1er Épisode |
Épisode précédent
soumission & Domination 239
WE à Paris 1
Pour Noël, comme Pablo et Ernesto seront chez nous, enfin Pablo sûr, Ernesto squattera plutôt chez Hervé, j'ai décidé avec PH que je nous leur offririons leur cockring en or.
Cet été j'ai pris les mesures nécessaires lors de nos touzes. En fait ça été relativement facile. Ernesto a essayé le mien et il manquait un bon cm de diamètre pour qu'il réussisse à le mettre. Il a une base bien large et comme son frère a la même queue c'est facile.
De plus je souhaitais nous offrir (à PH et moi) une perle à mettre à nos oreilles. Les " cailloux " que nous avons (car je lui prête les miens) sont trop voyants pour tout les jours.
Nous profitons d'un samedi sec pour monter à Paris en moto. J'ai pris rendez vous avec notre vendeur attitré et aussi avec Kev avec qui nous déjeunerons.
Sur l'autoroute, nous nous tirons des bourres au maxi de nos engins (moi sur mon R1 et PH sur ma ZX10R). Des appels de phares de routiers sympathiques nous évitent une confiscation de nos motos pour excès de vitesse.
A mi chemin, nous échangeons les motos, le saute vent du ZX est moins efficace que celui de la R1 !
Nous laissons les motos devant la joaillerie, à la garde du vigile planté devant la porte et, bien qu'en cuir de la tête aux pieds, le casque sous le bras, nous entrons.
Evidement, il y a toujours une vielle rombière couverte de bagues pour nous toiser du haut de son mettre soixante.
Nous l'ignorons, d'autant plus que le directeur vient nous saluer avant de nous confier à son vendeur. PH, encore très gamin, se retourne vers elle et ne peut s'empêcher de lui tirer la langue.
Notre vendeur ne peut se retenir de tâter nos bites dès la porte du salon privé refermée sur nous.
Je vois qu'il bande déjà sous son costume ajusté. Je lui dis, les affaires d'abord.
Il prend commande des deux nouveaux cockrings, dimensions et forme de l'anneau. Vu le diamètre important, j'opte pour une section ovale qui sera plus facile à porter qu'un jonc rond de 5mm et sans boule contrairement au mien. Comme les notres sont en or jaune, nous les commandons en or blanc pour Pablo et en or rose pour Ernesto.
Il nous présente ensuite la sélection de perles qu'il nous avait préparées. Un plateau supporte les perles calibrées d'un orient allant du blanc le plus pur au noir le plus sombre. Un autre plateau contient les perles baroques classées par taille et couleur aussi.
Rapidement mon choix se fixe sur une grosse perle baroque grise alors que PH opte pour une forme classique. Il choisit de la prendre du même orient que la mienne. Nous passons une bonne demi-heure à parfaire notre choix. Cela fait, les perles partent pour l'atelier afin de les sertir d'un anneau. Je demande a ce que ma perle soit percée sur sa grande longueur et que l'anneau traverse avec une platine à l'autre extrémité. PH opte pour le même système.
Nous avons alors une bonne heure devant nous. Dès la porte refermée sur le technicien, notre vendeur se colle à nos paquets. PH et moi, nous posons nos fesses contre le bureau alors qu'il nous masse au travers du cuir.
Nous l'aidons en finissant de descendre le zip de nos combinaisons sous nos couilles. Les boxers ne retiennent pas grand-chose et sont distendus par nos bites.
A genoux devant nous, le vendeur dégage nos services trois pièces et, au passage, admire l'effet de ses cockrings.
Nos bites sont gonflées au max les couilles mises en avant par leurs présences.
Elles ne restent pas longtemps à l'air libre et sa bouche nous couvre le gland en alternance. Il se gave de nos queues n'attendant pas pour nous les bouffer entières en gorge profonde qu'il est.
Pas besoin de pousser sur sa tête, il nous avale, coinçant nos glands derrière son larynx, les massant par de fréquentes déglutitions.
Il est vraiment très bon et je manque deux fois de lui exploser sur le visage. PH à mes cotés en est au même point.
Je sors une kpote d'une poche de ma combi et l'enfile sur ma bite.
Notre vendeur qui me voit faire, sans cesser de sucer PH, défait sa ceinture et baisse pantalon et slip jusqu'aux genoux.
Je l'aide à se relever et il me présente alors son cul, plié à 90° pour ne pas perdre la bite de PH.
Comme on dit vulgairement, il mouillait du cul et j'ai, vite fait, pu lui mettre un, puis deux doigts.
Rapidement j'ai remplacé ces derniers par ma bite. Un petit coup sec pour faire entrer mon gland puis, observant que son anneau me laisse passer sans difficultés, je m'enfonce de toute ma longueur.
Son trou est aussi chaud que dans mon souvenir. Je prends un grand plaisir à lui limer la rondelle. Mes coups de rein le poussent contre PH et lui fait prendre à chaque fois son gland dans sa gorge.
Il ne peut s'empêcher de laisser passer un gémissement le long de la bite de PH encore dans sa bouche.
Je l'encule bien 10mn avant de laisser ma place à PH. Kpoté, c'est à son tour de lui enfoncer ses 19cm épais dans le cul. Notre vendeur apprécie le nouveau rythme avec lequel il se fait labourer le trou. PH à son tour prends son pied à lui élargir l'anneau. Ses 6cm de diamètre font merveille et notre vendeur nous le fait savoir bruyamment (pas de soucis, les salons sont insonorisés, question de confidentialité des transactions).
Je passe ma main sous lui et trouve sa queue raide. Je le branle et PH me remercie car cela lui fait serrer l'anus. De lui même notre vendeur cherche ma bite et l'engouffre dans sa bouche. J'aime bien quand il alterne sa gorge profonde avec sa bouche où sa langue infatigable tourne autour de mon gland, l'excitant jusqu'à m'amener à l'éjaculation.
Nous profitons tous les uns des autres, chacun trouvant chez l'autre de quoi se faire plaisir.
Je ne me retiens plus et je sors juste au moment où je jute. Il reçoit tout mon sperme sur le visage alors que dans un dernier coup de rein, PH le dose (dans sa kpote) emporté par la vision de ma bite expulsant mon jus.
Comme nous nous réajustons, après nous être bien essuyés, je remarque que notre vendeur s'est vidé aussi mais dans sa main.
Un brin de toilette plus tard et nos souffles apaisés, il appelle pour nous faire servir un café. Nous discutons en attendant nos perles. Il espère cette fois encore que nous restons quelques jours à Paris.
Il est déçu du fait que ce soit effectivement le cas mais que notre programme soit déjà bouclé.
Nous prenons nos perles et je lui fais le chèque correspondant. Nous reprenons nos motos qui n'ont bien sûr ni bougées ni pris de PV, direction chez Kev. Il nous attend chez lui.
Nous laissons les motos au pied de son immeuble attachées entre elle et à un poteau d'éclairage, on ne sait jamais !
Il nous accueille rapidement et nous ressortons directement pour aller déjeuner avec Henri (son mari et patron) non sans avoir, avant, garé nos motos dans son garage. En taxi nous rejoignons le restaurant où il nous attend.
PH et moi faisons un peu tâche avec nos cuirs moto. Mais Henri balaye nos réticences d'un simple geste et appelle le serveur.
Ce dernier ne fait pas attention à nos tenues sinon pour nous jeter un coup d'oeil que j'estime admiratif.
Le problème avec les combinaisons une pièce c'est ce genre d'endroit. Mais même grande ouverte, j'ai trop chaud et fini par retirer les manches aussi. PH me suit et, au milieu des costars cravates gris ou noir, deux t-shirt blancs se distinguent.
Félicitations d'Henri sur nos plastiques, nos T-shirt moulants ne laissant aucun doute sur notre assiduité à la salle de muscu.
Autour de nous, les visages se tournent à nouveau vers notre table. Quand le serveur revient avec les assiettes, il manque de nous en reverser le contenu sur les genoux.
Même si je crois même qu'il aurait été ravi de venir essuyer mon cuir !
Kevin éclate de rire et, tout en restaurant l'équilibre de son assiette, lui dit de se reprendre. Il s'excuse et fini de nous servir troublé.
Le repas est sympathique, Henri s'amuse à ce que certaines de ses connaissances paraissent surprises de le voir ainsi entouré.
Nous lui donnons des nouvelles d'Emma et il nous dit qu'ils descendront bientôt la voir.
Je les invite alors à passer au blockhaus diner avec elle. Il me demande aussi où en est ma petite " entreprise ". Quand je lui donne les résultats, il me dit qu'il n'avait jamais pensé que j'aurais un tel chiffre d'affaire. Il ajoute que je pourrais avoir un meilleur bénéfice. Du coup j'entre dans les détails des frais et lui donne le salaire que je me verse. Là, il comprend mieux. Comme il me dit que je suis très généreux avec mes employés, je lui réponds que du coup je n'ai pas de problème de recrutement ni de turn-over. Mes p'tits jeunes sont étudiants et à part Clément, n'ont pas de parents fortunés pour les aider.
Nous terminons le déjeuner par un sublime dessert et au café nous avons même la visite du chef qu'Henri connait personnellement.
Nous rions ensemble du fait que nous avions faillit finir en boxer au milieu de la salle. Il appel son serveur et alors qu'il s'apprête à lui faire une remarque je le coupe et m'adressant à son employé, le prie de nous excuser pour nos tenues ... inhabituelles.
Il nous présente ses propres excuses et je vois bien que Kevin essaye de deviner sous l'uniforme, le corps qui s'y cache.
Il pique un fard quand à mon tour je le scrute de la tête aux pieds et ajoute que lui aussi devait bien connaitre les salles de sport.
Quand nous sortons, PH " bouscule " Kevin au sujet du beau serveur surtout quand il ajoute qu'il n'avait pas été discret pour lui donner son n° de téléphone.
Henri ne s'en offusque pas et nous quitte. Il dit à Kevin de rester avec nous l'après midi et ajoute même de prendre la soirée, qu'il irait seul au diner auquel ils étaient invités.
Retour à l'appart. Kev nous propose de passer à la galerie de Bo-Gosse.
Comme le cuir commence à être chaud et plutôt inconfortable, nous pillons sa garde robe, n'ayant dans nos sac que le strict minimum, sous vêtements et baskets.
Comme nous sommes à quelques cm près de la même taille, il n'y a pas de problèmes.
Evidement, comme il se change aussi, y'a un moment où nous nous retrouvons tous les trois en boxer, ça dégénère !
Ils volent, tout comme les T-shirts et les chaussettes et nous nous retrouvons à poil (si peu) avec les bites bien raides.
Tout comme nous, Kev pratique assidument la salle de muscu près de chez lui. Sa taille s'est affinée ou plutôt il s'est encore élargi des épaules.
Nous passons quelques minutes à caresser nos musculatures respectives comme de bons beaufs !
Faut dire que ce n'est pas parce que nos pecs prennent du volume que nos tétons deviennent insensibles, ce serait même plutôt le contraire !
Les langues se mélangent à deux puis à trois. Kev a superbement évolué depuis qu'il n'était qu'une bite à enculer les vieux, l'été, pour du fric !
Maintenant il est recto/verso et s'en félicite, nous aussi !
Nous passons une bonne partie de l'après midi à faire l'amour tous les trois. Il nous encule tous les deux en alternance, un coup pour PH, un pour moi (ce qui est bien c'est qu'il n'est pas obligé de changer de kpote !). Puis c notre tour de lui limer la rondelle. C'est de ce coté là qu'il a le plus évolué. Faut dire que se faire Eric rapidement après son dépucelage, ça démontre de la bonne volonté. En attendant c'est moi qui passe le premier. Je prends tout mon temps histoire qu'il sente bein chacun de mes 20cm. Pour patienter, PH occupe l'autre extrémité. Il a aussi bien progressé sur la gorge profonde aussi !
Alors que je m'enfonce jusqu'aux couilles dans son cul, PH fait de même dans sa bouche. Je fais le commentaire comme quoi son trou est trop bon, chaud comme il faut, souple mais suffisamment comprimant aussi.
PH me répond qu'il peut lui aussi s'enfoncer entier de son coté, et qu'il sent bien la compression de la gorge de Kev.
Nous nous enfonçons en lui simultanément ce qu'il l'empêchait, s'il en avait la velléité, de se soustraire à l'une ou l'autre des pénétrations.
Je l'ai accroché par les épaules et lui enfile sèchement mes 20cm dans son trou.
Aux bruits qui s'échappent de sa bouche pourtant bien occupée, nous devinons qu'il apprécie la chose.
Après 20mn où avec PH j'alterne, Kev nous dit que c'est à son tour.
PH sa met aussitôt en levrette pour subir le même sort. Je suis le premier à l'enculer, Kev étant mieux monté que moi !
Il met toute sa science à me comprimer la bite. C trop fun et quand je céde la place à Kev, il ne s'arrête pas et ce dernier le félicite pour ça.
Quand il le bloque dans son avancée, la force du coup de rein de Kev propulse PH sur ma bite et mon gland lui chatouille la gorge.
Je me penche et attire la tête de Kev vers moi. Je lui roule une pelle alors que nous remplissons PH (kev sa kpote).
PH n'a pas juté. Nous le mettons sur le dos et alors que je le suce, Kev s'occupe de ses tétons. Trois minutes chrono et je reçois dans ma bouche la production de ses couilles. Je garde sur ma langue la dernière giclée et nous nous la partageons dans une belle bataille de langue (PH et moi seulement).
Alors que nous sortons de la douche, nous entendons Kev appeler Bo-Gosse pour lui dire que nous serions plutôt là pour le diner. Il ajoute que nous passerons quand même par la galerie.
Nous prenons quand même notre temps pour nous apprêter. Avec PH, je pille l'armoire de Kev. Je lui pique un jeans slim et un T-shirt blanc à manche longue Ambercombie au décolleté large laissant voir le haut de mes pecs. PH me suis comme un jumeau. Nous ajoutons un de ses blousons en cuir par-dessus. Ils sont courts et dégagent bien os fessiers mis en valeur par les pantalons taille basse.
Kev opte pour un pantalon rouge, un T-shirt et ajoute par-dessus une veste à capuche de grande marque.
Avant de partir, je sors de ma poche un étui à bijoux dans lequel je garde sur moi une demi-douzaine de mes " pendeloques " d'oreille. J'y prélève la première pierre que m'avait offerte Emma et la place à mon oreille. PH choisi la goutte multicolore.
Jardinier