1er Épisode | Épisode précédent
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Ludovic, Ernesto et Emma...
La rencontre avec Ernesto s'est faite plus tard lors d'un WE où Marc et Hervé étaient en déplacement.
Nous sommes allés tous les trois le chercher à l'aéroport. Petite appréhension dans la voiture de la part de Ludovic qui nous dit qu'il est peut-être de trop !
PH en rajoute en disant que c'est vrai, nous avions oublié de parler de lui au dernier membre du trio.
Nous sommes en avance et l'avion en retard. Nous prenons un Coca en attendant. Ludovic nous fait parler encore une fois d'Ernesto. J'ai beau lui dire que c'est un mec super sympathique ouvert d'esprit puisqu'il nous aimait tous les trois (Marc, PH et moi), il stresse. PH ajoute que comme il me ressemble question sexe, il ne pourra pas s'empêcher de l'apprécier comme nous. Et de lui rouler une pelle devant tout le monde.
Quand ils se décollent, je vois Ludovic regarder autour de nous si quelqu'un ne le connaitrait pas.
Je lui dis de se détendre et nous partons vers les arrivées.
Ernesto passe les portes et nous cherche du regard. Quand nos yeux s'accrochent, j'y vois une interrogation. Seulement chargé d'un petit sac à dos (il pique toujours dans nos affaires quand il est en France), il court vers nous. Je l'intercepte le premier et nous nous roulons un patin aussi avides l'un de l'autre. PH passe après et quand il attrape Ludovic pour en faire autant, c'est limite si ce dernier de tombe en syncope !
Comme d'habitude il y en a que nos effusions dérangent. Ludovic est étonné de la façon dont nous rembarrons nos détracteurs. PH lui confie que ce n'est pas parce qu'on est homo qu'on doit fermer nos gueules. Quand nous partons, comme nous passons devant les quelques mecs qui avaient proféré les insultes (de pauvres types moches et petits), je m'arrête juste le temps de leur demander si c'était la bêtise ou la jalousie qui les faisaient parler ainsi. Je n'attends pas leur réponse sachant que c'est la première assertion qui est la bonne !
Pendant le retour, Ernesto fait connaissance avec Ludovic. Il se fait raconter notre rencontre, éclate de rire quand il s'aperçoit que je me suis pris à mon propre jeu. Il s'excuse s'il l'a gêné à l'aéroport mais c'était pour me surprendre moi (Sasha).
Il salut Samir et Ammed dès son entrée dans le blockhaus avant de se mettre à l'aise c'est-à-dire en shorty. Je fais de même comme PH. Ludovic est surpris. C'est vrai que c'est la première fois qu'il va résider au blockhaus plus longtemps qu'une soirée où jusqu'à présent nous avons passée à faire l'amour.
Mais à côté de ça, avec Samir et Ammed toujours en shorty cuir, c'est logique un peu !
Il se met à l'unisson et comme il arrivait de chez lui (après une journée de Fac), il est apparu en DIM.
Du coup c'est moi qui me suis fait engueuler par Ernesto pour avoir laissé Ludovic avec ça sur le cul. Sans attendre une explication, il l'emmène à l'étage d'en dessous pour faire l'échange de sous-vêtement.
Comme ils ne remontaient pas vite je suis descendu et je les ai surpris dans les bras l'un de l'autre, tous les deux arborant des érections triomphantes. Ils se roulaient une pelle du type si je me détache je meurs !
J'ai crié dans l'escalier " PH " pour qu'il revienne. Et le temps qu'il arrive je me suis glissé entre les deux déjà présents.
PH n'a pas tardé et nous avons commencé à faire l'amour. Tous les deux à genoux, nous avons commencé par pomper les deux bites raides. Puis je me suis redressé et j'ai pris Ludovic par le cou pour le plier devant Ernesto. Il s'est redressé brutalement pour le regarder dans les yeux. Le " c'est à toi tout ça " qui est sorti de la bouche de Ludovic en disait long sur la surprise qu'il venait d'avoir.
Puis il a replongé et cette fois s'est mis à pomper notre espagnol comme si sa vie dépendait de ce qu'il en sortirait.
Ernesto commentait la prestation. Quand il s'est aperçu qu'il ne rentrait pas tout dans sa gorge, il m'a demandé ce que j'avais fait depuis que j'avais chopé ce jeune homme.
Pour ma défense je ne suis monté que de 20cm moi !
Ernesto a passé sa main sous le menton de Ludovic et l'a relevé jusqu'à pouvoir le regarder dans les yeux.
Là il lui a posé la question qui tue : veux-tu apprendre à manger gros ?
Délicat s'il en est, non ?
Devant le oui muet de Ludovic, il l'a attrapé, décollé de PH et jeté sur le lit. Avec PH on le regardait faire. Il l'a tourné sur le dos, tiré par le cou jusqu'au bord du matelas et poussé sa tête en arrière. En faisant ça, il lui expliquait la finalité de la position.
Une fois en place, il lui a remis son gland dans la bouche et lentement a basculé son bassin pour faire pénétrer sa longue bite. Du premier coup, il lui a mis ses 24cm dans la gorge ! Pendant qu'il le faisait, il m'expliquait qu'il avait développé la technique avec les Escorts de ma filiale Espagnole dont il était le gérant. Comme ses clients étaient du même type que les français, il devait préparer nos employés et les mettre au format.
Pour lui c'est plus facile puisque sa propre bite correspond à la moyenne de la clientèle. En France, je suis obligé de passé par les godes et parfois c'est vrai, je fais aussi appel à Pablo son frère et cuisinier d'Emma qui est monté pareillement.
En attendant, Ludovic " mange gros " selon l'expression d'Ernesto. Je me couche à ses coté dans la même position et Ernesto peut ainsi alterner les amygdales ! PH de son côté nous mangeait nos bites.
Après un bon gavage, nous nous sommes mélangés différemment. Ludovic s'est très vite mis au diapason et il a partagé sa bouche, son sexe et sa rondelle avec nous tous quand Ernesto l'a enculé, c'était après s'être fait manger le cul puis sodomisé par PH et moi. Mais les 24x6 de notre ami ont quand même eu leur petit succès.
Déjà, il l'a reçu lentement, bien graissé mais d'une seule et unique poussée.
Devant lui, son visage à 5 cm du mien, j'ai vu au fond de ses yeux le plaisir qu'il avait à chaque cm de bite supplémentaire qui le défonçait.
Il m'a attrapé la tête et a écrasé ses lèvres sur les miennes avant d'essayer de me manger la langue. PH s'est glissé sous lui en 69 et s'est occupé de le sucer comme Ernesto commençait ses allers et retours. A nous trois nous avons donné à Ludovic sont premier orgasme de partout à la fois (j'entends par là, par le cul, la queue et la bouche). Pour sa bouche, après nous être repais de la langue de l'autre, il a rendu le service de PH en pompant ses 19 merveilleux centimètres de chair. Pour ne pas être en reste je l'ai aidé et nous avons alterné les pipes, les roulages de pelles et les pipes à deux bouches où nous nous roulions des pelles avec le gland de PH en centre d'intérêt. En modulant nos " activités ", PH, Ernesto et moi avons réussi le tour de force de l'exciter sans le faire jouir pendant plus d'1 heure 30. C'est lui-même, qui ne pouvant plus tenir, a donné les coups de bassins fatals. J'ai eu le plaisir de les voir tous les trois exploser quasiment en même temps. Ernesto, les mains agrippés aux hanches de Ludovic, se vidait en tassant son jus au fond de son cul, PH déglutissait le jus de Ludo et je voyais sa pomme d'Adam monter et descendre à chaque fois qu'il en avalait une rasade et son propre jus, déborder des lèvres rouges de Ludo et couler lentement le long de sa hampe.
Spectacle bandant n'est-ce pas ? Même sans avoir moi-même juté, j'étais heureux que notre séance de sexe se soit passée avec autant de naturel.
Même si j'étais sùr que la rencontre Ernesto / Ludovic se passerait bien, j'étais quand même soulagé que cela se soit révélé vrai.
Ils se sont aperçu quelques minutes plus tard que je n'avais pas joui. Faut dire que j'étais le seul avec la bite encore raide !
Ils mes ont tous les trois tombé dessus et je me suis fait défoncer, pomper, embrassé, bouffer les tétons. Des doigts sont même venus s'accoler à la bite plongée dans mon trou. Après une bonne sodo de la part d'Ernesto, alors que je chevauchais Ludovic, j'ai senti le gland de PH venir titiller l'entrée basse de mon corps pourtant déjà occupé.
Deux respirations du poppers placé sous mes narines par Ernesto et je me suis ouvert comme la salope que je sais devenir parfois. Dès que PH a senti que je relâchais mon sphincter, il s'est engouffré au côté de Ludovic.
Ce dernier m'a ruiné le tympan droit en hurlant dans mon oreille quand les deux glands se sont frottés, compressés par mon boyau. Heureusement que ça les a méga-excité car ils ont jutés assez vite et ma dilatation extrême n'a pas été trop longue. Cela a suffi à me faire exploser aussi et mon jus est venu couvrir le torse et le cou de Ludovic.
Il m'a servi de matelas le temps que je récupère. Quand on s'est décollé, mon jus en train de sécher s'est partagé entre nos deux peaux. Rapidement, il a rejoint les égouts en passant par l'évacuation de la douche. C'est affamés que nous sommes remontés au 4ème où mes hommes de service attendaient pour servir.
Ils avaient prévu le coup et préparé en quantité un couscous royal qui, ils le savent, plait toujours à Ernesto. Si nous avons calé sur la semoule, les viandes ont toutes disparues, le poulet et l'agneau ont été avalés tout comme les merguez et les boulettes.
Quand Samir est arrivé avec les desserts, nous étions déjà repus. Mais servis accompagnés d'un thé à la menthe, nous avons honoré son travail.
Même si nous avons passé la nuit dans le même lit, nous n'avons plus baisé. Entre la séance apéritive et le diner, nous étions morts !
Par contre caresses et tendresse ont précédé notre endormissement.
Je suis le premier à me réveiller. Enclavé entre Ernesto et Ludovic, leurs bras croisés sur ma poitrine, j'ai un peu de mal à m'extraire.
Quand c'est fait, je monte et trouve un café chaud tout comme les croissants frais. J'appelle Marc. Avec le décalage horaire, c'est la soirée pour lui. Il est avec Hervé. Il me demande comment s'est passé la rencontre entre tous mes amours. Au soupir que j'ai avant de répondre, il sait. Il me dit de ne pas oublier de faire venir un menuisier pour nous faire construire un lit plus grand. C'est vrai qu'à 6, même notre lit de plus de 2m x 2 va être petit.
Je pense qu'avec 4 m de matelas, nous devrions pouvoir tous réussir à dormir un peu lors de nos retrouvailles.
Le délai d'exécution du châssis des sommiers à lattes laissera le temps à la couturière qui réalise tous nos draps spéciaux (ceux de notre campagne !) d'en faire à la bonne taille.
Mes amours me rejoignent ensemble. Ludovic a le bras d'Ernesto sur ses épaules. Je suis content, j'aime quand les gens que j'aime s'aiment !
Alors que je prends un second café avec eux, Ernesto me demande s'il pourra m'emprunter Ludovic pour certains de ses clients. Il me dit qu'avec son physique de dieu grec, il augmenterait son compte en banque de fortes sommes. Quand je lui fais part du montant qu'avait atteint sa mise aux enchères, il n'en revient pas.
J'ajoute que le temps qu'il se fasse toute ma clientèle, il devra faire avec ses ressources propres d'autant plus que je ne comptais pas le faire travailler trop souvent.
Emma nous a invités pour la soirée. Elle reçoit chez elle quelques amis dont Henri le " père " de Kev et des relations d'affaire qu'elle souhaite me présenter. PH passe un smoking à Ludovic. Ils sont plus proches en taille de veste.
Nous prenons les deux Mercédès. Nous arrivons alors que tous sont déjà là. Kev nous attendait avec impatience. Seul de son âge, il se sentait un peu isolé même s'il soutenais sans problème les discussion avec les invités.
Quand nous entrons, tous les regards se tournent vers nous et Ludovic coupe le souffle de quelques-uns. Heureusement que nous ne sommes pas jaloux.
Emma nous rejoint. Je l'embrasse très filialement sur ses joues alors que les 3 autres se penchent légèrement sur sa main. Pas question qu'un seul invité ne se pose de question.
Henri et Kev nous rejoignent. Henri me demande où je trouve autant de beautés pour m'accompagner. Il ajoute que, célibataire, il m'aurait demandé si Ludovic aurait pu lui consacrer un peu de temps.
Kev qui entend cela alors qu'il salut PH et Ernesto, nous dit que, sans problème il partagerait bien mon dernier protégé.
Nous nous dispersons dans la foule des invités. En bon fils héritier de l'empire, je délaisse mes amis pour accompagner Emma et saluer tout ce qu'il y a d'importance (encore plus que la moyenne présente) parmi les invités. Henri nous accompagne soulignant par-là l'estime dans laquelle il me tient.
Du coin de l'oeil, je vois PH et Ernesto " protéger " Ludovic. En même temps Ludo profite d'une leçon en réel du comportement d'Escort en situation de représentation. Même si mes clients préféreront dans un premier temps le côté sexuel de ses prestations.
Son éducation paye et même s'il sortait plus souvent dans l'aristocratie que dans le milieu industriel (grands patron quand même !), il ne commet pas d'impairs.
Je repère au moins deux capitaines d'industrie qui en feraient bien leurs " 4 heure " de mon Ludovic ! Mais ils sont discrets et il faut mon regard de professionnel pour le déceler, d'autant plus que l'un est accompagné de bobonne embagousée à chaque doigt.
Nous apercevons Pablo s'activant dans sa cuisine quand les serveurs en passent la porte.
Le buffet est fantastique et plusieurs femmes demandent à Emma qui est le traiteur. Elles sont jalouses quand Emma leur dit que c'est son cuisinier personnel qui s'est chargé du buffet.
Kev me coince et me reproche de ne rien lui avoir dit concernant Ludovic. Ils ont discuté un peu ensemble et hors le coté sexuel, il le trouve plus que charmant. Quand je lui avoue que Ludovic a quasiment rejoint le blockhaus, il devine qu'il a déjà pris une place prépondérante dans mon coeur d'artichaut.
Il me dit qu'il le découvrira alors à la prochaine touze.
Comme ça fait longtemps que nous nous sommes vus, il me demande si ma jambe ça va. Je le rassure qu'elle se porte à merveille même si j'ai gardé la ferraille.
Je fais connaissance avec de nouveaux grands patrons utiles pour le développement des affaires d'Emma. Courbettes à leurs femmes qui trouvent charmant ma dégaine de voyou bien sapé ou de fils de bonne famille dévoyé, rapport à la pendeloque qui orne mon oreille. Dans les grandes circonstances, je sors le diamant que m'a offert Emma. Avec sa montre encadrée de diamants roses libres (cf. mes prestations avec elle 2010) ça décoince le visuel propret du smoking sur chemise blanche !
Ils sont quand même surpris du niveau de discussion que j'arrive à tenir. Je pense qu'ils s'attendaient à tomber sur un fils à papa. Entre mes études, mes participations aux conseils d'administration, mes cours particuliers sur la finance que j'ai régulièrement avec André mon banquier préféré, je tiens la distance ! Non mais !!
La soirée se termine tard où plutôt tôt. Henri et Kev sont logés sur place et quand il ne reste qu'eux, les cols se desserrent et les vestes tombent. Henri est dans la confidence me concernant. Tout au moins sur ma " famille " et l'apparition de Ludovic dans mon entourage ne l'a surpris qu'à moitié. Par contre il ne sait rien quant au fait que nous soyons parfois 4 à faire décoller son amie Emma !!
Pablo nous rejoint. Il est sur les rotules mais retrouve de l'énergie quand il voit Ludovic. Ernesto lui dit que c'est chasse gardée pour le moment. Mais qu'il en profitera surement à notre prochaine touze.
Henri et nous tous le félicitons pour son buffet. Comme il essaye de faire le modeste en nous disant avoir embauché pour l'occasion, Emma précise que toutes les recettes venaient de lui.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!