Premier épisode
Monsieur Dégueu et Paul : plan déprav à 3
Deux semaines avaient passé depuis le plan déprave que Paul avait fait avec ce gros porc qui maintenant lui présentait sa bite dans ses rêves. Études oblige, il n'avait pas eu de temps libre pour revoir Dégueu. Ce week end là, grâce a un professeur de math plus soucieux de ses vacances que de la réussite de ses élèves, il pu appeler le numéro que Dégueu lui avait donné.
- " Allô ? Ah c'est toi... petit cochon ! Tu veux revoir ma bite ? "
- " Ouai... je suis libre demain soir, on se fait ça ? "
- " Pas de problème... on peut faire ça chez moi, j'habite seul ! T'as le permis ? "
- " Et une voiture... il me manque que l'adresse ! "
Dégueu lui donna, et Paul compris que les cris seraient autorisés : c'était en pleine campagne !
Paul confirma sa venue.
- " Attend... ça te dis d'aller plus loin ? "
Paul réfléchis un moment avant de demander :
- "Plus loin ? Comme quoi ? "
" T'affole pas, juste un plan a trois... "
" Ouai pas de problème ! Mais il a nos trips ? "
" T'inquiète, vient juste demain et tu verras... "
Toute la journée du lendemain, Paul eu un mal fou a se concentrer... L'heure de philosophie, la dernière, fut la plus longue : qu'est ce qu'on en a a foutre d'avoir un libre arbitre ou non ? Dans un cas comme dans l'autre, Paul ne voulait pas s'encombrer de morale ou de justice, et n'avait d'autre envie que de renifler bruyamment les odeurs des beaux mâles qui l'entouraient comme le dernier des sophistes. Il ne connaissait pas encore tout à fait sa classe, mais il avait tout de suite ciblé les beaux gosses, hétéros hélas.
Enfin, la cloche sonna, et Paul, le démon dans le pantalon, couru presque jusqu'au voitures et se dirigea vers sa soirée de rêve.
De loin, la maison paraissait proprette, mignonne et surtout sans voisins... Paul s'engagea dans l'allée de cailloux menant à l'endroit, avec soudain un poids dans le ventre, comme avant chaque plan cul...
Descendu de sa voiture, Paul s'avança vers la maison, dont les portes étaient fermées malgré la chaude journée qui lui faisait de grandes auréoles sous les bras de son tee shirt noir.
Pris d'un doute, il envoya un texto a Dégueu : " je crois que j'y suis... t'es là ? " la réponse ne tarda pas " oui je suis a l'intérieur... entre et referme vite ! "
Étonné, Paul fit ce qu'on lui dis et entra.
L'atmosphère dans la pièce était étouffante : les fenêtres étaient toutes fermée, et déjà dans la pièce flottait une forte odeur de mâle.
- " Dégueu ? " appela Paul
- " Panique pas jsuis là mon gars... "
Paul le vit alors, avachis sur un vieux fauteuil et portant les mêmes fringues que la dernière fois.
- " Bonne route ? "fit Dégueu, goguenard
- " Ça te dis on en parle après ? L'autre est là ? "
- " Il vient de m'envoyer un texto... il arrive dans 5 minutes. Ça te dis de voir ou on va faire ça ? "
Et sans attendre la réponse de Paul, il se leva (Paul remarqua la trace de transpiration des fesses sur le tissu du fauteuil) et se dirigea vers une porte, qu'il ouvrit en regardant Paul.
- " je pense que ça va te plaire mon petit cochon... vient là ! "
Paul approcha. Effectivement, ça lui plaisait. Dans la pièce, un grand lit aux draps couverts d'auréoles suspectes dégageait une odeur qui lui giflait les naseaux.
- " Je dors là... et je fais tout le reste ici aussi... et je change les draps une fois par an " fit Dégueu.
L'érection de Paul déformait ostensiblement son jean. Il se voyait déjà partir... Que faisait ce foutu numéro trois ???
De loin, Paul entendis le gravier crisser.
- " Il vient a pied ? "
- " Oui, ça lui permet de bien suer, et je peux te garantir que quand il est dans cet état, on peut difficilement lui reprocher ! "
La porte s'ouvrit puis se ferma précipitamment, et le cochon mystère apparu.
Paul était sur le cul. Ce mec... Il était dans sa classe ! Grand, roux, les cheveux mis longs et frisés tombant sur un visage d'ange, toujours bien rasé... Comment ce mec pouvait-il être gay ???
- " Salut Paul ! Fit l'arrivant, avec un sourire angélique. Tu vois qui je suis ou... ? "
" ...je n'aurais jamais pensé que.. toi ? Je me souviens même pas de... "
" Maxence, coupa-t-il. Mais vu les circonstances, appelle moi direct Max ! "
Pendant que les deux jeunes parlaient, Dégueu s'était mis en Marcel, et se touchait le paquet sans complexe. Max regarda Paul dans les yeux et lui dit, avec un regard soudain vicieux :
" Ça fait combien de temps que tu t'es pas lavé ? "
" Depuis le début de la semaine... et toi ? "
" Pareil ! "
Paul, brûlant d'envie devant ces deux mâles crades, se tourna et alla tout droit dans la pièce.
Max entra le second, et Paul lui sauta dessus, le jetant sur le lit. Max retira rapidement son haut et dévoila un torse aux pecs supers développés et les abdos bien dessines. Une petite ligne de poils partait du nombril pour se perdre dans le slip... Avec un sourire entendu, Max mis les bras au dessus de sa tête, laissant a Paul le loisir de plonger son nez dans la touffe couleur carotte.
Merde l'odeur ! Ce mec sentait la chèvre, mais une putain de chèvre qui le regardait droit dans les yeux, l'ange ayant fait place au vice incarné.
Pendant ce temps, Dégueu avait retiré son pantalon, et vint les rejoindre sur le lit. Tous serrés les uns-contre les autres, ils se sniffaient les aisselles comme si c'était une drogue, encore plus, toujours plus !..
Paul en était a un point ou il aurait pu jouir sans se toucher. Mais le moment n'était pas encore venu...
Paul et max décidèrent de s'occuper un peu de Dégueu. Paul descendit au niveau de l'ignoble slibard que portait ce mec ignoble... Il était complètement cartonné et recouvert de tâches jaunâtres. Max, de l'autre côté, sniffait bruyamment l'arrière du caleçon.
Les deux camarades se relevèrent, et virent frotter leurs queues encore emprisonnée dans leurs slips contre la tête de Dégueu, qui respirait leurs jeunes et tenaces effluves.
Paul tira sur le slip de Max, et vice-versa. Les bites furent libérées. Celle de Max était très épaisse et pas trop longue, et sortait d'un buisson très fourni d'un roux éclatant. Paul se précipita pour sentir ce buisson : il ne fut pas déçu. L'odeur était géniale ! Un cocktail d'hormones sexuelles et de sperme sec qui, en lui parvenant, lui donna un coup de fouet.
Voyant que Dégueu, s'approchait, la bave aux lèvres, pour l'embrasser, Paul lui cracha un mollard en pleine gueule et lui dit :
" suce mon pote ! Allez ! "
Dégueu se le fit pas dire deux fois, et glissa doucement sa main sur le mandrin de Max, et le décalotta doucement...
Paul n'en cru pas ses yeux : la bite de Max était couverte de petites pellicules blanches, que Dégueu s'empressa de récupérer, montrer a Max son butin sur le bout de sa langue, et avaler avec le crachat que ce dernier lui envoyait.
Paul, ne voulant pas rester inactif, descendis lécher le cul de Dégueu. Il n'était pas très net, mais excité comme il l'était Paul n'en avait cure. Il plongea dans le cul poilu qui s'offrait à lui, et en s'écrasant la figure sur les fesses bien grasses parvint à atteindre l'anus de Dégueu, qui s'ouvrit sans effort devant sa langue. A l'avant, Dégueu gémissait doucement, signe qu'il était au moins un peu passif. Très bien. Pendant que Max se faisait tailler une pipe bien baveuse, Paul commença a doigter le cul crado de l'homme. Un doigt passait sans difficulté, deux, trois... quelle souplesse !
Soudain, Max pris la tête de crado et lui baisa la gueule avec force. Profitant du moment, Paul lui enfonce la main entière dans le cul. Dégueu, surpris, se dégagea de la queue qui lui perforait la gueule pour crier. Max, voyant que sa queue était pleine de glaire, pris la tête de Dégueu comme mouchoir et s'essuya la queue sur les joues mal rasées.
Paul avait la main enfoncée dans la rondelle poilue de Dégueu et commençait à serrer le poing, ce qui entraînait les gémissement de Dégueu. Max en profita pour passer derrière Paul et lui lécha sa jolie raie blonde. Paul adore cette sensation de chaud et de mouillé. Ça l'excite. Alors, enlevant sa main doucement du cul de Dégueu, il se cracha rapidement dans la main pour lubrifier son engin, qu'il pointa sur le cul qui l'attendait. Sa queue entrait toute seule dans ce tuyau de chair palpitante.
Ne sentant plus la langue de Max à son arrière, il commença a défoncer le cul bien poilu de Dégueu, qui gueulait sans retenue.
Puis Paul sentis la verge de Max qui butait contre son petit trou. Ah, il voulait faire une brochette ! Le blond pris une grande inspiration, et s'enfonça entièrement le mandrin de Max en gémissant doucement...
Le beau Max comprit le message, et pilonna violemment le cul de Paul, qui n'avait plus qu'a laisser le mouvement accompagner sa bite dans le gros cul de Dégueu. A un moment, il sentit dans une vague de transpiration épicée Max se coller à son dos et chuchoter :
- " on le prend a deux ? "
Aussitôt dit, aussitôt fait, Dégueu s'assit sur la bite de Max, et Paul vint glisser sa queue auprès de celle de Paul... Dégueu semble complètement partit, il hurle a chaque coup de bite. A tel point qu'a un moment il se mit a pisser sur son ventre.
" Putain t'es vraiment un porc mec... "
" Ouai un gros porc putain lâchez vous dépravez moi !!! "
Excité par le ballet d'odeurs et de jouissance, Max prévint
-" attention je viens ! "
- " Vas y dans mon cuuul !!! "
Et Max lâcha sa purée au fond de Dégueu en ahanant comme un bûcheron. Dégueu se lâcha aussi, et éjacula sans se toucher le long de sa bite flasque.
Max, toujours d'humeur coquine, récupéra le jus avec ses doigts et barbouilla le cul grand ouvert de Dégueu avec.
- " Tu veux lécher mec ? " demanda-t-il à Paul.
Plutôt que de répondre, Paul écarte les fesses grasses et poilues et lèche, aspire... ça a un léger goût mais ça passe. Puis, sans prévenir, Dégueu largue une grosse caisse qui fini d'étaler le sperme mousseux sur la figure de Paul.
Max, prenant les choses en main, le fait s'allonger, s'assit sur sa poitrine et lui donna sa queue débandée pleine de sperme a biberonner, pendant que Dégueu s'assoit sur le dard toujours vaillant de Paul.
Paul commençait a arriver au bard de ses limites, le moment que Max attendait pour une petite surprise... Sans prévenir il se mit a lui pisser dans la gueule.
Paul, n'en pouvant plus, explose dans le cul de Dégueu, qui, beaucoup trop ouvert pour retenir quoi que ce soit, déversa le jus légèrement teinté de marron qu'il contenait sur le ventre de Paul.
Après une courte pause, Dégueu leur donna son slip sale pour s'essuyer, puis le remit " pour faire macérer ".
Au moment de prendre congé, Max prit Paul a part et lui dit :
- " Ça te plairais qu'on se revoit... seulement nous deux ? "
- " Bah oui... surtout que tu as les mêmes fantasmes que moi et que... tu es vraiment mignon, tu sais ça ? "
- " Charmeur ! "
Ils échangèrent leurs numéros, et prirent congés chacun de leur côté.
Fin
J'ai mis un certain temps à écrire la suite, mais je suis étudiant j'ai pas beaucoup de temps pour ça... j'espère que vous l'apprécierez ! Pour échanger des photos ou videos : ungaycannais@hotmail.com
ptitcochon
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