L'usine
19 ans , premier emploi comme mécano dans une usine
comme tous les nouveaux, deux anciens furent mes parrains.
karim , 32 ans , trapu , algérien et robert , 28 ans.
moi , jeune puceau , venant de ma campagne , j'étais sur le cul de voir tous ces mecs , après le travail , se retrouver à poil dans les vestiares et les douches communes.
le 1er jour , dans les vestiaires, karim me donna un bleu de travail et une paire de chaussure sécurité.
pour ce premier jour , j'avais mis un beau caleçon dim blanc moulant.
karim , se changeant à coté de moi , éclata de rire et me dit :
- tu vas va bousillé ton dim ici , mets plutôt ça !
il avait enlevé son bas de survet , il avait des cuisses musclées et très poilues et un caleçon.
il enleva son caleçon et se mis a genoux devant son vestiaire.
il avait un cul noir de poils et de belles boules qui pendaient entre ses jambes.
-tiens ,mets ça , ça craint rien !
il me tendit un slip kangourou d'un blanc douteux et en pris pour lui.
je baissais mon dim , me mis de coté et enfilé le slip.
je ne voulais pas qu'il voit mon sexe et il ne voyait que mes fesse.
-ben dit donc , t'ai pas poilu toi !
- heu , non , dis-je en passant le slip , trop grand pour moi, j'avais les boules qui sortaient.
celà fit rire karim, qui sans gène , enfila son slip kangourou.
mon dieu sa bite ! au mileu d'une grosse touffe de poil sortait un manche décalotté d'une dizaine de centimètres au repos entre deux grosses boules poilues.
tu vois, me dit il , avec la poche du slip , tu peux remettre ton zob comme tu veux, et le voilà , la main dans le slip, en train de se toucher le zob.
-attend , je vais te montrer !
sans gène , il glisse sa grosse main poilu dans mon slip et change ma bite de place et me remonte les couilles.
-tu vois , c'est mieux comme celà , tiens essaye avec moi !
il est toujours souriant , nu , poilu de partout , avec juste son kangourou.
je glisse ma main , et là , je sens sa bite poilue douce comme du velours, je la prends bien avec ma main , et la change de place et je descends , lui chope ses roustons poilus gros comme des oeufs et les remontent en les serrant .
- fais gaffe , c'est fragile ces choses là ! me dis il en rigolant
-allez , magne toi on va être en retard.
on mit notre bleu de travail et partimes à l'atelier
bientôt la suite
kamel
yass.kamel@laposte.net