1er Épisode | Épisode précédent
GWEN - 1, Franck's Grand Père
Pour sa première prestation, je l'envoie à ma première vraie cliente (pas Emma). Celle qui m'avait abordée à l'aéroport. C'est une encore belle femme dans la 50aine, très avide de jeunes gens et, selon le retour de mes Escorts, sachant les mettre à l'aise avec le fait de baiser une " vieille ".
Comme pour mes Escorts " homos ", elle paye pour lui, la surtaxe " 1er utilisateur ". Cela me permet de rétrocéder aux petits nouveaux une prime substantielle de démarrage.
J'envoie par mail à Gwen l'adresse et le lieu de rendez vous avec l'heure à laquelle il est attendu.
Il me téléphone dès sa réception et je le sens un peu hésitant. Il n'est plus dans l'ambiance que j'avais créée lorsqu'il avait accepté le deal. Je le remotive en quelques minutes et l'assure que si, après cette première expérience il ne voulait pas continuer, cela n'aurait pas d'incidence sur son premier et alors unique salaire.
Je lui demande de passer me voir après son rendez vous nous en discuterons ensemble.
Quand il arrive en milieu de soirée, il est tout excité. PH le fait monter et Samir nous verse un café.
Je lui demande comment cela s'est passé. Je veux connaitre son point de vue car de ma cliente, j'ai déjà eu le retour de sa prestation.
Dès qu'il a eu franchi sa porte, elle m'a appelé pour me dire tout le bien qu'il lui avait procuré. Notamment qu'il s'était montré beaucoup plus " mâle " que mes autres Escorts plus doux avec elle. Elle avait apprécié de se faire prendre virilement (son propre vocabulaire) et me demandait de lui réserver sa prochaine période de disponibilité.
Gwen, les yeux brillants nous raconte. Il me dit qu'il était mort de trouille devant la porte de la maison. Qu'il avait failli partir en courant mais que l'idée d'avoir à me l'avouer l'en avait dissuadé. Mais ce qui l'avait le plus rassuré c'est de voir que ma cliente était ni moche ni mal foutue. De plus elle l'avait tout de suite mis à l'aise en le faisant parler un peu de lui.
Il avait pensé qu'il devrait " tout faire " mais s'était vite retrouvé le pantalon sur les chevilles et la bite enfoncée dans sa bouche.
Il me dit qu'à partir de là, c'était parti en délire. Mises à poil réciproque au milieu du salon, 69 sur son grand canapé, cravate de notaire entre ses seins bien fermes et apothéose : limage de sa chatte brulante dans pas mal de positions dont certaines qu'il ne connaissait pas. Il me dit que finalement baiser avec des " vieilles " avait pas mal d'avantage. Pas de risque de grossesses non désirées, pas d'accrochage sentimental, en plus une expérience du sexe débridée et des pratiques plus poussées que ce qu'il avait jusqu'à présent pu expérimenter avec des femmes plus jeunes.
Je lui demande ce qu'il entend par là.
Il m'explique que les meufs renâclent pas mal sur la pipe et que c'est rare d'en trouver une douée et qui aime ça. Il avait même sodomisé la cliente, à sa demande, chose qu'il n'avait encore jamais faite sur une meuf.
Les seules variantes qu'il avait pu tester en dehors de la position du missionnaire avait jusque là été brièvement la levrette. Mas là, ils avaient visité une bonne partie du Kamasoutra !
Il l'avait prise à 4 pattes, debout pliée en deux, sur le coté, les jambes sur ses épaules... Elle l'avait sucé alors qu'il sortait de son vagin pour changer de position et me dit en avoir oublié pas mal. Il ajoute qu'elle avait plusieurs fois interrompu la monté de son sperme pour profiter plus longtemps de lui alors qu'elle-même avait déjà eu plusieurs orgasmes.
Pas besoin de lui demander si ça lui a plu et s'il était près à continuer !
Il est très enthousiaste et me dit que si les autres clientes sont du même genre, cela ne lui pose pas de soucis.
Je lui dis qu'il aura quand même à " prestater " de temps à autre avec des hommes.
Ce soir là, il est partant pour tout ce que je veux !
A ce moment là, je lui dis que ma cliente avait fortement apprécié ses performances et qu'elle désirait le revoir assez vite. Ça lui a fait plaisir et je l'ai senti se détendre. Comme s'il craignait de n'avoir pas été à la hauteur, malgré son propre ressenti.
Avant de nous quitter, il me demande si j'ai mis Stéphane au courant pour lui. Je lui demande " comme Escort ?". Il me fait oui de la tête.
Je le rassure et ajoute que je ne parle pas de mes Escorts avec les " non- initiés ". Mais je lui fais remarquer qu'il aurait tout intérêt à lui en parler lui-même s'il voulait pouvoir utiliser la RCZ tous les jours et s'il voulait venir aux cours de sport. Il risquait en effet de le rencontrer puisque j'avais réussi à motiver Stéphane d'en faire.
J'ai droit à un appel dès le lendemain matin de Stéphane. Son coloc lui avait tout dit et il me demande si je comptais débaucher tous ses amis.
Je le rassurais et lui dis que c'était pour rendre service, Gwen le lui avait sûrement dit.
Je lui demande s'il l'avait trouvé bandant avec sa nouvelle " coupe ". Il me répond que c'est justement ça qui l'avait dénoncé et qu'il l'avait alors cuisiné pour savoir d'où venait cette subite envie de rasage.
Pour le provoquer un peu, j'ai ajouté qu'il s'était bien défendu avec sa première cliente et qu'elle en redemandait. C'est comme si je l'avais vu rougir à l'autre bout du fil (façon de parler avec nos portables).
Sans lui laisser le temps de se reprendre, je lui demande quand il comptait revenir s'entrainer. Maxou était très impatient de le revoir. Il fait mine de ne plus savoir qui c'est. Je le resitue : le petit mec qui voulait lui casser la gueule.
Il me sort qu'il est trop jeune pour faire les sorties d'école. Je lui garanti que Maxou, malgré son air juvénile, a 20 ans déjà et que c'est la première fois que je le vois aussi " intéressé " par quelqu'un. Il continu et me dit que de toute les façons, il n'est pas homo.
Comme je lui objecte qu'il n'est pas hétéro non plus, ça le fait rire.
J'enrage dans mon " plâtre ". J'ai plein de nouvelles recrues avec lesquelles j'aurais baisé depuis longtemps si je n'avais eu ce handicap. Ça me frustre et j'aime pas ça !
Marc, lui est mort de rire de me voir dans cet état là. Il se contente de ma gorge tant que je suis entravé. Même si j'adore son jus et qu'il aime bien me limer les amygdales c'est réduit comme baise. Mon petit trou en a mare de ne servir que dans un sens !! Je me vengerai !!!!
En attendant comme il profite bien des " indigènes " locaux, ça va. Gentiment, il refuse d'enculer PH devant moi lorsqu'on se retrouve tous les trois. Mais je les ai entendus baiser dans notre salle de bain alors qu'ils me croyaient encore endormi. Je ne leur en veux pas, c'est moi qui ne peux pas trop en ce moment, pas eux !
Février : la piscine de la serre est enfin en eau. Second (notre maçon) et Olivier (l'architecte) sont contents du résultat. La mosaïque dégradée du blanc sur les bords extérieurs au bleu marine au fond du bassin rend bien et Antony me dit que les corps des nageurs ressortent bien sur ce fond. Cela lui permet de bien voir les mouvements pour les corriger.
C'est d'ailleurs à lui que je demande de l'inaugurer. Sans plonger (qu'1,5 m d'eau), il nous régale de belles longueurs dans les 4 nages.
Y'a pas à dire, voir nager un professionnel c'est beau ! Surtout quand c'est un beau mec !!
A partir de là, c'est encore plus rare qu'il y ait un soir de la semaine sans quelqu'un pour venir faire du sport. Je suis obligé d'interdire l'accès les WE pour que nous ayons un minimum d'intimité.
Même si j'aime bien mes Escorts, et que depuis l'accident ils se sont rapprochés de moi, j'aime encore plus Marc, PH et Ernesto.
Après discussion, je ré-autorise, les WE, l'accès à la salle de sport pour qu'ils puissent faire gonfler leurs muscles avant certaines de leurs prestations. Mes clients le sont (clients) parce que je leur propose de l'Escort, jeune, beaux mecs et bien foutus physiquement. L'intelligence compte aussi pour la plus part. Ça, plus la serviabilité et une garantie de propreté parfaite m'a permis de les fidéliser.
Marc, quand il est avec nous, n'en revient pas du changement au Blockhaus. Ce n'est pas toujours pour lui déplaire vu qu'il est amateur de beau jeunes mecs. Il s'adonne d'ailleurs beaucoup plus au sport qu'avant. Je crois même qu'il ne laisse pas indifférent mes Escorts et je pense qu'il a du s'en faire quelques uns, en toute amitié bien sur !
C'est vrai que je ne suis toujours pas enculable ! Les essais fraichement réalisés ont très vite entrainés une douleur dans la jambe et une engueulade de la part de mon médecin quand je lui ai raconté les circonstances de la douleur.
Alors que moi, je continu de fondre, et ça pourrait être pire sans les bons soins de mon kiné et de Clem, lui améliore sa silhouette. Ça m'énerve !!
Coté cicatrice, je vais garder un bel " éclair " sur la cuisse. Si je supporte bien les plaques, mon médecin orthopédique me les laissera en place. Donc pas de nouvelle intervention. J'aime autant. Et même si la cicatrice est un peu large à l'endroit où l'os était ressorti, je ne ferais pas de " l'esthétique " dessus, ça me rappellera de faire attention aux autres véhicules. Et puis ça me donne un petit coté " gueule cassée " qui sous entend une certaine témérité !
J'ai reçu dernièrement une visite inattendue, le grand père de Franck. Ayant appris par ce dernier mon état, il passait me demander si j'avais besoin de quelque chose.
C'est très gentil de sa part. Il faut dire que depuis notre rencontre en 2010 à La Baule et l'organisation par mes soins du dépucelage (hétéro et homo) de son petit fils préféré, il m'avait à la bonne (dixit le bonhomme en question).
Alors même qu'il me demande cela, il s'aperçoit que je ne manque de rien et ça le fait éclater de rire.
J'aime bien ce genre de " vieux ". Ouvert à tout, il ne s'est pas choqué de la déco du Blockhaus. Il a admiré la réinterprétation du déjeuner sur l'herbe et m'a même demander le nom et l'adresse où il pourrait trouver l'artiste. Il a beaucoup aimé aussi les tableaux vivants réalisés par mes amis et projetés juste à coté. Si les cariatides l'ont laissé dubitatif, trop typé " art académique soviétique ", la version du baiser de Rodin avec deux protagonistes mâles, l'enchante. Là aussi il me demande le nom de l'artiste.
J'ai bien l'impression que ces deux là vont avoir de nouvelles commandes.
Puis il me demande qui est Louis. Sa question me surprend un peu. Pas qu'il connaisse ce nom car je sais Franck très proche de son grand père, mais plutôt par le fait qu'il ne connaisse que ce prénom.
Il me dit que c'est la première fois que Franck lui " cache " une de ses aventures et il en a conclu que ce devait être du sérieux. Il ajoute avoir vu passer quelques uns de ses mecs présentés comme des copains mais que pour Louis, c'est le silence complet. Il a capté ce prénom en entendant fortuitement une conversation téléphonique entre eux. Il en a conclu que ce dernier n'avait pas le même statut que les autres auprès de son petit fils.
Je suis gêné par sa question. D'un coté c'est du privé entre Franck et Louis, d'un autre coté, je le comprends et comme je l'aime bien, je lui dévoile juste un coin du mystère en lui disant d'aborder directement le sujet avec son petit fils.
Je le rassure en lui affirmant que Louis n'est pas un de mes Escorts. Il vient d'une famille " modeste plus ", il est sérieux et est en école d'ingénieur où il est dans le premier 1/4 de sa promo. Je lui dis qu'il a notre confiance à PH et à moi au point que nous lui prêtons l'appart de PH en partage avec un de mes Escorts. J'ajoute qu'en plus de cela, il est mignon comme tout.
Pour la partie " sentiments " il devra s'adresser directement aux protagonistes.
J'ai dit ce qu'il fallait et il est rassuré. Que je le connaisse et en pense du bien lui suffit, il a confiance en mon jugement.
Content, il me propose de nous emmener, PH et moi, au restaurant avant de se raviser devant ma jambe en gouttière. Je lui propose de rester diner avec nous. Il hésite, ne voulant pas nous donner de mal. Je ris et lui dis que Samir sera content de faire un peu de cuisine.
Il accepte mais sous réserve d'aller chercher le dessert. J'accepte.
Il revient les bras pleins de paquets. Outre le dessert qu'il a pris dans la meilleure pâtisserie de la ville, il s'est encombré d'un énorme bouquet de fleurs exotiques et d'une boite plus petite qu'il me tend. Elle vient d'un grand joailler parisien. Je lui dis qu'il ne fallait pas et que je n'avais rien fait pour mériter cela.
Il persiste à voir en moi, le sauveur de son petit fils qui, avec les parents qu'il a (son propre fils en l'occurrence) aurait fini en homo marié avec une femme. Le fait que Louis soit un " bon garçon " le conforte dans sa vision de moi. Comme en plus il aime mon anticonformisme, il était sûr que le petit gadget contenu dans la boite me plairait.
J'ouvre et trouve une superbe perle de corail rouge de 7/8 mm de diamètre, festonnée, retenue par un pivot terminé dessous par un diamant en cabochon, très indien (d'Inde) d'inspiration.
Encore un peu " gauche " avec mon bras droit, PH se charge de remplacer à mon oreille le caillou du jour par la nouvelle pendeloque.
Je suis ravi du cadeau. J'adore mon anneau d'oreille et toutes les pierres que j'ai reçues à y accrocher.
PH lui parle de ma dernière " folie ". Du coup il m'aide à retirer mon t-shirt pour montrer mon tatouage. Le rouge du corail se marie très bien avec celui qui parsème le corps du dragon.
Rire de notre invité qui me dit que je ne cesse de le surprendre.
Le diner est très agréable. Nous parlons de tout et de rien, ce qui, avec une personne aussi cultivé, nous emmène tard sans s'en apercevoir.
Quand il nous quitte, j'insiste pour qu'il parle avec Franck. Les situations claires sont toujours préférables.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!