Épisode précédent
Ah... ces hétéros... 02
Edouard (suite) fin du premier chapitre
Merci à tous pour vos messages d'encouragements. C'est toujours agréable d'être flatter... Voici à présent la Suite de l'histoire que certain me réclame... bonne lecture...
Sans que je lui demande quoi que ce soit, il me retira mon pantalon, puis, avec les dents, mon boxer, prenant son temps, insistant sur ma bite avec son menton... j'suis pas pédé qu'il disait !!! Il entreprit toujours sans que lui demande, une pipe d'anthologie. Gorge profonde. Léchant, suçant, pompant encore et encore plus fort et plus vite... comme s'il était pressé de me faire dégorger... Je lui demandai de se calmer et de reprendre son temps... qu'il avait tout le week-end pour déguster mon précieux liquide !... Il me sourit puis repris une allure lente et délicieuse. Ses mains allaient et venaient sur mon corps, pinçant mes tétons quand ils étaient proches, palpant mes fesses quand elles se trouvaient sur son passage. Et son pompage ne s'arrêtait pas... Gobant toujours mon chibre plus profondément. Bientôt je lui demandais de remonter pour s'allonger sur moi. Je voulais sentir son engin contre le mien. Il s'exécuta. J'en profitai pour agripper ses magnifiques globes fessiers et je lui titillais la rondelle. Malgré sa réticence première, au bout de quelques minutes, il fini par apprécier le travail que j'exerçais sur son orifice... Je décidai donc de le retourner et de m'allonger sur lui à mon tour. Je continuai à frotter mon sexe contre le sien et à l'embrasser dans le cou un moment...
Puis, quelques instants après seulement, je commençai à descendre vers sa queue en léchant son corps pendant ma descente. Arrivant à sa queue je le suçai quelques minutes puis pris ses jambes sur mes épaules et commençai un long bouffage de son superbe cul... il adorait et paru ne plus vouloir voir ma langue arrêter... je lui enfonçai alors un premier doigt, il cria. Mon doigt sortit puis rentra à nouveau, il gémit. Je fis quelques va et vient... puis crachai sur son trou... et mon doigt continua son travail... il gesticulait, se dandinait, couinait par moment... je mis un second doigt et accélérai les va et vient. Il prenait goût à mon doigté. Sa rondelle se dilatait... Je crachai de nouveau et descendis ces jambes de mes épaules, puis callai mon gland contre son cul. Nos regards se croisèrent. Il me fit signe d'y aller en me souriant. D'un coup, je lui enfonçai ma queue de quelques centimètres. Il hurla. Je ressorti puis rentrai encore mais plus doucement. Il avait mal, mais me demanda de continuer. Je lui enfonçai la moitié de ma bite puis en quelques coups de reins j'étais au fond de son cul, et commençai à le baiser. Il en voulait plus encore. Ses mains me tenaient par la taille pour que je le culbute plus ardemment... Mes couilles cognaient de plus en plus fort sur son cul ! Il haletait et couinant comme une truie... Dans un râle, il cracha son foutre dont le premier jet atteignit mon visage. Il se révéla être un merveilleux passif. Tellement bon que je jouis en lui et m'écroulai sur son corps chaud.
On s'endormit l'un contre l'autre. Au petit matin, je fus réveillé par sa queue raide dans mon dos. Il se frottait à moi en caressant mon torse d'une main et ma bite de l'autre. Je bandais également et bientôt, il astiquait ma queue vigoureusement. En continuant de branler la sienne contre mon cul. Je décidais de le laisser faire. Il me mit sur le ventre et commença à se diriger vers mon trou qu'il s'apprêtait à bouffer comme personne ne me l'avais jamais fait... il faut dire que c'était une pratique que je préférais pratiquer sur mes partenaires... mais il m'excitait tellement que je me laissais faire... et j'adorais sa bouche, sa langue... et il le savait, il le sentait. Je réagissais à chacun de ses coups de langue. Il tenait toujours ma queue entre ses mains, et la branlait, dirigeant mon gland vers lui, le faisant toucher ma rondelle et s'appliquant à lécher aussi bien ma tige que ma rondelle.
Puis il s'allongea sur le dos, et m'emmena à lui en position 69. Je me délectais de son chibre, pendant qu'il continuait à me travailler le trou comme j'avais travaillé le sien la veille. Vingt bonnes minutes étaient passées depuis mon réveil, vingt minutes que l'on se donnait mutuellement un plaisir intense. Quand il me remit sur le ventre, s'allongea sur moi et calla sa pine à l'entrée de mon cul. Il me fit quelques tendres baiser dans le creux de ma nuque, me lécha et téta le lobe de l'oreille droite et me glissa dans un murmure :
" Tu vas prendre aussi cher que moi hier soir... ! "
Notre ébat de la veille me revint en une fraction de seconde, et je souvins alors comme j'avais malmené son trou. Aussi je blêmis à cette révélation de ses intentions... Il ajouta :
" Rassure-toi, je suis toujours sous tes ordres... tu n'as qu'à dire " stop " et j'arrête tout... "
Je souris, et d'un coup de rein puissant et doux à la fois, il inséra son sexe en moi, lentement, et fis quelques va et viens légers mais en insistant tout de même pour enfoncer en moi un peu plus à chaque fois... J'avais terriblement mal... je me rappelais mes premières expériences alors que je découvrais le sexe entre mecs à ma dernière année au lycée. Je me rappelais les premiers coups de queue que j'avais pris par le frère ainé d'un de mes potes. Et je souvenais aussi pourquoi je n'avais renouvelé cette expérience trop souvent... j'étais actif. J'étais fait pour enfiler des culs et pas l'inverse... Mais Edouard, c'était différent. Il me plaisait vraiment, et j'aimais lui donner du plaisir... Aussi, décidais-je de le laisser continuer quelques minutes sa culbute. Il me chevauchait ardemment et y allait de bon coeur... j'avais terriblement mal, mais le plaisir qu'il prenait à me pénétrer m'excitait tellement, que je parvins à faire abstraction de cette douleur pour laisser place à la jouissance de lui faire tant de bien... Il allait et venait toujours en moi de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Son énorme chibre me labourait au sens propre du terme.
Puis il se raidit et laissa son engin exploser son foutre hors de mon cul, dans mon dos. Pour ma part, c'est les draps qui recueilleraient mon jus quelques instants plus tard...
" Tu l'as kiffé ma grosse tige, hein...
_ Pour être parfaitement honnête avec toi, Edouard chéri, C'est te faire prendre ton pied qui m'a plu et excité...
_ Il n'empêche que tu m'as pas arrêté !
_ Je ne vois pas pourquoi je l'aurais fait ! C'étais tellement bon de te voir aussi excité... Et puis on est que samedi matin... J'ai encore tout le week-end pour me venger !!! "
Il fit la tête... Et j'ajoutais :
" T'es encore à moi jusqu'à demain soir mon chou !!!!
_ Wouais ben en attendant on pourrait peut-être aller chercher ta nouvelle voiture non ?!
_ Merde... J'avais complètement zappé ! Quelle heure il est, j'ai rendez-vous avec le mec à quelle heure déjà ? "
J'attrapais mon jeans qui jonchait le sol depuis qu'Edouard l'avait jeté là en me dessapant la veille. Je pris mon téléphone afin de consulter l'agenda.
" Rendez-vous à 10h30 puis 12h00 avec l'assurance.
_ Il n'est que 8h30... On a largement le temps pour un bon café et une douche. "
Ainsi il me proposa de me préparer le petit déjeuner pendant que je prendrais ma douche... ce à quoi je répondais que j'avais besoin de ses mains délicates pour me laver...
" Quoi t'as encore envie !? On vient de baiser à l'instant...
_ Excuse moi très cher ami... mais c'est toi qui viens de baiser... Pour ma part je me suis fais baiser !!! il éclata de rire et se dirigea vers la salle de bain et me fit signe de l'y rejoindre pour s'exécuter.
_ Allez ! Viens me défoncer le cul enfoiré !
_ Reste poli s'il te plait... et puis j'ai juste parlé de prendre une douche, mais à deux... "
On entrait alors sous la douche ensemble, il mit l'eau à couler. Je commençais à caresser son corps musclé, lui le mien. Le savon moussait sur nos deux corps. Je le shampooinais, il me masturbait. Il me savonnait le dos en serrant son torse contre le mien, moi j'empoignais ses fesses. Nos queues cognaient, dures, l'une contre l'autre. Ses mains, à présent venaient visiter ma raie. Comme je visitais la sienne. J'embrassais son cou, puis me dirigeais vers sa bouche, il esquiva à nouveau mon baiser. Et mis à part ce détail, mon fantasme de la veille, tel un rêve prémonitoire se concrétisa. Il n'y eut à ce moment, pas de sexe à proprement parler, mais nos frottements, nos caresses furent très excitantes, et nous jouissions ensemble sous cette douche.
Nous sommes, après un petit dèj rapide, allé à la rencontre du propriétaire de la voiture que j'allais acheter. Puis à ma banque pour assurer le véhicule. Edouard me suivait dans ces démarches et se comportait comme s'il était naturel d'être avec moi, posait les questions au propriétaire de la voiture comme à ma conseillère au sujet des petites lignes du contrat d'assurance. Il se comportait comme s'il était mon mec... Protecteur et un brin macho...J'étais surpris et un peu désireux que cet état devint permanent... Si seulement...
Le week-end passa et je le libérai de son pari le dimanche dans l'après-midi après un dernier moment de pur plaisir ans ces bras, sans oser abuser de mon pouvoir jusqu'à la dernière minute. Il rentra donc retrouver, en hétéro, sa copine qui rentrerait bientôt... Après que mon bel amant ait camouflé mon passage et nos ébats.
Et la vie repris son court, boulot, petites soirées sans débordement...
" Je suis hétéro ! "
Toujours ce même refrain... Je devenais fou... fou de lui... j'étais accro... Cela ne faisait aucun doute... Je mis en oeuvre à partir de cet instant tous les stratagèmes possible et imaginable pour le mettre à poil et baiser avec lui...
Evidement il posa pour moi. A plusieurs reprises, pour le plus grand plaisir de mes yeux et de mon client qui fût ravi de sa toile, et m'en commanda une deuxième... puis une troisième ! Je m'attendais à tout moment qu'il me réclame le numéro d'Edouard !
L'hiver passa, puis le printemps... Sans d'autre ébat. Et arriva la saison de la pêche, nous étions début Avril... Et saison des amours oblige. Je profitais des premières chaleurs de l'année pour proposer à mon fantasme de partir pour un week-end de pêche nocturne en bord d'étang. Il accepta et quelques jours plus tard nous partions pour un nouveau moment que, j'en faisais un point d'honneur, nous apprécierions. Le vendredi soir, comme à l'accoutumée, nous chargions le coffre de toile de tente (il oublia la sienne comme de par hasard...) matos de camping et de pêche...
L'alcool faisant son effet, le week-end commençait comme vous l'imaginerez... Je ne passerez pas les détails de notre qui ressemble à ceux qui suivirent n'aurait aucun intérêt pour l'histoire... si ce n'est le plaisir que nous avons pris quoi qu'il en dise. L'événement déclencheur vous ferait peut-être sourire, je ferais donc juste cette parenthèse. Après plusieurs verres, un bip d'une de nos cannes tinta... et Edouard se leva et tomba... ivre. Je l'aidai à se relever et l'incita à laisser la canne tranquille, qu'il ne tenait pas debout et que dans le noir, au bord de l'eau... c'était dangereux dans cet état. Il ne voulu rien entendre, et me convint de l'aider à sortir la touche de l'eau. Je devais le maintenir par la taille pendant qu'il tiendrait le lancer et sortirait la carpe de l'eau... C'était comique à voir je pense et quelque peu excitant... lui dans mes bras le serrant, son cul contre mon sexe... Bref, le poisson luttait, et quelques minutes plus tard, après une lutte acharnée des deux cotés de la ligne, le fil cassa, entrainant Edouard, et moi dans l'eau... Froide en cette nuit. Avec la vase, nous eûmes du mal à ressortir de l'étang, mais au final, nous nous écroulâmes sur la berge, trempés et frigorifiés... Je me déshabillais, et me séchais, puis alla chercher mon acolyte, resté sur le bord de l'étang complètement saoul. Je tentai de le résonner, lui disant qu'il devait impérativement de changer s'il ne voulait pas attraper la mort...
Il ne réagissait pas, ou peu... me disant juste, " J'suis mort... Fais-le ! " je me fis donc le plaisir de le dessaper et de le sécher... il se mit à bander, moi aussi... la suite, vous la devinez. Et je passerais donc directement, à la session de pêche du mois d'Août de la même année...
Nous avions pris l'habitude de partir, deux fois par mois, tous les quinze jours, pour nos week-end pêche, qui se passaient toujours de la même manière. C'était dans la toile de tente ou au coin du feu de camp que le plus intéressant se déroulait... J'avais pris goût à ces moments privilégiés avec ce mec que j'avais dans la peau... J'avais pris goût à " nos nuits fauves "... Celles-ci seraient bien différentes...
Comme à l'habitude, ce soir là, nous avions bu plus que de raison, et comme à l'habitude, après les quelques attouchements que j'avais impulsés, nous avions fini l'apéro dévêtu... Nous nous caressions et nous léchions. Nos mains courraient sur le corps nu de l'autre. L'excitation était à son summum. Edouard, commença ce soir là à me sucer assez rapidement, comme un somalien devant un bol de riz... ces vas et viens étaient rapides. Aussi me mettais-je en position 69 pour le pomper de la même manière. Goulument, avec gourmandise... Puis il me mit sur le dos, s'allongea sur moi et se mit à m'embrasser le torse et me le lécher. Il malaxait mes tétons d'une main experte et les tétait. Il descendit ensuite vers mon sexe qu'il avait déjà en main depuis quelques minutes, depuis le bouffage de tétons.
Il entreprit une pipe en profondeur, directe et sans pudeur. Sa bouche allait et venait sur mon membre, se délectant du moindre morceau de chair. Ma queue bien raide tapait dans sa gorge et je me mis à donner quelques coups de reins pour cracher bientôt le nectar tant apprécié de mon beau gosse. A mon tour je lui attrapais le chibre pour l'apporter à ma gueule qu'il rempli avec la même hâte qu'il avait pris le mien. Je le suçais à mon tour avec gourmandise en palpant ses bourses et titillant son trou. Il repoussa ma main. Je le regardais, puis continuais mon gobage de son membre sans me poser plus de question... Je me régalais. Elle m'avait tellement manqué sa bonne queue. A son tour, il gicla abondement sur ma gueule et vint, comme il le faisait à chaque fois, lécher son foutre... A ce moment, je lui avouais :
" Putain tu me rends fou... Je t'aime...
_ Quoi !?
_ T'as bien entendu... "
Après quelques secondes de silence, où seul le crépitement du feu et quelques grenouilles se faisaient entendre, il s'allongea sur moi, prit ma bouche pour l'embrasser tendrement... J'étais au paradis, porté par mon ange blond. J'étais bien et léger. Et aussi rapidement me repoussa en objectant " C'est n'importe quoi, putain ! " puis parti aussitôt.
En moins de temps qu'il n'avait fallu pour créer mon paradis, il s'écroula sous mes pieds, mes jambes tremblaient et je m'effondrais près du feu qui à son tour mourrait bientôt...
Le lendemain, nos échanges furent quasi inexistants, nous rentrions chez nous. C'était la dernière fois que je le voyais. Il ne revint pas à l'usine, ne répondais évidement plus à mes appels... J'étais anéanti.
Ramon
Autres histoires de l'auteur : Ah... ces hétéros...