Fantasme... J'adore voir des bites...
J'en ignore encore aujourd'hui la raison, mais j'adore voir des bites tendues...
Depuis cette constatation récente je parcours certains sites où je peux laisser libre cours à mes fantasmes, et celui ci en fait partie.
J'ai mainte et mainte fois retourné le scénario dans ma tête, le thème est toujours le même.
Mon rôle est simple.
La plupart des mecs fantasment sur une idée principale, qui ne semble existait cependant que dans les films X en principe: à savoir que la femme est un objet sexuel.
Et je dois avouer que le développement de ma sexualité allait dans ce sens aussi.
Je me suis souvent masturbé en m'imaginant me faire sucer par une femme, à genoux devant moi, soumise et docile, et ensuite la prendre par derrière, et lui claquant le croupion...
Mais à 30 ans... Quelle étrange sensation...
A mesure que j'aperçois, ou plutôt que je matte (pour souligner la démarche délibérée de ma part... mea culpa...) des bites sur le net, je me projette de l'autre côté du miroir...
Oui, j'avoue.
Je deviens l'objet de mes propres fantasmes.
Je me connecte désormais régulièrement sur certains sites, notamment celui-ci (merci cyrillo) pour mater et lire des histoires coquines...
Bien qu'étant en couple hétéro, mon esprit vibre à l'idée de cette rencontre furtive et improbable avec un homme mûr.
La soixantaine, pas trop poilu, sec, ou rond, peu importe, gentleman, mais coquin, et actif cherchant des mecs dans la trentaine.
En couple, mais recherchant un complément à sa vie sexuelle conjugale.
Pourquoi vers les hommes?... Parce qu'avec un mec, c'est plus facile de se dire "on baise, ... hummmm, merci à plus"... sans se poser d'autres questions...
Pourquoi vers la trentaine?... parce la différence d'âge implique une soumission naturelle qu'il n'y a pas à justifier lords d'un rapport...
Le cliché est simple.
Le mûr baise le jeune homme.
Hummmmm.......
Et les fantasmes ne manquent pas.
Avec un physique assez cool et beau gosse, ce sont plutôt les audaces qui m'ont manquées... car je me suis fait brancher plus d'une fois.
Et très récemment encore.
En rentrant tard chez moi, un mec s'arrête en voiture et me demande son chemin.
Je l'oriente, et il enchaine en me demandant si je bosse dans la restauration.
J'aquiesce, histoire de couper court, et il me propose de me reconduire.
Mon sang n'a fait qu'un tour.
J'ai gentiment refusé.
Et depuis, je ne cesse de me branler en m'imaginant ce qui aurait pu se passer.
Je monte dans sa voiture (une lotus esprit pour les connaisseurs).
Il a la soixantaine, cheveux courts, poivre et sel, barbe de 2 jours.
Il s'arrête au service "drive" d'un fast food car il a un petit creux et me propose un verre.
J'accepte, et le remercie en me sentant "redevable".
La conversation dérive rapidement sur la question de ma vie de couple.
J'annonce clairement ma situation de vie conjugale, et il aborde le thème des relations libres.
Il revendique tout aussi clairement que si personne ne fait souffrir personne, il est ouvert à tout...
Je n'objecte pas.
Il pretexte devoir s'arrêter acheter des cigarettes pour faire un détour.
Il se gare, mais je ne vois aucun tabac aux alentours.
Les battements de mon coeur s'accélèrent.
Mes fantasmes m'envahissent, et comme s'ils pouvaient se lire sur ma figure, je sens que j'en rougis.
"Bernard" me regarde et me demande si je suis déjà passé dans le coin.
"Euh.... oui, ça marrive pourquoi?..."
"Ah bon? Vraiment?... Tu t'es déjà arrêté par ici?... La vue est sympa n'est ce pas?..."
"Oui, c'est clair!"
Et je réalise soudain que je viens d'avouer à un mec que je ne connaissais pas que je m'arrêtais régulièrement sur une aire de rencontre gay...
Je mise sur mon "innocence" mais il n'en fait pas cas.
"Ca t'embête si on bavarde un moment ici le temps de boire ton soda?"
"Euh, ... non, pas de soucis..."
Je ne peux évidemment pas m'empêcher de jeter un oeil à son pantalon, et il ne peut évidemment pas me louper!
Il descend sa main doucement vers sa braguette, l'ouvre, et en sort immanquablement son service trois pièces.
Trop intimidant pour être vrai, trop cool pour laisser passer l'occasion...
Je continue de téter mon soda à la paille, et lui lance un regard timide.
Il glisse sa main vers le loquet de ma ceinture, et la déverrouille...
Libéré de toute contrainte, il approche sa main de ma tête, et caresse "tendrement" mes cheveux.
Soufflé par la situation, je ne réagis pas, et son geste de caresse se transforme doucement en guide, vers sa braguette.
Surpris malgré tout, j'exprime un "semblant" de résistance, mais qui ne dupe personne.
Il n'en fait cas à nouveau, et raffermit son geste.
Il guide doucement mes lèvres vers son prépuce, et mon absence totale d'expérience prend le dessus.
J'ai un sursaut de recul.
"Excuse moi, excuse moi..." dit-il, gêné...
"Je... euh..."...
On se regarde.
Un blanc pesant envahit l'atmosphère...
Il reprend ses caresses tendres dans mes cheveux, je me détends, et il les saisit à nouveau.
Comme s'il souhaitait juste instaurer un climat de confiance, mais rester dominant quand même.
Il saisit donc mes cheveux et me guide à nouveau vers son sexe.
Il ne m'impose pas tout de suite de le sucer.
Il m'approche de sa verge.
Il tente de percevoir mes réactions, il est très tactile.
Je n'offre aucune résistance, il faut dire que même si je ne me le suis jamais avoué, j'ai toujours rêver de cette situation.
Sucer un mec, mais sans que ça vienne de moi...
Il pose mes lèvres sur son tube.
Ma langue sort spontanément, et vient effleurer le bout de son sexe.
Je frémis, et lui aussi.
Cela m'encourage.
Je passe un, puis deux coups de langue.
Et ainsi de suite.
Un léger mouvement de hanche vient enfoncer son sexe dans ma bouche, et ça y est... Je le suce...
J'en tremble.
Je ne bouge plus, c'est lui qui imprime les vas-et-vients.
Il saisit mes cheveux de plus en plus fermement, je sens ses pulsions s'accentuer... Il accélère ses mouvements...
Il me tient tellement fermement la tête que je ne peux plus bouger, il me baise littéralement la bouche!
Puis, je sens un geste de recul, où il me tire la tête et se vide dans un râle animal sur son tableau de bord...
Il me regarde, et gêné exprime un:
"hummmmm.... merci...."
Je ne sais pas quoi dire...
Entre la surprise d'être pris au jeu de mon propre fantasme, et la surprise de l'événement...
"euh... hum... bon..."
Lui:
"Tu ne m'en veux pas?..."
Moi:
"Non, non... c'est rien..."
Avec un je ne sais quoi qui laisse deviner une faim laissée inassouvie... et qu"il devine très rapidement...
"Tu es pressé ou on peut rester encore un moment?..."
Décidément, il est tellement courtois, que c'est ce qui m'excite le plus et que je me sens obligé de lui dire oui à tout...
"Non, pas de soucis" réponds-je timidement...
Il laissa sa queue dehors, et m'expliqua les raisons de son ambivalence sexuelle, le côté sexe facile entre mecs et l'aspect dominateur-soumis entre mûr et plus jeune...
Il s'en aperçut sûrement, mais il me faisait bander comme jamais, et sûrement tremper mon boxer aussi...
N'objectant à aucun de ses propos, il conclut sûrement que j'étais consentant et se remit rapidement à bander.
Les choses se compliquèrent au moment où m'intima gentiment de baisser mon pantalon et mon boxer.
Je lui expliquai que l'endroit me mettait quelque peu mal-à-l'aise, mais il me conforta que malgré le contexte voyeur de celui-ci, rien n'arrivait qui ne soit consenti...
Et j'aurais dû peser ces propos.
J'obéis, et les fesses à l'air, il ne tarda pas à caresser mon entre jambe et à explorer mon fondement.
Un reflexe me fit camber les reins vers le haut, comme pour lui faciliter la tâche.
Je sentis un doigt se présenter devant mon intimité, la caresser, puis y entrer tout doucement...
Je ne saurais dire ce qui m'excitait le plus.
La sensation du doigtage, ou son regard plongé dans le mien, semblant exprimer un début de domination, comme voulant dire ton plaisir commence là où va mon doigt...
Mais l'instant ne fut plus à la réflexion, mais à l'abandon de soi...
Je me laisse aller, et mon côté féminin l'emporte peu à peu.
Je devine un deuxième doigt s'approcher de ma rondelle, et malgré la légère douleur, l'excitation l'emporte...
Mes gémissements l'encouragent.
Il poursuit.
Mon plaisir me trahit, car désormais il me tient...
Il s'interrompt, ouvre sa portière, sort, et vient ouvrir la mienne.
"Approche", me dit-il.
Je remonte mon pantalon.
"Non... ne touche rien..."
Moi:
"Mais il y a du monde..."
Lui:
"Chuttttttttttt....."
Je le suis, la croupe à moitié à l'air, il me guide vers le siège arrière.
Il me pose à moitié à quatre pattes, les mains sur la banquette, en levrette, et recommence son doigtage.
Je me retourne, surpris, mais comme pour bien poser les choses, je sens comme une décharge me figer dans cette situation!
Je ne rêve pas, il vient bel et bien de me claquer le fessier!
D'autant plus surpris, j'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche que sa main droite saisit ma hanche, tandis que sa main gauche poursuit son exploration...
Surpris et ravit à la fois, je ne sais quoi exprimer.
Du coup, je ne dis trop rien, ce qu'il prend pour un consentement et poursuit.
Je sens son doigt se retirer et perçois une sensation nettement plus humide et plus chaude!
Il commence à me lécher la rondelle, ce qui me fait littéralement fondre!
Je tremble comme c'est pas possible!
Je suis à "deux doigts" d'exploser littéralement dans un jus masculin indescriptible, et il le sent...
Il en joue, fait durer le plaisir.
Mes gémissements font place à des "couinements", et à présent, à des supplications...
"Tu es sûr que ça va?..." me demande-t-il...
Je suis en trans...
Moi:
"Euh... Je... hummmmm....."
Lui:
"Désolé, j'arrête si tu veux..."
Mes fesses se cambrent de plus en plus, comme pour supplier le coup de grâce, mais ma timidité est trop forte...
Lui:
"Tu sais que tu me rends fou, t'as vraiment un cul magnifique..."
J'accentue encore plus ma cambrure...
Lui:
"Tu m'excites trop ma chérie... Si tu continues je vais devoir aller plus loin..."
Je me contente de me retourner, et de le regarder en tortillant des fesses, dans un mouvement que je ne gère même plus, et qui n'est plus qu'un réflexe des plus basiques à des stimuli...
Alors que je maintiens mon regard dans le sien, ses deux mains saisissent maintenant mes hanches, et je sens un pieu épais et dur se présenter à l'entrer de ma rondelle.
Il me regarde, à la fois pour asseoir sa domination, mais pour être sûr qu'elle est bien le fruit d'une complicité, et je le regarde lentement me pénétrer.
C'est l'image la plus excitante de ma vie.
Sentir tout d'un coup mon hétérosexualité basculer vers son bastion interdit de la sodomie, plaisir recherché mais refoulé par la majorité des hommes.
Je suis transgresse tout d'un coup les clichés dans lesquels je vivais, et deviens moi même la cible de mes propres fantasmes.
La petite pute soumise qui se fait baiser par un mâle en rût, c'est moi!
Je ne sais si c'est la sensation, ou l'ironie de la situation qui m'excite.
Mais je n'en peux plus.
Sa pénétration s'accentue, et je sens son pubis contre mes fesses.
Heureusement, il n'est pas monté trop long.
Je sens une légère brûlure, mais il y va doucement.
Il sait que plus il me ménage, plus il prendra son pied..........
D'ailleurs il en joue.
Il se fait lent, et je ne tarde pas à l'encourager, à quémander...
"Hummmmm....."
Je gémis, mais ça ne lui suffit pas...
Il ralentit, s'arrête presque, et se "contente" de caresser ma croupe...
Les mots sortent tout seul de ma bouche:
"Vas-y... Encore..."
Je n'ose réaliser ce que je viens de dire...
Je ne le regarde même plus, mais mes fesses font un va-et-vient spontané.
Il reprend tout doucement ses mouvements.
Lentement, mais très fermement.
Il me pénètre à fond, et très fort.
Il marque d'ailleurs un temps d'arrêt à chaque fois qu'il est en moi.
Il me colle son pubis contre la raie.
Sa main gauche lache ma hanche, et vient saisir mes cheveux.
Il tire légèrement, pour accentuer encore un peu ma cambrure, mes surtout pour me dominer un peu plus.
Toujours en douceur, mais avec fermeté.
Lui:
"Regarde un peu dans quel état tu me mets... Et tu as l'air d'aimer ça en plus ma cochonne..."
Moi:
"Ohhh...... Je...."
Sa main droite quitte un instant ma hanche juste le temps de me claquer le fessier afin que je ne poursuive pas ma phrase...
Je gémis...
Il en enchaine une autre.
Et ainsi de suite...
Il imprime ainsi la cadence de ses vas-et-viens...
Tandis que sa main gauche maintient sa saisie sur mes cheveux, sa main droite me fesse en cadence...
Il grogne, et gémis, ce qui amplifie encore mon plaisir.
Je réalise au fur et à mesure que je suis l'objet sexuel d'un mec mûr, comme je l'insinuais tout à l'heure par rapport à mes fantasmes, je deviens la petite salope que je souhaitais baiser.
La petite pute à qui on dit "suce moi salope" et qu'on prend bien à fond...
J'en peux plus d'excitation...
Je couine de plus en plus, il accélère...
"Ohhhhh.... ouiiiiiiii......encooooooore....."
Il grogne de plus en plus fort et râles s'intensifient, puis tout d'un coup il se fige...
Il se retire doucement, et tout en se frottant la queue sur ma raie, je sens un liquide chaud parcourir le creux de mes reins... alors qu'il pousse un soupir de gladiateur...
Je comprends alors ce que c'est qu'être une chose sexuelle et possédée et mon plaisir est au bord de l'explosion.
Il s'essuie doucement sur ma raie, et tout en écartant doucement mes fesses de ses deux mains, insère doucement un pouce pour finir de me doigter.
Je le regarde alors, et soumis à ses doigts après lui avoir servi d'objet sexuel, mon plaisir se laisse enfin aller...
Il me regarde à nouveau avec insistance...
Lui:
"T'aimes vraiment ça ma cochonne..."
Je me contente d'un regard insolent...
Il accentue son doigtage, comme si mon regard le guidait.
Il remplace son pouce par son index et son majeur.
Je couine à en hurler.
Lui:
"Chuttttt..... tu vas faire des envieux si ça continue..."
Je reprends soudain conscience que nous ne sommes pas seuls.
Lui:
"Tant mieux... Tiens, prends encore ça ma petite salope..."
C'est le compliment de trop!
J'explose littéralement sur sa banquette arrière!!!!!
Et je ne peux pas simuler...
Lui avec un clin d'oeil:
"Et ben ma salope"
Je rougis et remonte vite mon pantalon...
Lui:
"C'est rien, t'inquiète... pas de soucis"
Je me détends et m'asseois sur la banquette arrière.
Lui:
"Je peux te dire que tu as des fans ce soir, le mec en face dans sa voiture n'arrête pas de nous mâter..."
A suivre...
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