Épisode précédent
Thierry, sergent compréhensif et ... botteur -2
Mon conducteur, le sergent Thierry m'avait copieusement botté lors de notre entrevue de la veille.
Je m'étais réveillé avec un trou du cul endolori ; chaque fois que je serrai mon trou la douleur me rappelait la pointe en nubuck des pompes de boxe de Thierry...
Comme je suis un peu maso, je faisais travailler mon trou pour sentir les séquelles de ses coups et mieux faire vivre ce souvenir si agréable.
Thierry avait vraiment été un maître botteur. Ses coups étaient super précis : pile dans le trou du cul. Quand il m'avait ordonné de m'ouvrir un maximum, il avait parfaitement su enfoncer la pointe de sa pompe dans mon trou offert à son 44 chaussé de chaussures de boxe.
Après avoir passé une crème cicatrisante, je ne ressentis aucune douleur. En fait, malgré la puissance de ses coups, sa précision et le type de pompe utilisé avait ménagé ma rondelle.
Le coup de sonnette de l'interphone retentit. Je regarde par la fenêtre et je vois la voiture qui m'attend.
Au moment de descendre, je me demande comment vont se passer les retrouvailles avec Thierry.
La veille au matin, c'était le sergent Thierry, 27 ans, 1m75, 72kg de muscles, militaire discipliné et respectueux de son supérieur hiérarchique.
Ce matin, il est le mec qui m'a planté son 44 dans le cul pendant une heure, à qui j'ai taillé une super pipe en avalant goulument ses 20 cm, et qui m'a juté à la gueule pendant que je lui mettais deux doigts dans le cul
Nos relations ne pouvaient pas ne pas changer. Connaissant Thierry, je me suis dit qu'il ne dirait rien et ferait comme d'habitude. Perdu dans ces questions, j'arrivai dans la rue et je tombai sur le caporal MARTIN. Je l'avais déjà eu comme conducteur. Un gamin de 19 ans, 1m65, épais comme une allumette. Machinalement, je jetai un regard sur ses pieds : tout petits... un 40 voire un 39.
Moi : le sergent Thierry est en congés ?
Martin : non, pas du tout. C'est lui qui était sur le tableau de service mais il m'a demandé de le remplacer.
Je suis très inquiet de la décision de Thierry, je crains de ne plus le revoir. Peut-être s'est-il rendu compte, une fois l'excitation passée, de ce que nous avions fait et de ce qu'il m'avait fait.
Moi : il est malade ?
Martin : non, en fait il fallait qu'il soit impérativement à la caserne ce matin car une boutique vient présenter du matériel. Il veut s'acheter une paire de pointes d'athlétisme et c'est ce matin car il en aura besoin ce soir.
Moi : je savais qu'il faisait des sports de combat mais j'ignorais pour l'athlétisme.
Martin : vous savez le sergent Thierry est un as en sport. Il fut mon instructeur au peloton d'élève-gradé. Je l'ai vu à l'oeuvre : il est très fort dans tous les sports. Je pense qu'il veut se lancer dans la course à pied sur piste.
Sans rien dire, je souris intérieurement. Effectivement ce sergent est très fort.
Martin : c'est lui qui passera vous prendre au bureau ce soir.
Thierry passera me prendre au bureau ! Si seulement le caporal Martin pouvait dire vrai : me faire prendre au bureau par Thierry... Quel bonheur même si son 20x6 mériterait de la préparation !
N'y tenant plus, je me décide à envoyer un sms à Thierry : " Bonjour Sergent. Ca va ? Pas trop mal aux pieds ? "
Deux minutes plus tard mon portable vibre. " Oui, ca va. Et toi pas trop mal au --- ? "
Je réponds : " On continue de se tutoyer ? "
Sms Thierry : " Bien sûr, sauf en public. Sinon, pas trop mal au cul ? J'y suis allé fort ! "
Je réponds : " Non pas du tout mal. Tu pourras frapper plus fort. Pas de regret d'avoir vécu ça ? "
Sms Thierry : Non. Une découverte ! J'ai adoré. Prêt à recommencer. Ce sera mieux. J'aurai + d'expérience "
Je réponds : Sans expérience, c'était top, alors avec...
Sms Thierry : Tu veux pour ce soir ? Trop tôt, tu préfères attendre le temps de te remettre ?
Je réponds : Non ! Ce soir c'est super. Choisis-bien tes pointes !
Sms Thierry : Comment tu sais ?
Je réponds : Martin me l'a dit !
Sms Thierry : Le con. C'était une surprise !
Je réponds : Ah bon. Pourquoi ?
Sms Thierry : Je viens de les choisir. Je t'envoie pic. Tu comprendras !
Je reçois une photo : je vois un pied, talon posé sur un banc, la pointe en l'air. Ce pied est dans une chaussure de course à pied sur piste. Cette chaussure moule le pied fin de Thierry et finit avec un bout super fin.
Je réponds : Top. Ca donne envie de s'assoir dessus.
Sms Thierry : Ah ! C'est nouveau ça ! On essaiera si tu veux ! Mais à mon avis, la pointe est quand même trop large !
Je réponds : Sauf si avant tu m'as enculé !
Sms Thierry : Je te l'ai dit : pas mon truc.
Je réponds : Pourtant, hier dans ton dernier sms...
Sms Thierry : Hier soir, j'étais excité. Mais la sodo ne me fait pas envie : enfoncer ma bite là où...
Je réponds : La où ?
Sms Thierry : Là où il y de la m---- ! Je préfère voir et sentir ma pompe s'enfoncer.
Je réponds : J'arrive au bureau. On se recontacte.
Sms Thierry : Je suis de service à partir de 18h00 pour te ramener chez toi.
Je réponds : J'ai du boulot. Je rentrerai tard, pas avant 20 heures.
La journée se passe. A 18 heures ma secrétaire m'informe que le sergent Thierry est à ma disposition avec la voiture et elle quitte le bureau comme tous collègues de l'étage d'ailleurs à cet horaire.
Quand un conducteur m'attend, il reste dans le bureau de la secrétaire. 15 minutes avant de partir, je lui donne le top départ et il descend pour aller chercher la voiture.
Une fois la secrétaire partie, je passe dans son bureau et je tombe sur le sergent Thierry, plus militaire que jamais avec son treillis et ses rangers cirées comme des miroirs. Il se lève et instinctivement me salue.
Moi : Nous sommes seuls. C'est bon.
Thierry : Je ne sais pas si c'est bien que je te sois affecté. On finira par se trahir.
Moi : Tu es gêné ?
Thierry : En fait, oui. Autant j'ai adoré la soirée d'hier, quoiqu'inattendue, autant te retrouver dans ce bureau comme supérieur après ce que je t'ai fait hier...
Moi : Moi c'est plutôt l'inverse ! Être ton supérieur et te retrouver en treillis rangers après m'avoir traité comme une salope hier... ça m'excite !
Ca m'excite tant que j'ai la bite raide comme une bûche et que je rougis d'un seul coup.
Thierry : Tu es rouge ! Tu as honte de ce que tu viens de dire ? Ce n'est pas grave, tu sais que...
Moi : Non je n'ai pas honte. Au contraire, je suis très en forme.
Et je montre à Thierry la bosse de mon pantalon. Thierry se met à rire et pose son pied en rangers sur le bureau de la secrétaire.
Thierry : Mes rangers ne sont pas vraiment indiquées pour ton plan favori ! Pour ça, tu apprécieras davantage mes nouvelles pointes d'athlétisme.
Je m'approche et je pose mes doigts sur la pointe de sa rangers en la caressant. Je touche le bord de sa semelle qui en saillie serait vraiment blessante pour ma rondelle sans compter que, bien que ronde, elle est très large. Une rangers en 44 !
Moi : Effectivement, ce style de pompe n'est pas très pénétrant !
En disant cela, je suis remonté sur la pointe en cuir de sa rangers, la partie ronde du dessus que je titille. Thierry est manifestement tout chose.
Moi : Par contre, je trouve que ça fait très mâle dominant ces pompes.
Là, je me penche et je pose de petits coups de langue sur la pointe de la semelle comme pour la faire réagir. Puis je sors ma langue à fond, je pose sa pointe sur la pointe de la rangers et je remonte jusque sur le dessus dans sa partie arrondie. En 44, ces rangers font un pied énorme à Thierry. Je pense à sa bite qui est assortie et je redouble d'activité sur sa rangers avec ma langue tout en massant son mollet dur comme du béton à travers son treillis.
Thierry : Tu sais, ces rangers ne sont pas pointues donc pas pénétrantes et en plus leur semelle te ferait très mal. Mais je peux essayer de frapper avec le dessus, la partie ronde. En plus comme ce sont de vieilles rangers le cuir est très doux et pas raide du tout.
Je regarde Thierry et me dis que ça pourrait être sympa en regardant ces grands pieds de cuir noir qui incarnent la vie militaire à merveille.
Moi : Viens dans mon bureau et ferme à clef derrière toi.
Une fois tous les deux dans le bureau, j'enlève mes chaussures, mon pantalon et mon slip en quelques secondes et me retrouve à 4 pattes, cul cambré, devant mon sergent favori qui va me faire tester son 44 en rangers.
Thierry est aussitôt à l'oeuvre. Je sens le dessus de sa rangers dans ma raie. Il me donne des petits coups.
Thierry : Elles sont trop larges. Je ne touche pas ton trou.
Je pose mes mains sur mes fesses et les écarte au maximum.
Thierry : Alors là, comme ça le champ de bombardement est vraiment à découvert ! Accroche-toi, je vais canarder !
Je me prends un petit coup pile sur le trou avec la partie renflée de la rangers, la partie qui est au-dessus des orteils. Puis un 2ème, un 3ème, Thierry reste fidèle à sa technique car la force progresse.
C'est très différent des coups avec des pompes fines. Rien de pénétrant mais c'est super bon. J'ai l'impression que chaque coup écrase ma rondelle et je sens sa puissance sur une plus grande surface.
Thierry enchaîne les coups sans s'arrêter.
Pour bien profiter de ce pilonnage, je pense à ouvrir au maximum mon trou. Ce fut instantanément un plaisir redoublé. Le cuir de sa rangers ne m'enculait pas mais en m'ouvrant je profitais pleinement de toute la surface de sa pompe, le bord de mon orifice morflant tout comme l'intérieur sentait le cuir, chaud à force de frapper mon trou qui chauffait aussi.
Thierry : Écarte bien tes fesses, tes mains se relâchent.
Effectivement, sous ses coups ma prise s'était amollie et ses coups touchaient le bord interne de mes fesses empêchant cette grosse chaussure de toucher mon trou. Je me remets en position ouverte. Thierry m'envoie alors un coup très différent, avec tout le dessus de sa rangers qui vient épouser la longueur de la raie de mon cul. Une forme de fessée qui claque.
Thierry : Tu aimes ?
Moi : Trop bon, ai-je de la peine à dire.
Thierry : Comme ça je peux frapper très fort sans dégât. Tu veux tester.
Pour seule réponse Thierry voit mon cul se cambrer, mes mains écarter encore davantage mes fesses et mon trou s'ouvrir comme une fleur pour accueillir un dard. Le coup est d'une force que je n'ai jamais expérimentée. Thierry laisse sa rangers en position sur ma raie qui sent toute la longueur de la chaussure. Une dizaine de coups de ce type me laisse assommé, la raie du cul en feu.
Thierry me laisse récupérer et je l'entends enlever ses rangers qu'il balance devant moi.
Thierry : Sniffe-les salope ! Dépêche-toi !
Trouvant que je ne réagis pas assez vite, Thierry me flanque un magistrale claque sur le cul qui me fait crier. J'enfonce mon visage dans son 44.
Thierry : Profite, je les ai depuis ce matin aux pieds et comme je transpire un max, ça doit être bon.
C'est bon ! C'est divin ! Ses vieilles rangers ont accumulé des années de transpiration sur le cuir ! Après avoir été portées toutes la journée par ce militaire ces rangers dégagent un chaleur incroyable. L'odeur, la chaleur, un 44, Thierry, mon cul excité à fond par les coups avec l'arrondi de la rangers, ma raie du cul en feu après les coups avec le dessus de ces bottes militaires... je dois jouir !
J'attrape ma bite et commence à me branler. Je sens soudainement un truc dans mon cul, un truc chaud et humide, pas une chaussure : c'est rond et doux.
Je comprends. Thierry vient de présenter son gros orteil en chaussette sur mon trou. Il le remue de bas en haut en accentuant à chaque fois la pression. Je sens son orteil occuper toute l'entrée de mon trou qui ne demande que ça.
Suivent des petits coups portés avec cet orteil dans mon trou. J'accélère les mouvements de main sur ma bite. Je sens que je vais jouir, mon trou s'élargit, se détend et d'un coup je pousse un cri. Thierry, à l'affût, vient de positionner dans mon trou ses 2 gros orteils collés l'un à l'autre et en chaussette. Il les remue comme un dingue avec une pression de malade.
Mon cul rend les armes, s'ouvre, l'esprit perdu par les vapeurs de cuir et de transpiration de sa rangers dans laquelle mon nez est enfoncé.
J'ai l'impression qu'une chaussette me gode, ma bite se raidit, je crache mon jus dans un jet inouï à un mètre, les saccades suivantes me secouent comme si je recevais des chocs électriques, d'autant que Thierry a cette fois-ci les 2 gros orteils enfoncés à bloc dans mon cul profitant de la détente de mon éjaculation pour me fouiller plus profondément.
Je me dégage, me couche sur le dos, épuisé à la limite de défaillir de plaisir. Je vois alors Thierry qui s'était assis pour me travailler le cul avec ses orteils. Il a son pantalon de treillis ouvert, laissant dépasser son calibre qu'il masturbe doucement.
Thierry : Alors salope, ça t'a plu apparemment. J'ai cru que tu allais tomber dans les pommes.
Thierry me tend son 44 en chaussettes
Thierry : Je veux que tu me lèches, je veux voir tous mes orteils se dessiner à travers ma chaussette tellement tu auras salivé dessus.
Je m'exécute et je gobe ce pied en salivant un maximum. Mes lèvres massent la pointe de ce pied et ma langue la suce à fond. Thierry va jouir.
Thierry : Viens là, prends ma bite dans ta gueule de pute.
Je suis à genoux la gueule sur la bite de Thierry qui d'une main se branle au maximum tandis que l'autre a attrapé mes cheveux et empale ma bouche sur ce chibre de 20cm avec des mouvements de va et vient.
Thierry : Ferme ta bouche ! Masse ma bite !
Je comprime mes lèvres sur mes dents donnant ainsi à Thierry l'impression qu'il force un cul à chaque mouvement pénétrant qui manque à chaque fois de m'étouffer tant il va loin dans ma gorge. Thierry éjacule enfin, son gland restant appuyé sur ma gorge. Je sens son foutre m'inonder. J'étouffe, je veux me dégager mais une poigne de fer maintient ma tête sur cette bite qui crache sa semence.
Thierry retire enfin son monstre et je déglutis pour retrouver ma respiration ce qui fait remonter sa semence sur ma langue, sur le palais, sur l'intérieur des joues. Je perçois alors le goût de son sperme : salé, chaud, un peu âcre. Je tourne ma langue dans la bouche pour en profiter comme on le ferait d'un bon vin.
Thierry est rouge, il a le visage dur, le regard fixe.
Thierry : Alors salope, ça t'a plu ?
Je le regarde sans répondre tant je suis béat de bonheur et occupé à reprendre une respiration normale. Thierry me gifle à la volée, sa main claque sur ma joue comme un coup de fouet et je me retrouve allongé par terre sous la force de cette baffe.
Thierry : Réponds salope, quand je te pose une question !
Ahuri, je regarde Thierry. Des larmes coulent sur ma joue en feu. Thierry semble d'un seul coup se réveiller.
Thierry : Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je suis tellement désolé. Tu sais, je crois que je suis vraiment dominateur et là dans l'excitation...
Thierry s'assoit près de moi les jambes allongées, je pose ma tête sur ses cuisses et la grande main, qui vient de me frapper si violemment, me caresse la tête et le visage. Je me sens partir, je m'endors. A mon réveil, je suis sur le canapé de mon bureau, la tête posée sur la cuisse de Thierry. Je sens un linge humide frais sur ma joue endolorie.
Thierry : Je t'ai porté sur le canapé et j'ai posé un mouchoir mouillé sur ta joue. Je suis vraiment désolé. Je fais super gaffe avec mes coups de pied et je te baffe comme une brute. Tu es resté dans les vapes pendant 15 minutes.
Moi : C'est bon, ne t'inquiète pas, tu as réagi comme il faut. Je ne suis pas adepte des fessées ou des gifles mais pour être honnête, avec du recul... pour moi qui aime être dominé, là je l'ai vraiment vécu !
Thierry rigole en levant sa main : tu veux que je recommence ?
Moi : Non merci, j'ai eu mon compte.
Thierry : Surtout que je ne t'ai pas raté on voit bien mes doigts sur ta joue.
Je me relève péniblement comme si j'étais vidé de toute énergie, je vais aux toilettes me remettre en état et je me rhabille. Nous partons, Thierry avait entre temps nettoyé le sperme que j'avais laissé au sol et il vérifie que rien ne choque dans la pièce. Sa rigueur militaire... Nous sortons dans le couloir et tombons sur la femme de ménage ce qui nous incite à faire plus vite.
Arrivés au bas de mon immeuble, Thierry se tourne vers moi.
Thierry : je crois qu'on devrait arrêter ! Ca va trop loin !
Moi : tu découvres les joies des plans et de leurs surprises. Tu n'a pas joui tout à l'heure ?
Thierry : si comme un malade.
Moi : si on résume, tu m'as botté le trou du cul avec l'arrondi de tes rangers et claqué la raie du cul avec le dessus de tes bottes, tu m'as enfoncé tes orteils en chaussettes dans le trou que tu as vrillé comme un malade, tu m'as humilié en me faisant sniffer tes rangers hyper daubantes, tu m'as forcé à te branler avec ma bouche, tu m'as baisé la gorge à fond et tu l'as inondé de sperme, et tu...
Thierry : arrêtes, tu me donnes une trique d'enfer rien qu'en le racontant !
Moi : et tu m'as collé une gifle magistrale ! Tu n'as pas aimé me gifler ? Sois honnête !
Thierry : dans la pulsion j'ai adoré car je te faisais payer ton attitude de pute, mais j'ai regretté de suite !
Moi : moi je ne regrette rien de tout ça, j'ai pris un pied d'enfer - c'est le cas de le dire - et ta gifle était sans doute la cerise sur le gâteau de cette séance de domination car je ne l'attendais vraiment pas. En plus, elle t'a permis de me câliner après. Tu bandes toujours ?
Thierry : oui comme un âne
Moi : tu veux monter ?
Thierry : non, ce ne serait pas raisonnable.
Moi : à demain ?
Thierry : ca va trop vite, je préfère éviter d'être ton conducteur pendant quelque temps. Je vais changer avec Martin.
Moi : comme tu veux. Je comprends, moi aussi je pense qu'un doit faire une pause. Chaque fois que je te vois je pense à ton 44... Par contre, Martin, franchement ! C'est sûr que je ne vais pas fantasmer sur cette crevette.
Thierry : tu as tort !
Moi : pourquoi ?
Thierry : tu aimes te faire enculer ?
Moi : j'adooore !!!
Thierry : il a une bite de géant !
Moi : pire que la tienne qui fait 20cm ?
Thierry : la mienne fait plutôt 18cm mais elle est je te le concède super épaisse. Lui, son surnom c'est Rocco !
Moi : tu rigoles ! Ce petit mec qui ne fait même pas 1m70 !
Thierry : 24cm de long et plus épaisse que la mienne avec un gland énorme.
Moi : comment le sais-tu ?
Thierry : j'ai été son instructeur et on prend nos douches ensemble. Donc on a tous vu. Il s'est même plaint qu'avec les filles c'était une catastrophe car elles n'aiment pas les bites aussi grosses.
Moi : il a qu'à les enculer, il pourra tout mettre !
Thierry : tu te prendrais 24cm dans le cul ? Vraiment ?
Moi : euh, à vrai dire je n'en sais rien mais ça fait partie du fantasme de tout PD même si les grosses bites en général bandent mou.
Thierry : lui, je l'ai vu en érection, je peux te dire qu'il bande bien dur, il nous a même expliqué qu'il met beaucoup de temps à jouir ce qui dissuade encore plus les nanas avec lui. Franchement, s'il encule un mec il l'envoie à l'hôpital !
Moi : je le regarderai différemment !
Thierry : c'est moi qui te recontacte pour un plan. Mais je vais laisser passer au moins une semaine.
Moi : au fait, tes pointes d'athlétisme, elles sont comment ?
Thierry se penche devant le siège du passager avant et extirpe d'un sac une paire de pointes Asics.
Moi : j'adore, elles sont super fines. Mets-les pour voir.
Thierry : arrêtes, je suis en rangers !
Moi : allez, juste avant de partir !
Thierry enlève ses rangers et mets ses pointes.
Moi : accompagne-moi jusque dans le hall de l'immeuble. Ne pose pas de question
Thierry : je te vois venir, je ne monte pas !
Moi : pas du tout ! Tu ne monteras pas, promis !
Thierry et moi nous retrouvons dans le hall où se trouve la loge de la concierge qui regarde tout. Je prends mon trousseau et ouvre une porte donnant sur un escalier qui descend ...aux caves.
Thierry : non, tu plaisantes.
Je ne dis rien puis arrivé dans le couloir des caves, je pose mon cartable devant moi et je tombe à genoux dessus, baisse mon pantalon et mon slip.
Thierry, direct et rapide, pose la pointe de sa pompe Asics sur mon trou et commence un petit pilonnage gentillet.
Moi : défonce-moi le trou, je me souvenir de toi pendant une semaine.
Thierry : je n'y vois rien, la lumière est super faible.
Moi : oui, je sais, j'adore.
Thierry : ok... tu veux que je t'encule à coups avec mes pointes de course, salope ?
Moi : oui
Un coup de pompe m'arrache un cri car Thierry vient de me botter super hard et le bout de sa sket s'est fichée dans mon trou
Thierry : oui maitre, ok ?
Et un autre coup violent vient me ruiner le fion.
Thierry : je veux un merci maître à chaque coup !
Moi : oui, Maître botteur.
Thierry me frappe le trou comme un dément, ponctuant chaque coup d'insultes : salope, petite pute, trou à skets, raclure, pompe à jus... auxquelles répondent des " oui, merci maître " de plus en plus hurlés sous la douleur.
Malgré cette ambiance, où plutôt à cause de cette ambiance dans cette cave, et sous ce 44 qui me destroyait l'anus, je me branle et je jouis intensément.
Quand j'ai reprends mes esprits, la minuterie est éteinte, j'ai du foutre sur mon pantalon, mon cartable et sur mes mains. Apparemment je suis seul. Thierry est parti.
J'entends gratter la porte en haut de l'escalier et je pense immédiatement à la concierge. Par réflexe, je me rebraille et je me dirige vers ma cave dont je retrouve miraculeusement la clef et j'ouvre ma cave au moment où la concierge passe la tête : " tout va bien "
Moi : oui, oui, vous pouvez remonter.
La concierge s'en va. J'en profite pour essuyer comme je peux mon cartable et les reste pour enlever le jus. Je remonte l'escalier dont chaque marche m'arrache un petit cri de douleur car cette fois Thierry m'a ruiné le trou. Là je vais en avoir pour une semaine comme demandé.
Je me hâte dans l'ascenseur et une fois chez moi m'affale dans le canapé et me sers un cognac pour récupérer de toutes ces émotions. Ma joue me fait moins mal mais elle a encore la trace des doigts de Thierry. Mon téléphone vibre.
Un sms de Thierry : " Alors salope, tu dois avoir super mal au cul vu ce que je t'ai mis. Mais tu l'avais demandé !
Je réponds : super mal au cul, c'est vrai ! Et toi pas trop mal à la bite ?
Sms Thierry : pourquoi ?
Je réponds : " tu bandais pas ? "
Sms Thierry : " si comme un malade, quand j'ai remonté l'escalier j'avais la bite au garde-à-vous et j'ai même mouillé mon slip "
Je réponds : " tu connais la différence entre salope comme moi qui a le cul défoncé et un maître comme toi qui lui a défoncé le cul ?
Sms Thiery : " non ? "
Je réponds : " la salope a joui à mort, le maître s'est contenté de mouiller ! alors qui est le vrai maître ?
Sms Thierry : " putain de salope ! Tu le paieras "
Je réponds : " je le sais, je l'espère "
En reprenant, mon verre de cognac je pense au caporal Martin. Alors ce gringalet a une bite de 24 cm. Incroyable ! Dire que l'on fantasme toujours sur les grands !
24 cm ça fait quand même beaucoup...
ericasskick
ericasskick@yahoo.fr
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