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La Communauté 4
Séjour à l'Hôpital (2)
Ces souvenirs me faisaient bander comme un fou et mon trou m'irritait terriblement. Je ne pus faire autrement que de m'arrêter derrière des buissons sur le côté de la route, pour me défoncer sur mon gode-piston, me branler et bouffer mon jus, encore récolté dans ma paume. Je regrettai le foutre des gardiens, mais bon... J'éteignis le gode en le laissant fiché en moi et regardai si cette fois je n'avais pas été surpris ; non, malgré la probable proximité du bordel ; la circulation allait reprendre bientôt ; enfin il valait mieux. Mes jambes fatiguaient ; et tout ce que je savais, à peu près, c'était que la Communauté mystérieuse se trouvait vers les montagnes du sud, au-delà du bordel. Cinq ans plus tôt, la Fédération des Etats avait décidé la construction de 4 immenses bordels en périphérie de la ville : des femmes y étaient salariées et fonctionnaires d'Etat, et les weekends c'était le grand rush. Des navettes étaient affrétées, en plus des jetcars des particuliers, pour permettre aux hommes de se soulager et ainsi de limiter la violence en ville. J'allais bientôt voir ce " temple du foutre ", comme on l'appelait. On disait même que des couloirs souterrains allaient du bordel à la Prison Générale, et que sur primes quelques prostituées allaient soulager en douce (mais tout le monde savait) les prisonniers en mal de vidange et d'exercices du bassin. Je n'aurais pas eu besoin de primes pour autant... Il y avait eu ce séjour à l'hôpital, puis le stage à la clinique pour mâles, après bien sûr quelques années à la maison... Je sortis le gode-piston à regret et me rhabillai pour reprendre ma route. Le stop allait-il fonctionner ? J'avais peut-être raté les heures de passage des véhicules se rendant au bordel. Bref, on verrait.
La deuxième journée à l'hôpital avait été bien plus intéressante : je la passai à sucer mon voisin, un autre infirmier mis dans le coup, et le docteur, qui croyait encore devoir m'éviter les crises en me faisant téter son gland - mais je le trouvais très gentil de se branler dans ma bouche, rien que pour y déverser mon calmant séminal. J'attendais de me faire remplir le cul la nuit même, et cette fois-ci bien conscient. Je ne pus pas faire autrement que de me doigter, de me branler, puis d'aller m'empaler sur la queue pleine d'envie de mon voisin, qui se laissa faire avec un sourire jusqu'aux oreilles. Ayant dû tout faire moi-même et en faisant attention à ne pas faire mal à mon plâtré, je regagnai mon lit un peu fourbu des cuisses. Mon père passa après le travail, et nous partîmes dans la salle de bain : j'étais tout à fait remis finalement ! Je me jetai sur sa grosse bite bandante dès qu'il la mit à l'air et le pompai un peu avant de me tourner contre le mur et de me cambrer. En entrant direct son gland gonflé, il me fit un bien fou mais comprit que j'avais déjà été ramoné.
Ca l'excita : il s'enfonça plus brutalement, en me répétant que j'étais une salope affamée de bite, et me dégageant du mur il me bourra comme une brute en me tenant aux hanches. Penché la tête en bas, je subissais avec bonheur ses coups de reins de bête, en matant ses jambes musclées et velues, et son froc aux chevilles. Il jouit vite : une nuit et une journée sans moi, forcément, ça avait dû manquer à ses belles couilles généreuses. Il sortit de mon cul en essayant de se taire, et je me tournai pour engouffrer son chibre puissant qu'il tint fermement et il m'envoya de sacrées doses de jus paternel bien chaud et visqueux, tout soupirant d'aise et secoué de spasmes. Un délice familier dont je ne me lassais pas. Mais il rentra assez vite à la maison après avoir pris quelques nouvelles, les examens devant continuer. Et quels examens...
Enfin le soir arriva, et je demandai à l'infirmier que j'avais purgé le midi et qui allait faire partie des tournées de la nuit par binômes de m'aider à installer le matelas du lit par terre, entre le lit et le mur de la fenêtre, puis je partis dans la salle de bain faire les vérifications d'usage, taillai une pipe de bonne nuit à mon voisin, et m'installai à poil sur le matelas en attendant mes premiers visiteurs. C'est l'infirmier de la veille qui vint avec un autre, jamais vu, sauf peut-être sa bite sur les vidéos.
On ne perdit pas de temps : ils avaient quand même du boulot avec tous ces patients ! J'étais déjà à genoux et eux debout la bite sortie et bien tendue. Tout se passa à voix basse, les " régale-toi ", les " profite ", les " elle est bonne, cette bite ? ", puis la discussion " tu lui fais le cul d'abord ? non, vas-y, je me le ferai à 2h ", etc. Je me mis en position à 4 pattes, et chacun vint combler un trou et le limer. C'était quand même bien mieux d'être conscient, et je me donnais à fond - ce qu'ils sentirent bien, et cela les rendit encore plus chauds : mon enculeur me monta carrément dessus pour mieux me défoncer, et l'autre me tint la tête à deux mains pour me ramoner la gueule. Chacun largua de bonnes doses de foutre dans le trou qu'il occupait, puis mon enculeur rejoignit son collègue et je nettoyai les deux queues bien glissantes. Quand ils partirent je me couchai sur le ventre et m'endormis.
Je n'entendis pas les deuxièmes : je fus réveillé par l'un me couvrant entièrement et insinuant sa bite entre mes fesses en me parlant d'une " grosse perfusion ", et à mon sursaut ma bouche rencontra la bite de l'autre, assis sur l'oreiller, jambes de part et d'autre. Voilà une position où j'étais confortablement enculé et gavé, et cela pouvait durer longtemps, en ce qui me concernait. J'apportai une petite modification, en descendant sous les couilles pour aller chercher le trou du cul : ravi, il bascula et m'offrit sa raie bien ouverte. Mon enculeur redoubla d'intensité, excité par le spectacle. Il m'inonda le cul peu de temps après, et ils échangèrent leur place. Cette fois-là, je n'eus pas de lait de couilles en bouche ! En tout cas le mot passa pour la troisième visite, car les deux m'offrir leur cul à bouffer avant leur bite, installés côte à côte sur l'oreiller. C'était la nuit, ils avaient envie de traîner un peu ; alors chacun passa dans mon cul un moment, en levrette, puis ils me remplirent des deux côtés, et se firent bien nettoyer.
Le quatrième passage eut lieu à l'aube, et les deux infirmiers m'aidèrent à me vider aux toilettes après s'être revidés les boules, et à réinstaller le lit. A part mon estomac pas mal rempli et ma rondelle bien irritée, ni vu ni connu. L'infirmier habituel n'eut pas à me faire ma toilette : mais je fis la sienne ! et une vidange du même coup, et j'eus le temps de réveiller mon voisin par une autre pipe juteuse, avant le retour du docteur, entouré de deux jeunes femmes cette fois, et de mon père, venu me chercher et entendre les résultats des examens.
Le doc fit un exposé assez technique, mais en gros, il y allait de ma vie si je ne recevais pas toutes les 6h une conséquente ration de foutre et une activation prolongée de ma rondelle. Mes muqueuses d'ailleurs avaient la capacité à absorber plus que chez d'autres et à " digérer " en quelque sorte par l'autre côté. Il était probable que mes besoins iraient en croissant, et que mon bien-être ne pouvait venir que de rapports sexuels aussi fréquents que possible. Le doc fit sortir les deux femmes, qui n'en croyaient pas leurs oreilles, et devant mon père sortit sa bite pour me la donner, continuant ses explications tandis que je biberonnais. Tout en l'écoutant mon père sortit la sienne, déjà raide, et se branlait doucement. Le doc proposa un job d'été pour moi dans une clinique pour des mâles ayant le même problème, mais à l'inverse : priapisme, production hors-norme de foutre, dépendance au sexe, etc.
Cette clinique essayait de traiter ces hommes qui avaient fini par devenir dangereux à force d'être en manque. Selon lui, cela comblerait mes besoins, et simplifierait les journées de mon père ; c'était payé pour les deux mois à venir ; mais il s'interrompit, sentant la sève monter, et poussa un gros soupir en se vidant les boules. Mon père prit sa place (sa queue était quand même plus belle et plus grosse, et à caresser ses couilles, je vérifiai qu'il était plus fourni aussi, surtout sans moi à la maison...), et je repris mon pompage. Mon père m'interrogea du regard : j'étais bien sûr d'accord pour ce job et tout concentré sur ce beau gland familier et généreux. Le doc partit chercher les documents ; le directeur de la clinique était un de ses amis, et il n'y aurait pas de problème ; il suggéra à mon père de penser à m'enculer plutôt, vu que je venais d'avoir une dose en bouche déjà. Dès qu'il sortit, nous allâmes donc à la salle de bain, où mon père obéit aux recommandations et se finit bien au fond de mon cul. Il me questionna ensuite sur ma dilatation et ma lubrification. Je lui racontai ma nuit, entre deux léchages de sa bite tout enfoutrée.
Il me caressa les cheveux, m'embrassa, et me dit qu'on allait suivre les conseils du doc avec cette clinique. En partant de l'hôpital, mon voisin eut un regard bien triste, mais les infirmiers que je croisais m'adressèrent des clins d'oeil bien sympas.
Je rentrai à la maison, où pour 4 jours encore avant le début du stage, mon père dut se dépenser un maximum, et solliciter ses potes en journée, pour m'éviter mes crises ; surtout que le doc avait bien précisé cette fois que ma vie même était en jeu : des bourses ou la vie, en somme.
Mike
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