Mon Q perforé pour la première fois
Ce qui me fait le plus bander et mouiller ce sont les histoires vraies même s'il n'y a pas des queues monstrueuses et des éjaculations à répétitions. Voici ma toute première sodomie, cela se passe en Afrique. J'avais repéré un jeune étudiant qui ne me semblait pas farouche du côté sexe avec un mâle. J'étais décidé de l'entreprendre un jour qu'il viendrait dans mon bureau, ma chambre étant juste derrière séparée par un rideau. Il est venu, il s'est assis, je me suis levé. Je ne savais pas trop comment faire. J'ai approché mon visage de sa tête. Il a relevé la tête mes lèvres se sont trouvées tout près de sa bouche et comme si un aimant les avait attirées nos lèvres se sont collées l'une à l'autre.
Il a pris ma tête dans ses mains et a pénétrée sa langue au fond de ma bouche. C'était mon tout premier baiser avec un garçon et il me prenait comme on prend une fille. Il s'est levé et sans que nos bouches se détachent je l'ai conduit jusqu'à mon lit, n'oubliant pas au passage de verrouiller la porte de mon bureau. On s'est allongé, lui sur moi. Il m'a donné un baiser interminable, me caressant les cheveux. De mon côté, je suis caressais le dos allant jusqu'aux fesses qu'il avait fermes et rebondies. J'appuyais essayant de lui donner un mouvement de va et vient pour l'inciter à aller plus loin. Mais cette fois-ci, nous nous en sommes tenus à ce long baiser langoureux au combien délicieux. Dès qu'il fut parti, je me suis mis à nu et me suis masturbé réalisant, dans le fantasme, tout ce que je n'avais pu faire avec lui, bien décidé à la prochaine rencontre de dépasser cette première étape.
La deuxième fois, qu'il est venu me rendre visite, la porte fermée à clef par lui, sans un mot il s'est approché et cette fois, c'est moi qui était assis, il m'a embrassé avidement. Nous nous sommes levés et dirigés vers le lit. Sans un mot, je me suis déshabillé, il a fait de même. Il faisait sombre et je ne voyais pas trop bien son corps noir. Je me suis allongé sur le ventre et lui s'est posé sur moi, il était évident que je demandais la sodomie. Son sexe s'est positionné naturellement sur mon trou et a tenté de le pénétré. Celui-ci semblait hermétiquement clos et mon partenaire ne cherchait pas à me déchirer, il continuait ses pressions en va et vient mais sans pénétration. J'étais aux anges sentant que j'allais enfin réaliser ce rêve tant de fois imaginé mais jamais réalisé. Au bout d'un long moment, je me suis levé et je l'ai entraîné vers le lavabo. N'étant pas pratiquant de ce genre de chose, je n'avais aucun matériel pour faciliter la sodomie. Je lui ai mouillée sa queue bien raide et je l'ai savonnée, j'ai fais de même pour mon trou de balle.
De nouveau allongés, cette fois son membre est entré dans mon intérieur, me voici défloré, c'était supportable, et il m'a limé, limé, j'ai passé sous mon ventre un traversin pour relever mes fesses afin qu'il puisse aller à fond dans mon ventre. Je sentais sa queue qui me limait le trou, cela a duré une éternité à tel point que plusieurs fois je lui ai demandé si ça venait. J'en avais plein le cul et j'ai du mal à comprendre ceux qui disent que c'est très douloureux au début et que cela se transforme en plaisir. Pour moi ce fut l'inverse, sans doute à cause du savon qui ne jouait plus son rôle de lubrifiant. J'en avais marre mais je ne voulais pas abandonner sans avoir reçu sa semence tant espérée.
Finalement, il s'est lâché et m'a inondé les intestins. De toutes les baises que j'ai pu avoir par la suite et Dieu sait si j'en ai eu je n'ai jamais pu être inondé comme je l'ai été. Ça n'en finissait pas de couler. Là, il s'est effondré sur moi et est resté immobile comme mort. Sa queue, ramollie, a naturellement été rejetée de mon fion qui retrouvait sa taille naturelle. Il m'a dit qu'il était complètement épuisé. J'ai voulu nettoyer sa queue avec ma bouche, mais il m'a dit qu'elle le brûlait, qu'il avait déjà attrapé des cochonneries et qu'il se soignait mais que sa queue continuait à le brûler quand il éjaculait. J'ai eu tout d'un coup très peur d'être à mon tour contaminé. J'ai vite filé aux toilettes et j'ai tout rejeté comme une diarrhée sans fin.
Je n'ai plus renouvelé avec lui et me suis abstenu tout rapport ensuite en Afrique, j'avais trop peur d'avoir été contaminé. Cela se passait en 1972 et il n'était pas question alors de Sida.
C'est mon premier message, je continuerai à vous narrer mes expériences sexuelles qui se sont poursuivies depuis, en France. Tout ce que j'ai dit est authentique...
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juice collector