Mon merveilleux prof de Sport
Nous sommes le mardi 12 mars. Je m'appelle Eliott, 18 ans Terminale L et je suis gay. J'ai toujours été attiré par mon prof de sport : je l'ai depuis la seconde. Il doit avoir la quarantaine, les cheveux grisonnants mais une musculature de dieu grec et un humour qui me fait craquer.
Aujourd'hui, le prof nous annonce que le cours se termine à 17h00 au lieu de 18 parce qu'il a un conseil de classe à 17h50 et qu'il doit se changer avant.
Le cours de sport commence, du badminton, et je me dépense à fond. Une fois le cours terminé, on prend nos douches, nus, et de voir tous ces mâles nus me fait bander. Je me dépêche de me rhabiller et de sortir. En sortant du vestiaire, il se trouve juste devant moi et je lui lsnce mon plus magnifique "au revoir". C'est avec un immense plaisir qu'il me rétorque "au revoir mon grand bonhomme". Il m'appelle comme cela depuis l'année dernière car selon lui "j'ai pris beaucoup de centimètres depuis la seconde". S'il savait où j'en avais pris, aussi.
Arrivé à l'arrêt de bus, je remarque que j'ai oublié mon sac de sport. Je retourne au gymnase et le prof est déjà parti. Le vestiaire est pourtant toujours ouvert, j'entre en me caressant le paquet à travers le jean et mon sac n'a pas l'air là. Je regarde dans les douches : non plus. Je pense d'abord à un vol puis je me rappelle être passé aux toilettes avant de partir. Mon sac est juste devant. Alors que je me baisse pour le récupérer, je vois des baskets en dessous la porte. J'ouvre donc sans frapper et me retrouve nez à nez avec mon prof de sport, nu, qui se changeait aux toilettes. Vu comment sa bite était redressée, il ne faisait pas que de se changer. Je suis resté à fixer son entrejambe pendant de longues secondes et ma bite gonflait dans mon pantalon.
"On serait quittes si tu enlevait ton pantalon aussi, mon bonhomme, dit-il avec humour.
- Je..."
Et là, comme un aimant, je me jète sur sa bite énorme et l'enfourne en bouche. Je sentais enfin son énorme engin chaud dans ma bouche... Il avait l'air rétissant au début mais s'est quand même laissé faire. Je commence des mouvements de va-et-viens tout en le regardant : il était rouge tomate, me regardait avec un sourire heureux puis commença à gémisser. Cela dura une dizaine de minute et je ne me lassais pas, je ne débendais pas. Il commença à respirer haut, vite et fort et lâcha des énormes jets de foutre dans ma bouche. Je continuais à sucer sa tige encore dure mais il me lança le plus bandant "À mon tour" possible.
Il déboutonna mon pantalon et mordilla ma bite à travers mon caleçon. Il s'empressa de baisser mon caleçon pour mettre mon engin dans sa bouche. Il me regarda et ce fut l'exact réalisation de mes fantasmes. Je n'ai pas tenu longtemps... Je pensais mon rêve fini mais il m'a embrassé pendant tellement longtemps que ma bite s'était redressée. Il me pris ensuite par la main et m'allongea sur un des bancs pour me lécher la rondelle. Trouvant le banc incomfortable, il m'emmena dans le gymnase qu'il ferma à clef et installa des tapis de sport par terre. Il me jeta sur les tapis et continua son travail de tout à l'heure. Il m'allongea ensuite sur le dos et jouait avec son engin à l'entrée de mon anus. Il se décida à me défoncer le cul et je ne ressenti aucune douleur, je prenais un énorme plaisir à me faire défoncer le cul par sa longue et délicieuse bite. Il se retira avant d'éjaculer et partit en courant aux toilettes où il y avait ses affaires et revint avec deux préservatifs. Deux. Il continua donc à me limer le cul de puceau de plus en plus fort et vite.
Il poussa des râles de plaisir intenses. Une fois qu'il avait éjaculé, il me regarda dans les yeux."On va maintenant savoir si tu es un grand bonhomme ou juste une salope qui aime se faire défoncer."La situation oblige, son vocabulaire ne m'a pas choqué. Je déroule donc la capote le long de mon engin et, pour le provoquer, le pénètre d'un coup.
Ses cris de douleurs et de plaisir me faisait l'effet de 153 orgasmes d'un coup, je niquais mon prof de sport, le seul que je m'imaginais quand je me branlais. Il choisit de me finir en me suçant comme une bête jusqu'à l'orgasme. Orgasme qui dura des centaines d'heures à mes yeux, c'était de la magie. Maintenant, j'oublie tout le temps mon sac de sport aux vestiaires. Je l'oublie même parfois chez lui. Ou dans sa voiture.
EliottPrat