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Défouloir pour hommes mariés 6

Le baptême de mon neveu (1ère partie)

Comme prévu, le récit de ma plus récente rencontre avec mon frère chéri, enfin celle où il a repris possession de mon ptit cul.

J'étais rentré chez mes parents le mercredi, deux jours avant le débarquement des autres pour les festivités du baptême : la maison allait être transformée en gîte, et moi j'étais destiné à un débarras au premier étage. J'allais donner un coup de main pour les préparatifs. Et puis j'avais raté la dernière réunion de famille de Noël (et donc pas vu mon frère), car j'étais à l'étranger pour finir mes études pendant plusieurs mois. Bref.

La première bonne surprise de ce retour, ce fut de croiser par hasard, du côté de la gare, mon pote Séb, celui que j'avais vidé pendant des semaines en Terminale, et que j'avais recontacté plus tard, une fois que mon frère m'avait dépucelé du cul, pour lui offrir ce qu'il m'avait souvent demandé. Mais depuis cette folle partie de baise, chacun avait commencé son chemin de vie, lui restant dans ma petite ville natale étouffante et moi faisant de nouvelles découvertes à la capitale. C'est son " Hé, Mike ! " qui me fit me retourner, et je lui rendis son immense sourire. Il faut dire que j'aimais vraiment bien Séb, et lui aussi... Après deux trois infos, il me proposa un verre au buffet de la gare.

- Voilà un café où on n'est jamais allés ensemble.

- C'est vrai ! pourtant on en a fait à chaque fois qu'on séchait les maths !

Séb était marié avec Angélique M., je le savais, avait eu 2 filles d'elle, et était toujours pompier et mécano. Physiquement il n'avait pas du tout changé : assez beau visage, superbe carrure, un cul à tomber que moulait son jeans, des mains rudes et larges. C'est pourtant lui qui me dit :

- Putain c'est fou, t'as pas changé du tout !

- Ah ouais ?

- Ouais, je te revois comme en Terminale. Comment ça se fait que tu sois revenu ?

- Mon frère baptise son 3ème garçon.

- Ah ! ouais... Ca fait longtemps que tu l'as vu ?

Son regard était lourd de sous-entendus : il savait, averti par moi, que mon frère m'avait bien exploité le cul après mon bac.

- Je lui en dois une sacrée à ton frère...*

- Pour ?

- Ben, dit-il en baissant la voix, c'est bien grâce à lui si t'as fini par me donner ton cul.

- C'est vrai, dis-je en riant, je faisais plus le rapport ; mais j'ai pas oublié, je te rassure.

- Moi non plus ! faut dire qu'on s'est bien donnés quand on s'est revus. Qu'est-ce qu'on t'a mis !*

- T'as des nouvelles de Daniel ?

- On se revoit de temps en temps, en couple ; il est avec Isabelle D., tu vois qui ?

- Ah oui, ok. Et vous êtes rangés et fidèles, j'espère...

- Ben je crois bien qu'on n'a jamais baisé que nos poulettes... et pas d'autres mecs non plus, me regarde pas comme ça, ajouta-t-il aussitôt en riant.

- Votre dernière fois c'était avec moi alors ; c'est bien de rester là-dessus. Je me souviens de tout, tu sais...

- Pareil... on peut pas oublier... Alors tu vas revoir ton frère... Tu le suces encore ?

- Quand on se revoit, oui bien sûr. Mais c'est pas facile, y a toujours du monde. Ca fait un bail qu'il m'a pas sauté.

- T'aimes toujours autant la bite alors ?*

- Ouep, surtout la sienne ! dis-je en souriant.

- Quand j'y pense, il a fallu au moins un an avant que tu veuilles bien me sucer ; c'est en Première qu'on s'est retrouvés en cours ensemble, non ?

- Oui.

- Eh ben c'est en février en Terminale que tu m'as fait ma première pipe.

- Purée, Séb, t'as une mémoire !

- Attends, je peux pas oublier : des mois à te provoquer, à te supplier que tu me vides les couilles, je peux te dire que la première fois je l'ai marquée dans le calendrier !

- Je me rappelle aussi... dans les chiottes, c'est classe...

- Ouais, on s'y est retrouvés une paire de fois ! mais y a eu aussi le cagibi du mec de l'entretien...

On éclata de rire en même temps. Des tas d'images me revenaient.

- Mais t'as quand même pas compté le nombre de fois, si ?

- Oh je pourrais... Tu m'as sucé à peu près tous les jours de la semaine pendant quatre mois quasiment, plus des jours où on se voyait pendant les weekends ou les vacances... On arrive facile à une centaine de fois.*

- Et y a des jours où je t'ai taillé deux pipes*, sans compter ces jours-là où on avait le temps chez toi ou chez moi.

- C'est vrai ; c'est pour ça que je me souviens si bien de ta bouche.

- Et moi je me rappelle tout de ta queue... et le goût de ton sperme aussi.

- Rapproche-toi...

Je m'installai plus près, à ses côtés à table, et je vis le bon gros rouleau qu'il avait en train de la cuisse.

- Touche-la, vas-y... Et me refais pas le coup de te faire prier, tu m'as sucé plus souvent que ma femme* !

Je caressai sa bite à travers son jeans, déjà je déglutissais d'envie...

- Tu voudrais la revoir ?

- Séb...

- Personne voit... t'inquiète.

Il sortit sa bite bien bandée, et j'eus bien du mal à me contrôler.

- Tu la reconnais ?*, me dit-il les yeux brillants d'envie.

- Une bite comme ça, on l'oublie, tu t'en doutes... Putain, ce qu'elle est belle !

- Tu sais, j'ai cinq minutes... On va faire un tour en bagnole et je te ramène...

- Ok.

Comme je m'écarte de mon sujet, je vous réserve le récit pour une prochaine fois ; d'autant que Daniel nous a rejoints plus tard, l'autre baraque du temps du lycée...meilleur pote de Séb, pour tout...

Ramené par Séb, et l'estomac bien plein, je rentrai sagement à la maison. Mes parents, ma soeur et moi passâmes tout le vendredi à déménager les meubles, refaire des lits : deux maisons étaient réquisitionnées pour l'arrivée de la famille de mon frère et les autres. Il arriva pour le repas du soir. Difficile de se faire seulement la bise, alors qu'il avait l'habitude de me donner sa langue, et sa bite... Il ne changeait pas, toujours un colosse, peut-être avec la naissance d'un léger bide à ce que je voyais. Il réussit à me glisser à l'oreille " ce soir très tard ".

Le petit cagibi où je dormais était encombré de meubles ; je dormais d'ailleurs dans un canapé, il y avait aussi deux fauteuils. La chambre d'à côté était celle où dormaient mon frère, ma belle-soeur et deux de ses fils (l'aîné avec sa marraine ailleurs), et mon cagibi jouxtait la salle de bain du premier. A minuit toute la maison était silencieuse ; je lisais... et j'attendais, pas concentré du tout sur ce que je lisais. Je savais déjà que mon frère et moi serions condamnés au silence... Vers une heure, la porte s'ouvrit lentement, et mon frère en slip se glissa à l'intérieur. Aussitôt il baissa son slip, il bandait déjà à moitié, et me l'envoya. Que de souvenirs, quand je le portai à mon nez... Mon frère me regarda en se caressant la bite, me voyant sniffer ; je repoussai les draps : j'étais nu et je bandais. D'un geste il me fit comprendre de m'allonger par terre, et vint, comme avant, s'agenouiller sur mon visage, pour que ma langue vienne lécher son cul. Un cul que je connaissais par coeur et qui était toujours aussi appétissant, musclé, un peu velu. Sa raie chaude me couvrit du front au menton, et sa rosette attira immédiatement ma langue ; dès que je l'y posai et poussai, mon frère ne put retenir un soupir, mais il se reprit et tout fut silencieux ensuite. Je me régalai de ce trou que je n'avais pas dégusté depuis des mois. Mon frère nous branlait lentement, en basculant légèrement le bassin pour se faire lécher en longueur ou en profondeur. Au bout d'une bonne dizaine de minutes il se plaça comme en 69 : je pris sa bite en bouche et lui me bouffa le cul de ses lèvres charnues. Moi je pompais sa bite avec amour, avec déjà l'angoisse presque de ne plus l'avoir avant longtemps. Mais la bouche de mon frère me fit bientôt décoller, et je retrouvais aussi sa puissance, qui me faisait tout oublier : il me releva le bassin très haut, me prenant par-dessous les cuisses, ouvrant mon cul au maximum et y enfonçant sa langue. Je n'avais plus que la tête au contact du sol, et il y enfonçait sa queue sans ménagement ; pas facile de ne pas faire de bruit de succion... Mais il avait pris le rythme et je sentais qu'il ne s'arrêterait plus avant d'avoir déchargé. Je me tordais le cou pour lui offrir le meilleur passage, et lui commença à me doigter et à me branler en même temps. Rester silencieux nous pesait. Je reconnus à la respiration de mon frère l'imminence de sa jouissance ; je lui saisis les fesses au-dessus de moi ; il garda deux doigts dans mon cul mais ne me branlait plus ; il juta avec force et une sacrée pression ; bonheur ! je sentis de nouveau cette grosse veine parcourue par chaque jet envoyé, et puis, oui !, ce goût ! le jus de mon frère, le jus de ses merveilleuses couilles, si abondant et brûlant. Après m'avoir laissé téter jusqu'à la dernière goutte, il sortit de ma bouche en se reculant un peu, son gland posé sur mon front. Il me força à descendre mon bassin, tout en y maintenant un pouce enfoncé, et je compris : je commençai à me branler, tellement excité par le goût de son sperme que je ne finissais pas de déglutir et d'apprécier. Ma queue était tout près de mon visage ; la pression de la main implacable de mon frère baissait encore mon bassin ; mon frère matait, les yeux exorbités. Je jouis en m'envoyant une bonne dose de sauce, en plus grande partie dans ma bouche. Puis mon frère relâcha son étreinte, je pus allonger mes jambes ; il me donna son pouce à sucer, me flattant la joue de l'autre main, et ramassa sur mon gland et mon menton le sperme qui y restait, avant de se faire lécher les doigts. Nous grimpâmes dans le canapé tous les deux ; je me blottis dans ses bras, et nous nous embrassâmes longuement, lentement, profondément, reprenant notre souffle. On se câlina comme ça un petit quart d'heure, le temps de retrouver le contact des chairs, les odeurs, les détails. Puis il se mit à 4 pattes au bord du canapé, m'en faisant descendre et me représentant son cul.  Je lui bouffai pendant qu'il se branlait de nouveau. Il avait rapproché son slip, et sa main gauche m'invitait (fortement) à enfoncer ma langue autant que je pouvais. Je lui écartai les fesses le plus possible : sa rosette se dilatait, ma langue s'y enfonçait de plus en plus, et les mouvements de mon frère devenaient frénétiques. Même si mes yeux étaient le plus souvent fermés de plaisir, je regardais de temps en temps, par-delà les globes superbes des fesses de mon frère, son dos stupéfiant, si musclé et si large, et agité par la branlette. Ma langue astiquait les fragiles parois roses, tournait, titillait, et finalement elle parvint à se ficher en entier dans son trou et ne recula plus ; mon frère jouit peu après ; son trou éjecta ma langue en se crispant. Il avait inondé de sperme son slip. Il se tourna, se fit nettoyer la bite, et se mit à genoux comme moi, m'embrassa, me suçant la langue. Puis sa main m'invita à me pencher sur son slip, et pendant que je léchais avec envie le jus avant qu'il ne sèche, il susurrait à mon oreille, à peine des murmures, en me caressant la tête et en me léchant le lobe :

- Tiens, mon Miky... Ah putain, tu m'as manqué... vas-y, laisse rien, c'est pour toi... hmmm, oui, c'est bien* ... Lape, mon ptit chat*. Lape le bon lait de ton frangin... Et demain, je t'encule comme jamais*, prépare-toi bien : on ira faire un tour en fin d'aprem à l'auberge.

Il me laissa son slip pour la nuit, et quitta le cagibi sans un bruit, avec un clin d'oeil et un baiser en disparaissant derrière la porte. Je ne pus faire autrement que de me mettre le slip sur la gueule et de me branler en me doigtant et en respirant bien à fond l'odeur de couilles et de sperme ; j'étais trempé d'excitation et mes doigts me ramonaient bien ; quand je sentis que j'allais juter ; je profitai du slip pour essuyer mes doigts et y gicler. Je le pris ensuite comme un doudou, léchant puis suçotant mon jus. Heureusement, j'eus la présence d'esprit de le planquer sous l'oreiller en sentant le sommeil venir. Par chance je pus m'endormir les deux soirs suivants avec les autres slips que mon frère passait me donner.

Mais la suite de ce weekend, c'est pour la prochaine fois, les mecs... si vous voulez...

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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