beau-père macho et vicieux
Je m'appelle Mathieu, j'ai 20 ans, je suis étudiant et j'habite encore chez ma mère. La cohabitation se passe plutot bien avec elle mais c'est plus compliqué avec mon beau père, Marc. Il est plus jeune qu'elle, il a 35 ans, il est très beau mais c'est un vrai macho. Il veut montrer tout le temps que c'est lui le boss dans la maison, il ne participe à aucune tâche ménagère, il rentre du boulot, met les deux pieds sous la table et se fait servir. Je sais qu'il me méprise du fait que je n'aime pas le foot et tout les trucs de mec qui l'intéresse, du coup nos échange sont très limités. Le soir, dans mon lit, je l'entend baiser ma mère et j'avoue que ça m'excite. Le lit grince assez fort, ma mère se retient de gémir mais lui il ne se retient pas et gémit comme un boeuf, parfois il l'insulte, lui met des petites claques, j'entend même le bruit de ses couilles qui tapent quand il culbute assez fort au moment de jouir. Je m'astique souvent dans mon lit en écoutant leurs ébats sexuels dans la pièce d'à côté.
J'avais aussi pris pour habitude d'aller dans leur chambre en journée quand il s'absentaient. Je fouillais dans le linge sale, j'enfilais un calebut de Marc et en prenais un autre que je sniffais en m'allongeant sur leur lit. J'adorais sentir ses caleçons et imaginer sa bite qui avait durcis et mouillé dedans pendant sa journée au travail et au sport. Marc allait à la salle de muscu presque tous les jours, et il exhibait fièrement sa musculature au petit déjeuner devant moi. Il ne me calculait jamais mais j'observais régulièrement du coin de l'oeil son torse musclé et légèrement poilu, parfois j'apercevais même sa bite quand il s'affalait dans le canapé et qu'il se grattait les couilles devant un match.
Un jour, alors que je me branlais sur leur lit, vêtu d'un des caleçon et l'autre sous mon nez, Marc est entré dans la chambre brusquement et m'a surpris la main au paquet.
- Qu'est-ce que tu fous? me dit-il stupéfait
- Je... euh...
- Tu étais en train de te branler???
- Non.. je...
- Qu'est ce que tu fous avec mon calebut?
Je m'avance précipitamment vers la porte mais Marc me retient par le bras.
- T'es pédé c'est ça?
- Non, c'est pas ça t'inquiète.
- Alors c'est quoi? ça t'excite de porter mes calebuts sale pédale, dis le!
J'essaye de sortir de la pièce mais Marc me serre le bras très fort.
- Tu sortiras pas d'ici tant que tu auras pas retiré mon calebut et que tu m'auras pas dis la vérité.
J'enlève le caleçon devant lui et me retrouve nu, la queue au repos, humilié.
- Je suis pédé mais dis rien à ma mère s'il te plait.
Marc me crache un énorme mollard à la gueule et lâche mon bras.
- Casse toi, tu me dégoûtes.
Je sors de leur chambre et m'enferme dans la mienne.
Je suis resté enfermé dans ma chambre une heure, paniqué à l'idée que Marc dise qu'il m'avait surpris dans leur chambre puis ma mère m'a appelé pour que je vienne manger.
Je me suis assis à table et pour la première fois je sentais que Marc me regardait pendant le repas. Il ne disait rien mais j'ai croisé plusieurs fois son regard supérieur et méprisant.
Tout de suite après le repas je suis monté dans ma chambre en prétextant que j'étais fatigué. Marc et ma mère sont allés se coucher deux heures plus tard et je les ai entendu baiser. Je n'ai pas réussi à me branler ce soir là car j'étais trop préoccupé et je n'arrivais pas à trouver sommeil. Une heure plus tard la porte de ma chambre s'ouvre lentement accompagné d'un léger grincement. Je sursaute et me précipite pour allumer la lumière. Marc est debout dans ma chambre, vêtu d'un simple boxer, il me fait signe de me taire. Mon coeur bat à cent à l'heure: qu'est-ce qu'il fait dans ma chambre au milieu de la nuit? Marc s'approche de moi et me murmure dans l'oreille.
- Finalement j'ai réfléchi à ton cas sale pédé. Si tu veux pas que je dise tout à ta mère tu vas devoir me rendre service.
- Qu'est-ce que tu veux? dit-je faiblement
Marc met sa main sur mon visage, fait glisser son gros pouce sur ma lèvre et l'enfonce dans ma bouche en faisant des vas et viens.
- J'ai baisé ta mère mais j'ai encore les couilles pleines donc tu vas me montrer si tu suces mieux que cette pute.
C'est la première fois qu'il insulte ma mère devant moi mais je ne suis pas surpris. Marc approche son caleçon de mon visage et m'écrase la tronche dessus.
- Toi qui aimes sniffer mes calebuts ça va te plaire, ça sent bien la bite là, j'ai transpiré comme un salaud en baisant ta mère.
Je sens effectivement la forte odeur de sa bite que je reconnais mais qui est beaucoup plus forte que lorsque je me branlais sur leur lit.
- J'ai pas nettoyé ma bite après l'avoir baisé donc tu vas pouvoir lécher mes restes de sperme.
Marc sort sa bite, fait glisser son gland sur mes lèvres que je garde fermées et enfonce sa queue doucement dans ma bouche en forçant. Je sens effectivement les restes de son jus sur ma langue. Marc appuie derrière ma tête et enfonce sa bite en entier qui durcit dans ma bouche et m'étrangle. Je sens a présent ses couilles contre mon menton et sa grosse touffe de poils pubiens contre mes lèvres. Marc reste plusieurs secondes au fond de ma gorge sans bouger le temps que sa queue se raidisse entièrement. Il sort ensuite sa bite qui fait à présent une vingtaine de centimètre et qui est recouverte d'un gros filet de bave.
- Pas mal grosse chienne, bon aller ouvre bien la bouche et met pas les dents sinon je te cogne.
Marc allonge son bassin sur mon visage, je sens ses cuisses qui m'écrasent l'épaule et il garde ses mains sous ma tête pour bien la tenir droite pendant qu'il pénètre ma bouche. Je sens à présent sa bite épaisse faire des vas et viens. Marc respire assez fort et accélère le rythme. Il baise ma bouche comme si c'était une chatte, sans se préoccuper de savoir si j'arrive à respirer. Ses coups de bassin sont de plus en plus violents et ses couilles me fouettent le visage pendant que son gland me défonce la gorge.
- Han oué, putain je kiff ta bouche de grosse pute, c'est encore mieux que la chatte de ta salope de mère.
Je peine à respirer et laisse échapper des relents de bave entre deux coup de bite ce qui amuse beaucoup Marc.
- Hmmm, nickel, crache bien sur ma bite ça va glisser encore mieux.
Il accélère et bourrine comme un enfoiré pendant que je m'étrangle. J'essaye de me débattre mais il me tient très fermement le visage pour que j'encaisse. Je gesticule comme un fou sur le lit et marc me donne des coups de genoux dans le ventre.
- Arrête de bouger grosse pute, encaisse ma bite, je vais bientot gicler.
Je continue de me débattre pour respirer mais Marc ne s'arrête pas de limer ma gorge. Il donne des coups de reims d'une violence extrème et éjacule dans ma gorge. Son jus chaud et épais sort de son gland et dégouline dans ma gorge. il pousse un râle de plaisir en donnant ses derniers coups de bite et en lâchant ma tête. Je tourne la tête brusquement sur le côté et vomis son sperme sur mon matelas. Marc reste allongé sur ma tronche de tout son poids et respire fortement, visiblement fier de sa performance. Je reprend ma respiration comme je peux. Marc se redresse et me regarde, visiblement dégoûté.
- Tu pouvais pas avaler espèce de chienne? Je t'offre mon jus et toi tu le gâches!
Marc me décroche une violente baffe dans la gueule.
- Tu l'as pas volé celle là!
Marc me met sa bite sous le nez.
- Nettoie ma bite avant que je me casse.
Je sors la langue et nettoie son gland sans un mot. Marc se tient debout, les mains sur ses hanches, bombant fièrement le torse, il retire ensuite sa bite propre, remonte son calebut et sort de ma chambre sans un mot.
Je reste plusieurs heures sans dormir, la bite raide, à me remettre des mes émotions. Ce soir là, ma relation à évolué avec mon beau-père et ce n'est que le début...
queutard75