Au cinéma....
A mon tour de vous raconter cette histoire qui est aussi un avis de recherche.
Nous étions le dimanche 5 mai matin. Ce jour-là, j'étais seul à Paris. Mon ami était parti voir sa famille en province, et je me retrouvais à devoir occuper ma journée. Le temps ne m'invitait guère à une ballade dans les rues de la capitale, et je me décidais donc à aller au cinéma dans le quartier des Halles. " Jurassic Park " était proposé en version 3D, et en souvenir du bon moment que j'avais passé lors de sa sortie en 2D, j'achetais mon billet pour découvrir les grosses bestioles préhistoriques en relief.
Un dimanche matin, en plein Viaduc de Mai, et qui plus est, au milieu des dinosaures, il y avait peu de monde dans la salle. Longtemps je suis resté seul dans ma rangée, lorsque, quelques minutes avant le début de la séance, tu es venu t'installer à un fauteuil de moi. Je t'ai juste regardé, un peu comme un intrus qui venait déranger ma quiétude et ma solitude, mais sans prêter vraiment attention à ton visage, a ton corps, à toi tout simplement.
Le film commença, et peu à peu, je me laissais prendre dans l'action, découvrant, ou plutôt redécouvrant les dinosaures qui m'avaient tant fasciné lorsque Spielberg nous les avait dévoilés pour la 1ère fois.
Comme dans tout film d'action, le réalisateur ménage le suspense et nous laisse reprendre notre souffle dans une scène plus calme, avant de nous faire replonger dans une action toujours plus forte. Je ne savais pas encore à quel point la scène que j'allais vivre allait me bouleverser.
C'est à ce moment que j'ai remarqué que tu avais posé ton bras sur le siège entre nous. Un geste qui semblait anodin, un état de décontraction où tu profitais de la place qui nous séparait pour prendre tes aises. Mais plus le film avançait, plus j'avais l'impression que ta main s'avançait vers moi... J'avais du mal à faire le point entre la fiction et la réalité, mais ce lent mouvement captait plus mon attention que la course poursuite du Tyrannosaure contre la Jeep des héros...
Je sentais confusément en moi comme une invitation de ta part, comme si tu me tendais la main pour que je la prenne. J'ai alors posé à mon tour la mienne sur le siège sans vraiment y croire je dois l'avouer... le coeur un peu palpitant, à la fois par le fait de l'action sur l'écran et par un secret espoir grandissait en moi et priait pour que je ne me trompais pas sur ton geste.
Imperceptiblement mais sûrement, tes doigts ont glissé vers les miens. Lentement et fébrilement, les miens s'en sont rapprochés...
Et lorsque, séparés seulement de quelques millimètres, tu as franchi le Rubicon, j'ai ressenti comme un choc électrique au moment où ton épiderme est entré en contact avec le mien, comme si une étincelle de désir nous avait inexorablement rapprochés.
Moi qui étais venu voir un film, je me retrouvais d'un coup projeté au milieu d'un scénario où je devenais, avec toi, l'un des deux acteurs d'un moment magique. J'avais bien sûr déjà lu ce genre d'histoire sur des sites dédiés aux narrations d'amour masculins, mais je ne pouvais pas croire à cet instant que j'allais, avec toi, en devenir l'un des protagonistes.
Tétanisé par le désir de ne pas interrompre cet instant magique, je n'osais plus bouger. Et là, tu as pris ma main dans la tienne, tendrement, lentement. J'ai connu quelques mains d'homme qui m'ont caressé, mais c'était la main la plus douce, la plus sensuelle que j'ai jamais touché !!!
Le temps paraissait suspendu. Nous étions là, assis main dans la main, comme deux amants qui partagent un même instant de quiétude en regardant un film.
Mais en même temps que l'action du film gagnait en intensité et en dramatisation, je sentais monter en moi un désir encore plus fort que ce simple contact entre nos deux mains. Le coeur battant, presque à regret, j'ai lâché ta main pour la tendre vers ton corps. Je l'ai posé avec fébrilité sur ton Teeshirt, et doucement, j'ai caressé ton torse. Je sentais sous mes doigts la fermeté de tes pectoraux, la douce bosse qu'ils formaient à la jonction de ton ventre plat, le dessin subtil de tes abdos. Devais-je aller plus loin ?
Ton souffle calme m'invitait à poursuivre l'exploration de ton corps. Sous mes doigts, j'ai senti la ceinture de ton jogging, puis l'étoffe douce qui recouvrait pudiquement l'objet de mon désir. D'abord, mes doigts sont tombés dans le creux de ton pubis, pour aussitôt après, glisser sur la bosse de ta verge !!! Et quelle verge !!! J'ai senti à travers le tissu que mes doigts la réveillaient. De mi- molle, je l'ai senti se déployer, se gonfler sous l'action de mes caresses. Et pendant qu'elle grossissait, qu'elle devenait dure comme du marbre, mes doigts la guidaient pour l'aider à glisser dans ton sous vêtement, et pour qu'elle puisse y trouver tout le confort que sa rigidité réclamait maintenant que tu bandais...
Mais je voulais me sentir encore plus proche de toi, et, en me penchant vers ton épaule, je t'ai invité à combler le siège qui nous séparait d'encore plus d'intimité et de complicité. Doucement, comme un félin, tu as glissé ton corps à mes côtés, comblant mes désirs de proximité.
Ma main est repartie à la découverte de ton bas ventre. Je retrouvais avec délice la verge terriblement dure sous mes doigts. Je la moulais délicatement dans le tissu de ton pantalon, la caressais avec précaution, lorsque ta main est venue à son tour se poser sur ma braguette de jeans. Tu as aussitôt senti à quel point mon désir était fort...fort au point de vouloir aller encore plus loin avec toi. Je suis venu te demander au creux de l'oreille si tu voulais qu'on sorte mais tu m'as répondu que tu voulais continuer à regarder le film...
L'obscurité de la salle m'invitait alors à répondre à mon envie la plus pressante : empoigner ta virilité sans l'intermédiaire et maintenant la gêne de tes vêtements.
Ma main est remontée sur ton ventre, s'est glissée sous ton teeshirt. Mes doigts ont écarté la ceinture de ton jogging gris de ta peau douce et se sont glissés jusqu'à la ceinture de ton boxer. Je les ai conduit sous l'élastique, découvrant que tu n'avais pas de toison pubienne, puis j'ai saisi ta verge raide à pleine main. Un léger sursaut de ton ventre m'a confirmé que tu aimais ce contact, et moi, j'étais aux anges de tenir ce sexe d'homme si dur et chaud.
J'ai fait coulisser ma main sur ton fût de chair, remontant jusqu'à ton gland gonflé de désir. Au méat perlait une goutte de precum. Doucement, avec mon pouce, je l'ai étalé sur la peau incroyablement douce de ton gland, le lubrifiant avec ta mouille. Puis, lentement, j'ai commencé à te masturber dans ton boxer. Ton souffle devenait un peu plus rauque, ton pouls s'accélérait peu à peu sous l'effet de ma masturbation.
Un léger toussotement derrière nous me rappelait que les personnes dans le rang derrière n'étaient surement pas aveugles de nos agissements mais je dois dire qu'à ce moment-là je m'en foutais éperdument...
Après quelques va et viens sur ta queue, c'est toi qui t'es penché vers moi pour savoir si je voulais te sucer derrière les fauteuils !!! Comment dire que ta proposition était celle que j'attendais depuis plusieurs minutes maintenant ? Comment te dire qu'avoir ta verge humide entre mes doigts me procurait des rêves parmi les plus fous, des scènes de sexe torrides dans ma tête, et bien entendu, j'ai immédiatement accepté ton invitation car, en fait je n'attendais que ça !
Tu m'as demandé d'attendre un peu après ton départ pour te rejoindre. J'ai dû lâcher ta verge, extraire ma main de ton boxer. J'avais du mal à quitter ce cocon de tissu chaud, presque comme si je craignais de ne plus jamais retrouver ton sexe chaud et dur.
Tu es parti... j'ai attendu...et cette attente m'a paru durer une éternité...Je me suis levé et j'ai rejoint notre lieu de rendez-vous...
Tu m'attendais juste à la porte de sortie. Juste éclairé par la luminosité de la projection, je me suis avancé vers toi, me suis agenouillé. Devant mes yeux, ton jogging était déformé par la barre de ton sexe. Encore caché à mon regard, j'allais pouvoir découvrir, dans tous les sens du terme, l'objet de ma convoitise.
Mes mains ont pris ta ceinture de jogging et ont baissé ton pantalon. Ta ceinture de boxer a accompagné le mouvement et lorsque j'ai écarté l'ensemble de ton ventre, j'ai enfin découvert ton sexe !!!
Et c'était simplement parfait !
Ta queue large et épaisse devait faire dans les 17- 18 cm. Fièrement dressée devant mes yeux écarquillés de bonheur, le gland turgescent décalotté et luisant de la mouille que j'avais étalé quand ma main te caressait dans ton boxer, ta verge dégageait un parfum enivrant, un subtil parfum fait d'un mélange de savon, souvenir de ta douche de ce matin et d'un peu de sueur, trace de l'activité pénienne que je venais de te faire subir dans la salle.
Ton pubis était rasé de près, sans doute l'avais tu fais pendant ta douche ce matin, peut-être l'avais tu fais en pensant à l'homme qui te dévêtirait aujourd'hui.
Et tes couilles !!! Lourdes, lisses comme je les aime....
L'ensemble de ton sexe me ravissait, et doucement, j'ai approché mes lèvres tremblantes de désir de tes deux bourses chaudes, soulevées par la ceinture de ton boxer que j'avais glissé juste en dessous.
J'ai commencé en passant ma langue dessus, à lécher ta peau, avant de glisser entre les deux testicules, à la naissance de ton chibre, pour remonter le long de ton fut, laper le frein et introduire ton gland dans ma bouche... et faire disparaitre ta verge dans ma gorge.
Je t'ai sucé avec un plaisir non dissimulé en me caressant à travers mon jean. Une longue et douce fellation mâtinée de gourmandise. Ma bouche coulissait sur ta hampe chaude et humide tandis que tu t'adossais au mur.
Je me suis interrompu un moment car j'ai voulu t'embrasser mais tu as refusé. Sans m'en formaliser, J'ai donc repris ma fellation, et j'avais en même temps une folle envie de connaitre un peu plus de ton anatomie. En continuant à te sucer, mes mains ont baissé ton jogging, fait glisser ton boxer sur tes cuisses. Glissant lentement de tes hanches vers tes reins, j'ai découvert la douceur, la fermeté et la légère pilosité de ton fessier, et j'étais totalement comblé !!!
Reprenant un peu mon souffle, je t'ai demandé si tu avais déjà fait ce genre de plan au cinéma et comme pour moi, c'était la première fois que tu te donnais ainsi à un homme dans un lieu public.
Tandis que je m'activais sur ta queue, tu t'es penché vers moi pour savoir si tu pouvais jouir sur mon visage. Je n'avais pas prévu que je vivrais un pareil moment en venant revoir des dinosaures, et n'ayant pas de mouchoir, je n'ai pas pu satisfaire ton souhait de m'honorer de ta semence. Mais Dieu que j'aurais voulu dire oui. J'ai même songé à te proposer de garder ta sève dans ma bouche, pour la boire comme un nectar, mais je n'ai pas osé...
Alors que je retournais besogner ton gland et ta queue, tout d'un coup, tu m'as interrompu car une personne arrivait mais le temps que je sorte de ce rêve éveillé, elle était déjà à côté de nous, prête à sortir.... Avait-elle vu que j'étais en train de tailler une pipe à un homme ? A-t-elle fait celle qui n'avait rien vu ? Elle n'a rien dit et à continuer son chemin.
Mais l'alerte était sévère et nous avons pris peur d'être surpris encore une fois par quelqu'un de moins compréhensif. Nous sommes alors sortis pour trouver un lieu plus calme ou qui nous mettrait à l'abri des regards.
Je t'ai proposé d'aller aux toilettes, mais, comme si d'un coup, la terre entière s'était donnée rendez-vous dans ce cinéma, impossible d'atteindre une cabine sans avoir à patienter ce qui me paraissait des heures interminables. Nous avons tourné un moment dans le hall de la salle, comme deux amants maudits quand tu m'as proposé de retourner dans la salle, en restant cette fois dans le sas.
T'appuyant à nouveau dos au mur, tu as baissé ton pantalon et ton boxer. Ta verge était encore raide de désir et je suis retombé à tes pieds pour reprendre ma fellation. L'excitation d'être surpris, la frustration d'avoir été interrompu peut être avaient sans aucun doute accentué ton désir de jouissance. J'ai senti dans ma bouche les signes avant-coureurs de l'orgasme, et lorsque tu as extrait rapidement ta queue de ma gorge, ce fut pour déverser sur la moquette du sas des jets de sperme épais et blanc. A la vue de ton éjaculation, mon ventre s'est lui aussi contracté et ma verge raide que je caressais à travers mon jeans a libéré à son tour son foutre dans les pans de mon boxer.
Tu as remonté ton boxer sur ton sexe, et c'est la dernière fois que je l'ai vu...
Tu es parti aux toilettes pour te laver les mains. J'aurai pu ou dû te suivre mais je n'y suis pas allé car je voulais encore ton odeur et le parfum de ta jouissance sur moi, lorsque, en rentrant chez moi, je me masturberai à nouveau en pensant à cette séance de cinéma si particulière...
Nous nous sommes recroisés vers l'escalator et lorsque je suis arrivé à la sortie, je t'ai vu te diriger vers le quartier Montorgueuil. Moi j'ai continué ma route sur Rambuteau...tu as disparu...je ne sais même pas ton prénom...
Je ne sais pas si tu liras cette histoire, mais si c'est le cas, et si tu en as envie, répond-moi. J'aimerais beaucoup refaire la même chose avec toi mais sans précipitation. Et promis cette fois, tu pourras jouir sur mon visage...
erwan-75@live.fr