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LA 1ère FOIS AVEC LARRY (12)
CHASSE AUX OUEUFS
Aujourd'hui c'est Pâques, dimanche de Pâques. Il est 7h30, je suis paresseusement allongé dans notre lit, nu. D'habitude, à cette heure-là je dors encore le dimanche. Je suis un gros dormeur, et avec le " traitement " que je me prends jusqu'à tard dans la nuit (trop trop bon !!), je dors encore plus longtemps qu'en semaine.
Mais là, c'est pas pareil. C'est dimanche de Pâques. Et qui dit dimanche de Pâques, dit chasse aux oeufs dans la maison (pour moi), et dans le jardin (avec nos amis). Oui, je sais, ce n'est pas très sérieux à bientôt 27 ans, c'est carrément la lose même, mais j'y peux rien, j'adore ça !!! Et comme mon homme me passe pratiquement tous mes caprices, il m'organise chaque année une chasse dans notre maison. Et il prend un malin plaisir à me voir chercher dans chaque recoin, tout nu bien sûr, mon panier à la main.
Cette année, exceptionnellement, il en a organisé une dans notre jardin parce les enfants de deux de nos amis sont maintenant en âge d'y participer. Et comme dans notre groupe nous sommes les seuls à avoir une maison avec un grand jardin...
Je suis impatient, mais je ne peux pas encore sortir du lit. D'abord parce que je n'ai pas le droit de le faire seul, et ensuite parce que je n'ai pas encore eu mon biberon protéiné du matin. En attendant que mon homme remonte dans la chambre, je m'étire langoureusement et me passe une main sur le ventre et les fesses. Je n'ai plus aucune trace de sperme sur le corps. Je ferme les yeux en souriant : comme d'hab, Chris m'a nettoyé avec des lingettes pendant mon sommeil, avant de descendre à la cuisine.
Quand j'ouvre les yeux, mon amour est là, appuyé sur le chambranle de la porte. Et comme d'habitude, je suis époustouflé par la beauté de son corps musclé.
" Bonjour trésor. Bien dormi ? "
" huuummmm ! Oui... "
Il s'approche et me roule une pelle magistrale !
" Je suis sûre que tu meures de faim, et surtout de soif... " En disant ça, mon homme m'assoit dans le lit et enfourne direct sa grosse queue à moitié bandée dans ma bouche.
" Au biberon ma puce... huuummm... "
Je suis déjà en train de téter avidement, la bouche démesurément ouverte à cause de la grosseur hors norme de son manche. J'enroule ma langue autour du gland, titille le méat, suce le gland, serre mes lèvre autour de la hampe en faisant coulisser le tout dans ma bouche. C'est bon.
" huuummm... suce bien... ahhhhh... hhuuuummm... "
Chris m'attrape la tête et commence à me baiser la bouche, enfonçant sa queue de plus en plus profond dans la gorge.
" Tu veux ton lait ? "
La bouche pleine, je secoue la tête pour lui dire oui. Oh oui chéri, donne-moi ton bon lait. J'ai faim et soif, je me sens faible, donne-moi mes protéines.
" Tiens ! Régale toi..... aahhhhhhhhhhhh !!!!!! "
Avec bonheur, je sens ma bouche se remplir. Un bon lait chaud, épais, crémeux à souhait comme j'aime, légèrement sucré, que j'avale goulument, avec délectation. J'essaie de ne rien laisser échapper, pas la moindre petite goutte, parce que c'est trop bon, et aussi parce que Chris ne veut pas que je gaspille son précieux nectar. Après avoir tout avalé, je nettoie consciencieusement la queue de mon chéri, avant qu'il ne me roule une deuxième pelle bien profonde.
L'estomac bien rempli, Chris me prend dans ses bras pour me déposer sur les w.-c. de la salle de bain. Je mets un petit peu de temps avant de pisser parce que ma queue est dure comme du bois. Puis il me reprend dans ses bras pour m'emmener dans les toilettes séparées et fermées. Il me laisse seul, parce que ça c'est trop intime. Et après c'est le seul moment où je reviens seul, par mes propres moyens dans la chambre.
Après m'avoir lavé (tiens, il ne m'a pas baisé...), il me demande de me faire un lavement, et me laisse à nouveau seul (ça aussi c'est trop intime).
" Tu as fini ? Parce que je crois que les cloches sont passées... "
" Oui, c'est bon, viens me chercher ". Une dose de gel dans mon trou (on ne sait jamais), et je suis prêt.
En bas, je me sens redevenir un petit garçon, espiègle et impatient. Et là, les choses sérieuses commencent. Je cherche partout, poussant des cris de joies quand je trouve un oeuf, sous le regard amusé de mon cher et tendre mari. Les oeufs sont cachés derrière des bibelots, des livres, des lampes, il y en a même dans les appliques sur les murs, mais curieusement, il y en a beaucoup cachés à ras du sol, derrière des meubles. Ce qui bien sûr, m'oblige à me pencher, exposant mon cul et ma chatte au regard (de plus en plus brillant) de mon homme.
Moi bien sûr, en vrai salope, je me cambre au maximum chaque fois que je me penche pour chercher derrière un meuble. Excité par le regard lubrique que je sens posé sur moi, ma chatte s'ouvre malgré moi.
Sous prétexte de chercher sous le meuble de cuisine, je me mets à quatre pattes, les cuisses bien écartées, le cul relevé, cambré au maximum. Sachant mon homme derrière moi, j'ondule légèrement du cul, comme une vraie chienne en chaleur.
J'aperçois tout à coup un oeuf énorme (les gros oeufs Kinder) bien caché sous le meuble. J'ai la tête à ras du sol et le cul en l'air.
" J'en ai trouvé un au... Hhuuummmm !!!! "
Deux doigts humides viennent de forcer l'entrée de ma chatte et cherchent fébrilement ma prostate... qu'ils finissent par trouver, putain !! Ils la frottent, la titillent, appuient légèrement dessus. La sensation est si forte que j'ai l'impression de perdre pieds. Mais Chris retire ses doigts avant que je ne perde tout contrôle. Je sens un liquide froid couler sur ma rondelle, je n'ai pas le temps de me poser de questions, la queue de mon homme est déjà plantée en moi jusqu'à la garde.
"Huuummmmm... Ta chatte est brûlante ".
La tête à moitié sous le meuble, je subis un ramonage de ouf ! Ce que je n'ai pas eu au réveil, je le prends là dans la cuisine. Chaque coup de queue me pousse un peu plus sous ce fichu meuble, mais mon cul, solidement maintenu par mon homme, reste offert à portée de bite. Chris, à moitié accroupi derrière moi, me pilonne sans relâche. Dans cette position sa queue est profond dans mon ventre, elle me brule les entrailles et me les remonte dans la gorge. Je commence à couiner comme une vraie salope.
Brusquement, je sens le monstre brulant qui me fouaillait sortir de moi, dans un bruit mouillé, vite remplacé par quatre doigts qui m'écartent la rondelle. Les deux crochets écartent les bords de ma chatte, me l'ouvrant presque douloureusement.
" Hhhuummm... c'est bien rose dedans... et tout plein de mouille... tu es beau dedans comme dehors... tu as vraiment une chatte de pute... regarde-moi ça... une bonne chatte de salope... "
Et je sens tout à coup de l'air frais dans mon trou ! Le salaud de mon coeur me souffle dans la chatte !!! La sensation est... incroyable ! C'est bizarre, j'ai l'impression de m'ouvrir encore plus, de moi-même, sans le vouloir.
" Serre maintenant "
Obéissant, je resserre mon anneau malgré les doigts qui écartent encore les bords.
" Oui, c'est çà... hhuummm...j'aime ça... souple... chaude... profonde... et bien musclée ! Ç'est une bonne chatte ça ! Une bonne chatte de salope "
D'une ruade il se replante en moi. " Et une bonne chatte comme ça.... Ne peut pas... Rester vide... Han ! Han ! "
Debout derrière moi, les jambes à moitié pliées, mon homme me chevauche avec ardeur. Je suis cambré au maximum, ouvert, offert. Je prends dans mon ventre toute la longueur de sa bite de cheval. Il me déchire la chatte, me ravage l'intérieur, me démonte le cul, me ramone le boyau. Je couine de plus en plus fort, c'est tellement bon ! J'ai la chatte en feu, mais je ne peux m'empêcher de mouiller. Il me baise tellement fort, tellement profond... ça me rend dingue ! C'est tellement gros, tellement dur... et ça me titille à mort la prostate ! Trop bon !
Mais je suis à nouveau vide.
" Tu as une chasse aux oeufs à finir, au boulot " ! "
Hein ???? Je me redresse vivement, Chris me regarde mort de rire, sa magnifique queue toujours raide et luisante de mouille.
" Allez dépêche ! Cherche "
La chatte en feu et encore largement ouverte, je me remets à chercher mes oeufs. J'ai un peu de mal à marcher, lol, à cause de la position et des coups de boutoirs, mais j'ai surtout encore envie de mon homme.
15 mn après, j'ai trouvé tous les oeufs. Il y en a une belle quantité. Tout content, j'en déballe un avec la ferme intention de le dévorer.
" Non, non ! Si tu veux en manger, tu me branles d'abord ! Après je t'en ferai manger un... à ma sauce... ".
Mon homme, hilare, m'enlève le chocolat des mains et enfourne direct sa queue à demi molle dans ma bouche. Je pompe avidement, avec délectation et rapidement le monstre retrouve toute sa vigueur. Chris sort de ma bouche, prend le chocolat que j'avais commencé à déballer, en casse quelques morceaux qu'il pose sur sa bite.
" Vas-y, tu peux manger ton chocolat ".
Toujours aussi avidement, je dévore tout, sa bite et le chocolat. Huuummm, trop bon ! Je mange comme ça deux chocolats. Un vrai délice ! Sur la queue de Chris, il est encore meilleur.
Ensuite, Chris me fait mette à quatre pattes, attrape une sucette au chocolat au lait et me l'enfourne délicatement dans la chatte. Il la fait tourner 2 à 3 secondes et la ressort toujours aussi délicatement.
" Et une sucette à la sauce chatte gourmande, une ! Allez régale toi ! "
Oh oui je me régale. Le mélange jus de chatte/chocolat n'est pas mauvais du tout !
Chris prend un autre petit chocolat et l'enduit de la mouille qui sort de ma bite. Comme ma bite coule beaucoup, la friandise en est toute recouverte, noyée même de mouille au creux de la main de mon homme, et je lape tout, ravi de gouter ce nouveau mélange. Miam !!
" Maintenant à mon tour de me régaler... Viens ! "
Chris s'est installé dans un fauteuil, la queue bien dégagée. Je m'installe au-dessus de lui, les pieds posés sur les larges accoudoirs. Chris soutien mon cul tout en plaçant son gland à l'entrée de ma chatte bien graissée. Et puis il lâche tout. Son gros dard s'enfonce d'une traite en moi, jusqu'à la garde. J'en ai le souffle coupé. Il me soulève de nouveau et quand sa queue est presque sortie de moi, il me relâche de nouveau. Trois, quatre, six fois il recommence. A chaque fois la sensation est fulgurante, j'ai l'impression de mourir de plaisir. Chaque fois que je retombe sur sa queue, elle me rentre profond dans le ventre. La sixième fois, mon homme appuie de toutes ses forces mon cul contre son bassin pour que sa grosse queue rentre encore plus profond. Puis il se lève, moi toujours empalé et me pose à sa place dans le fauteuil, les jambes relevées, les genoux de chaque côté de la tête. Chris se recule pour regarder ma chatte béante.
" Huuummm... bonne chatte ça... va falloir un jour que je te fiste, toi... "
" HEIN ??? C'est ... "
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase. J'étais de nouveau pilonner avec force, secoué dans tous les sens par les coups de boutoirs. Pendant encore 20 bonnes minutes, Chris me ravageât, me baisant avec vigueur, encore et encore. Je n'en pouvais plus de bonheur, je couinais comme une vraie pute, redemandant sans cesse qu'il y aille plus profond, plus fort, plus vite, encore et encore. Après un dernier coup de queue magistral, mon homme se planta tout au fond de moi pour tapisser mes entrailles de six gros jets brulants. De mon côté j'avais inondé mon visage et le dossier du fauteuil. J'étais mort mais heureux. Même si quelque chose me tourmentait...
" Chéri... "
" Oui ma puce "
" ... "
" Je t'écoute mon trésor, qu'est-ce qu'il y a ? "
" ... "
Chris me souleva, s'assit dans le fauteuil et me prit dans ses bras, visiblement inquiet. Je devais faire une drôle de tête, je pense.
" Chéri qu'est ce qui se passe ? Je t'ai fait mal ? Tu ne te sens pas bien ? "
" ... "
" Putain Larry répond moi, tu m'inquiètes là !!!!! "
" Je... Je ne veux pas que tu me fiste ! "
Chris me regardait les yeux ronds, la bouche ouverte.
" Je ne veux pas que tu me fiste ! Ça me fait trop peur ! Et puis ma chatte sera toute déformée, flasque et trop large, et tu ne l'aimeras plus. Fais de moi ce que tu veux, mais je refuse que tu me fiste !!!!! ".
Je me fis tout petit dans ses bras et éclatai en sanglot. Pour la 1ère fois je refusais quelque chose à mon homme, mais ça c'était trop pour moi. Les saillies hors normes, les doubles pénétrations, les examens au spéculum de ma chatte que je subissais régulièrement mettaient mon petit cul à rude épreuve et me suffisaient largement. J'adorais ça, même. Mais j'ai toujours trouvé immonde le cul des mecs qui se faisait fister, la rondelle affreuse et boursoufflée, et je ne voulais pas que ma chatte se transforme en gouffre informe. C'était clair et nette, je n'en voulais pas !!!!
Doucement, mon amour me releva le menton et plongeât son regard gris clair dans le mien.
" Si tu ne veux pas je ne te forcerai pas. Je te le promets. "
" Tu... tu es fâché après moi ? "
" Non mon amour. Jamais je ne t'en voudrai pour ça. Je ne suis même pas déçu. Tu as raison, ta chatte est magnifique, serrée, chaude, profonde, gourmande comme j'aime. Il n'est pas question de la déformer. "
Il prit ma bouche avec passion. Sa langue me fouilla frénétiquement, me faisant basculer dans un tourbillon de plaisir. Il me regarda avec un large sourire :
" On n'en parle plus. Plus jamais. Viens déjeuner ". Et il enfourna sa queue à demi bandé dans ma bouche.
(A suivre)
Chris & lousol
mykinglove@hotmail.fr
Suite de l'histoire