Tout à commencé le soir où j'ai fêté mes 18 ans.
La soirée battait son plein, mes amis étaient pour la plupart bien éveillé par l'alcool. Tom, mon meilleur ami (on se connait depuis notre enfance) était entouré de deux jolies filles un peu écervelées, comme à son habitude. Vers la fin de la soirée, je décidais de sortir prendre un peu l'air frais.
Là à l'extérieur, Tom était était assis avec ses deux blondasses que je ne connaissais pas.
Je décidais de passer mon chemin et de ne pas aller les voir mais l'une d'elle d'une voie d'ivrogne grogna : " et, toi tu viens ! ".
Tom le va la tête son envisage en disait long... Il avait but plus de raisonnable.
viens c'est ton anniv', dit-il.
Ouais, il a raison....
j'arrive
Contre toute attente les deux filles se mirent à hurler joyeux anniversaire. Puis, martelèrent le bisous, le bisous...
Je fis donc la bise à tous.
Non pas comme ça sur la bouche, lança l'une d'elle.
Quoi !!!
Ben ouais, c'est pas tous les jours c'est 18 ans.
Bref, pour passer les détail et en finir vite à avec ces deux filles je m'exécuta. La bise sur la bouche au deux filles. Puis, je me retourna prêt à partir. Je senti un main me saisir le poignet. C'était Tom.
Et moi tu m'as oublié.
Sans réponse de ma part, il se leva me prit par la taille me serra contre lui et m'embrassa.
Gêné, je me désengagea et parti.
La soirée suivi son cours, les jours passèrent sans que ni lui ni moi ne parlions de cette soirée.
Trois mois plus tard, le mois de juin et son temps chaud décida notre petite troupe à partir en camping sur la côte landaise pour trois semaines.
Tom, John (le meilleur de Tom), Max et moi même, passions des journées agréables entre ballades, plage, soirée et diverses activités.
Je partageais la tente avec Tom, Max et John se partageant l'autre.
Un après-midi où le temps était plutôt chaud. Je décidais de finir mon livre m'allongeant dans la tante bien au frais sous les arbres. Tom passa sa tête par l'ouverture et me demanda de les rejoindre car ils voulaient faire une ballade dans la pinède. Pas très motive je déclina l'invitation. Tom entra sur mon refus dans la tente. Du long de ses 1m80, il se faufila dans la tente, se plaça au dessus de moi. Je sentais son corps sur le mien. Il ne portait que son slip de bain bleu azur. Mon corps commença à frémir.
Depuis, toujours Tom me plaît j'éprouve un attirance pour lui. J'ai passé la moitié des vacances à phantasmer sur lui : 1M85, 80 kg de muscles, corps fuselé et moulé dans son slip de bain azur. Sa peau bronzé, ses cheveux noir et ses bleus qui peut résister ? Mais il aime les filles et il a toujours était entouré de belles créatures.
Tom me retira le livre des mains me retourna, s'appuya sur mon corps. Je respirais son air, je sentais son corps chaud et musclé. Je résistais, mais mon corps prenait le dessus je sentais mon sexe se durcir et étant moi aussi vêtu d'un slip de bain, Tom allait forcément le sentir.
Tom me pris le visage entre ses mains puis m'embrassa sans rien dire, je savourais. Son corps se frotta au mien. Il exécuta des vas-et-vient. Je sentais son sexe se durcir et ses mains se faire insistante sur mon corps. Il se releva, me retira mon slip de bain. Sans réactions, je me laissais faire. Il m'écarta les jambes, retira son slip. Il se colla sur mon corps je sentais son sexe contre mon anus. Une sensation étrange m'envahit des frissons me traversant de part en part.De sa main droite, il prit son sac à dos posé sur le côté de son matelas gonflable. Il en retira un préso. Il se releva, déchira l'emballage de ses dents. Mit la protection sur son sexe et me repositionna. Il présenta son gland à l'entré de mon anus me pénétra doucement. Centimètre par centimètre, je sentit son sexe me pénétrer. Une légère douleurs se fit sentir. Puis, une fois en place il ne bougea plus. Il m'embrassa puis me dit " j'attendais ce moment depuis longtemps ". Il me serra dans ses bras puis commença des vas et vient.
Je sentais du plaisir à chaque coup, sa respiration se faisait sentir de plus en plus. Ses mains, sa langue me parcourait le corps. Puis discrètement, il me lâcha à l'oreille, "j'en peux plus je vais jouir". Sa respiration se coupa, son corps trembla et fut pris de spasmes. Il se retira, enleva le préso le mit sur le côté s'allongea sur moi. Et s'endormit.
Je n'avais pas jouit, je ressentais toujours du désir tout en ne comprenant pas vraiment pourquoi mon meilleur ami venait de me dépuceler.
hice