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Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Eté 2014-2
Emma et les garçons passent par Barcelone à leur retour de Grèce, alors que Marc et Hervé sont déjà repartis au travail. Ils sont encore plus bronzés que nous.
Emma rit de voir que nous hébergeons une nouvelle tête. Je lui présente Baz qui est estomaqué par le fait que j'ai une mère aussi jeune. Il en bande même dans son maillot et rougit de gène.
Son frère est resté dans l'appart de leurs parents. Il s'est trouvé, lors de notre touze, deux copains espagnols prompts à satisfaire ses deux facettes, active et passive.
Joan et François rient de la situation. Ils sont en pleine forme et même plus si c'était possible. Ils nous racontent quelques unes de leurs péripéties.
Cette année encore, ils ont du repousser quelques quadra et quinqua un peu trop entreprenants qui collaient Emma et se sont fait quelques bonnes parties de baise avec les locaux et même avec quelques touristes allemands. Emma de nous dire qu'elle avait particulièrement apprécié les 2 teutons de pas loin de 2m, membrés comme Ernesto, qui l'ont fait jouir à deux comme nous à quatre !
Pour atténuer ses propos, elle nous rassure en nous disant qu'il manquait quand même 4 mains et 2 bites à l'appel !
Je la prends dans mes bras et nous nous roulons une pelle digne des 3 semaines de séparation.
J'entends dans notre dos, PH expliquer à Baz en quoi notre situation " familiale " différait de la norme.
Nous n'attendons pas le soir pour faire regretter à Emma ses propos sur ces deux allemands.
Evidemment Baz est de la partie. Il profite même de l'occasion pour s'initier aux relations hétérosexuelles.
Emma est formidable. Elle l'accueille presque comme si c'était un de nous 5 (Jona, François, PH, Ernesto et moi pour rappel).
Le petit se fait bien aux organes féminins et Emma nous dit qu'il use de sa langue avec maestria sur son clito excité. Il participe autant que nous à la " prise " d'Emma face nord comme sud et basse comme haute. Tout du moins pour le début. Quand les choses sont passées dans le registre du haut de gamme, c'est sur nos bites à Ernesto (coté vagin), moi (coté anus) avec PH en bouche qu'elle s'est éclatée.
Il n'a pas été de reste car j'ai vu que notre couple d " espions " s'était chargé de le faire grimper aux rideaux.
Alors que mes deux escorts repartaient le lendemain pour intégrer leur formation spéciale, Emma est encore restée 2 jours. Nous avons baisé quasiment 24h/24. Elle a même testé les capacités de notre cuisinier et pas seulement sur le coté gastronomique.
Vu les caractéristiques de notre employé, avec le concours d'Ernesto, elle s'est fait le sandwich le plus membré de sa vie. Les 24x6 d'Ernesto rivalisant avec les 23,5 x 6/7 de Paco. PH, Baz et moi, spectateurs avons été soufflé par la chaleur sexuelle dégagée par le trio. D'ailleurs nous n'avons pas tenu et après une bonne préparation du petit cul de Baz, beaucoup de gel et de poppers, nous l'avons double sodomisé, pour son plus grand...........plaisir (après quelques minutes quand même pour se faire à l'idée et à la présence de nos deux queues).
Nous avons été plus rapides que l'autre trio. Cela nous a permis d'assister à l'apothéose, Emma, les jambes en grand écart facial, soutenue et enfilée par Paco dans sa chatte et Ernesto dans son cul, tous les deux debouts face à face. Très, très impressionnant !! Ils nous on offert le spectacle d'une triple jouissance simultanée. Emma plantée au maximum, les mecs secoués par les éjaculations, nous avons dû les aider, alors qu'ils menaçaient de s'écrouler brutalement, en soulevant Emma et la couchant sur le matelas.
Conclusion de baz, " c'est pas ma mère qui baiserait comme ça ".
Je lui demande ce qui lui fait dire cela alors que les femmes même de plus de 40ans savent se faire plaisir. Il rit et me dit avoir épié ses parents. Ils baisent une fois tous les 15 jours, le samedi soir et à la missionnaire c'est tout. Et, quand ça dure plus de 15 minutes c'est exceptionnel ! Effectivement c'est pas folichon ! Il ajoute qu'avec les 15cm maxi de son paternel, elle devait avoir du mal à se faire plaisir. Heureusement pour lui et son frère, ils étaient correctement montés !
Nous repartons alors que les deux frères restent encore une semaine. Baz nous aurait bien suivis mais cela n'aurait pas été raisonnable. Il nous fait promettre que nous le recevrions durant l'année en France. Comme Gaz lui dit qu'en prépa il n'aura pas le temps de baiser des WE entiers, Baz l'assure du contraire, que cela ne fera que le motiver encore plus.
Le reste des vacances est plus " calme " même si la maison de campagne est rarement vide. Le mois d'aout, bien que pas très beau, nous permet de recevoir les amis de passage ou de détours. La piscine chauffée maintient ses 28°C même sous la pluie et la maison est suffisamment grande et " équipé " pour ne pas s'y ennuyer.
Mais ce sont les activités d'intérieur qui ont le plus marchées. La salle de muscu et bien sûr..........le donjon ont vu passer des heures de baise. La présence de Jimmy n'y était pas pour rien. Notre petit beur fait toujours aussi juvénile. A 23 ans, il en parait toujours 16 ! Par contre sa " perversité ", elle, le situerait plus près de 50 ans !
Baz de retour à Paris arrive à faire accepter à ses parents un WE en province chez un copain. A 18 ans ses parents l'autorisent pour qu'il se détende avant d'intégrer sa prépa.
Avec PH je vais le chercher à la gare. Sur le quai, il nous saute au cou et nous roule des patins. Comme souvent, cela nous vaut des remarques désagréables que PH interrompt en proposant aux mauvais coucheurs le choix entre : cesser de suite, une plainte au commissariat ou une explication " musclée " dans un coin tranquille.
Baz s'étonne de notre réaction. Lui est plutôt à laisser dire. Bon c'est vrai que c'est plus facile quand tu mesures 1m85 que tu fais 85 Kg de muscle, que tu as une bonne maitrise des sports de combat et que tu es accompagné par un mec aussi bien foutu que toi !
Les malfaisants s'écrasent comme dans la majorité des cas.
Nous arrivons à la maison. Ric qui passe une semaine avec nous, nous attendait avec impatience. Baz fera aussi la connaissance d'Eric et de sa majestueuse et plantureuse bite de 26x6. Et de quelques autres amis.
Il trouve la maison idéale pour vivre sauf qu'un peu loin de la ville. La piscine, la salle de sport, la " chambre " du second organisée pour les touzes et surtout le donjon ont enflammé son imagination.
Les motos l'ont aussi fortement excité. Du coup, je lui promets qu'il aura droit à un tour. Je me souviens de mes premiers kms en passager derrière Marc et des pauses que nous avions faites ! C'est sûr que sa rondelle testera mes capacités de pilote.
En attendant, il se fait baiser le soir même dans une minitouze regroupant mes deux amours (PH et Ernesto), Ric, Jimmy et Arnaud venu en voisin.
Nous lui faisons apprécier les différents " agrès " de notre donjon. Je, et lui aussi, m'aperçois que les situations de bondage le fond bander à mort ! Ric lui apprend quelques subtilités quand à l'assouplissement de rondelle. Après que nous l'ayons tous enculé au moins une fois, même Ric pourtant passif habituellement, nous lui avons appris à résister à la montée de jus. Chose essentielle pour pouvoir prendre un méga pied avec un ou plusieurs potes. Nous alternons sur et dans son corps toutes les excitations possibles. Manuelles comme électriques, superficielles comme profonde (25cm), naturelles ou artificielles (godes), nous les interrompons dès que ses petites couilles remontent se coller à sa queue. De cette façon, il ne jute pas avant que je ne l'ai décidé.
Nous arrivons à le faire tenir 1h1/2 avant de le laisser jouir. Il s'achève tout seul à chevaucher la selle spéciale, c'est-à-dire, à " trotter ", planté sur une queue en plastique de 25 x 6,5. Alors que nous 6, nous lui jutons sur les épaules, le torse ou le dos.
Retour à la maison sur l'épaule de Ric, tellement il était crevé se sa prestation.
Quand il a émergé du délire sexe, il nous a dit qu'il n'avait jamais connu ça. Ce qui, au vu de la qualité des autres participants dont moi, oui je sais je vais avoir les chevilles qui gonflent !, n'est pas très étonnant.
Le lendemain, il fait sec. Il me rappelle ma promesse. Je l'équipe avec les fringues de Jimmy pour la moto. Quand je passe entre ses jambes la sangle en Y censée retenir le dos du blouson avec le devant, ça le fait bander (le V du Y est bien sur devant à encadrer son sexe). Je lui explique le comportement à adopter. Il est concentré et m'écoute bien. Je souligne que c'est vraiment une question de sécurité. Je lui donne aussi les quelques signes à me faire au cas ou il voudrait que je m'arrête.
Je démarre mon nouvel R1 et le laisse chauffer un peu. Pendant ce temps je lui enfile... le casque (voyons !!).
J'enfourche ma monture et PH l'aide à poser son petit cul sur la petite parcelle de selle et ses pieds sur les cale-pieds. Il ceinture ma taille avec ses bras. Je démarre doucement et pendant quelques km vérifie ses réflexes. Comme je lui ai appris, il se penche bien dans le même sens que moi dans les virages et appuis ses deux paumes sur le réservoir quand je freine. Le reste du temps ses mains sont bien serrées contre mes abdos.
C'est moi qui doit lui faire baisser afin qu'elles s'accrochent à mon paquet. Là il comprend de suite et se met à me le malaxer par-dessus le cuir. Il est tellement efficace et la vision dans ma tête de son petit cul sur la selle, font que je bande dur !
Nous entamons l'autoroute et je dois absolument m'arrêter à la première aire de repos venu pour lui régler son compte.
C'est le cas quelques 10aines de km plus loin. Je prends la bretelle et m'enfonce sur le circuit de repos au milieu des arbres. Une zone de parking vide et un peu isolée, je m'arrête. Il descend et je le suis de près après avoir mis la béquille. Je le pousse derrière un gros chêne et sans même retirer nos casques, je baisse son jeans, ouvre ma braguette et l'encule direct (avec kpote quand même). Il ne peut retenir un petit cri de surprise et aussitôt ondule du cul pour me faire de l'effet. Je me calme, la tension que j'avais se normalise et je prends mon pied à limer sa rondelle encore surprise de la rapidité avec laquelle elle s'était faite défoncée. Comme il va pour sortir sa bite et la branler, je lui prends les mains et les lève au dessus de sa tête. Il va jouir dans son shorty sans se toucher !
Ma moto attire l'arrêt d'un collègue en speed triple (Triumph). Il descend de sa moto et cherche du regard où peut bien être le pilote du R1. Je le mate. Il doit faire dans les 1m80, hanches fines et épaules larges, Araï dernière génération sur la tête et des jeans usés prédisant des organes sexuels convenables.
Je l'appelle. Il me voit et s'approche. Quand il a fait le tour du Chêne, il est surpris de me voir baiser. Il rigole et me demande si la meuf est bonne. Après un instant d'étonnement, je lui dis " trop " sans le détromper quand au sexe de la personne qui est entre mes cuisses, ça me fait rire qu'il ait fait l'erreur. J'ajoute que si ça l'intéresse...
Il hésite puis déboucle sa ceinture et ouvre son jeans. Je m'était trompé, il est plus " armé " que la moyenne et doit faire dans mes dimensions.
Je déclipse le casque de Baz et le soulève juste pour laisser l'accès à sa bouche. Cela fait je le fait pivoter vers le gland du motard. Ils comprennent tous les deux et, immédiatement, Baz se met à le pomper. Les 20cm du mec s'enfoncent bien à fond et il me fait la remarque que ma copine est bonne, c'est rare une meuf qui avale jusqu'aux amygdales.
La situation m'excite. Le petit cul du motard aussi vu qu'il a descendu son jeans sous les fesses.
Il se penche pour regarder comment je baise la " meuf ". Il voit que je l'encule. Ila joute alors que c'est une vrai salope que j'ai trouvé là.
Je lui propose ma place. Il est très excité et se retire de la gorge de Baz sans faire de cas et me demande si j'ai une kpote.
Je me charge de la lui enfiler. Excité comme il est à la vue du trou qui se referme doucement, il se laisse faire.
Comme il me dit qu'il va lui limer deux trois fois la chatte pour lubrifier sa kpote, je lui dis que ce n'est pas nécessaire qu'il peut y aller direct au fond de son cul. Il s'enfonce et heureusement qu'il a gardé son casque car il gueule que c'est trop bon.
Baz ne dit rien. il a compris le plan. Je me charge de lui remplir la bouche en cas de surprise.
Le mec baise bien. Sa belle bite lime le petit cul de Baz avec entrain et il me commente comment c'est bon.
Je change ma kpote et me place dans son dos. Je lui indique des changements de rythme propres à satisfaire ma soit disant meuf. Ce faisant je mets mes mains sur ses hanches et pousse pour qu'il encule plus hard. Baz souffle sous les coups de boutoir.
Ma biet s'insère entre les fesses du motard et avant qu'il n'ait eu le temps de protester, je suis au fond de son cul. Vu la résistance, il a du morfler un peu d'ailleurs son cri bestial me le prouve. Il pivote son buste vers moi pour me repousser et me demander ce qu'il m'a pris. Je reste au fond de lui et Baz retire complètement son casque. Attiré par le mouvement le motard le regarde et comprend qu'il est en train d'enculer un petit mec. Ça le surprend suffisamment pour que je me mette à lui limer la rondelle sans qu'il ne réagisse.
La douleur a du être brève car il ne résiste plus et Baz m'annonce qu'il n'a pas débandé un instant. C'est même lui qui jute le premier, comprimant ma queue et me faisant jouir à mon tour.
Nous nous désaccouplons. Baz me dit qu'il s'en ait mis plein la main et se met à la lécher.
Le motard se réajuste et me dit qu'on fait une belle paire de salope. Je ne me vexe pas et confirme que c'est effectivement le cas et qu'on n'est pas que deux.
Je lui fais remarquer que lui aussi à pris son pied. Il me répond qu'il a quand même dégusté quand je l'ai enculé. J'ôte mon casque et il fait de même. Après tout on peut se présenter après avoir connu des moments aussi intimes !
Je découvre la tête d'un beau gosse de mon âge (j'aurai confirmation quelques minutes plus tard), plutôt blond, aux cheveux courts (c'est plus pratique sous les casques) avec de superbes yeux verts.
J'entame les présentations : Gaz, en désignant ce dernier qui se reculotte et moi-même, Sasha. Il fait de même et me sort un Léo qu'il termine en " pold ".Les parents c'est vraiment des cas des fois !!
On parle moto plutôt que sexe, à croire que l'intermède que l'on vient de passer le gène.
C'est Baz qui nous rammène sur le sujet en nous rejoignant. Sans se préoccuper de Léo, il me roule un patin et me remercie pour cette expérience. Il se tourne après vers Léo et fait de même, il l'a par surprise !
Du coup je lui demande ce qu'il était parti faire en moto et lui explique que moi, c'était pour taper une pointe de vitesse pour Baz. Ça l'interpelle et on reparle moto. Je lui explique en 2 mots et il me dit qu'il me suit.
Nous repartons jusqu'à la sortie suivante en regardant l'autre voie pour vérifier l'absence de radar et d'hommes en bleu.
Demi-tour, la circulation est très claire, je me cale à gauche et tourne la poignée. Les 200 arrivent vite et je pousse même jusqu'à 300 compteur avant de ralentir. Léo arrive à ma hauteur quelques secondes plus tard. Nous arrivons vite à ma sortie d'autoroute. Il me suit et après le péage, je m'arrête intrigué. Je lui propose s'il le veut de venir à la maison prendre une bière s'il n'est pas pressé. Il téléphone à un pote (d'après ce que j'entends) pour le prévenir qu'il aura du retard.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!