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Paul à la ferme -04
Le soir tombé, je me mis dans le lit en grenouillère car la fraîcheur m'herissait le peu de poil tapissant mes jambes, mes tétons eux par contre se durcissaient sous le vent glacial lorsque je fermas les fenêtres.
En attendant François, j'ouvris la table de nuit et en sorti un livre illustré de la grande guerre que mon frangin avait emprunté au maire du village. Beaucoup de propagandes, de récits de soldats blessés, de paysages détruits et quelques dessins de soldats en action. Plusieurs copains de mon frère étaient au front, lui il était mis soutien de famille jusqu'à nouvel ordre, mais avec sa force herculéenne, il aurait su combattre très vaillamment.
Je ne repris conscience qu'au petit matin avec une lumière grise qui assombrissait la chambrée. J'étais seul. François n'était pas rentré. Je me mis debout et la grenouillère tomba à mes genoux, elle était fort usée et les boutons ne tenaient plus grand chose.
Je descendis l'escalier de meunier et tomba nez a nez avec Mr Chapier.
Bonjour petit!
Bonjour Mr Chapier! Ma mère préparait un café mais paraissait très inquiète.
Que se passe t'il Maman?
Mr Chapier est venu me dire qu'il était passé voir ton frère et Mr Eric et en arrivant la bas, il n'y vu personne, que des traces de luttes marquants le sol!
Ahh bon? Et ça veut dire quoi?
Mr Chapier pense qu'ils sont tombés sur des déserteurs ou des soldats ennemis! Il y reste tout le matériel de ton frère et la veste d'Éric!
Ni une ni deux une larme coula le long de ma joue!
T'inquiètes pas mon petit! Dit Mr Chapier en me mettant une claque sur la fesse. Eric et François sont des gars très très solides!
Allez Paul, va chercher des tomates pour remercier Mr Chapier.
Dans ma tête je bouillaissss, le remercier de quod'êtreeee venu me dire que mon frero avait disparu, que Mr Eric était sans vestes, de se donner un malin plaisir à caresserser le cul?
Je me dirigeais vers la grange! J'y entendis du bruit, je rentras et vis Eric mettre un mors à mon cheval.
Eric?
Ah Pauli, j'emprunte ton bidet quelques jours!
Attends, pourquoi faire, et Freuh il est ou?
En Sécurité!
Mais ou, c'est mon frère dit moi ou il est?
Je peux pas Pauli. Il a pris de l'avance je le rejoins ce soir mais j'ai besoin de ton cheval!
Je viens avec toi. Il était déjà monté a cru sur mon cheval, je lui tendais ma main.
Non Pauli, c'est des choses de grands.
Eric!!, je le regardai dans les yeux.
Il me tendit sa main et d'un coup comme si je n'étais qu'une plume, il me souleva de terre et me mit devant lui.
Huuu Huuuu!!! Allez mon gros! Mon cheval se cabra et mis ses sabots sur la porte de la grange si bien qu'elle s ouvrit en grand. Et il donna un grand coup sec sur les flanc du cheval et le galop démarra de suite.
Il tenait les rennes très fermement de la main droite et sa main gauche était sur ma hanche. Chaque mouvement de galop faisait glissé la grenouillère dans mes fesses écartées sur le garrot de l'étalon. J'étais cambré sur l'encolure avec Eric derrière moi, me collant et me tenant fermement. Mes fesses suivaient le mouvement du galop et frottaient le pantalon d'Éric.
Ça va? Me dit il en me tapotant sur la cuisse.
Oui oui.
Je te sert pas trop fort?
Nan nan, c'est plutôt rassurant vu a vitesse où l'on va.
J'eus a peine eu le temps de finir ma phrase qu'un orage éclata!
La pluie torrentielle ruisselait dans mon dos et sur mon visage. Le bras d'Éric était trempé et il avait du mal à tenir les rennes.
Hooo Hoooo mon beau!
Il faut qu'on s'abrite!
Regardes, il y a un moulin à droite!
Il se dirigea vers l'entrée et tapa a la porte!
Personne ne répondit.
Il ouvrit la porte et cria : Meunier!!
Personne!
Il prit les rennes et nous fit entrer moi et le cheval.
J'étais trempé.
Vient !
Il me tendit ses deux bras puissants pour me faire descendre.
J'avais froid et l'eau ruisselait maintenant entre mes fesses.
Il alluma le feu du meunier et pris des sacs tissés pour les disposer par terre.
Vient te réchauffer et enlève ton habit.
Lui il avait déjà commencé, sa chemise à carreaux était déjà ouverte sur un torse très bien dessiné, très viril avec des poils drus. Il se mit de dos et ôta sa chemise se qui marqua sa musculature magnifiée par l'eau ruisselante. Il baissa la tête pour retirer la corde qui lui servait de ceinture.
Merde, avec l'eau, j'arrive pas à retirer le noeud. Ses cheveux mis en arrière par un mouvement de la main, il se retourna.
Paul vient m'aider!
Je me dirigea vers lui, me baissa au niveau de la corde et mis mes mains sur le noeud de la corde.
Il est bien serré, j'étais devant lui, lui jeta un regard et ré-entreprit de défaire ce noeud.
Au bout de 5 bonnes minutes, le noeud céda et son pantalon s'entrebâilla quelque peu sur son caleçon. Il se retourna et baissa son pantalon devant moi. Il se retrouva en caleçon trempé si bien que ses fesses galbées, musclées, viriles étaient quasi à nues!
Il mit ses affaires près du feu pour les faire sécher.
Faut que toi aussi tu te déshabilles Paul si tu veux pas attraper une pnomeunie!
On dit une pneumonie Éric, et c'est que moi sous ma grenouillère , j'ai rien!
Ahh ben c'est pas bien grave.
Il s'allongea sur les sacs et mit ses bras sous sa tête et croisa ses chevilles.
Je me retourna et retira délicatement les manches de mes bras, ce qui fit glissé la grenouillère le long de mon dos. Je regarda derrière moi et vit Éric me regardant.
Allez sinon tu vas te les cailler!
Je fis descendre le tissu aux mollets puis aux chevilles.
Je me retrouve nu devant Éric qui me regarde de la tête aux pieds. Allez vient!!Dit il en tapotant le sol.
Je me dirige très vite à coté d'Éric et me met en chien de fusil face au feu de cheminée.
Il me mit une main sur l'épaule et dit : Bonne nuit Pauli!
Bonne nuit Éric!
C'est frigorifié que je me réveille dans la nuit. Je tremble de tout mon corps, je me retourne vers Éric, il ronfle sur le ventre, les bras écartés, les fesses bombées.
J'ai froid Éric!
Hein quoi? Il se réveille tout abasourdi. Quoi?
J'ai très froid.
Attend, il se rapprocha de moi. Il prit la même position que moi, en chien de fusil mais derrière moi.
Il me pris dans ses bras et mis sa jambe droite sur la mienne.
Ça va comme ça?.
Oui merci!
Bon rendort toi Pauli!
Il passa sa main sur mon torse imberbe et se serra plus encore.
C'est un cri d'une chouette qui me réveilla le matin. Le feu chauffait encore la pièce. J'étais installé sur le torse d'Éric, qui lui avait un bras sous sa tête. J'avais une jambe sur les siennes et son autre main se plaçait fermement sur mes fesses. Mon corps se soulevait à chaque inspiration et redescendait à chaque expiration. Chaque mouvement provoqué une glissade de sa main sur mes fesses si bien qu'on aurait cru qu'il me caressait.
Éric!!!
Il gémit et sa main monta vers ma nuque, caressa mes cheveux et redescendit vers son point de départ : ma fesse droite Mais c'était une main plus ferme, plus engagée qui n'hésitait pas a se refermer pour empoigner mon petit cul imberbe.
Éric!!
Humm!!! Gémit il.
C'est le matin!
Comme tout les matins!
Il sommeillait encore!
Éric!!
Il replaça sa queue avec une érection matinale dans son caleçon!
Il remit sa main sur mes fesses
A Suivre
ps : merci pour vos nombreux mails, photos, etc
dawson
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