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Sacha -12
Je clean l'appart, change les draps maculés de foutre et prends une douche. Enfin cool, je m'affale sur le canapé pour manger un morceau et appeler ma copine restée en Province pour les fêtes de fin d'année.
Avec Alice nous nous connaissons depuis 1 an. On s'est rencontré lors d'un plan cul. J'étais sorti en Club avec un pote et nous sommes revenus à 4 pour baiser toute la nuit. Ce soir là elle a découvert que j'aimais bien les mecs et j'ai découvert qu'elle aimait aussi les filles et surtout qu'elle était sans tabou ! On a bien accroché côté cul tous les deux et puis avec le temps, nous nous sommes aussi apprivoisés.
Elle a fini par emménager avec moi en octobre dernier. Ça nous arrive souvent de rentrer avec mecs et filles pour des plans à plusieurs.
Je lui raconte ses dernières 24h avec l'arrivée de Louis et l'invité surprise, Nabil. La coquine est jalouse, mais me demande force détails ! Elle a envi de jouer avec moi. Notre conversation est de plus en plus Hot. Je bande en me remémorant les baises que je lui raconte. De son côté la voix est plus chaude, la respiration cadencée, je l'imagine en train de se doigter, elle doit même avoir son vibro de voyage... Ça m'excite encore plus, je me mets à l'aise sur le canapé et sors ma queue bien dure de mon caleçon. Je commence à me masturber. Je connais bien ce qui la fait triper, je donne des détails croustillants sur Nabil, comment son petit cul serré et devenu bien large et ses chairs rouges incandescentes. J'en rajoute sur ses petits cris stridents d'hétéro en train de se faire décapsuler et bien sur sa bite fine, longue et surtout incurvée qui doit bien ramoner dans les coins... Elle gémit, je crache dans ma main et j'accélère la cadence sur ma verge, elle est bien gonflée, ça fait longtemps que je ne l'avais pas observé comme ça, elle est belle, bien veinée. Je pose mon portable sur l'accoudoir du canapé en mettant le haut parleur et j'enlève mon caleçon. Je me caresse les couilles, je mouille mon index, j'écarte les jambes et me le rentre dans le cul, c'est trop bon. Avec l'autre main, je bloque la base de ma bite pour quelle prenne encore plus de volume, le gland devient rouge pourpre, les veines violettes, elle va exploser. Je caresse mon gland qui mouille, c'est trop bon, je ne parle plus au téléphone avec Alice. Elle aussi est en extase, je le comprends à ses gémissements et à son souffle. Je retire mon index de mon fion et agrippe mes couilles en faisant également une pression sur mon périnée. Je lâche la base de mon sexe et avec cette main bien humectée je reprends ma branle avec des effets tournants sur ma queue. Je sens mon foutre monter. Je bloque mes sphincters, ça fait presque mal. Dans un râle incroyable je lâche en l'air un jet très puissant. Je bloque à nouveau mes sphincters et continue à me branler pour jouir encore aussi fort. J'achève par 2 autres jets qui finissent sur mon torse. Je fait pression sur ma bite de haut en bas pour sortir les dernières gouttes de sperme que je porte à ma bouche... Ça fait longtemps que je n'avais pas goûter mon sperme. Il est bon, je prends avec mes doigts le foutre sur mon torse et j'avale également. Je suis exténué. Alice a jouit en même temps que moi. Je reprends mon portable, elle me répond difficilement :
- merci mon amour c'était super cette baise à distance
- ouaip, moi aussi j'ai pris un sacré pied !
- bon, tu me les gardes au chaud à la maison, je veux voir ces 2 Gus et j'espère qu'on va baisera tous ensemble, me dit-elle, question de finir l'année en beauté.
Je lui explique que Nabil doit partir avant son retour, elle me supplie de trouver une excuse et de préparer le terrain, elle a très faim en ce moment ! Elle rentrera le 29 sur Paris.
On raccroche. Je m'essuie avec mon caleçon. Ça fait longtemps que je n'avais pas jouit avec une telle force en me branlant.
Quand j'étais jeune, je me branlais au moins deux fois pas jour. J'essayais toujours de bloquer au Max mes sphincters pour améliorer mes lâchés de jute. Avoir une belle pression et jouir intensément, mes branlettes étaient un délice. Je crachais mon sperme de plus en plus loin et fort. Il était aussi plus abondant, je devenais un homme.
Plus tard avec des potes de bahut on faisait des tests de jets de foutre. Ça a commencé dans les douches crasseuses d'une salle de sport de quartier. On était surtout 4 potes, Rachid, Marco, Xavier et moi. On essayait de transformer nos corps de crevettes en hommes virils. Rachid était déjà bien musclé, il en jouait, mais je me suis vite étoffé pour le rattraper. Nos jeux d'eau sous la douche nous avaient permis de voir nos bites respectives et de faire nos premières branlettes. Marco était le mieux membré, au moins 22x5. On était jaloux, d'autant qu'il était plutôt fluet. Xavier avait une bite normale, genre 15x4 et prenait grand soin de son pubis bien tondu et de ses couilles rasées. On est tous devenu adepte du style ! Rachid avait un gros morceau épais mais pas très long, 16x6, avec de grosses couilles marrons foncées. Moi, j'étais fier de mes 18x5 que Rachid regardait avec dédain. C'est là que l'idée de concours de jets de foutre est née. Avec Rachid on était bien souvent les meilleurs. Mais c'était difficile d'être discret au club, alors on a commençait à se faire des après-midis peinards chez les uns et les autres à mater des films de cul. Même si on avait tous des copines, ce genre de moment entre mecs nous plaisait et on ne se posait pas de question du style PD, hétéro ou Bi. C'était un jeu et surtout les filles étaient tellement coincées qu'on ne pouvait pas trop les baisers... Alors on se disait qu'on faisait de l'entraînement pour plus tard !
C'est lors d'une soirée de branlette que nous avons passé le pas. On était déjà passé à l'étape de se branler les uns les autres en matant un film de boules, puis un soir Marco a proposé de sucer Xavier et ça a dérapé. Marco a fini à 4 pâtes avec la bite de Rachid dans le cul. Je n'ai pas osé, je me suis juste risqué ce soir-là à sucer Xavier, et je trouvais que sa bite était bien grosse pour ma bouche. J'en rigole maintenant. C'était notre petit secret entre pote du lycée. Des fois nous avions un ou deux mecs en plus que chacun ramené au gré de ses rencontres. C'est surtout Rachid et moi qui jouions les rabatteurs, on avait confiance en nous, genre petits coqs fiers d'eux... des têtes à claques un peu ! Mais on ne ramenait jamais un mec du bahut. Plutôt des rencontres en boite, surtout des mecs PD pour abuser d'eux (en connaissance de cause), ou des mecs au contraire très machos et bien foutus pour les ridiculiser lors de nos concours de jets de sperme. Mais des fois, les mecs gagnaient et Rachid se faisait souvent enculer, car les beaux gosses aimaient se venger sur le plus grande gueule d'entre nous. Ca me faisait triper de le voir écartelé et gémir avec sa grosse queue pendante.
Bref, les soirées de matches à la TV étaient devenues un bon alibi auprès de nos meufs pour nous retrouver et remette ça, au moins toutes les deux semaines. On faisait des paris sur les matches à venir et sur nos jets de branlette. Le gagnant avait les 3 autres mecs à dispo et le perdant se faisait mettre par tous les autres et devait boire tout notre sperme.
Le pauvre Marco se faisait souvent défoncer le cul. Il avait 2 handicaps, il ne s'intéressait pas au foot et sa bite longue était plutôt molle et il jutait des paquets de foutre sans style. Rares étaient ses jets, sauf finalement quand il avait une bite dans le cul. On pensait bien qu'il était PD, même s'il s'en défendait ! Peu importe, Xavier, Rachid et moi on prenait du plaisir à lui élargir le fion, car à force Marco avait un trou bien large et accueillant. Un soir de délire, on lui avait rasé la raie et à chacune de nos rencontres suivantes, il arrivait impeccable. On se vengeait sur lui pour toutes les fois où les filles nous repoussaient.
De temps en temps, ça m'arrivait de perdre exprès pour me faire mettre. J'aimais bien ces 3 bites très différentes en moi. Xavier ouvrait le bal pour préparer le terrain, puis Marco poussait loin et Rachid finissait en beauté et en largeur. Les autres avaient peut-être la même tactique, car Rachid perdait également de temps en temps, et il fallait vraiment faire des efforts pour être pire que Xavier et surtout que Marco ! Rachid offrait alors une autre image de lui, très soumis, une vraie chienne. Il avait besoin de temps en temps de se sentir dominer, il s'allongeait sur le lit, les cuisses écartées et ses mains sur ses fesses pour ouvrir son cul. Un régal.
Et lors de soirées avec nos 'invités mystères', comme on les nommait, c'était l'orgie. Surtout si l'on tombait sur une petite frappe qui couinait comme une meuf avec le cul bien rempli et la bouche grande ouverte pleine de foutre.
Une fois, on a moins rigolé, quand deux rugbyman ramenés par Rachid, sûr de lui et de sa supériorité en jets de sperme, nous ont démonté le cul.
Ce soir là, nous n'étions que Rachid et moi, il m'avait annoncé que la partie serait terrible, qu'il avait invité 2 gaillards qu'il avait repérés au sport et qui semblaient très tactiles sous la douche, se caressant longuement l'entrejambes, surement des PD, comme il aimait à dire. Bref, on allait bien les enfiler et s'amuser...
Quand je les ai vu arriver, j'avais la gaule. C'était en fait 2 putains de frères super bien foutus, 20 et 22 ans, et surtout montés comme des taureaux avec des couilles lourdes et bien pendantes. Le cadet avait une bite d'au moins 23cm x5 et l'autre une queue moins longue mais plus épaisse, genre 20x6. Là, Rachid et moi on a moins rigolé. Non seulement ils ont juté plus loin et plus puissamment, mais avec des quantités de sperme impressionnantes. Un peu comme Nabil tout à l'heure. Bref, fiasco total sur notre plan baise. Les deux frères se sont mis à bander à nouveau au bout de 2 minutes, ils nous ont plaqué sur le canapé et nous ont bouffé le cul avec rage et à grand renfort de doigts pour bien nous élargir. Puis, ils nous ont bourriné dans toutes les positions, en passant de moi à Rachid. Au bout d'une heure, ils nous ont rempli le cul de leur semence, ça dégoulinait de partout et ils tassaient encore comme des malades après avoir éjaculé. Il a fallu ensuite leur nettoyer les queues alors que nos culs dégoulinaient de leur foutre. On a quand même réussi à prendre du plaisir, mais on a pas pu s'assoir pendant 2 jours. Je n'avais pas l'endurance et l'expérience d'aujourd'hui !
Notre fierté en avait pris un coup, on ne pouvait pas rester sur cet échec, nous voulions nous venger.
Au bout de quelques mois, nous avions réussi à incorporer leur cercle d'amis sans qu'ils s'en aperçoivent. Devenant copain, entre autre, avec un de leur meilleur pote. Mais nous faisions en sorte de ne jamais être là quand les 2 frères étaient supposés l'être. Et notre soir de vengeance arriva, justement pour l'anniversaire de ce nouveau pote, qui faisait une grosse fête dans la baraque de ses parents. Au début les 2 frères ont été surpris de nous voir, nous lançant même des pics du style :
- alors les mecs, vous arrivez à vous asseoir, ou:
- vous voulez qu'on vous fourre encore le cul ?
Ce qui nous mettait encore plus dans une rage intérieure... avec le sourie aux lèvres.
Puis la soirée avançant, à fortes doses d'alcools, nous étions devenus amis. Le grand frère était venu avec sa copine et Rachid mettait en oeuvre son plan, il voulait se la taper le soir même. De mon coté, je ciblais le cadet des 2 frères et je me faisais une joie à l'idée de lui éclater la rondelle. Nos plans machiavéliques se mettaient en place et la chance était avec nous, les 2 gus, tout colosse qu'ils étaient, ne supportaient pas l'alcool. Le plus grand parti rapidement ivre laissant sur place sa copine que Rachid avait déjà largement peloté ! Le cadet voulait redorer le blason de la famille et décida de rester malgré son état d'ébriété avancé. Je jouais à faire le con avec lui, faisant semblant d'être ivre comme lui et d'un seul coup, je trébuchai et mon verre remplit de whisky coca se renversa sur nous. Je m'excusais et le pris par le bras pour l'emmener dans la salle de bain. Il titubait et son esprit embrumé ne lui donna pas l'alerte. Le piège se referma quand je bloquais la serrure de la porte. Son Jean était tout collant et son T-Shirt blanc maculé de coca. Je montrais l'exemple en enlevant ma chemise pour la passer sous l'eau, il enleva alors son T-Shirt. Je redécouvris ce torse superbe, je bandais comme un malade. Il s'assit sur le rebord de la baignoire et me regardait nettoyer nos affaires. Je posais ma chemise et son T-Shirt sur le radiateur pour qu'ils sèchent et j'enlevais mon jean. Le beau gosse se leva et fit de même, il se tenait au lavabo et je l'aidais à descendre son jean. J'agrippais alors son caleçon en même temps et baissa l'ensemble d'un coup sec. Il était à poil et rigolait en se touchant sa belle bite. Il vit que la mienne était bien raide dans mon boxer, aussi il ne fut pas étonné de la voir jaillir quand j'enlevais mon caleçon. Nous étions face à face, je me mis à me branler en le regardant. Il commença aussi à astiquer plus fiévreusement sa queue. Mais, il s'énervait, avec la quantité d'alcool absorbé, il avait du mal à se concentrer et à bander. Je me mis à genoux et la pris en bouche. Elle devint vite énorme et je ne pu que lui gober le gland... pas encore assez d'expérience. Mais ça suffisait pour le faire gémir. J'en profitais alors pour lui caler un doigt dans son cul humide. Il ne broncha pas. Visiblement le mec n'était plus vierge du cul, est-ce qu'il s'amusait avec son frère, ou était-ce les 3ème mi-temps de rugby ? En tout cas, il savait faire palpiter sa rondelle sur mon doigt. Je décidais donc d'en mettre deux et de bien pousser. Mais le salaud, lui aussi, voulu pousser sa grosse queue, je failli m'étouffer. Il fallait que je passe rapidement à l'attaque, sinon, il allait me démonter la mâchoire. Je me levais brusquement, l'agrippant par la taille, je le fit tourner sur lui même et le scotcha contre la porte et d'un coup rapide d'une jambe je lui faisant écarter les siennes. En quelques secondes j'avais réussi à le maitriser et je poussais déjà ma queue sur sa rondelle. Contre toute attente, il écarta de lui même ses jambes et de cambra pour m'ouvrir son cul. Ce fut le signal que j'attendais, et je me mis à le bourrer avec force. Mais le mec n'était pas très stable et à chaque fois que je poussais à fond, il s'écrasait contre la porte. Même si le son de la sono était fort, nos ébats ne passaient pas inaperçu. J'entendis une voix de fille :
- ça va ? Vous voulez de l'aide ?
Je répondis assez fort et avant que mon gus ne sorte de sa léthargie :
- oui pas de problème, tout va bien, merci.
Je chopais mon beau mec, sa grosse bite tapait sur ses abdos et je l'allongeais sur le tapis de salle de bain. Il avait mis un bras derrière la tête pour la relever et mieux m'observer. De l'autre main il se caressait le torse. Ça y est, il était à moi, complètement abandonné. Je lui repliais ses jambes pour caller ses pieds sur mes pecs. Il était ainsi recroquevillait sur lui et m'offrait un cul ravissant que je découvrais alors de près. Le mec avait une rondelle bien ourlée, large et très ovale, il devait déjà se prendre très souvent des bites dans le cul. Je me suis mis alors à douter. Le mec savait très bien se qu'il faisait. Avec sa force et malgré ses 3g d'alcool, s'il avait voulu, il aurait pu m'écraser la tête sur le lavabo. Ma vengeance d'un seul coup avait moins de saveur. Mais qu'importe car je me tapais un putain de sacré beau mec, le style que l'on voit dans les films de cul US : peau blanche immaculée, imberbe et musclé, avec de surcroit une bite énorme et un cul accueillant ! C'est là que j'ai réalisé que j'aimais bien baiser des mecs. Et pour cette première grande jouissance, je me suis donné à fond et le mec aussi. Nos gémissements devaient traverser les murs, nous étions en sueur. J'ai senti que la pression montait, je me suis retiré de son cul et j'ai mis ma bite entre ses lèvres, il a ouvert la bouche pour recevoir mon premier jet, puis je lui ai tapissé la gueule en secouant ma bite sur ces joues. De son coté, il n'a pas tardé à jouir, intensément, avec une quantité de sperme incroyable étalé sur tout son torse. Je me suis effondré à coté de lui et il m'a embrassé... preuve supplémentaire qu'il savait ce qu'il faisait !
En revenant à nos esprits, nous nous sommes aperçu qu'il n'y avait plus de musique et que c'était plutôt calme ! On s'est vite essuyé et on a renfilé nos fringues dégueulasses.
En sortant, nous sommes tombés nez à nez avec le mec qui nous avait invité. On a baragouiné quelque chose, mon beau gosse avait l'air tout à fait normal... son pote lui a mis une main aux fesses et nous a poussé dans le couloir vers la sortie. Je retrouvais Rachid qui me racontait alors qu'on nous entendait beugler dans toute la maison et que tout le monde était parti. Lui aussi s'était vengé en défonçant la chatte et le cul de la meuf du grand frère, mais c'était pas l'éclate. Je senti alors un peu de jalousie dans sa voix.
J'ai recroisé ce beau mec et il m'a avoué qu'il n'était pas aussi saoul qu'il paraissait. Il était même content de m'avoir fais marcher, car en me voyant chez son pote, il avait eu envie de moi. J'ai compris aussi qu'il s'amusait très souvent avec son frère et d'autres potes du Rugby, dont celui qui nous avait invité Rachid et moi. Je comprenais alors pourquoi celui-ci n'avait pas pété les plombs à sa soirée.
Un mythe s'effondrait, moi qui pensait avoir pu abuser d'un hétéro et de l'avoir dépucelé ! Mais depuis, je me suis rattrapé, notamment avec Louis...
Bref, nos soirées spéciales avec Rachid, Xavier et Marco ont duré 2 ans, après je suis monté à Paris pour mes études avec ma copine de l'époque et vivre d'autres expériences... en colocation.
Quand je redescends à Montpellier, je croise de temps en temps Rachid, marié avec déjà 2 mômes. Il est toujours aussi craquant, il s'entretient beaucoup. Peut-être s'amuse t'il sous les douches des vestiaires. Je vois aussi Marco qui lui est carrément Gay. Par contre no news de Xavier. Nous n'avons jamais ré-abordé le sujet, c'est toujours notre secret. Mais j'aimerai bien baiser à nouveau avec Rachid... La prochaine fois que je reviens sur Montpellier, j'irai m'entraîner dans son club de sport, question de lui lancer de nouveaux paris... On verra bien comment il va réagir !
Bref, tout ça pour vous dire que j'aimais bien me branler et aussi l'occasion de vous dévoiler comment j'avais commencé à baiser avec des mecs.
Sacha
sacha.paris.fr@gmail.com