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HISTOIRE

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Mon coloc et mes fantasmes -1

Les vacances de février

Je vis en coloc depuis le début de mes études. Et cela fait deux ans que je partage un appart avec Ben et Morgan. Lorsque l'ordinateur de Ben le Plantât je lui ai naturellement proposé d'utiliser le mien le temps pour lui d'en trouver un autre ou de le faire réparer. Plus intelligent que moi il enregistrait tout sur des disques durs externes, i pouvait donc poursuivre ses exposés en court, donc cette perte ne l'affectait donc pas plus que cela. Il s'avère même que c'est mon quotidien qui s'en verra le plus bouleversé. Ma première erreur fût de ne pas lui créer un compte personnel. Bref cela devait être provisoire, je ferai donc attention à effacer l'historique compromettant.

Les vacances de février débutèrent et Morgan quitta la coloc pour passer une semaine au ski, Ben restait pour bosser ses cours et un exposé. Quant à moi, j'avais un job en parallèle, et j'en profitais pour faire plus d'heures. Le lundi soir, en arrivant je trouve Ben sur le canapé entrain de lire. Je lui demande s'il était seul, faisant allusion à sa petite amie. Il me confirma que se sera une soirée au masculin, tel furent ses mots. Je pars dans ma chambre, y récupère quelques affaires puis direction la salle d'eau. Je prends ma douche, passe un peu de temps devant le miroir. Ben frappe à la porte mais sans attendre mon invitation entre rapidement direction les toilettes. Juste vêtu d'un caleçon je lui fais comprendre qu'il abuse. Il est debout a mes côté face au mur et aux toilettes. Il appui sur l'élastique de son survet et sans gêne sort son sexe à demi raide et en fermant les yeux commence à se soulager. " Désolé mais je ne pouvais pas plus attendre, j'étais pris par ma lecture et je me retiens déjà depuis un bout de temps " effectivement ça n'en finit pas. Mon regard descend pour admirer ses bijoux à l'aide du miroir. Une de ses mains maintient son pantalon et son sexe alors que l'autre relève son tee-shirt laissant apparaitre le bas de ses abdos et un pubis entretenu. Je suis rappelé à l'ordre lorsqu'il remonte son pantalon. Il me tape sur l'épaule amicalement et s'excuse à nouveau.

Lorsque que je libère la pièce Ben saute du canapé et s'y engouffre. Je trouve à m'occuper dans le salon le temps qu'il se lave pour pouvoir l'admirer à sa sortie. Contrairement à moi il ne prévoit jamais de change et retourne à sa chambre avec juste une serviette autour de la taille et son linge sale dans les mains. Je suis quelqu'un d'ouvert d'esprit, même si je ne compte que des aventure avec des filles jusque là, je reconnais que les hommes occupent une part de mes fantasmes. Et la serviette qui fuit la taille de Ben en fait partie.

Je suis accroupi devant la machine à laver lorsqu'il sort. Comme il est dans son costume de parade. Mais il emprunte un détour en ma direction.

- Tu lances une machine ?

- Oui.

- Je peux y rajouter mon linge ?

- Ok .

Il le pose sur la machine pour le trier. Je fini de préparer le mien à genou, quand l'impensable arrive. Je n'en crois pas mes yeux, j'ai devant moi son sexe pour la deuxième fois aujourd'hui. S'est une invitation à la perversion ou quoi.

- Ah merde ! chié

- C'est... C'est rien t'inquiète.

Ma gorge est nouée et je dois rougir. Mais lui ne semble même pas géné. Il ne se précipite pas pour rattraper sa serviette, et ne cherche même pas à se cacher, alors que son sexe semble plus gonfler et plus dur que lors de sa première exhibition. Je ramasse le morceau de tissu, et lui tend.

- Ah merci, attends juste je fini ça.

- Huuum c'est gênant quand même (j'ai surtout une énorme envie d'y goûter)

- On est fait pareil qu'est ce qui pourrait être génant ? (Que ton érection m'en provoque une)

- Oui enfin que je sois à genou devant toi à poil ! Si, moi je trouve ça génant.

- On est entre mec tu as la même, et puis je trouve ça marrant.

- Marrant c'est pour toi un synonyme de embarrassant j'espère.

- Non plutôt d'inspirant (Et il se mais à faire gigoter son pieu, il me cherche vraiment)

- Pardon.

- Je n'ai pas eu de sexe depuis plusieurs jour, et autant dire que je matte plus de porno depuis que mon Pc est mort. Du coup de me retrouver à poil avec quelqu'un à mes genoux, ne me laisse pas indifférent.

- Tu es en train de me dire que je te fais bander ?

- Je te dis que j'ai envie de me faire sucer. Et que j'en ai envie depuis plusieurs jours. Et de te voir à genou devant moi alors que je suis à poil et toi en caleçon et tee-shirt me fait bander, oui. Et puisque qu'il te faut un dessin bien clair je vais aller dans ma piaule pour me branler en t'imaginant en train de me pomper.

Il balance son linge dans la machine et se retire dans sa chambre. Je ferme la machine en le regardant lui fermer sa porte. Je me retrouve comme un con seul dans le salon. J'avais un sexe offert à moi, alors que j'en ai longtemps rêvé. Je pouvais assouvir un fantasme, et je l'ai rejeté. Je vais devoir le regarder sortir de la salle de bain chaque à venir en me disant " j'aurai pu, j'aurai du " et non " il pourrait ". J'ai une boule dans le ventre. Je reste là en sachant que Ben est juste à côté à se masturber tout en pensant à moi. Je m'approche de sa porte. Le silence. Il a juste du dire ça pour me faire chier. Je m'éloigne de la porte. Sa porte s'ouvre. Je me retourne, il est toujours nu.

- Suces moi !

- Pardon ?

- J'ai envie que tu me suces.

- Mais...

- Ne me pose pas de question auxquelles je ne peux... veux pas répondre j'ai juste envie de toi. J'avais envie de toi entrant dans la salle d'eau tout à l'heure mais je n'ai pas eu les couilles de faire quoi que se soit. J'ai fermé les yeux pour ne pas voir ton torse recouvert de gouttes d'eau, je tai lancé une tape à l'épaule alors que je voulais laisser ma main parcourir ton dos.

Il arrête de parler et se jette sur moi pour m'embrasser. Ne me laissant ni le temps de lui répondre, ni le temps de l'insulter. Il me libère, reculant à peine et gardant une de ses mains derrière ma tête. Et avant même que j'ai le temps de lui dire quoi que se soit. Avant même que je ne réalise que la douceur de se baiser avait prit fin, il me répète :

- Suces moi ! ses yeux sont plongés dans les miens, et d'un hochement timide de la tête je ne lui réponds qu'un simple

- Ok

Il appui sur ma nuque, je m'accroupi devant lui. Mais l'hésitation s'empare de moi. Qu'est ce que l'on fait ? Si quelqu'un était amené à le savoir. Si Ben s'en vantait ensuite auprès de tout le monde à la fac. S'il me teste juste pour voir si je le ferai pour me rabaisser après. Il a déjà tendance à se vanter de ses exploits avec les filles, et à se foutre facilement de la gueule des autres. Il affiche enchaîne beaucoup plus les conquêtes que moi et il ne se cache pas d'en avoir couché une de plus alors qu'il est officiellement avec une autre. Il n'est pas du genre discret et encore moins à tomber amoureux. Je relève la tête pour le regarder. Et là je le vois différemment, il n'est plus juste Ben le coloc bogoss. Il est le Ben de mes fantasmes je découvre ses abdos, ses pectoraux, son coup, son visage d'un angles de vue nouveaux et vu d'ici je ne peux lui résister.

Je basse à nouveaux les yeux pour admirer ce pieu qui me nargue. J'ouvre la bouche me rapproche. Il sent et ne souci pas de la retenu dont je fais preuve. Il doit craindre que je ne fasse marche arrière, alors il s'enfonce dans ma bouche. Je ne pourrais dire si je dois trouver son sexe gros ou pas si je dois le comparer au mien il est à peine plus grand et plus large. Mais une fois en moi je le trouve énorme. La sensation est étrange, je ne suis pas à l'aise mais mes craintes sont parties. Je ne sais pas vraiment se que je dois faire maintenant. Ben prends du coup les choses en main. Il commence à aller et venir dans ma bouche, je sens ma virilité me fuir, je arrêter et tente de repousser Ben en l'attrapant par le bassin et en reculant la tête. Ben insiste, en plaçant sa deuxième elle aussi derrière ma nuque. Moi toujours accroupi il avance et recule d'un pas me faisant perdre un équilibre déjà fragile et détournant par la même occasion mon attention.

- Oh oui c'est bon. Tu vois ce n'est pas désagréable.

- Humhum !( Je tente de lui indiquer mon désaccord d'un gauche à droite de la tête ne pouvant user des mots. Il préfère en ignorer le signification.)

- Ah oui continu ça c'est excellent. (je me refuse à lui, et lui trouve du plaisir dans ce mouvement. Bizarrement je continu)

- Oui c'est bien, tu suces bien, continu

Je commence à me laisser faire, petit à petit il ralentit ses vas et vient, et c'est moi qui maintient la cadance. Il apprécie, et relâche son emprise sur ma nuque. On continu quelques minutes, puis il se retire, et c'est moi cette fois ci qui en réclame. J'avais franchi mes craintes et me livre à lui.

- T'inquiète c'est pas fini. Viens

- Où ?

- Juste là sur le canapé. Qu'est ce que tu croyais

- Je ne sais pas.

- Tu veux boire quelques choses ?

- Je sais pas, tu comptes papoter où prendre ton pied ?

- Je me prends une bière, tiens prends ça !

- Du rickles ? je te suce ou on prend l'apéro ?

- Eh ben tu deviens gourmand. Bois un coup, on a toute la soirée pour nous.

- T'était pourtant pas décidé à prendre ton temps quand on a commencé.

- Toi tu t'es jamais tapé une vierge. Si tu les laisses trop réfléchir elles font marche arrière. Et toi tu te branles aux chiottes. Mais si tu les bouscules un peu et juste au bon moment elles se donnent.

- T'es vraiment un enfoiré en fait.

- Peut-être mais tu as toujours envie de ma queue. Donc je suis un enfoiré et tu es une suceuse.

- Je ne suis...

- Aller, bois un coup qu'on reprenne là où on s'est arrêté

J'ouvre ma canette, tout en le dévisageant. Son air sûre de lui m'énerve, mais ça le rend encore plus beau et limite inaccessible, et pourtant je l'ai. Je voudrais lui jeter quelque chose à la tronche et foutre le camp, mais de le voir sa bière à la main assis dans le canapé les jambes écartées exhibant sa queue sans pudeur, dépasse de loin mon fantasme. J'avale une gorgée, je sens une vague de fraicheur envahir ma bouche.

- Wouahh !

- Bois en encore un peu.

- Pardon, pourquoi ?

- Se faire sucer au Rickles c'est le pied. La chaleur de ta bouche est contrastée par la fraicheur menthol du Rickles, ce sur le gland tu devrais essayer un jour.

Un jour, j'espérais qu'on échangerait les rôles, mais il ne semble pas l'avoir envisagé. Je suis un peu déçu, mais je m'exécute. Une dernière gorgée tout en me plaçant à genou entre ses jambes. Je pose la cannette et avale à nouveau son pieu. Je reprends cette fellation en alternant suce, lèche. Il me demande de m'occuper de ses couilles entre massage de mes mains et suces je réussi à le combler. Ce qu'il traduit en gémissant, haletant. Il se redresse, parcours mon dos de ses mains à travers le tissu. Il remonte légèrement mon tee-shirt sans chercher à le retirer, ses mains frôle maintenant ma peau. Elles sont chaudes et douces. Un frisson traverse mon corps. Je me sens bien, je ne saurai comment le traduire, mais je me sens bien. C'est à la fois tendre et pervers, il me traite à la fois comme un jouet et en même temps m'apporte de la douceur et de l'affection.

Soudain ses mains franchissent l'élastique de mon caleçon. Je suis surpris, ralentit ma caresse sur sa verge. Il se contente me caresser le bas du dos. Je reprends mes esprits et retourne à mes occupations.

- Je... tu... j'aimerais... est ce... ? je me retire

- Quoi ?

- Non laisses tomber.

- Tu m'interromps pour ça !

- Laisse tomber j'te dis. Je ne peux pas te demander ça !

- Genre je suis en train de te pomper qu'est ce... ohoh non ! non ! non ! tu ne peux pas !

- Putain tu ne peux pas savoir comme j'en ai envie. Mais c'est clair ce serait abusé. En même regarde tu me suces et finalement ça te plait. Et je suis sûre que tu te demandais comment les pd pouvaient aimer ça. Et du coup tu as envie de ma teub, et quand je t'interromps tu la réclame.

- Je t'arrête. C'est niette ! y a pas moyen.

Je m'y refuse et pourtant mon sexe se raidit. Je l'avais oublié celui là. Il ne s'était pas exprimé jusqu'à présent. Je prenais pourtant mon pied à sucer Ben mais lui était resté en mode mi bander cacher dans mon caleçon, spectateur d'une scène à laquelle il n'avait pas à prendre part.

- T'as raison, j'abuse. On abuse d'ailleurs, qu'est ce qu'on est en train de faire. Regarde toi, tu me suces, je t'encourage. On finira où ? au milieu d'une partouze à baiser avec des vieux.

- Abuses pas non plus c'est qu'une pipe.

- C'est une pipe mais ce n'est pas toi qui devrais me la tailler. J'appelle Julie.

- Quoi. T'es dingue. Tu ne vas pas lui dire que je viens...

- Ben si. Je vais lui dire que comme elle n'est pas là je me suis laissé prendre au jeu. Qui faut qu'elle vienne que j'ai besoin qu'on

- Arrête t'es malade. Tu ne vas pas lui dire que j'ai sucé une queue. Surtout pas à Julie, je suis sûre d'être à la une des ragôt avant même que tu l'ai tronché.

- Je suis désolé mais au stade où j'en suis une branlette ne suffira pas à me faire débander. Et si je veux qu'elle débarque rapidement pour baiser il faut qu'elle se sente menacée.

- T'es reloud fais pas ça. on peut essayer. Mais tu me jure que si...

- T'inquiète j'irais doucement.

Je réalise à peine tout est allé si vite dans ma tête que je me suis livré à lui sans réfléchir ; ou plustôt si en ne pensant qu'à ma réputation et au regard des autres. Malgré l'inquètude je bande comme un fou. J'ai peur. Peur de la douleur, de ne pas y arriver, peur qu'il y arrive, peur qu'il n'y arrive pas, peur de l'après, peur qu'il me fasse mal, peur qu'il ne me fasse pas assez mal, peur qu'il me blesse physiquement, peur qu'il me blesse psychologiquement, peur d'aimer.

- Comment on s'y prend

- Mais toi à quatre pattes.

Je me trouve donc dans la positon demandée, par terre. Je tremble, il tente de me rassurer. Tout en se saisissant de mon caleçon pour le faire descendre jusqu'au genou. Je ne lui ai ainsi pas dévoilé mon érection qui trahi mon inquètude.il commence à remonter mon tee-shirt jusqu'à ma nuque me redresse pour me le retirer et le jeter beaucoup trop loin à mon gout.

- Je vais juste de détendre un peu, avant.

- Et tu comptes faire ça comment ? (la voix tremblante)

- Je vais te masser pour te dilater.

- Je le sens pas.

- Je te promets que si tu ne peux pas j'arrêterai mais laisse moi au moins essayer

Les mots sont accompagnés de ses actes et son doigt vient prendre contact. Je me crispe entièrement. Il caresse mon anus lentement, crash dessus pour permettre à son doigt de glisser sur ma peau. Il le fait remonter et redescendre le long de ma raie. Fait de petit rond sur mon anus. Je commence à me détendre en me rendant compte que mon anus en apprécie les sensations. Je desserre les dents et laisse même ma tête retomber entre mes épaules. Je découvre mon sexe toujours approbateur.

- T'es prêt

- Si je te réponds non.

- Je prendrais plus de temps.

- Mais on en restera pas là n'est ce pas. C'est comme ça qu'on fait quand elles sont vierges

- Arrête de te la jouer prude.

- Quoi

- Je vois que tu bandes et je ne pense pas que ton sexe est apprit à mentir.

Il s'en empare et commence à me branler. C'est la première fois qu'il me touche dans ma virilité, il n'a pas envisagé de me sucer je ne m'attendais pas à me faire masturber. C'est tellement agréable que je ne pense plus au doigt qui se ballade, prêt à me saillir. Et tout en continuant à aller et venir sur mon pieu. Il me prévient qu'il se lance. Je ferme les yeux, j'essaye de penser à autre chose. Je le sens, je fronce les sourcils, serre les dents, mon visage se crispe dans une grimace qui se doit effrayante.

- Rhhhh

- Là ça y est !

- Oh putain, laisse moi respirer

- Comment tu te sens ?

- Je ne sais pas

- Et là ?

- Oh la vache.

- Quoi la vache ?

- C'est bon, continu ce truc avec ton doigt

- Tu vois Tu aime que je te titille. Et ce n'est que le début. Il retire son à peine son doigt et repousse

- Wouahh. Encore ! il recommence mais ne s'arrête pas

- Voilà ça commence à glisser tout seul. J'en rajoute un.

- Oh putain c'est déjà plus gros

- Mais ça rentre

Je ne peux lui répondre, je suis pris par se qui se passe au fond de moi. Il a compris que j'étais maintenant réceptif à ses assauts. Il retire entièrement ses doigt puis revient lui se retire puis revient à plusieurs reprises. Il rajoute un doigt c'est plus dure mais ils franchissent à leur tour. J'entends un déchirement puis je vois un emballage de capote tomber à côté de ma main. Je ne dis rien, mais j'appréhende. Je sens une pression sur mon anus, j'essaye de me détendre. Il renforce la pression. Que ça rentre une bonne fois pour toute, qu'on en parle plus. Il abandonne un instant et joue avec son sexe comme il jouait avec son doigt ; il crache à nouveau entre mes fesses, continu à y faire glisser son gland. Et sans que je ne m'y attendant il fait rompre ma barrière anale et s'enfonce en moi. La douleur remonte jusque dans ma gorge, mes jambes m'abandonne, mes bras s'efforcent à me soutenir. Il me maintient, avec ses mains, les hanches relevées. Il est en moi immobile. Je n'arrive pas à savoir si j'abrite la totalité de sa queue où seul son gland ou une partie de son sexe ont réussit à entrer. Je ne peux empêcher quelques larmes de couler le long de ma joue. Je sens au fond de moi que quelque chose se passe, cette douleur n'ai pas lié à une souffrance, curieusement cette douleur apporte avec elle un bien être une extase. Et mes larmes sont plus le fruit d'un soulagement que d'une blessure affective. Je reprends appui sur mes jambes et cete fois ci je n'attends pas qu'il me le demande.

- Ca va ! je... Ca va !

- Tu veux que...

- Que tu continues.

Il ne cherche pas une double confirmation et passe à l'acte il débute de légers mouvements. J'en déduits d'ailleurs qu'il ne m'avait que brièvement pénétré, quand à chaque assauts il s'enfonce un peu plus. Plus il pénètre en profondeur plus je prends de plaisir. je sens ses testicules venir frapper les miennes. Le rythme est de plus en plus soutenu, et prends de plus en plus de plaisir. Je commence à devoir marquer ma respiration tel un sportif dans l'exercice et mes expirations s'accompagne de grognement. Il oubli désormais qu'il devait prendre soin de moi et me baise sans ménagement. Il se retire, se relève, me relève. Il me conduit jusqu'à la table et dos à la table il me relève pour m'y allonger sur le dos. Il place mes jambes sur ses épaules, me sourit. Sa main gauche vient se poser sur mon bas ventre, son regard se porte sur son autre main qui présente sa queue à l'entrée de mon anus. Il est prêt à me pénétrer à nouveau. Je ne m'y oppose pas, j'attrape le rebord de la table de mes mains pour lui montrer que je suis prêt et d'accord. Son regard revient vers moi il me sourit à nouveau. Pour la première fois on peut ressentir de la complicité entre nous. Il pousse mais ne me lâche pas du regard. Je peux le voir prendre son pied et lui peut deviner le plaisir qu'il me donne sur mon visage.après plusieurs minutes il se penche au dessus de moi, m'attrape par les épaules, pour me redresser. Tout en continuant à me transpercer il me serre dans ses bras, puis me relâche pour admirer mon, déposer quelques baiser sur mes épaules, le haut de mon torse. Ses mains parcourent mon dos, l'empoigne par endroits. Elles descendent jusqu'à mes fesses, il me soulève, me porte et continue toujours ses vas et vient. Mes bras se croisent derrière son coup. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans les bras d'une femme, qu'entre ceux de Ben. Il me repose sur la table et se retire. Pourquoi fait-il ça maintenant alors que j'étais si bien. Il m'embrasse pour la deuxième fois puis me repousse me retrouvant à nouveau dos à la!

table. Il se branle frénétiquement et tire d'un coup sec sur la capote pour la retirer. Malgré son excitation il me regarde et me sourit encore. Je comprends à cet instant que se sourit est sa meilleure arme comment peut-on avoir un tel sourire c'est inhumain. Son corps se fige, et de long jets blancs s'élance pour atterrir sur mon torse mon bas ventre, dans mon cous et l'un d'eux fini même sa course sur mon visage. Il reprend son souffle mais n'en a pas complètement fini. Il me pénètre à nouveau de ses doigts, un premier puis un deuxième. Il me masse ainsi l'anus avant de s'emparer de ma queue. Il commence une branle active qui n'a pour seul but que de me faire jouir. Il y parvient sans mal. Et orientant mon sexe dans ma direction, je fini par me vider comme ça ne m'était encore jamais arrivé. Mon torse et mon visage ont donc été victime d'une seconde éjaculation. C'est à mon tout de reprendre mon souffle.

- Tu as bien fais de ne pas appeler Julie.

- Je ne l'aurai pas eu, elle était chez sa tante et n'avait pas de réseau.

- Mais alors ... ?

- Il fallait te donner un peu de courage.

- C'est un truc à dépuceler une vierge je suppose.( J'aurai le droit pour seule réponse à son fameux sourire).

- Aller va te laver tu pu le sperme. déposant un baiser furtif sur la seule épaule épargnée par nos deux éjaculations.

Avant de me coucher, je pose cinq minute sur mon ordi, je vais dans mes documents /ecole/perso/afairedejafait. J'ouvre le dossier world en titre " les fantasmes doivent-ils tous être assouvis ". Je file à la dernières ligne.

" nous sommes le 17 fevrier 2012 aujourd'hui j'ai réalisé un de mes fantasmes de je t'avais déjà décrit. Celui où mon colocataire perdait sa serviette sous mon nez, et sans gène m'invitait avec insistance à le sucer. Je prendrais plus de temps pour t'en faire le récit exact sache juste que je ne me suis finalement pas arrèté au bout de quelques minute de fellations.

jarjabings69

entremecs69@live.fr

Suite de l'histoire

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