Défouloir pour hommes mariés
Depuis quelques années je me consacre aux hommes mariés. Je trouve qu'ils présentent deux avantages : d'abord leur sperme est sain, et moi j'ai besoin d'avaler du bon lait de papa, souvent et abondamment ; ensuite ils se tournent vers parce qu'ils sont soit déçus soit frustrés par le mariage, et ont donc plein de besoins, de désirs, de nouvelles idées à assouvir. Je les trouve sur les sites de rencontre, et du moment qu'ils sont bien conservés, et surtout bien montés et aux couilles pleines, je ne m'arrête pas à l'âge jusqu'à 50 ans. C'est malheureux à dire - enfin pas pour moi - mais dès la trentaine, il y a des hommes mariés qui ne sont pas satisfaits par leur femme. Bref, je rends de sacrés services à l'institution. Et puis il y a des papas très sérieux dans leur rôle de père, ce que je respecte beaucoup, et je leur évite bien des divorces. Je vous propose de vous raconter les différents plans, et pour pas mal d'entre eux réguliers, que j'ai avec des hommes mariés. Si cela vous intéresse, faites-le-moi savoir..
Avant cela il faut que j'explique comment j'en suis venu à ce choix. Comme je l'ai dit, mon besoin de sperme est déterminant, et par les temps qui courent on ne peut malheureusement pas avaler le jus du premier qui passe. D'où vient ma dépendance au lait de couilles ? Eh bien de mon deuxième frère, qui m'a formé à ma majorité à la vidange régulière de ses burnes divines
Nous sommes quatre frères et soeur, je suis le dernier. Mon frère aîné avait déjà quitté la maison, et je dormais avec ma soeur. L'été de mon bac, ma vie allait prendre un tour décisif. Mes parents décidèrent de me donner la place de mon frère aîné dans la chambre de mon initiateur. Pour moi c'était le bonheur ! et le stress aussi car cela faisait longtemps déjà que je vouais à mon frère une admiration sans bornes, et il occupait mon esprit dans toutes les branlettes que je me faisais, à côté des voisins de mon âge que j'avais déjà sucé ou que je me promettais de vider un jour où l'autre. Ce frère était - mais c'est toujours le cas ! - une force de la nature : à 23 ans, avec un passé de nageur et de footballeur, il faisait 1m85 et presque 80 kg (je retenais tous les chiffres qui le concernaient), hyper viril, hyper macho, même le voir dévorer toute la bouffe dont il avait besoin me mettait le feu. Je le matais en slip dès que j'avais l'occasion, et suffoquais presque à la vue de l'énorme bosse moulée entre ses cuisses puissantes ; un cul merveilleux, un torse de rêve, des pieds carrés, des mains terribles, bref, le merveilleux résultat d'années de sport. Avec mes 18 ans et mon bac, j'étais bien dans ma peau, bien foutu tout en étant le plus fin de la famille, plus ressemblant à ma soeur d'après les traits du visage, 1m74 pour 65 kg. Depuis longtemps je m'arrangeais pour me lever en même temps que mon frère et pouvoir l'épier : de l'écouter pisser de bruyants jets, le voir dans la cuisine en slip, tomber comme par hasard dans la salle de bain quand il y était, à poil ou non, etc. Il m'arrivait de renifler son slip dans le panier à linge. J'écoutais ses conversations au tel, caché, et quand il se vantait à ses potes d'avoir explosé telle chatte, fait gueuler telle bonne petite salope, pour reprendre ses mots ; il était hyper fier de lui et de ses performances, et moi hyper fier de lui aussi..
Dormir dans la même chambre que lui était donc un voeu exaucé. Mais je sais maintenant qu'il avait capté mon admiration, et il m'avait même grillé dans le reflet du miroir de la salle de bain. J'ai bien constaté qu'il s'exhibait en slip exprès pour moi, et parfois, il s'amusait à mimer un mouvement de reins obscène, ou à faire rouler sa langue contre une joue pour simuler une pipe. Seulement moi, je n'étais sûr de rien alors. Un soir que nous étions seuls devant la télé, il s'est mis en slip, à côté de moi, en soufflant d'aise. La chaleur m'est montée direct. Mine de rien il a mis une main dans son slip, comme il faisait souvent.
- Tu pars mi-octobre alors ?
- Oui.
- Ca va te faire du bien de voir ailleurs.
- Je pense bien oui.
- T'as encore cet été pour profiter de ton frère préféré...
- Oui, dis-je en riant.
- Ton frère préféré qui est crevé par son boulot au resto, celui près duquel tu te branles la nuit, que tu mates dès que tu peux...
- Euh...
- Arrête, t'es pas discret, j'ai eu le temps de te repérer. T'aimerais bien être comme moi, hein ?
Je ne disais plus rien, je ne savais plus quoi.
- Je crois même que tu voudrais avoir ma bite, non ?
- Euh, non, non...
- Ah ouais ? mate-la un peu.
Il baissa son slip à mi-cuisses, et sa bite, aussi grosse que molle, m'apparut, roulée sur deux énormes couilles poilues ; elle se déroulait déjà un peu.
- Tu vois mieux l'engin là, non ? Il en fait crier plus d'une, tu peux croire ! Et il m'en faut pour être satisfait !
- Quoi ?
- Il faut que je me vide deux fois par jour sinon j'ai mal aux couilles, faut dire qu'avec la sauce que j'envoie à chaque fois, faut faire de la place !
- Tu gicles beaucoup ?
- 5 à 6 grosses giclées, du bien blanc, bien crémeux.
J'étais hypnotisé par ce qu'il me disait et par le spectacle de cette bite qui commençait à bander.
- Tu ferais pas plaisir à ton frère préféré ?
- Hein ?!
- Tu pourrais goûter et me faire du bien en même temps...
Il la prit en main, complètement raide, énorme cylindre aussi imposant que la paluche qui le tenait ; son gland, énorme aussi, était décalotté, magnifique et rose, charnu. Mon frère se mit à chuchoter : Mike, allez, fais-moi plaisir... allez, regarde-là, elle t'appelle - et tu la veux.
Je ne pouvais plus résister ; je tombais à genoux entre ses cuisses, saisis sa bite, l'admirant de très près.
- Admire-la, Miky, elle est pour toi tant que tu veux.
Puis je donnai mon premier coup de langue à la base du gland, fermai les yeux en l'engouffrai. Mon frère s'alluma une clope, et me caressa les cheveux pendant que je commençai à pomper cette queue superbe, attendue depuis si longtemps. Je pris mon temps et il me laissa faire, un bon quart d'heure, tirant sur sa clope, soupirant de plaisir, lâchant quelques "oui" tout doux, ou "régale-toi, Miky, fais-toi plaisir". Puis il s'est mis debout, beau et puissant comme un dieu, les mains sur les hanches, à me regarder le sucer avec amour. Il s'amusait à étendre sa queue sur la longueur de mon visage, et cela m'excitait de me rendre compte des proportions ; il me donna aussi ses lourdes couilles à lécher, à gober, à faire rouler, pendant qu'il se branlottait, avant de me la remettre en bouche ; son excitation le faisait haleter de plus en plus ; j'étais en son pouvoir et j'aurais fait n'importe quoi pour lui.
- Tu vas goûter mon jus, hein ?
- Oui.
- T'en as envie ?
- Oui !
- Ok, et tu avaleras tout ; si ça te plaît, tu l'auras tous les jours.
J'ai repris ma pipe de plus belle ; il a saisi ma tête entre ses mains et m'a baisé en rythmant de coups de bassin plus frénétiques. Il a commencé à grogner un peu, puis plus fort, et souffla : "Prends tout, frangin !" Son gland était posé sur ma langue, dont la pointe ressentit le gonflement de chaque giclée le long de la bite, le sursaut qui frappait mon palais, et je sentis au fond de ma bouche les jets puissants, bien chauds et bien gras, longs à s'épuiser - je n'oublierai jamais la sensation de ce gonflement et le léger choc des jets. Mon frère râlait de plaisir à mesure que ses couilles se vidaient. J'étais attentif à tout, et j'avalais petit à petit, ivre de plaisir de savoir que le sperme de mon si beau frère coulait dans ma gorge. Et, oui !, j'aimai aussitôt ce goût, cette crême chaude, à peine salée.
- Bien dosé, hein ? me demanda-t-il, rayonnant de plaisir et de fierté mêlés.
- Incroyable, dis-je doucement, respectueux devant une telle démonstration.
- Tu aimes le goût ?
- J'adore !
- Super, dit-il en sortant sa bite, et faisant sortir les gouttes de jus ; ne perds rien, lèche.
Je m'exécutai, en léchant le gland qu'il me tendait, et en caressant ses cuisses dures de muscles.
- Miky, t'a très bien sucé ; c'était pas ta première fois ?
- Euh non...
- Cochonne, dit-il en riant. Allez viens, on va se coucher, et tu vas me masser un peu, ok.
- Ok.
Plus de deux mois de bonheur venaient de commencer, deux mois de tétée quotidienne, au minimum, matin et soir, le plus souvent dans la tranquillité de notre chambre. Au réveil, il dégageait le drap pour me montrer sa bite et disait juste "viens", ou alors quand j'ouvrais les yeux, sa grosse queue était déjà pointée vers mes lèvres, au bord du lit ; il m'aidait en se branlant à moitié dans ma bouche, les couilles déjà trop remplies par la nuit, et mon premier lait du matin m'envoyait direct au ciel. Le soir on prenait plus de temps, et parfois je m'interrompais pour le masser, à sa demande ou non, car j'étais fou de ce corps, et n'en avais jamais assez de le regarder dans tous ses détails, de le palper, de l'embrasser
C'est bien sûr cette régularité qui m'a rendu complètement accro au foutre, et mon frère était un sacré donneur. Au fil des semaines, un petit jeu de domination s'est installé, qui me convenait très bien. Un soir qu'il me limait lentement la bouche, à genoux sur moi, il lâcha un "ptite salope " à voix basse, qui m'enflamma littéralement, et il le remarqua, d'abord gêné de ce qu'il avait dit, puis rassuré : "tu aimes que je te dises ça ? salope ?" Le "oui" que je répondis avant d'enfourner encore son pieu lui ôta le moindre doute, et il se lâcha de plus en plus, suivant l'humeur. Il était capable d'une grande grossièreté et d'une grande douceur. Ainsi tantôt il m'ordonnait "vide-moi les couilles, salope", "astique-moi la bite, suceuse", tantôt il m'embrassait en chuchotant "tu veux ton ptit lait, Miky?". Il est arrivé aussi qu'il se fasse pomper dans la salle de bain : il se lavait les dents, baissait son slip et je me mettais à l'ouvrage sous le lavabo ; ou il s'asseyait sur la baignoire et m'offrait son entrejambe. Les weekends, nous avions la journée entière, et tous les endroits étaient bons pour une petite pipe rapide, qui n'allait pas toujours à son terme, car nous pouvions être interrompus, mais qui reprenait ailleurs et plus tard. Dès que j'ouvrais les yeux le matin, je ne pensais déjà qu'aux doses de jus qu'il allait m'offrir. Et je n'en revenais pas de cette abondance, car même en sautant des nanas de temps en temps (il me racontait tout, pendant que je le suçais le soir), il giclait toujours une quantité parfaite
Au bout de quelques jours, il m'avait dirigé un soir vers son cul : je léchais avec amour ses burnes généreuses, et il leva le bassin d'abord, puis maintint ses jambes relevées écartées près de sa tête, dévoilant toute sa raie, ses deux superbes fesses musclées, son trou un peu poilu. J'eus d'abord une hésitation devant cette première, non à cause de l'hygiène, car celle de mon frère était parfaite, mais parce que je ne savais pas quoi faire.
- Miky, j'adore qu'on me lèche lecul, et les meufs aiment pas me le faire...
- Je te lèche ?
- Oui, lèche bien la raie et le trou, et insiste bien dessus.
J'entrepris de faire de mon mieux et constatai très vite d'une part le pied qu'il était en train de prendre, les yeux à-demi révulsés, soupirant d'aise, et d'autre part le pied que je prenais moi-même à déguster cette partie si intime, nouvelle, de mon frère. Le bouffage de cul devient ainsi une pratique aussi fréquente que la pipe, et dans toutes les positions que souhaitait mon frère. Celle que je préférais, et il me l'accorda très volontiers, était qu'il soit assis sur mon visage, laissant mes mains écarter au maximum ses fesses, lui se branlant d'une main et ma bite de l'autre. Je prenais un plaisir terrible à titiller son trou et à entendre ses petits râles. En récompense, il se tournait quand il ne pouvait plus se retenir, et envoyait sur ma gueule et danas ma bouche grande ouverte les jets crémeux que j'attendais, en gémissant : "tiens, miky, tiens, tiens !", ou alors dans un autre genre "putain, prends ça, salope !". Jamais il n'oubliait de me faire jouir (mais le seul fait qu'il me remplisse la bouche de jus me suffisait d'ailleurs) ; je tenais à ce que ce soit lui qui me branle (il ne suçait pas) : il empoignait ma queue brûlante, plantait ses yeux dans les miens ou chuchotait à mon oreille des insultes, et ne s'arretait plus jusqu'à ce que je jute sur mon ventre. Il me donnait ses doigts à nettoyer ensuite, se disant "que je n'en avais jamais assez"
Voilà comment se passèrent les trois premières semaines d'été, mais vous vous doutez bien qu'un taureau comme mon frère allait aussi avoir besoin d'explorer mon petit trou vierge... Je vous réserve ce récit pour bientôt si vous en avez envie, et ainsi sera terminée l'explication de mon actuelle situation de drogué du jus, et de bon vidangeur de bites mariées.
mike
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