Première fessée. Irréel. Je ne dirais rien. Rien du tout.
- « Compte »
Non je ne dirais rien.
Il continue, plus fort.
- « Dommage, si tu ne comptes pas je dois recommencer, ma lope »
Je sais que je ne pourrais pas résister indéfiniment. Je connais ce jeu. Le feu monte. Le feu m’excite.
J’abdique.
- « Un »
- « Deux »
- « Merci Maître »
- «Trois »
- …
Les mains de mon Maître sont maintenant partout sur moi. Et je mouille. Ma chatte est toute mouillée. Cela amuse mon Maître qui bien sur la caresse.
Il me dit de me redresser et j’obéis. Il retire son pantalon. Mal dressée je ne l’aide pas et il me le fait remarquer. J’ai honte. Sa bite est superbe. Son gland énorme. J’ai aussi honte de le regarder.
Je me recroqueville agenouillée contre son épaule. Je veux disparaître. Je m’entends minauder, mais suis aussitôt reprise.
- « Je suis ta pute, Maître »
Tout doucement, puis jusqu’à le dire haut et fort, comme il me l'impose.
Je suis félicitée, encouragée. La femelle que je suis en train de devenir commence à prendre le dessus. Je lèche mon Maître, son cou, ses mains, tout ce qui est à ma portée.
Je m’enhardis et approche ma main de sa verge. Mais je n’ai pas encore le droit, je n’ai rien mérité.
- « Lève-toi. Tourne-toi. Baisse-toi et cambres ta chatte »
Oh humiliation ! Quand tu sembles à ton paroxysme ce n’est alors que le début. Mon Maître me pince les tétons. La douleur me transit et je gémis et me tords, mes jambes se dérobent, je plie.
Il continue, ça lui plait. Alors j’endure.
- « Écarte les jambes »
J’obéis.
Je sens sa main me prendre les couilles par derrière. Je n’avais jamais connu telle humiliation, je suis complément à sa merci. Je ne peux que couiner ma peur et mon excitation, constater que je suis une petite chienne offerte à mon Maître.
Il n'a de cesse de me le rappeler, de sa voix implacable.
Les mots m’ont pénétrée, encore une fois j’abdique, n’oppose plus aucune résistance, tenue par les couilles, je n’ai aucune échappatoire. Il pourrait m’enfiler comme ça, ô pitié, non pas ça ...
Mais mon Boss à d’autres plans pour sa lope. Me voilà à nouveau à genoux, tête baissée. Il s’éloigne. Tout cela n’est que le début, bien sûr.
Comme il l’avait prédit dans nos messages, sa soumise tend les bras d’elle même pour se faire entraver, menottée mains dans le dos. Oui je l'espérais autant que je le crains. Merci mon Maître.
- « Tu bandes des tétons ma chienne »
Je sais ce que cela veut dire. Je ne tarde pas à me tordre et à gémir à nouveau prise dans l’étau de ses doigts aussi agiles que puissants. Mon Maître apprécie, et je vais être récompensée.
C’est à genoux sur le canapé que j’ai l’autorisation de m’occuper de mon Boss. Je pose mes lèvres réticentes sur sa verge dressée. Son gland bombé est doux ...
Je suis sa pute après tout. Alors j’ouvre ma bouche et la laisse glisser en moi.
Comme j’en rêvais, sa queue raide me remplit doucement la gueule en coulissant sur ma langue, et je la sens s’enfoncer, un peu puis beaucoup, et même beaucoup trop.
- « C’est bien laisses toi aller, ma lope, détends toi... »
Comme je connais bien ces mots... Maintes fois prononcés. Je sais bien ce qu’ils annoncent.
Et ça ne tarde pas, sa main me presse la nuque et son gland m’empale, voilà, je fais l’otarie.
Petite pute que je suis.
J’implore en gémissant, la bouche dégoulinante de mouille de gorge, des pauses, courtes, avant que mon Maître ne replonge ma tête sur sa queue, de plus en plus profond, de plus en plus humiliante, et je me laisse de plus en plus faire. Jusqu’à ce qu’il m'enfonce ce qu’il me restait de pudeur au fond de la gorge, son gland y est entré et je laisse faire en râlant des gerbes gutturales, contrainte, à une gorge profonde.
- « Bonne soumise. »
Je n’ai pas cessé de mouiller de ma chatte pendant tout ce temps. Les doigts de me mon Boss me le rappelant d’ailleurs sans cesse. Maintenant à genoux sur le canapé, je sens qu’elle l’excite beaucoup. Et que ne suis plus en mesure de refuser quoi que ce soit. J’ai très peur et pourtant me cambre, indécente, lubrique, trempée.
- « Vient au bord du canapé »
Ainsi l’heure est arrivée. L’heure d’'être moulée à sa queue, utilisée, sodomisée comme une vulgaire traînée.
Mais j’obéis, encore.
J'enfonce ma tête dans le canapé comme pour disparaître encore d'avantage, sortir de ce corps avant l’ultime outrage.
- « Tu as deux doigts dans ta chatte là chienne. »
Je ne m’en étais pas aperçu, deux ? Il doit penser que je suis prête, mais ne le suis tellement pas.
Il presse son gland devant mon trou minuscule. Je sais qu’il est vraiment minuscule. Et son gland est énorme. J’ai l’impression que c’est une charge d’éléphant qui se dresse contre moi. Je proteste vaguement.
- « Tu crois que tu l'as mérité ma lope ? »
L’ultime outrage n’est pas celui que je croyais. Non... mon Maître souhaite que je sois une pute en manque. Je devrais attendre. Je devrais supplier, et mériter d’être sa petite enculée.
Je ne couinerai pas sous sa queue ce soir et j’en suis aussi rassurée que déçue.
O soumission.
Je n’ai plus qu’à satisfaire mon Maître, puisqu’il est tout puissant sur tout ce qui se passe ici. Mes désirs sont futiles, son plaisir règne. A genoux je le suce en bonne femelle ondulante, assoiffée.
Je le regarde se masturber en lui léchant goulûment les couilles. Je refuse d’y penser et pourtant... je suce, son gland pendant qu’il se branle dans ma bouche de petite chienne docile.
- « Tu le veux dans ta gueule ? »
Je ne sais pas quoi répondre alors j’acquiesce en miaulant.
J’attends, sans trop réfléchir, ce serait insupportable. Et je sens quelque chose couler sur ma langue. Je crois que c’est son foutre.
Chaud, visqueux, épais, au gout douteux. Il me jouit dans la bouche, sans un mot, il se vide avec un râle et je reste là prostré, sans bouger, sa queue finissant son va et vient jusqu’à la dernière goûte.
Mon dégoût est total, j’avale tout aussi vite que possible, brisé, immobile. Il s’essuie le gland sur mon visage. Je n’ose même pas le regarder. Je sais qu’il est triomphant.
Et que je suis maintenant son vide couille, pour longtemps.
A suivre … si mon Maître me l’ordonne.
AmonB
amonboss2020@gmail.com