Rencontre inattendue...
Ce fut comme une apparition. Il était là, assis sur un banc, les cheveux dans le vent, dans le parc où je viens si souvent. Il me prit dans ses bras. Je sentais la chaleur de son corps pour la première fois.
Benjamin, c'est son nom. Je l'ai rencontré durant l'été sur le Web. Nous avons tout de suite sympathisé. Au fil de nos conversations, aussi bien écrites par SMS que filmées à la webcam, nous nous sommes rapprochés. Une relation quasi fusionnelle en est née. Si bien que quand l'été fut passé, chaque soir après les cours je me connectais sur MSN, et nous discutions en tête à tête : " t'as passé une bonne journée mon amour ? ", " quels cours as-tu eu ? ", " je t'aime à l'infini et pour la vie ". Nous étions séparés de trois cent kilomètres. À quatre heures du bonheur. Sans permis. À dix-huit ans, nous n'avions toujours pas fait notre coming-out. L'écran, cause de notre heureuse rencontre, fut alors responsable de notre perte. Cela faisait deux mois que nous " sortions ensemble " à distance. Au début de notre relation, Benjamin prenait plaisir à regarder me déshabiller devant ma caméra, et nous faisions l'amour à distance en nous masturbant. Amoureux, je tentais de me convaincre qu'une relation aussi platonique pouvait durer. Beaucoup plus terre à terre, Benjamin ne supportait plus la distance, de ne pas pouvoir s'endormir chaque soir dans mes bras, de ne pas se réveiller auprès de moi, ne supportait plus de ne pouvoir toucher mon torse, mes jambes, mes fesses, mon sexe. Dans notre intérêt, il décida de mettre un terme au lien fort qui nous unissais. J'en ai beaucoup souffert. Durant les années qui suivirent, je suis resté très attaché à ce garçon, même si nous n'avions jamais eu de contact physique. Jusqu'à aujourd'hui ! Vous imaginez le choc ! Surtout que je ne savais que lui dire tellement j'étais surpris et surtout heureux. Benjamin aussi restait bouche bée. Il combla le silence par un long baiser langoureux. Après quoi, il se contenta d'ajouter : " C'est un hasard que nous nous rencontrions aujourd'hui... Je suis de passage pour le boulot et je repars demain. Tu te souviens de nos parties de branlettes virtuelles ? " J'acquiesçai par un sourire divin. Benjamin ajouta : " Suis-moi alors, j'ai réservé une chambre d'hôtel, nous allons immortaliser cet instant unique qui risque de ne jamais se reproduire... " Le meilleur restait à venir, mon fantasme allait se réaliser...
Arrivé dans la chambre d'hôtel, mon bel amant me jette sur le lit, je me positionne au-dessus de lui. Je déboutonne alors très vite sa chemise blanche, pour découvrir un magnifique torse musclé, bien bronzé. Je commence alors à le lécher lentement : ses oreilles, son nez, ses lèvres, son cou, sa poitrine, son torse, tout y passe. Le coquin a l'air d'apprécier si j'en crois ses petits gémissements... Mais je ne suis pas au bout de mes surprises ! Je continue à descendre le long de son torse, je sens Benjamin se raidir d'un coup... et soudain, il reprend le contrôle de la situation en bon actif qu'il a toujours été; je redeviens alors sa chienne, mais pour de vrai cette fois. Il défait lui-même la fermeture de son jean, je découvre avec joie son boxer noir qui moule un sublime paquet... Je bande à mort. Je n'en peux plus, je VEUX sa bite dans ma bouche, il FAUT qu'il se vide en moi. Mon maître se rend compte de mon impatience, et s'en amuse : " T'en meurs d'envie, hein sale chienne ? T'as envie que je te défonce ton beau pti cul bien doux, salope ? Tiens, vas-y, régale-toi, suce-moi bien profond ! " Il enlève son boxer, qui laisse place à une magnifique queue bien grosse, d'au moins dix-huit centimètres de longueur ! L'angoisse vient alors se mêler à l'excitation : comment vais-je faire pour ne pas étouffer en suçant cet engin ? Et surtout, Benjamin parviendra-t-il à rentrer sa bite dans mon trou si serré ? Ce moment de réflexion ne dure pas ; mon homme me fourre immédiatement son précieux trésor jusqu'au fond de ma gorge ! Son gland est chaud, un peu mouillé de liquide séminal au goût extasiant (j'ose à peine imaginer celui de son sperme!) Mais comme je l'avais prédis, je commence à étouffer, ce qui ne semble pas pour autant importuner Benjamin, bien au contraire ! Je l'entends râler et jurer en même temps : " Oh mon Dieu, oui c'est bon ça, rh, suces moi bien et t'arrêtes surtout pas pédé ! " (comme si lui ne l'était pas!) Tout d'un coup, je sens sa bite se raidir encore plus, je me prépare alors à recevoir tout son foutre dans ma bouche... " J'en ai pas encore fini avec toi, sale chienne ! Retourne toi sur le ventre, je vais te défoncer l'anus comme une vraie salope, tu t'en souviendras toute ta vie ! " Mon coeur comme à battre de plus en plus fort tellement j'appréhende :
? " Attends Benjamin, sois gentil avec moi, j'ai déjà sucé des queues mais jamais je me suis laissé prendre... tu vas être mon premier et... "
? " Raison de plus pour que ce moment où tu sentiras mon gland déchirer ton pti trou pour la première fois reste gravé dans les annales ! "
Sans tenir plus compte de mes craintes, mon bel amant se jette sur mon dos, retire mon bermuda sans détacher la fermeture qui éclate au passage, et commence à me léchouiller l'anus, ce qui a pour effet de me propulser littéralement au plafond tellement c'est bon ! Cependant, ce moment d'extase ne dure pas longtemps... Environ une minute après, il m'enfonce sa queue au plus profond de mes entrailles sans crier garde, sans même se soucier de la douleur que j'éprouve ; je sens un liquide chaud couler en moi, mais Benjamin continue ses vas-et-viens de plus belle : ça doit être du sang, il m'a complété déchiré le cul ce beau gosse ! Heureusement, cette douleur fait vite place à un moment de jouissance intense, durant lequel nous gémissons tous les deux en coeur (quel beau concerto !) : " rh, oh oui, que c'est bon, vas-y plus profond, encule-moi, défonce moi la chatte ! " Benjamin essaye toutes les positions possibles et inimaginables, mais celle que je préfère, c'est quand je suis à quatre pattes sur le lit et qu'il me sodomise le plus rapidement possible tout en me donnant des fessées et en tripotant mes couilles et ma queue. Soudain, le beau brun s'arrête : " rha !!! ", hurle-t-il comme un gorille tout en se vidant entièrement en moi. Mais ce dieu, ce Zeus, a encore faim ! Il me retourne sur le dos, se jette sur ma ptite bite et me suce telle une vraie pute qui fait ça toute la journée ! Je ne tiens pas longtemps comme ça : trente secondes après, Benjamin a la bouche remplit de lait... C'est une belle journée, nous avons couché !
À suivre....
Paul
williamspaul790@gmail.com