J'ai aujourd'hui 21ans.
Je me souviens soudainement comme si c'était hier seul dans mon appartement d'étudiant, je viens tout juste de rentrer d'une soirée et mon colocataire dors déjà.
L'année dernière en vacances d'été. Nous étions partis comme tous les ans dans le sud de la France. Sur le même camping que tous les ans. C'est un peu la Californie française, perdue dans la forêt des landes, à 200 mètres de la plage. Un beau petit bout de terre. Comme tous les ans aussi des amis de mes parents nous rejoignirent. Ces amis avaient un fils que je ne trouvais pas sans attraits, bien que je sois plutôt hétérosexuel. Il a 18 ans. Et si je m'amusais souvent à l'épure sous la douche, je ne m'attendais pas à avoir une telle surprise cette année. Tous les ans avec la même bande de potes nous nous donnons rendez-vous le soir sur la plage pour se la coller et éventuellement rencontrer la charmante qui nous fera passer la nuit. Ce soir là, je me décidai à convier le fils, Thomas.
Il était maintenant assez âgé pour que je puisse l'emmener sans que ses parents s'en plaignent. Nous partîmes tous les deux rejoindre les autres a la plage, les bras chargés d'alcool et de bois pour un feu de camps. Sur le chemin nous rencontrâmes une bonne amie. En marchant Thomas pris un peu d'avance ce qui nous laissa le temps de rediscuter une dernière fois notre plan, l'amie, Laure, et moi voulions faire boire Thomas le plus possible, pour rire un peu. Une fois arrivés à la plage nous nous installâmes et commençâmes à mettre notre plan à exécution. Sous prétexte d'un jeu à boire nous faisions tourner un grand verre de vin, et le passâmes le plus possible à Thomas. Si Laure feignait de boire, moi je buvais correctement. Ce qui n'était pas bien grave. Étant "grand et fort" je tiens très bien l'alcool. Mais chez Thomas on pouvait observer son visage luire au fur et à mesure que son alcoolémie augmentait. Bientôt il n'arrivait plus à articuler et ses histoires avaient perdues leur sens. Aussi allions nous pisser toutes les deux minutes. Il arriva que Thomas et moi dûment pisser en même temps. Nous nous éloignâmes alors du feu de camps, mais au lieu de partir dans deux directions opposées Thomas me suivait. Il ne marchait plus droit et titubait, il avait bien fait de me suivre, je pourrai le rattraper si jamais.
Il s'arrêta alors et s'appuya contre un poteau et se mît à uriner. Malgré le noir et par son manque de pudeur je pus apercevoir son sexe qui me paraissait plutôt volumineux. Je ne pus m'empêcher de le contempler longuement pendant que j'urinais moi même. Nous retournâmes au feu, toujours l'image de son sexe en tête. Le soirée se poursuivait et nous continuions de boire. Je sentais lentement l'alcool qui me montait tout de même bien à la tête. Et je commençais à ressentir une certaine excitation à l'idée du sexe de Thomas. Lui était à présent hors de contrôle, hurlant, riant et disant n'importe quoi. Il était à présent 3 heures du matin et nous décidâmes de rentrer. Étonnamment Thomas arrivait encore à marcher. C'est donc sans incident que nous rentrâmes au campement. Je lui dis de dormir dans ma tente, si ses parents remarquait son état j'aurai eu des problèmes. Il se mît en caleçon, moi de même. Je lui souhaitai une bonne nuit et lui demandai de me dire s'il devait vomir. Il m'assura que ça n'arriverait pas. Pourtant à peine fut-il allongé depuis quelque minutes, que j'entendis les bruits gargouillant d'un ventre qui va vomir, je l'aidai alors immédiatement à sortir la tête de la tente pour qu'il vomisse dans le sable.
Je remarquai aussi qu'il était devenu plus ou moins inconscient de ses geste. Il avait donc la tête dehors, et le reste de son corps à l'intérieur de la tente, cambré par les spasme ses fesse pointaient en ma direction, les jambes écartées. Après un bref moment d'hésitation, j'approchai une main tremblante de ce postérieur rebondi et la posai au niveau de sa raie, rapidement je le caressai discrètement puis retirai ma main. Il ne semblait pas avoir remarqué. Ayant fini il rentra la tête et se recoucha. Je pris soin de jeter quelques poignées de sable sur la tache. Quelque minutes après il recommença, je lui recaressai alors les fesse, avec plus d'insistance, je bandai fortement. Je décidai alors de l'emmener aux toilettes les plus proches pour qu'il puisse se débarbouiller. Quelque peu déçu de mon échec. Je dus le soutenir sur le chemin, il ne tenait plus droit. Sa main dans mon dos descendait régulièrement vers mon postérieur, de plus en plus souvent, avec de plus en plus d'insistance. Je pensais d'abord au hasard. Mais il continuait sur le chemin du retour. Nous retournâmes dans la tente où il se coucha.
Toujours excité j'attendais un instant, et quand je crus qu'il dormait, j'ôtai sa couverture pour parcourir discrètement de la main, d'abord son dos, puis arrivé au caleçon, je glissai une main en-dessous, mon majeur faisait d'abord des allers-retours sur sa raie poilue à souhait pour s'arrêter à son anus dans lequel j'enfonçai un doigt téméraire. J'eus du mal tant il fut serré. Je baissai ensuite entièrement son caleçon et approchai mon visage de ses fesses d'homme. Je ne le léchai point, mais je me frottais longuement contre. Il ne réagissait toujours pas. Je passai alors sous sa jambe pour empoigner son gros sexe. Il bandait à peine.
Je pris ça pour un signal négatif et retournai donc sur mon matelas. Je fermai les yeux, étant fatigué et toujours ivre. Après quelques vingt minutes je senti pourtant du mouvement, quelque chose de lourd tomba sur moi et je senti une main qui se posa sur mon sexe mi-mou et se mis à palper. Quelques mots bredouillé que je ne compris pas. Sans attendre Thomas pris ma verge tendue à présent dans sa bouche. Un éclair me traversa et je me cambrai. Il me sembla même devoir étouffer un gémissement, de peur qu'on nous entende. Il continuait ainsi quelques minutes. Très vite j'eus envie de lui rendre la pareille. Je le poussai, quelque peu violemment sous l'effet de l'excitation alcoolisée puis découvris son sexe, moins volumineux en érection, ce qui me plu, et je lui fis quelque doux baiser.
Il me repoussa pourtant après quelques spasmes et me présenta son derrière qu'il frottait rapidement contre mon pubis. Les capotes étaient dans la caravane de mes parents pensai-je alors. Il va devoir y goûter nature. Je le doigtais alors longuement prenant soin d'assouplir ses sphincter et de répandre ma salive jusque dans ses entrailles. Il me signala son plaisir par de fréquentes pressions encourageantes contre mon sexe qu'il approchait de plus en plus de son anus. Je le pénétrai alors et dû lui mettre une main devant la bouche pour éviter qu'il n'hurlât. Je fis des va et viens quelques peu désordonnés de part mon manque d'expérience, de la sienne et de notre ivresse. Je le masturbai occasionnellement délicatement et le sentais souffler contre ma main. Un second éclair me traversa alors et mon sexe se dressa pour expulser quelques jets de sperme.
Je finis mon travail sur le sien avec la bouche, je retirai ma bouche de justesse avant son éjaculation. Je l'essuyai et il me prit dans ses bras. Je posai une main sur sa verge qui se rétractai. Sans un mot il s'endormit.
Je me soutirai à son enlacement, pour m'éloigner un peu, pour écarter tout soupçon au cas où on nous verrai. Je l'embrassai une dernière fois sur le pubis puis remis son caleçon en place.
Il dormait déjà profondément.
Charlifornication
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