient de décharger, ça devrait me calmer : mais rien n'y fait, sa vue me fait gonfler la bite. Il se retourne : c'est vrai que sa bite est petite, noyée dans cet immense corps.
J'essaie de penser à autre chose, pour faire baisser la tension dans le slip : pas facile. On se couche tout de même. Le lendemain, au réveil, j'ai une sacrée gaule : il l'a remarquée.
- Tu devrais prendre des slips plus grands, du XXL ! Là, c'est trop petit, le tissu va craquer,
et de partir dans un grand rire tout en me tapant la cuisse gauche. C'est vrai en tout cas que la tension est forte : çà soulève l'élastique du slip au milieu, on sent le gland chercher une porte de sortie, il étouffe dans aussi peu de place. Ca fait une sacrée barre à gauche, bien épaisse, avec un bout de gland qui sous le tissu dépasse de la cuisse. De ces barres dont on avait un peu honte quand nos mères nous surprenaient avec, les premières fois.
Bon, cette gaule du matin, il va quand même falloir que je m'en débarrasse. En plus, avec lui à côté, ça n'arrange rien, je crois que çà m'excite encore plus, ce qui est un sentiment totalement nouveau pour moi : jamais jusqu'ici un mec ne m'avait fait bander. Mais, ce corps démesuré, ces épaules puissantes, ce petit cul frais, cette peau imberbe et cette belle voix grave, ça me chauffe grave, je sens ma bite bouillonner, prête à exploser...
- il faut que je te dise un truc, Florian. En fait j'ai l'habitude de me branler le matin pour éviter les érections intempestives dans la journée. Ca me calme. Ca ne te gêne pas ?
- non, vas-y, je vais prendre une douche.
Je commence à me caresser. Quand il revient, je n'ai toujours pas fini.
- tu veux que je t'aide à te finir ? dit-il en rigolant
- chiche ! Sans savoir si c'était du lard ou du cochon.
Et, ni une ni deux, il s'agenouille près du lit et vient poser sa grande main sur mon chibre : c'est à la fois doux et puissant, une sensation très agréable. Il va et vient, il caresse mes grosses couilles velues de l'autre main, je ne tarde pas à exploser : 4 jets épais qui coulent et viennent souiller ma touffe. Après quelques mouvements, il lâche mon chibre qui retombe lourdement sur le côté, encore gonflé de l'effort fourni.
- merci, p'tite bite, dis-je affectueusement en lui passant la main dans les cheveux.
- elle est vraiment belle, ta queue.
- tiens, tu bandes aussi. Tu veux que je te soulages ?
et me voilà à le branler, moi assis sur le lit, avec ma demi-molle bien lourde qui pend entre les cuisses, lui debout. Je caresse ses petites boules, son périnée et vais jusqu'à l'anus : il ne dit rien. Soudainement, c'est l'aspersion générale : ça fuse de tous les côtés. J'en ai partout : la gueule, les yeux, le torse, les draps, le mur derrière moi...
- eh ben dis-donc, je crois que je ne m'habituerai jamais.
- moi non plus, tu sais, çà me surprend encore un peu aujourd'hui. C'est toujours violent comme décharge, pas toujours facile à contrôler...
Il me tend un sopalin pour que je m'essuie.
On s'est revu une semaine après. Il m'a dit que grâce à moi c'est encore mieux avec les filles. J'étais interloqué, je ne comprenais pas. Il me dit que ma bite lui avait donné l'idée de stimuler sa nana avec un gode en latex souple : il en a acheté un de dimension 20*15, soit une taille proche de celle de ma bite. Avec çà, me dit-il, il arrive à bien dilater dans tous les sens la chatte de sa copine ; il la finit ensuite lui-même façon marteau-piqueur, compensant par l'énergie les centimètres qu'il lui manque : elle est au 7ème ciel, selon lui...
Moi, je me dis que je lui introduirais bien mon gode réel, celui que j'ai entre les jambes, dans son petit cul ferme et nerveux. Pas du latex, non, de la vraie chair bien dure et bien veineuse. " Façon marteau-piqueur " comme il dit, si çà lui fait plaisir... Cette pensée m'affole : c'est la première fois que j'ai envie d'enculer un mec. Il ne le sait pas encore. Qui sait, un jour, peut-être ?
L.
lautreamont@sfr.fr
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