Dans l’épisode précédent, je vous disais comment mon mec avait confié mon éducation au Boss des Boss pour je devienne une bonne lope à sa disposition.
Continuons...
Comme je descendais dans la cave suivi du Boss des Boss (j’apprendrai par la suite qu’il s’appelle Thierry), je rentre dans une pièce voûtée tapissée de velours bleu/gris. Je peux voir un sling géant et une sorte de lit central en matière plastique Tout est propre et sent les produits d’entretien, melé d’une vague odeur d’eucalyptus (un peu comme dans les saunas propres).
Le Boss des Boss m’ordonne de me mettre à genou. Il me passe une cagoule sur le visage. Je peux voir ce qui m’entoure, et cela me rassure. Mon cœur bat à rompre, mélange d’excitation et de peur…
Les genouillères atténuent l’inconfort. Il se rapproche de mon visage et m’ordonne de le regarder dans les yeux.
- Boss des Boss : première leçon. La lope doit toujours restée en visuel avec les yeux de son Maître.
Il me passe les mains autour du cou et me soulève comme si je ne pesais rien. Mes pieds ne touchent plus le sol et j’ai les yeux rivés dans les siens. Je me fais la réflexion qu’il ne doit pas être moche dans la réalité (En effet, il porte une cagoule pour éviter que des lopes trop « fragiles » ne puissent le tracer). Quand il sent que j’ai le souffle court il relâche son emprise et me dépose délicatement dans ma position initiale.
- Boss des Boss : Allez au taf ma belle…
Il sort son braquemard qu’il me colle profond en bouche. Dans un premier temps, je manque de m’étouffer. De grosses coulures de bave débordent de ma bouche sans que je puisse contrôler quoi que ce soit et le Boss me pilonne la bouche de façon rageuse. Je suis sous le choc de l’assaut et me laisse faire.
Soudain, il commence à me claquer les joues. Je n’y vois pas d’agressivité. Il me dévisage et examine mes réactions. Au bout d’une dizaine de minutes à essayer de gober intégralement son sexe, il me repousse et m’ordonne de m’installer sur le lit central, sur le dos, la tête au bord en arrière. Il revient à l’attaque et m’enfourne intégralement son gros calibre (je dirais 22 cms et bien large…). Les larmes me viennent. Je crois que je n’y arriverais pas mais comment lui dire sans qu’il me corrige ?
Le Boss est totalement en contrôle. Peu à peu, j’ai l’impression de faire céder toutes mes résistances. Une bouffée de chaleur m’envahit et le désir est décuplé en moi. Après une vague sensation de malaise, je prends mon pied à me faire défoncer en fond de gorge.
Il s’arrête d’un coup et recule. J’ai comme une sensation de manque. Je le veux en moi par tous les pores et mes orifices sont complètement ouverts. Je n’arrive pas à refermer la bouche comme un appel permanent à ce qu’il vienne y coller sa grosse queue… Mon cul est gonflé de désir, je le sens. Il me retourne et me positionne sur le ventre, cul bien cambré qu’il claque de ses grosses mains. J’ai les fesses qui chauffent, je ne tiens plus, je cambre un max. Je pourrais laisser un camion entier dans ma chatte.
J’ai sa queue en visuel sous les yeux et je tache de garder le contact visuel (très important) implorant ce mâle de m’honorer.
- Boss des Boss : Qu’est ce qui te ferait plaisir ma Belle ?
- Moi : Que tu m’honores de ta présence en moi Boss des Boss.
- Boss des Boss : Bonne réponse ma Belle mais il faudra être patiente. La soirée commence…
Il se recule et disparaît de mon champ visuel. Une lumière rouge se met en place et d’un coup je ne vois plus rien. J ai un bandeau sur les yeux et mes mains sont comme attachées au lit central.
- Boss des Boss : Les femelles qui passent sur ce lit deviennent de pures lopes capables de satisfaire leurs mâles. Tu acceptes ?
- Moi : Oui Boss des Boss, je le veux.
- Boss des Boss : Putain, gros potentiel de soumise ma Belle. Tes réponses sont de belles promesses qu’il convient de rendre réelles.
J’ai toujours le cul cambré, offert. Soudain, je sens un liquide froid me couvrir la chatte. Je sens qu’on me pénètre avec une sorte de tube très fin. Une sensation de fraîcheur mentholée m’envahit le vagin. Je suis totalement lubrifiée. Une fois l’opération terminée, je sens des caresses sur tout mon corps, ils sont plusieurs. La lumière de flash sourdent au travers du bandeau qui couvre mes yeux. Ils font une sorte de film ou des photos de moi. J’arrive à compter entre trois et quatre paires de mains…
Des doigts aventureux commencent à me pénétrer doucement et de plus en plus nombreux. Ils m’écartent littéralement.
- Boss des Boss : Allez y, formatez moi cette chatte de lope.
Je sens qu’un mec monte sur le lit. Il doit être à la verticale de mon trou. Deux grosses queues roulent sur mon visage. Je sens qu’une queue pousses sur mon trou. Une odeur de poppers effleure mes narines, j’essaye d’en renifler au max dans la perspective de l’épreuve qui ne va pas manquer de suivre.
Le mec à genou derrière moi enfonce mes dernières résistances. Le mec qui était à la verticale s’assoit sur mon dos pour accentuer ma cambrure. Je n’ai pas le temps de crier car une queue s’engouffre dans ma bouche. Elle occupe tout l’espace.
Des claques virevoltent sur mes fesses pendant que chacun des mes assaillants me prend d’assaut. Des gifles légères me motivent à sucer à fond les bites qui se présentent à ma bouche. Cet assaut va durer au minimum 2 heures. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’en redemandais… puis le Boss intervint :
- Boss des Boss : Finissez le travail les gars, je dois ramener Cendrillon à minuit.
Sur ces entrefaites, le bandeau m’est retiré. Le Boss des Boss me fait face. Il est habillé en treillis militaire, toujours cagoulé. Son torse est puissant et poilu ras.deux mecs sont positionnés à chacun de ses côtés.
Je fixe chacun des 4 mecs. Et le Boss des Boss qui, je peux le voir, à une regarde gris/bleu profond et vicieux. Je le décrirai plus tard en son temps
Focalisons nous sur mes quatre assaillants. Il y a une jeune black (185 80 kgs, une queue énorme que j’ai senti passé, au moins 24 cms à la largeur inédite), un rebeu (18 68 kgs, bite de 20 cms normale) très beau. Les deux autres sont des blonds d’environ 180 cms bien proprotionnés et avec des queues de 20 et 22 cms.
Je comprends mieux les douleurs du début. Mais place au plaisir. Je suis tellemente xcité que j’ai envie de les voir éjaculer sur moi.
D’ailleurs, ils se branlent en silence. L’un des deux blonds s’approchent de mon visage et me regarde intensément.
- Le Blond : Ouvre ta gueule Salope.
Je m’exécute et je sens immédiatement, pendant que je le regarde dans les yeux, son jus venir se déposer par jet dans ma bouche, en fond de gorge. Il m’attrape la bouche avec une main sous la machoire et veille à ce que rien ne se perde. Il pousse un râle presque animal et et pris de secousses qui envoient les derniers jets dans ma bouche. Mes yeux lui sourient. Il me gratifie d’un clin d’oeil avant de regagner sa place.
Le Black se positionne derrière moi et m’embroche. Son chibre est tellement large et puissant que je ressens des fourmillements au plus profond de moi. D’un coup après quelques minutes à me bourriner, il se retire et déverse son jus abondant sur ma raie. Il essayera, en vain, de rentrer à nouveau mais il a tout donné et ne bande plus suffisamment. De guerre lasse, il me claque les fesses et s’adressant au Boss des Boss :
- le Black : Celle là tu me la réserve.Elle est trop bonne.
Le Boss des Boss m’ordonne de descendre du lit et de me tenir, les deux mains sur le sling, cul bien cambré. C’est le rebeu qui attaque.
- Le Rebeu : ouvre ta gueule sale pute.
J’ouvre la bouche, Il vérifie que j’ai bien avalé la semence du Blond.
Avec sa main, le Rebeu racle le sperme du black et me badigeone le trou. Il s’en sert comme d’un lubrifiant et m’enfile directement sa queue. Il vient rapidement, je sens son corps se tendre, il m’attrape le cou comme pour m’étouffer et les bras tendus il accélère les coups de butoir. Il s’arrête d’un coup et je sens les contractions de sa queue libérant un précieux liquide chaud et onctueux en moi.
Le Rebeu : A toi pour le final Steve.
Le dernier bourrin est également blond. Il me fait penser à un vicking avec ses yeux bleux perçants. Petite barbe et catogan. Il est légèrement poilu et sue à grosses gouttes. Je vais dérouiller vu la queue tendue à fond qu’il me présente.
Steve écarte mes lobes fessiers et pointe sa queue à l’entrée béante de ma chatte. Pour son plaisir, il m’ordonne de bien serrer sa queue sans quoi il me démolit la face. Je m’exécute et il m’honore de quatre jets puissants et profonds en moi.
Franchement, sur le coup, je suis comblée et plein d’interrogations. Comment ai-je pu me laisser faire de la sorte ? Suis-je vraiment une lope à queues ?
Les gars se congratulent entre eux. Pendant ce temps, le Boss des Boss m’accompagne vers une pièce faisant office de salle de bain, avec douche italienne.
- Boss des Boss : Je suis content de toi. Premier test réussi ma Belle. Tu te refais une beauté comme un sou neuf et je te dépose chez ton mec qui doit être impatient de te retrouver.
Après cette soirée très spéciale, je suis vanné. Thierry me ramène au bas de mon immeuble. Pendant tout le trajet, j’étais assis à l’arrière, entre Steve et le Blond. Mains baladeuses, je me suis même retrouver avec quelques doigts dans la chatte.
- Steve : Habille toi avec des jeans slims et dessous jveux du string ou du jockstrap.
- Moi : Oui Monsieur.
- Steve : Putain, Boss des Boss, t’as le don de recruter de bonnes lopes toi.
- Boss des Boss : L’expérience mec. Toi ma Belle, c’est « motus ». Rien n’est arrivé ce soir, ok ? Attends moi dimanche à 14 heures au pied de ton immeuble. Ton mec est au courant. N’oublies pas de bien te nettoyer la chatte. Maintenant dégage de ma caisse et va rejoindre ton Roméo.
Chris973
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