D'hétéro à tapette -08 / Histoire Gay

D'hétéro à tapette

Nous voilà arrivé au chapitre final de cette histoire. J'espère sincèrement qu'elle vous aura plu. Merci pour tous vos témoignages, vos avis et retours. A bientôt pour découvrir d'autres aventures (palpitantes) !

Chapitre -08 : Partouze

Pauline s'est arrêtée.

"Tu m'as donné ta chatte en moins de 10 minutes après avoir quitté ton homme, alors ne sois pas si outrée maintenant. Tu es une salope et tu dois t'assumer. Fais ce que je t'ai dit maintenant !"

"Mais au moins, je ne suis pas lesbienne alors que lui si ! Tu es en train de lui baiser le cul là !"

"Attrape mon portable sur la table, Pauline." Elle a obéi. "Assieds-toi." Elle obéit encore.

Il composa un numéro et dit : "Natacha, où es-tu ? Vraiment, parfait. Ramène-la aussi et ramène ton cul dans ma chambre." Il raccrocha et continua : "Vianney je vais continuer mon histoire si tu le veux bien. Comme tu le sais déjà, nous avons fait une petite visite, ma main sur son cul. Je lui ai demandé si elle voulait voir ma chambre, elle savait ce qui allait se passer mais elle a accepté. Elle savait qu'elle te tromperait, mais elle a dit oui quand même. C'est une salope ta Pauline. Ni plus. Ni moins. Nous sommes arrivés dans ma chambre et j'ai simplement baissé mon pantalon et j'ai dit : "Suce ma bite". Elle l'a regardé quelques minutes. Après, elle s'est baissée. M'a regardé avec un regard défiant. Et a commencé à me sucer. Naturellement, je lui ai ensuite demandé si elle voulait que je la baise. Et qu'as-tu répondu salope ?"

"Oui...", répondit-elle.

"Alors, je lui ai pilonné la chatte comme personne ne l'avait fait auparavant avec elle. Je l'ai inondé de mon jus. Ta jeune innocente était en train de devenir la pire des salopes. Elle s'est ensuite remise à sucer ma bite et je lui ai dit qu'il était temps de perdre sa virginité anale. Elle avait peur au début, mais avec un peu de lubrifiant et quelques minutes de baise lente, elle s'est mise à aimer vraiment ça, n'est-ce pas, salope ?"

"Oui", me dit-elle en me regardant fixement : "C'était génial d'avoir une vraie bite en moi."

"Aïe", dit-il, "Vianney a une bite de bonne taille pourtant. Dans les faits, Pauline est très souple. Elle s'est entièrement empalée en quelques minutes seulement." Il gémissait en me baisant.

Je regardais Pauline et lui dis : "Je suis désolé aussi Pauline. J'ai essayé de résister, mais je n'ai pas pu. Je ne sais pas pourquoi. Je suis vraiment désolé."

Pauline, en pleurant, dit :"Je suis désolée aussi."

"Ahhhh le véritable amour", dit Malik, au moment où la porte s'ouvrait et où deux filles, l'une noire vêtue d'une tenue d'infirmière salope, l'autre asiatique, vêtue comme une religieuse, entraient. "Salut les filles."

La grande mince noire a marché et embrassé Malik, comme si le voir baiser un mec était normal. "Natacha, voici Vianney et sa fiancée Pauline."

Natacha dit : "Salut et voici ma nouvelle gouine Anna."

"Pauline dit qu'elle n'est pas lesbienne et que son mec aime jouer avec des bites, ce qui la dérange. Il me semble normal de rééquilibrer cette situation. Alors, j'ai pensé qu'elle devait au moins voir ce qu'elle rate en restant hétéro."

Natacha s'est approchée de Pauline, l'a soulevée et l'a embrassée. Pauline ne s'est pas écartée ni débattu, puis Natacha a rompu le baiser et a demandé : "Pauline va sur le canapé." Pauline me regarda, puis Malik, mais obéit.

Natacha a demandé : "Anna, au travail." Anna s'est précipitée et a commencé à lécher la chatte de Pauline. Pauline a chevauché le visage de la fille et a lui dit :"Lèche ma chatte."

J'avais une belle vue de l'action lesbienne alors que mon Maître me martelait le cul. Les deux scènes de sexe se sont poursuivies pendant un certain temps jusqu'à ce que j'entende les cris étouffés de Pauline alors qu'elle était visiblement en plein orgasme. La petite asiatique a continué à lécher la chatte de Pauline et elle a eu un deuxième orgasme avant que sa langue de nouvelle lesbienne vierge ne vienne finalement lécher la chatte de Natacha qui s'était placée juste au-dessus d'elle pour finalement lui donner un orgasme. Natacha s'est levée et a dit : "Alors... toujours pas lesbienne salope ?"

Pauline dit : "Je n'ai jamais eu un tel orgasme... C'était incroyable."

"Oui Anna est une très bonne salope lesbienne, mais je crois que tu l'es aussi."

Pauline rougit.

"Pauline, habille-toi, tu viens à ma sororité ce soir pour une longue nuit d'entraînement."

"Euh..."

Natacha s'approcha d'elle et lui enfonça deux doigts dans la chatte : "Regarde salope. Tu es ma gouine maintenant. Je suis ta maîtresse. Compris ?"

Terrifié, ma fiancée désormais salope bi accomplis a répondu : "Oui."

"Oui quoi salope ?" demandait-elle alors que ces doigts sortaient et rentraient dans ma fiancée.

"Oui, maitresse", gémissait-elle.

"Alors qu'est-ce que tu es ?"

"Ton esclave", gémissait-elle de manière obsessionnelle.

"Bon et pour m'avoir désobéi, tu ramperas jusqu'à ma sororité, compris ?"

"Oui maîtresse", répondit-elle, me regardant impuissante.

Natacha, sortit ses doigts de ma copine et se dirigea vers un tiroir à l'arrière ; elle revint ensuite avec un collier et une laisse. Elle l'a accroché autour du cou de ma fiancée et s'est préparée à partir. Elle a regardé Malik et a dit : "Anna n'a jamais eu de vraie bite, pourquoi ne pas la défoncer ?"

Les yeux d'Anna devinrent immenses de peur, mais elle ne dit pas un mot.

Natacha a demandé à Anna : "Tu veux que Malik baise ta chatte vierge ?"

"Si tu le veux, moi aussi", répondit-elle.

"Oui je veux", dit Natacha. "Allons-y pétasse", demanda-t-elle alors que ma fiancée sortait de la pièce comme une chienne.

Malik dit : "Ça s'est mieux déroulé que je ne l'aurais imaginé. Anna vient me sucer la bite, j'en ai peut-être assez pour une autre décharge."

"Oui, monsieur" dit-elle en commençant à sucer sa première bite.

"Vianney, tu peux y aller."

Je me suis habillé et je suis parti. Je me suis rendu compte que j'étais encore en manque de sexe. Je suis retourné dans la chambre d'Austin, en espérant qu'il y ait un cul à baiser, mais personne n'a répondu. J'ai juré et j'ai commencé à partir quand un type m'a dit : "Tu cherches Austin toi, non ?"

"Oui, j'ai quelque chose à lui donner."

Il a ri : "Je sais ce que tu veux lui donner."

"Euh..."

"Tu es venu ici pour le baiser, n'est-ce pas ?"

J'ai rougi, je me suis vite retourné et j'ai couru à l'extérieur aussi vite que j'ai pu. Je me suis souvenu que j'avais son portable et je l'ai appelé. Sur la troisième sonnerie il répondit.

"Salut Austin, c'est Vianney."

"Hé mec, où es-tu ?"

"Juste devant ton dortoir", répondis-je.

"Oh ouais, je suppose que tu appelles pour un plan cul tard dans la nuit."

"Oui", répondis-je.

"Si tu veux te joindre à notre fête, viens au quatrième étage."

"J'arrive tout de suite."

RETOUR AU PRÉSENT

C'était il y a des années. Pauline et moi avons rompu peu de temps après ce soir-là. La dernière fois que j'ai entendu parler d'elle, elle était mariée et elle enseignait en deuxième année dans une petite école du Sud d'après Facebook. Elle a deux enfants et semble vivre le rêve qu'on voulait faire ensemble.

Moi, j'ai continué à être la tapette de Malik dès il me téléphonait, et ceux jusqu'à ce que j'obtienne mon diplôme. J'ai baisé Austin régulièrement et j'ai permis à Adrien de me sucer la bite presque tous les jours. Sa bouche douce me manque aujourd'hui. Je me suis retrouvé impliqué dans pleins d'orgies de mecs. Mais après l'obtention de mon diplôme, j'ai obtenu un emploi dans une entreprise de marketing dans une autre région, j'ai rencontré une fille, me suis marié et j'ai eu deux enfants. Ma femme ne sait rien de mon passé, mais le week-end prochain, c'est notre réunion des 10 ans et je viens de recevoir un message Facebook de Malik et le message disait : "J'ai hâte de revoir mon petit enculé."

Dès que j'ai vu ces mots, j'ai commencé à bander et à suer du cul. Et je sais que, la semaine prochaine, je vais me mettre à genoux en suppliant d'avoir le privilège de lui sucer la queue et de me prendre sa bite dans le cul. Je suis aussi sûr qu'il voudra baiser ma femme. Je suis aussi sûr que je ne pourrai pas l'arrêter.

Putain, la vie est un éternel recommencement.