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Un déménagement épuisant

Mon déménagement touchait enfin à sa fin.  Passe encore pour les muscles endoloris à force de porter les caisses et les meubles à travers toute la maison, mais j'avais envie que ça se termine, d'être enfin chez moi.

On n'était que 4 à faire le déménagement, mais c'était mieux que tout seul, après tout.  Il y avait moi, Fred, 27 ans, mec normal, mignon, brun aux yeux gris, ni gros ni mince.  Il y avait aussi Alex, mon ex avec qui la rupture s'était bien passée, raison de mon déménagement, d'ailleurs.  Cindy, une amie à nous, qui m'avait proposé gentiment un coup de main, et Michaël, son copain, un mec gentil et assez taciturne que tout le monde appelait Mickey, que je n'avais vu que deux ou trois fois, mais avec qui j'avais jamais vraiment parlé.  Grand, blond comme les blés, musculature sèche à cause de son boulot (il est maçon), pas vraiment mon genre, il ressemblait aux caricatures des paysans du sud des états-unis, avec ce côté un peu lent.

Mais bon, ils m'aidaient, c'était plutôt gentil.  La journée avait passé en un claquement de doigts, et je n'avais plus la force de soulever ou ranger quoi que ce soit.  Le salon ressemblait à un champ de bataille, la salle-à-manger n'était qu'un ramassis de boîtes en tous genres, et dans la chambre, les planches du lit s'étalaient en quinconce sur le sol...

"Putain de lit de merde".  Voilà à peu près la seule chose qui me venait à l'esprit, puisque je n'avais aucune envie de passer ma première nuit sur le matelas simplement posé sur le sol.  Mais je n'avais pas envie de penser à ça maintenant, il fallait d'abord que je mange, et que je nourrisse les troupes.  Affalés à 4 tant bien que mal dans le canapé perdu au milieu du salon, les pizzas qu'on venait de nous livrer faisaient leur office.  Tout le monde était crevé, et j'étais en train de leur expliquer à quel point j'étais content qu'ils m'aient donné ce coup de main providentiel.

Le téléphone de Cindy se met soudain à sonner, elle prend l'appel et s'éloigne un peu.  Elle revient, l'air un peu embarassé...

"Mes parents ont besoin que je rentre, demain c'est moi qui doit les conduire à l'aéroport à 6h30, il faut que j'y aille.  Mickey tu veux dormir chez moi où tu veux que je te dépose ?"

Silence de l'intéressé, qui prenait toujours un temps assez long avant de répondre à une question, comme si l'avenir du monde se jouait.

"Bah, je suis fatigué, demain j'ai congé, j'ai pas envie de me lever aussi tôt.  Je vais rentrer, mais ça va faire un grand détour pour toi"

En bon hôte que je suis, je lui dis que je peux le ramener s'il le souhaite, si éventuellement il pouvait accepter de m'aider à monter mon lit, que je ne couche pas sur le plancher...

Il a bien gentiment accepté, a passé un petit moment avec sa copine en la ramenant à sa voiture, et dans la foulée mon ex est reparti aussi, travaillant le lendemain.  J'étais donc seul dans mon nouveau chez moi, content de pouvoir souffler deux minutes.

Bruit de sonnette, Mickey était de retour.  Je le remercie d'être resté pour m'aider, et il me propose de s'attaquer immédiatement au lit tant qu'il nous reste un semblant d'énergie.  On s'installe sur la moquette, suivant scrupuleusement le plan de montage, chacun dans un silence qui n'avait rien d'embarrassant.

"Tu es reposant, les gens ont toujours besoin de parler, tout le temps, de remplir le vide, avec des conversations qui n'ont aucun sens.  Moi j'aime bien le silence, j'ai pas de problème avec ça".

J'étais assez surpris de cette intervention assez profonde, l'habit ne fait pas le moine, mais je l'avais un peu malgré moi catalogué dans la catégorie "paysan un peu lent"...  Je lui expliquai que j'avais toujours été solitaire, depuis que j'étais tout petit.  J'aime les gens, mais ils me font un peu peur, quelque part.  Il y a toujours un moment où ils finissent par me décevoir, parce qu'ils finissent toujours par vouloir quelque chose, alors que j'ai tendance à donner sans compter.

Bref, on commençait à se sentir à l'aise l'un avec l'autre, alors qu'on n'avait jamais eu l'occasion de passer du temps ensemble.  Je commençais un peu incosciemment à regarder de plus en plus dans sa direction.  Je n'avais jamais vraiment pensé à le regarder, et c'était comme si je le découvrais pour la première fois.  J'avais beau ne pas aimer les blonds, il avait une blondeur candide.  Très blond, avec une coupe de cheveux négligée qui donnait ce petit côté espiègle qui n'était pas dénué de charme...  Des yeux bleux, très lumineux, qui pour le moment étaient concentrés sur le plan.  Une bouche aux lèvres très épaisses, et une peau très pâle.  Il aurait pu passer pour un scandinave.

Son torse était assez puissant, on devinait la carrure sous son t-shirt, on pouvait voir se dessiner sa musculature dessinée à force de travail.  Il était à genoux, les yeux rivés sur le plan, ce qui me donnait tout loisir pour détailler le galbe de ses fesses, qui formaient ce qu'il faut bien appeler un foutrement beau cul...

"Mon jeans est trop serré ?"  Je sors de ma torpeur, et je le vois qui me regarde d'un air très neutre, presque interrogatif, toujours avec ce sérieux affiché qui donne l'impression que chaque question est le fruit d'une mûre réflexion.  J'ai commencé à rougir, parce que je me rendais compte qu'il m'avait vu contempler allègrement son cul.

"heu...  Non, sorry, j'étais un peu ailleurs, je pensais à Alex, enfin tu vois, je regardais rien en particulier, voilà quoi...".  Confus et pas du tout convaincant, mais l'explication avait l'air de le satisfaire.

"Vous avez passé combien de temps ensemble ?  Vous vous êtes séparés en bon termes apparemment, mais qu'est-ce qu'il s'est passé ?  C'est peut-être indiscret de te demander ?".

Je m'empressai de le rassurer, je n'y voyais aucune indiscrétion.  Je me mis donc à lui expliquer que nous étions ensemble depuis près de 10 ans quand on s'est rendus compte que nos attentes respectives avaient changé, et étaient devenues incompatibles.  J'aspirais au calme, à une sorte d'accomplissement personnel, j'aimais le calme, mon travail, passer des soirées au calme à lire, ou à regarder un bon film, alors que lui avait plutôt tendance à vivre sur le tard une jeunesse qu'il n'avait pas vraiment vécue, souhaitant sortir, découvrir, vivre, flirter...

"Ha vous étiez comme Cindy et moi, décalés.  Elle veut toujours sortir, voir des gens, moi ça me gonfle.  Parfois j'ai juste envie de ne rien faire, et elle vient toujours réclamer quelque chose, aller boire un verre, aller voir des amis, ou elle veut faire l'amour".

J'avais aucun de problèmes à parler de cul avec des amis proches, mais là je ne savais juste pas quoi répondre.  J'aurais pu laisser passer la remarque comme si de rien n'était, mais une intuition venu de nulle part m'a poussé à répondre.

"Ha non, c'était plutôt le problème inverse avec Alex.  J'aurais aimé qu'il veuille faire l'amour plus souvent, même si il donne l'impression d'être cool et libéré, côté libido c'était moi le gourmand".  Evidemment, au moment où j'ai répondu, je n'ai pas pu m'empêcher de rougir.  Parler de ça avec un presque inconnu, c'était quand même pas dans mes habitudes.  Surtout que le presque inconnu en question donnait l'impression de beaucoup réfléchir avant de parler, du coup je me sentais comme une de ces péronnelles qui parlent avant de réfléchir.

Dieu merci le montage du lit venait clôturer cette conversation, il fallait soulever, visser, poser, resserrer, bref ça nous occupait bien l'esprit.  Le lit était enfin monté, on passe donc au salon.  Je lui propose de boire une bière pour nous détendre, il accepte, et je reviens donc avec deux canettes.  Du grand format, un demi-litre.  Il engloutit la sienne en moins de 30 secondes, apparemment il avait soif ! Je me mis à rigoler.

"J'ai pas intérêt à faire comme toi, sinon je vais être bourré pour te ramener".  Il rit à son tour, et me demande si ça ne va pas me faire bizarre d'être ici sans télé, sans ordinateur (internet ne serait branché que deux jours plus tard)...

"Ho tu sais, la solitude ça me va, j'ai mes bouquins, et puis j'ai quelques films sur mon ordinateur portable".

"Tu aimes quoi comme genre de films ?"  La question qui soulève toujours des grandes conversations, et donc on a finalement débattu pendant près d'une heure sur le type de films que nous aimions.  Pendant ce temps-là, on continuait à siroter nos bières, sans doute plus que de raison.  Il terminait sa troisième, moi ma deuxième, et je commençais à me sentir la tête agréablement légère, dans cet état où on sent qu'on peut conquérir le monde, et où les inhibitions tombent...

"Mickey, je peux te poser une question ?"

L'intéressé avait l'oeil un peu vitreux, son litre et demi de bière ingurgités à la vitesse grand v commençait à faire son effet... "mmmhhh ?"

"T'es un mec, tu bosses dans un domaine très masculin, c'est marrant que tu trouves que ta copine te sollicite trop sexuellement.  Normalement un mec hétéro recherche plutôt ça, non ?"

Même pas honte.  La bière avait eu raison de mes inhibitions, et à ce stade-là je pouvais allègrement parler de cul, j'en retirais aucune honte.  Au contraire, je me surprenais à me demander comment il était à poil, et s'il avait une grosse queue...

"Oui c'est vrai, et j'ai rien contre le sexe, au contraire.  Mais elle est pas douée.  Surtout tu lui répètes pas ça, mais au lit elle est catastrophique."

Je pars dans un grand éclat de rire, très vite réprimé.  Il ne fallait rien y voir de mal, mais je connaissais Cindy depuis des années, et j'étais pas du tout étonné.  Elle avait 23 ans, et même si elle était gentille comme pas permis, elle n'avait pas inventé l'eau chaude, et se comportait souvent en petit fille unique capricieuse.  Bref, la féminité, c'est pas vraiment ce qui la définissait le mieux.

"Ca m'étonne pas, elle est adorable mais un peu gamine par moment, elle me fait penser à ces chiots qui ont toujours envie de jouer, mais qui retombent sur le cul quand ils sautent".

Mickey se met à rire, en me disant que l'image était assez en adéquation avec le personnage.  La conversation commençait à prendre une tournure plus intime, comme deux bons potes qui parlent de cul.

"Elle suce mal.  On dirait qu'elle aspire une paille plongée dans un coca, ça fait mal, on sent ses dents, c'est vraiment pas agréable".

J'étais rouge comme une tomate.  Je m'attendais pas vraiment à une telle franchise.  Mais bon, la bière m'était montée à la tête, et je me disais que dans le fond, parler de cul c'était un sujet comme un autre.

"Arf ça craint ça, j'ai horreur de ça.  Alex aussi suçait trop fort, ça coupe tout le plaisir.  Après il était toujours étonné d'avoir envie de jouir après 5 minutes quand je le suçais, alors que quand lui le faisait j'en était incapable !"

Là d'un coup, je le vois me regarder avec des yeux ronds.  Je me disais que j'avais sans doute révélé un peu trop de mon intimité, mais après tout c'est lui qui avait commencé, merde !

"Il arrivait à jouir en se faisant sucer ?  Mais ça n'est pas possible, c'est que dans les films ça, et c'est préparé.  Faut se masturber pour jouir !"

J'étais atterré.  Il avait 25 ans, et pensait que l'orgasme ne venait qu'avec la masturbation.  Je ne savais pas si je devais être touché par tant de naïveté, ou si je devais m'exaspérer qu'on puisse encore penser des choses pareilles dans les années 2000.

"Mais bien sûr que c'est possible, il suffit de faire ça correctement, et ça passe tout seul".  J'avais du mal à ne pas exploser de rire.  Dieu merci, il m'a donné un répit.

"Ca va aller pour conduire ?  Parce que là on a quand même pas mal bu..."  J'étais un peu emmerdé de constater que j'avais sans doute un peu forcé la dose, et que du coup ça serait un peu délicat sur la route...

"ho t'en fais pas, j'irai très doucement, ça ira, et puis tu me serviras de copilote !"  Effectivement, un copilote qui avait bu encore plus que moi, c'était vraiment l'idée du siècle, bien joué Fred.

"Je peux squatter ton canapé ?  Il est grand, je tiens entier couché dessus, et comme ça au moins ça t'évitera d'avoir un accident.  Enfin si ça te dérange pas, bien sûr, je veux pas m'imposer".

Instantanément, j'ai eu l'image de ce mec allongé à moitié à poil dans mon canapé, et l'image ne m'a pas déplu.  En fait, j'ai même commencé à me sentir excité.  Après tout, qu'est-ce que ça pouvait bien faire, j'étais chez moi, je ne faisais rien de mal, et la soirée se passait bien !

"Ok, bien sûr, tu peux squatter le canapé autant que tu veux, t'es ici comme chez toi !"

Je commençais à bander, presque malgré moi.

"Super alors, on peut reprendre une autre bière en toute sécurité !"  J'avais plus du tout envie de boire, mais j'avais pas envie de mettre fin à l'état de grâce.  Donc j'allai chercher deux bières, et je m'abstins cependant de boire la mienne.

"Mickey, ça te dérange si je me mets à l'aise ?  On a passé la journée à déménager, et je me sens crado.  Je vais aller me prendre une douche en vitesse.  Si tu veux prendre une douche après, t'hésites pas, tu fais comme chez toi".  Une fois qu'il m'a assuré que ça ne le dérangeait pas, je me décidai à aller prendre ma douche.  C'était salvateur et simplement divin, l'eau effaçait la fatigue, et dissipais un peu les effets de l'alcool.  Je me sentais simplement relax, et c'était une sensation incroyable.  En me savonnant la queue, celle-ci commençait à gonfler allègrement.  Bientôt, j'avais 19 centimètres qui palpitaient dans ma main, l'idée de savoir qu'à quelques mètres seulement Mickey savourait sa bière m'excitait beaucoup.  Je commençais à me demander comment il était à poil, si sa queue était grosse.  Je dûs me forcer à m'arrêter, parce que j'avais commencé à me branler, et j'étais à deux doigts de balancer un torrent de foutre sur le carrelage de ma nouvelle salle-de-bain, et ça m'aurait vidé de mon énergie !

Je sortis donc de la douche, je m'essuyai prestement, et j'allai dans la chambre enfiler un t-shirt et un boxer.

"Ha putain, ça fait du bien !  Je me sens presque plus fatigué du coup !"  C'est vrai que je me sentais bien, mais je ne pouvais pas lui dire que c'est parce que j'avais commencé à me branler en pensant à sa queue.

"Je peux prendre une douche aussi ?  J'ai les muscles en compote !"  Evidemment je ne pouvais pas refuser, et je le laissai donc aller se doucher tranquillement.

"FREEEEEED"  Un grand cri qui sortait de la salle-de-bain qui vient me tirer de ma torpeur.  Je me dirigeai vers la salle-de-bain, stressé qu'il se soit cassé la gueule sous la douche.

"J'ai pas de serviette, comment je me sèche ?"  Et merde, c'était bien moi ça.  Je m'étais barré de la salle-de-bain avec l'unique serviette, et j'avais oublié de lui en apporter une.

"Ho merde, désolé !  Attends j'en apporte une".  Gros embarras.  J'attrape une serviette, mais la salle-de-bain est grande, et la douche est tout au bout de la pièce, je ne peux donc pas me contenter d'ouvrir la porte et passer la serviette par l'entrebaîllement.

J'ouvre la porte, et j'avance presque en crabe, la tête tournée, serviette tendue.  Je l'entends rire.

"Hé c'est bon, t'es un mec aussi, pas besoin de jouer la pudeur".  Me sentant un peu ridicule, je lui apportai donc la serviette très naturellement.  J'évitai de baisser les yeux, de sorte que mon regard restait braqué sur sa tête.  Je regrettais de ne pas avoir ce courage indécent, juste baisser les yeux et voir sa queue, mais j'étais comme paralysé.  Il attrape la serviette et l'enroule autour de lui.

"La ventilation est géniale dans ta salle-de-bain, chez moi quand on sort de la douche, on dirait qu'on se trimballe dans le brouillard !".  Là j'étais un peu coincé, je pouvais pas m'enfuir de la salle-de-bain, mais j'avais du mal à converser tout naturellement avec un mec à poil en train de se sécher...  Mais la bière embrumait encore un peu mon esprit, et je décidai que merde, finalement, c'est lui qui me causait après tout.

"Ouais ça change de mon ancien appartement aussi, c'était tout petit, et il fallait que je laisse la porte ouverte pour ne pas être étouffé par la vapeur".  Mes yeux détaillaient ma nouvelle salle-de-bain, après tout je venais seulement d'arriver.  En tournant la tête, je le voyais penché, en train de se sécher les pieds.  A la dérobée, je pouvais voir la moitié de sa queue qui pendait entre ses jambes, un fameux morceau, à moitié décalotté, et probablement un peu gonflé à cause de la douche chaude.  J'en étais encore dans ma contemplation quand je l'entendis me dire en rigolant :

"Qu'est-ce qu'il y a, elle est trop petite ?"  Bordel, j'avais de nouveau été d'une discrétion sans faille...  Après lui avoir maté le cul en montant le lit, voilà que je gardais les yeux rivés sur sa bite.  Lui ça l'amusait...  Il se redressait, et empoignait sa bite en la secouant, tout en rigolant.

"Elle est pourtant pas si petite hein".  Je devais avoir la couleur d'une fraise bien mûre, et j'arrivais même pas à détacher mes yeux.  Je bredouillais littéralement.

"Non, mais non, je matais pas, mais je suis pas vraiment hyper cavaleur, je vois jamais de queue, du coup je suppose que j'étais curieux, mais non petite certainement pas, elle est même très grosse".  Ridicule.  J'étais en train de m'enfoncer, je ressemblais à une vierge qui vient de voir le loup pour la première fois.

"hé c'est bon, c'est qu'une queue, faut pas être mal à l'aise hein.  Après les chantiers on se douche tous quand on le peut, je suis pas pudique".  Effectivement, il sortait de la douche, sec, et sortait de la pièce à poil le plus naturellement possible.  La démarche n'était pas très assurée, on sentait bien qu'il avait quelques bières dans le tonneau.

Ne sachant pas quoi faire, je sortis de la pièce aussi.  Et il commença à se diriger vers la chambre.  Evidemment, comme un con j'avais pas pensé qu'il avait pas envie de refoutre ses vieilles fringues.  Décidément, comme hôte je manquais à tous mes devoirs.

"Je vais te filer un boxer, attends".  Arrivé dans la chambre, il se jeta sur le lit, allongé allègrement, jambes à moitié écartée, la queue à moitié en érection.  J'étais estomaqué, je le voyais en entier, son torse ferme, sa queue bien lisse, appétissante, son gland qui commençait à se dévoiler pendant que sa queue grossissait encore, ses couilles bien lourdes...  Je commençais à bander immédiatement, et ça se voyait sous mon boxer.

"On s'en fout du boxer, si tu me montrais plutôt comment tu arrives à faire jouir un mec en le suçant ?"  J'avais le souffle court, je commençais à ne plus avoir les idées claires, j'avais l'impression d'avoir été transposé dans une sorte de monde de fantasme.  J'avais la queue comme un manche de pelle, elle palpitait, je pouvais deviner que je commençais déjà à relâcher une bonne quantité de precum...

J'arrêtai de réfléchir.  A 4 pattes sur le lit, j'étais devenu une furie.  Je m'approchais de sa queue, que j'empoignai fermement.  Elle était dure, douce, et j'approchai ma bouche.  D'un coup ma bouche vint se refermer sur son gland.  il était chaud, sentait bon le savon, mes lèvres s'amusaient à pousser son prépuce, pour bien dégager son gland.  Ma langue jouait avec la couronne, titillant chaque côté de sa bite.  Je la sentais se tendre, devenir encore plus dure.

"Ho putain, j'ai jamais connu ça !"  Il commençait à gémir, à donner des petits coups de rein.  Je m'amusais à enfoncer lentement sa queue dans ma bouche, centimètre par centimètre, pendant que ma langue jouait le long de sa hampe.  Ma main droite vient enserrer ses couilles, les caressant de la paume de la main.  Mon autre main me vira mon boxer d'un coup, pour que je puisse empoigner ma queue.  J'avais raison, mon gland dégoulinait littéralement, je me branlais dans ma mouille.

Je m'installai plus confortablement.  Il était allongé sur le dos, j'étais allongé perpendiculairement à lui, sa queue profondément enfoncée dans ma gorge.  Mes mains soupesaient ses couilles, elles était bien lourdes, pendantes, pleines.  Tout en le suçant, je m'amusais à le regarder.  Je voyais ses couilles agitées de soubresauts, au gré de mes coups de langue.  Je voyais la naissance de son cul, ses fesses légèrement entrouvertes.  Je sortis sa queue de ma bouche, et je commençai à gober ses couilles.  Ma langue jouaient sur ses burnes, ma bouche les gobaient, une par une, pendant que ma main pressait sa queue, le branlant très très lentement, pour faire monter son jus avec lenteur.  Tout en lui léchant les couilles, je pouvais maintenant admirer son trou.  Il était naturellement imberbe, un joli petit oeilleton rose, qui palpitait quand mon pouce venait se perdre sur son frein, ou la paume de ma main sur son gland.

Je m'enhardis.  Ma langue s'égarait sur le périné, le titillait.  Je m'approchais de ce trou, mais je reculais toujours, pour ne pas l'effrayer.  Inconsciemment son bassin venait à la rencontre de ma langue, chaque mouvement rapprochant son cul de ma bouche.  Je le léchais maintenant à pleine bouche, à deux centimètres de son intimité jamais visitée...

Je jouai le tout pour le tout.  Sans crier gare, ma bouche vient entourer sa rondelle, ma langue vint se planter sur son trou bouillant.

"Que..."  Un cri de surprise, qui finit en gémissement à mesure que ses jambes s'écartèrent.  J'étais en train de lui dévorer le cul, ma langue parcourait sa raie, se pressait dans le trouve qui finissait par s'entrouvrir, je roulais littéralement une pelle à son cul !

"Ha putain c'est bon, vas-y mange-moi, lèche moi bien".  Apparemment, la caresse prodiguée ne l'indifférait pas.  Il était à la fête, et moi aussi.  Ma langue faisait son oeuvre, ma main continuant à le branler.  Je sentais des torrents de liquide séminal couler sur ma main, ce qui rendait la manoeuvre encore plus facile, je le branlais dans son liquide, ma main glissait aisément.  Je ne voulais pas qu'il jouisse trop vite.  Je ralentis la cadence, et je remontais vers sa queue, ses couilles, à petits coups de langues.  En me déplaçant, je finis par me retrouver à genoux entre ses jambes.  Je tins fermement ses jambes, l'ouvrant comme un livre.  Ma langue s'enfonçait dans son cul, qui commençait à palpiter de plus en plus.  Je commençais à caresser son anus, doucement, légèrement, mon doigt parcourait son trou en douceur, pendant que ma bouche venait se refermer sur sa queue.  Je le suçais de haut en bas, gobant entièrement sa grosse queue, savourant chaque goutte de son liquide doux comme du miel.

Ma bouche faisait des vas et viens, passant de sa queue à ses couilles, redescendant vers son cul.  Il s'agitait de plus en plus, frémissant, sa main venait caresser son torse, jouer avec ses tétons, comme s'il n'avait même pas conscience de ce qu'il faisait.  Je me redressai pour reprendre un peu mon souffle, ma main toujours serrée autour de sa bite.  Il appuya ses jambes sur mes épaules, levant légèrement le bassin pour que ma main accélère son mouvement.  J'en profitai allègrement, je le branlais d'une main, de l'autre je venais carresser son antre chaud et humide.  Il aimait ça, je sentais sa rondelle brûlante. J'arrêtais de le branler, ne voulant pas que son orgasme arrive trop tôt.

Toujours à l'ouvrage sur sa pastille, mon autre main commençait à le caresser.  Son ventre ferme, la forêt de poil tondus au-dessus de sa queue...  Ma main remontait vers sa cuisse, avec une pression ferme.  Je caressais le mollet, descendant vers le pied.  Ma paume s'appliquait maintenant sur le talon, la plante des pieds, il avait une peau incroyablement douce.  Mes doigts venaient se perdre entre ses orteils, massant, caressant, s'imiscant.  J'attrapai son pied, et je commençai à gober ses orteils, un par un, glissant ma langue entre ses orteils.  L'odeur du savon, le goût fruité, c'était un pur bonheur.

Il était offert, jambes écartées, son cul caressé par ma main, ma langue faisant un sort à son pied.  Il a commencé à se branler furieusement.

Je me déchaînais.  J'avais son pied en bouche, et ma langue s'enroulait autour de ses orteils.  De ma main, je caressais ses couilles, redescendais vers son cul, qui palpitait de plus en plus pendant qu'il se branlait.

Le moment approchait.  Sa masturbation se faisait plus rapide, son visage se convulsait, il était rouge comme une pivoine.  Tout en continuant à lui lécher le pied, ce qui vu le mouvement des ses orteils dans ma bouche lui plaisait au plus haut point, je décidai de lui offrir l'orgasme de sa vie.

Mon index vint se placer devant son trou, et je commençai à pousser, lentement.  Mon doigt entrait comme dans du beurre, son intérieur était humide et d'une chaleur incroyable.  Je pressai mon doigt contre sa prostate, sentant cette petite protubérance qui grossissait, et grossissait encore.

J'appuyais, je massais.  Mon doigt s'activa dans son cul, et je sentis dans ma bouche ses orteils se contracter.  Son corps s'est tendu, et dans un râle énorme, j'ai senti ton trou se contracte autour de mon doigt à un rythme infernal.  Sa queue était énorme, son gland rouge et distendu, et un énorme jet de sperme jaillit de sa bite, venant s'étaler sur son visage et dans ses cheveux.

5 longs jets crèmeux vinrent arroser son torse et sa forêt de poils pubiens, un jus bien blanc et bien épais.  Je voulus sortir mon doigt de son cul, mais il se contracta, halètant.

"Non, continue à me caresser l'intérieur, branle-toi, jouis sur moi !".  Je me plaçai devant lui, et tout en continuant à lui masser délicatement la prostate, j'empoignai ma queue, dégoulinante de liquide, et je me branlai.

Il n'aura fallu que 5 secondes, et à mon tour je crachai une quantité effarante de foutre sur son torse, son menton, sa queue...  Mon jus glissait le long de ses couilles, venaient couler sur son trou.

Je m'allongeai à côté de lui, épuisé.

Je perdis le contact avec la réalité, je me suis endormi comme ça.

Le lendemain matin, j'ai été réveillé par l'odeur du café.  Mickey est rentré dans la chambre, avec une tasse pour moi.  Ca sentait divinement bon.  Son sourire était ravageur, il était simplement vêtu d'un boxer, il s'assied à côté de moi dans le lit, pour me présenter ma tasse.

"Désolé, j'ai préféré te laisser dormir, tu étais crevé".  Il s'est penché sur moi, et malgré mon haleine du matin, m'a roulé une pelle magistrale.

"J'ai aimé hier.  Vraiment aimé.  On remettra ça quand tu veux".

Et effectivement, on a remis ça.  Mais ça, c'est une autre histoire !

Freditane

videurdeburnes@hotmail.Fr

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