Chapitre 1
Ceci est une histoire vraie. Septembre 2007. Je suis à Paris pour quelques jours.
J'adore me promener dans les rues de cette ville. Je prends le métro, choisis une
ligne au hasard. Le nom d'une station attire mon attention : Pigalle. J'y descends.
Tout de suite, mon regard est attiré par les enseignes lumineuses. Je les fixe bien,
la plupart sont celles de sexshop, ou salons de striptease.
Je déambule dans le grand
boulevard. Je découvre. Sur ma droite, un cinéma m'intrigue. C'est un ciné sexe qui a
deux salles de projection. J'hésite à peine quelques secondes, puis je m'engouffre
dans le hall. Un homme, black, est à la caisse, il est entouré de deux autres blacks
balaises. Je paye mon ticket et je monte quelques marches.
J'arrive devant une porte
que je pousse. Le seuil franchi, j'entends des gémissements. Une scène sur grand écran
d'une femme en train de se faire prendre par trois mecs. Le temps que mes yeux
s'habituent au noir et je commence à distinguer les fauteuils et silhouettes. Du
monde mais pas au point de remplir la salle.
Intimidé, je reste un moment à ma place. Puis je suis attiré par un mouvement sur le
côté gauche de la salle. Je m'y dirige. Ce sont les WC avec une sorte d'antichambre.
J'arrive à peine à voir devant moi. J'entends des murmures, je devine des présences.
Des hommes sont debout pour certains, en retrait pour d'autres. Je n'ai pas le temps
de me poser des questions que je sens une main me caresser. Je m'arrête. Et je fixe la
personne. Un jeune homme me fixe, je me laisse aller à ses caresses. Je sens une
chaleur inonder mon corps. Un signe qui ne trompe pas : je commence à m'exciter.
Ses mains deviennent plus baladeuses, ses caresses plus appuyées. Sans que je me rende
compte, il approche ses lèvres des miennes et m'embrasse. Je me laisse aller. Je luis
rends son baiser.
Sa langue va à la rencontre de la mienne. Je suis transporté. Sa
bouche quitte la mienne pour se poser sur mon cou. Ses mains se posent sur mes deux
tétons et commencent à les malaxer. Je gémis, car c'est mon point faible. Il continue
en allant de plus en plus fort. Mes mains parcours son corps fin que je devine musclé
sec. Je descends vers son entrejambe. Je rencontre une bosse dure.
Je caresse sa queue
à travers son pantalon de survêt. Je devine un bon paquet. Je fais rentrer ma main à
l'intérieur, il ne porte rien en dessous. Je fais descendre rapidement se barrage de
tissu. Ce que mes yeux arrivent à voir est loin de me déplaire : une bite de bonne
taille, bien épaisse, un long prépuce, un peu arquée. Je me penche et la prends dans
ma bouche. Je fais tourner ma langue autour du gland. Je la décalotte pour titiller le
gland.
J'aime jouer avec le prépuce et je ne m'en prive pas. Mes lèvres descendent le
long de la verge avant que ma bouche ne la happe. J'entame un va-et-vient frénétique.
Au son de ses halètements et gémissements, je déduis que la pipe que je lui prodigue
lui fait plus que du bien. Je continue mais en ralentissant le rythme. Je n'avais pas
envie qu'il jouisse rapidement. Je pousse sa queue, qui m'emplit la bouche, le
maximum, jusqu'à sentir ses poils pubiens me chatouiller le nez. Il me relève et
m'embrasse, avant de pousser me tête vers sa bite. Je reprends sa sucette en bouche et
m'active à lui faire du bien. Je la sens se raidir et se contracter. J'ai juste le
temps de me retirer qu'un jet de foutre me touche au front.
Le reste je le reçois sur
mon visage. Il est crémeux, épais et chaud.
Toujours accroupi, je n'ai pas le temps de me relever que je sens une main appuyer sur
mon épaule. Je me retourne et je me retrouve avec une queue en face ma bouche. Je n'ai
pas le temps ni de réagir ni de réfléchir. Le gland force mes lèvres et pénètre ma
bouche. Fine et longue elle est aussi bonne. Je me rends compte que je suis entouré de
six ou sept hommes qui ont la queue à l'air libre. Je suis de plus excité. Je les suce
un par un. Puis je prends une en bouche et je branle deux, sinon deux en même temps
dans la bouche. Je les suce sans relâche jusqu'à ce que jouissance s'en suive. J'ai le
visage qui ruisselle de sperme. Heureusement qu'à côté, il y a un lavabo où j'ai pu me
nettoyer.
Je quitte les toilettes et je retourne dans la salle. Je m'assoie sur un fauteuil pour
reprendre mes esprits et réfléchir sur ce que je viens de vivre. Pris dans mes
pensées, je ne vois pas qu'un homme, la trentaine, brun, yeux foncé, une chemise
ouverte, laissant apparaitre un torse velu, s'est assis à côté de moi. Il me fixe du
regard. Je me sens rougir. Sans dire un mot, il sort sa queue et me regarde. Sans
aucune hésitation je penche ma tête vers la gauche et je commence à le sucer. Cela
dure à peine cinq minutes avant qu'il ne me lance : " Je vais jouir. " Je me retire
rapidement et continue à le branler. La jouissance est immédiate.
Mes doigts sont
englués. Il remet son paquet dans son jean et quitte le siège. Il est remplacé par un
black qui avait assisté à la scène. Dressée comme un piquet, sa bite était noire,
longue et épaisse. Ma bouche avait du mal à l'engloutir complètement. Plus il poussait
pour que tout entre, plus je suffoquais et toussais. Des larmes coulaient sur mes
joues. J'essaye de me retirer, il tient fermement ma tête. Il me laboure littéralement
la bouche. Il me baise sans se soucier de moi. Ce traitement dure une bonne dizaine de
minutes avant de se retirer précipitamment et de tenir d'une main ferme ma tête et
lancer sa purée sur le visage.
Plusieurs jets puissants et abondants. A croire qu'il
n'a pas joui depuis au moins une quinzaine de jours. Il me laisse. Le temps de me
remettre de mes émotions et je me dirige vers les toilettes pour me laver le visage.
Chapitre 2
Après avoir sucé presque 10 queues, voire même plus, je n'ai pas eu le temps de les
compter, je me dirige vers les toilettes pour me laver le visage et enlever toute
trace de sperme, susceptible de rester.
A peine dans les WC, je sens des mains qui me
touchent, s'attardant sur mes fesses. Je ne m'arrête pas, continue jusqu'au lavabo et
commence à ma laver le visage, le corps un peu penché pour éviter de m'éclabousser
avec l'eau. C'est là que je sens que quelqu'un se frotte à mes fesses. Ses deux mains
sont sur mes hanches, les maintenant fermement. J'essaye de me dégager, mais il me
maintient solidement. Je termine de ma rincer le visage et le crâne. Prenant ma
passivité pour un accord, il frotte son sexe, qui est dur, entre mes fesses.
Je me
redresse pour me retourner. De son bras, il me maintient dans ma position. De l'autre,
il déboutonne mon bermuda qui tombe à mes pieds, le caleçon suit le même chemin. Il
commence à me caresser le fondement, je me sens envahir par une douce chaleur, je le
laisse faire. Un doigt titille ma rondelle qui a été excitée lors de la séance
taillage de pipe. Son doigt devient de plus en plus entreprenant. Avec de la salive,
il arrive à faire entre un bout. C'est bon, je me laisse aller.
Son doigt glisse de
plus en plus profond, un deuxième le suit, puis un troisième, je ne me sens plus, je
suis inondé de plaisir. Ce traitement dure un moment. Des fois lentement avec douceur,
des fois brutalement... Soudain, il retire ses doigts, il me penche encore plus en avant
et il me demande d'écarte bien mes fesses. Obéissant, j'ouvre au maximum mes fesses,
je sens son gland se frotter sur mon trou (il a mis un préservatif). Ma rondelle
palpite, crie famine, elle a envie de sentir cette queue la pénétrer. A croire qu'il
lit dans mes pensées. Sans crier gare, il entre en moi d'un coup.
Bien qu'il m'ait
travaillé le cul, sa queue, dans les normes, me transperce le boyau. Je retiens un cri
et me crispe. Il ne bouge plus pour laisser la douleur partir et permettre à mon cul
de s'habituer à la présence de ce serpent de chair. Il commence à sortir un peu pour
s'enfoncer un peu plus, la douleur se dissipe, remplacée par une onde de plaisir. Il
entame un va et vient lent, profond, je sens ses couilles et son pubs taper sur mes
fesses. Je suis en nage. Pris dans mon délire, je sens une main sur ma tête. J'ouvre
les yeux, une queue se dresse fière devant moi. Sans réfléchir, sans un mot, je la
happe. Je commence à sucer avidement. Une bonne bite, de taille moyenne, bien épaisse.
Ma langue titille le gland, joue avec le prépuce.
Je salive sur ce morceau de
saucisse. Mon baiseur s'acharne sur mon cul, son va et vient est de plus en plus
rapide. Je sens sa queue gonfler, se raidir. Dans un gémissement, il jouit dans la
capote. Il sort de mon trou. Il est vite remplacé par celui que je suçais. Il m'enfile
sans ménagement, mais vu le travail du précédent, mon trou était bien ouvert. Ma
bouche n'a pas le temps de rester vide. Deux queues se présentent à elle. Je les suce
une par une. Dommage que l'un d'eux a joui rapidement, m'inondant le visage et le
crâne. Sur le moment, ne prête guère attention, occupé à subir les assauts de mon
baiseur, qui me pilonne plus qu'il ne me baise. Il n'a pas été lui aussi long à jouir.
Il est remplacé par l'un de ceux que je suçais.
Une queue longue et fine entre comme
dans du beurre. Il me laboure et me traite de pute, de salope, de vide-couilles. Ce
qui augmente mon excitation. Ma bouche et encore une fois prise d'assaut par une autre
bite de grande dimension. Le même scénario se répète plusieurs fois, j'ai dû sucer et
me faire démonter le trou par au moins dix personnes. Quand le dernier ait joui sur
mon visage, j'ai pu me relever, difficilement à cause des courbatures, me nettoyer et
remettre mes vêtements (heureusement que dans mon petit sac à dos, j'avais pris un t-
shirt de rechange), car celui que portais était complètement tâché de sperme. Je
décide de quitter les lieux.
En sortant de la salle, j'ai mis un peu de temps pour
m'habituer à l'air et à la lumière du jour. Mes yeux clignotent un peu et mes poumons
s'emplissent d'air frais. J'ai un peu de mal à marcher correctement. Vu les zobs qui
on ravagé mon cul, et la position qui a duré un bon moment, il y a de quoi. Je
commence à marcher doucement. Avant de sortir du hall d'entrée du cinéma, une voix
m'apostrophe. Un jeune asiatique mignon me dit qu'il m'avait vu sucer et me faire
prendre et que cela l'avait excité grave, mais qu'il n'avait pas osé rejoindre le
groupe qui me baisait.
Timidement, il me dit que si je le voulais, je peux le suivre
jusqu'à chez lui pour passer un moment ensemble.
Mais ça c'est une autre histoire.
Avale Foutre
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